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    Evaluer et comparer l'éthique de RSF, on verrait davantage une officine de la CIA qui s'acharne contre des peuples récalcitrants à l'égard du diktat du pays de l'oncle Sam.  

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME 

    Cet article a été publié par POPULISCOOP # ATTENTION , à la fin de cet article des liens pour consulter livres, artisles, rapports, preuves...

     Quand ils sont vraisemblables, ces cas de journalistes emprisonnés, ils sont bien des pions, du même acabit que Robert Ménard, obéissant à la même chapelle. Ennemis du peuple chinois soudoyés, corrompus jusqu'à la moelle, par d'autres ONG ayant attache avec l'empire, paré de sa C.I.A. que G. W. Bush a pleinement représenté.

    Si les français se donneraient la peine d'évaluer, et de juger, l'action de RSF (Reporters Sans Frontières) dans l'avenir des relations avec la Chine, il serait effaré de la bassesse d'avoir pointé ce pays à l'heure d'une fête universelle uniquement pour gagner de l'audience et de continuer la mission de pourfendeur et bonimenteur de l'anticommunisme primaire tel que l'aurait appliqué à la lettre le fascisme hitlérien. Quelle infamie !Désormais le pays de Mao est une puissance à accepter, d'ailleurs elle s'impose, parmi les quatre grandes puissances, et la première d'ici 2015, que cela déplaise à la haine qui souhaite son exclusion du concert des nations. Il est inutile de citer ses exploits... Heureusement que l'UNESCO a pris, dès le début et à temps, ses distances du rôle que s'est arrogé RSF à l'égard du peuple et des dirigeants chinois.

    A l'ouverture des jeux olympiques 2008, le premier responsable de cette ONG a fait montre d'une hystérie d'aliéné, que certains osent qualifier en engagement, contre le pays organisateur. Sans divulguer la liste des journalistes et encore moins les témoignages de persécutés, il assénait à l'opinion plus des affabulations d'attardé que des faits avérés. Qui a en mémoire, ainsi qu'au niveau de l'opinion mondiale, le nom ou les coordonnées d'un journaliste cubain ou chinois victime de la justice ou des dirigeants de son pays ?

    Même ceux que son organisation a tentés de mettre au devant n'existent que pas leurs esprits et leurs attitudes de saboteurs et peut-être pires cas préjudiciables à tous les terriens. Même si la défense d'illustres inconnus est admise, elle est soumise au questionnement de leurs agissements si leur profession intéresse RSF. Et quand ils sont vraisemblables, ces cas de journalistes emprisonnés, ils sont bien des pions, de son acabit, obéissant à la même chapelle, que lui, ennemie du peuple chinois soudoyés par d'autres ONG ayant attache avec l'empire que G. W. Bush a pleinement représenté. Y compris le charlatan et fanatique Dalaï-lama, une marionnette vedette de la grande manipulation, joue ce jeu merdique de la corruption. Un bloggeur inconnu, peu reluisant et farfelu de part ses travaux que nous avons consultés, a été désigné en victime. De plus bas, il n'a jamais été dit par la profession de le faire...

    Aux yeux de bien des patriotes français, le responsable de RSF est passible du tribunal d'atteinte aux intérêts supérieurs de la nation et son association mérite d'être dissoute. Faute d'évaluer et de lui faire payer ses graves atteintes à l'Etat français, il a individuellement menacé des desseins économiques et politiques de la France, le pays qui a permis ses inqualifiables et préjudiciables errements. Le fait d'agresser de modestes peuples et nations qui, n'ont pas d'ailleurs osé de tels excès et encore les faits reprochés, surmontent leurs peines avec de grands sacrifices. Le lèse-patrie touche au rang de la nation parmi ses semblables. Sous l'armure d'une liberté d'expression dévoyée, il s'est attaqué aux populations à qui la solidarité était de mise. Cela n'exige pas plus d'étalées analyses.

