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    Passage sur la pointe des pieds du plus puissant Président.

    Ferme-la BUSH !

     

    La fois d’avant, pas celle du 21 juin 06, qu’il était passé du côté des eurocrates officiels, quelques 100 000 manifestants, lui ont fait entendre leur désapprobation de sa guerre. Oui, ils sont venus de toute la vieille Europe, telle qu’il désigne le bercail de la civilisation occidentale, pour l’accueillir avec le boucan de révoltés inondant les rues pour faire entendre le non-recevoir, du gendarme formel et du criminel malveillant.

    Depuis 2004, il vient en indésirable, évitant les protocoles officiels et la communication dont s’est habituée son envergure, pour ne pas soulever les protestations. Surtout que ses alliés lui faussent compagnie et grondent, à qui ne veut les entendre aussi, les humbles de plusieurs régions de la Terre qui s’assument dénonciateurs de l’impérialisme primaire.

    Surtout là où il a semé la guerre et ses trains de misères, il débarque sans s’annoncer. Oui ! Du côté des puits pétrolifères, prétendument pour raison de sécurité et se sachant la cible de l’ancienne chaire à canon « islamo-terroriste » de la CIA, il transite en voleur arborant le discours de policier. Aussi bien le terrorisme que les plus abjectes complots, telle est l’œuvre du Président du pays où la liberté et la paix sont à la fois piégées et brandies. 

    Avec des mécontentements de plus en plus acerbes, il risquait de se faire chasser, lui le puissant. Ah ! La rue ! L’irréparable humiliation pour l’intouchable qu’il est, allait se produire. Même plus barricadée, la rue reste pour le peuple l’arène des victoires. De nos jours rares les pays où on le recevrait à bras ouverts, sans que la rue ne marque les annales de l’histoire. Loin du bureau ovale et de la maison dont la blancheur ne fait que ternir, des populations ont décidé de mettre à nu le plus couvert des Présidents. L’Amérique Latine, toute et entière, se prépare à sortir du giron malfaisant, prédateur et aux menées vertigineuses pour l’humanité.

    La fois précédente devant le parlement européen, il justifiait l’invasion de Bagdad. Cette fois, le bagne de Guantanamo n’a rien d’humain et de conventionnel. Kidnappés les mercenaires, de la guerre froide dont l’enjeu expansionniste de l’empire du mal s’est réalisé, y sont enfermés sans perspectives que la mort.

    L’intrusion devant les élus européens de Bush 2 a été gardée secrète jusqu’au moment où les télévisions l’ont furtivement montré. Sic ! Les observateurs même les plus avisés ont encaissé sans brancher. Aussi bien pour la guerre que pour les geôles tropicales ou aéroportées, de nouveaux acolytes et hommes de mains sont trouvés. Les avions prisons ont le droit de survoler le territoire français mais aucune trace n’a été trouvée, à ce jour, de leurs escales. Avec la nouvelle Europe, ils ne manquent pas.      

    En 2004, la foule avait su, bien à l’avance qu’il allait venir, la guerre préventivement mensongère (alliance de la dictature de Saddam avec le terrorisme et l’arsenal nucléaire) battait son plein. Cette fois sans transparence, des quatre à cinq milles sbires que son puissant pays a longtemps utilisé contre des peuples vulnérables (non pas Cuba, la Chine et même la Russie de Poutine), 3 suicides sont déclarés en actes anti-américains.

    Mais les dictatures qu’il dit chasser pour les remplacer de technocraties à la solde d’objectifs malsains, sont de réelles opérations de déstabilisation de peuples qui ont pour destin le malheur. Qui deviennent champ du terrorisme qui se dit, pour l’instant, résistant.

    A vrai dire, en évitant la menace terroriste, les USA ne font que l’amplifier !


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  • 5 OURS SLOVENES SUSCITENT UNE TOLLEE  
    DE VRAIS EMIGRANTS CHOISIS SONT DEJA PARMI NOUS

     

    Les QUATRE premiers, sur cinq bénéficiaires du statut d’émigrants choisis, sont déjà passés au travers des frontières. Que cela agace les détracteurs de la nouvelle législation et déplaise aux partisans d’une autre façon d’hospitalité envers des étrangers à l’hexagone, deux nouveaux hôtes après avoir été soumis à une rigoureuse sélection, sont déjà bien installés en France.

    Aucun être de cette vague n’a obtenu de visa, ni celui octroyé par une ambassade ou un consulat français, et encore moins celui d’entrée dans l’espace Schengen parce qu’ils ne sont pas concernés par ce dernier. Ils sont européens et viennent de Slovénie. Ils ne sont pas plombiers ni gardiens d’immeubles.

    Les animadversions ne sont pas restées sans réactions. Avant que les nouveaux arrivants ne foulent le sol national, les cocardiers (36% de la population selon un rapport officiel de déclare ouvertement raciste)(1) ont manifesté en souillant la façade de la mairie qui a autorisé ce débarquement.

    Puis le jour « J » de l’accueil et au moment de la descente du véhicule qui a ramené ces spécimens bruns et poilus, les opposants à cette intrusion ont carrément organisés du guet-apens afin de les harceler. Ils comptent même les chasser, s’ils piétinent là ils ne sont pas admis. Ennemis de cette présence, ils se sont embusqués pour les effrayer, histoire de marquer les territoires. Les récalcitrants à l’immigration choisie, d’un type d’ailleurs qui ne concerne pas les humains, qualifient ces nouveaux arrivants pourtant légaux, non pas en clandestins mais en prédateurs. Il ne s’agit, en fait, que des 5 ours qui peupleront un versant des monts pyrénéens 

    N.E. Tatem

     

    (1) Rapport de la CNCDH  (Commission Nationale Consultative des Droits de l’Homme), remis mardi 21 mars au premier ministre. Notons que ce rapport signale la diminution des actes racistes en 2005.

     

     


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