    Aucunement représentative de quiconque, pourtant ce sont les journalistes qu'on y regarde, cette ONG, gonflée par l'engraissement de pourfendeurs aisés de la liberté d'expression, porte une lourde responsabilité quant aux choix qu'elle s'est fixés. Ses attaques en règle contre les pays qui ont le tort de ne pas accepter le dictat étatsunien, n'ont jamais eu l'adhésion des professionnels et collaborateurs de presse d'ici et d'ailleurs. De simples insinuations surmédiatisées à outrance grâce à des connivences qui disent long sur l'ensemble du système, ce dernier prenant en otage les services publics et les contamine d'un diktat qui conjugue démocratie au temps de domination incapable, naturellement, d'être impartiale.

    Du point de vue du silence qui l'entoure, ce départ avec une autosatisfaction qui n'augure pas, loin s'en faut, le repenti d'un bidouilleur est un prétexte de retirer le voile d'abord sur son cas et ensuite sur RSF. Le limité regroupement qu'il a dirigé pendant 2 décennies (15 personnes en France et au plus une centaine dans le monde) a bénéficié d'un large et démesuré écho qui dépasse la réalité de son organisation. Les complicités et les complaisances ont été largement permissives à son égard, elles l'ont comblé de moult diffusions et présentations aux Unes des médias.

    Pas un seul mot de R.S.F. sur le caméraman de Reuters, abbatu par Tsahal - l'armée israélienne

     

    Le fait que rarement une chance est donnée, la-voilà, à la corporation de la presse française, toute silencieuse comme stoïque sur les prévarications qui écœurent plus d'un de ses membres, d'interdire de distiller à la fois directement en son nom et pour le compte de l'ensemble d'un peuple et sur le registre d'une institution sociale considérée 4ème pouvoir, maints calomnies et mensonges. La démission de Rober Ménard, qui a surpris plus d'un, peut être le point de dire : oh-là, halte !

    Parce que décrépitant la moindre équité, telle que la direction de RSF a été faite, montre que les plus significatifs propulseurs de l'ambition humaine, sont d'abjectes rentes quand de l'argent sale donne des ailes... En effet on ne peut s'imaginer que des journalistes commettent de tels opprobres.Mais que peut bien cacher ce départ précipité ? A 55 ans le briscard a saisi son déficit flagrant de fierté à défendre la liberté de la presse. Comme un collabo de grands nazis, se disant sortir par la grande porte, ce n'est pas le cas la hélas !

    Où sont les rapports de RSF concernant plusieurs cas de tueries d'enfants... Et de la mort du caméraman de Reuter abattu par Tsahal ? Et à propos des centres d'internement comme Guantanamo-Bay, de maison d'arrêt d'Abou Ghraïb et de tant d'autres pénitenciers aux pires pratiques et que partout desquels le monde entier s'offusque de leur existence, qu'en est-il ? Robert Ménard a publiquement recommandé, sur la radio France-Culture la torture quand il faut soutirer des infos à d'islamistes s'adonnant au terrorisme ! De quel droit l'humanisme peut-il tant se pervertir ?

    Au niveau de la France, un « ouf ! », à qui veut le constater, soulageant est en l'air suite à ce départ. A moins que l'association reste dans ce sillage, de mauvaise foi, pour qu'encore continue la sélective défense d'un journaliste et non d'un autre en prenant en considération uniquement son appartenance à pays dont l'idéologie ou bien l'orientation dérangent la Maison Blanche. Ce comportement déshonorant, qui existe chez nombreuses personnes quasi opportunistes ainsi que accréditées par la CIA via des pourvoyeurs de budget et que le fondateur de RSF a publiquement galvanisé, sont une servilité aveugle à ne trahissant pas ses maîtres. Dont les supplices sont assumés ouvertement sans un brin de volonté à se défaire de souteneurs, financiers, parrains et commanditaires ayant commis les pires et dernières grandes exactions de la Terre ? Robert Menard a compris que pour avoir à sa disposition, tous les supports et canaux, qu'un valet vaut plus qu'un critique.

    Bien sûr bien des analystes sont tentées par dresser une évaluation dépourvue de complaisance, envers de nombreuses prétendues associations françaises intervenant pour les droits de l'homme et l'humanitaire. Certains ont même tenté d'écrire des ouvrages et d'autres ont souscrit plusieurs à s'exprimer, nonobstant leurs interventions ne sont pas en compte. Ce n'est qu'une fois les scandales éclatent qu'un semblant d'écoute leur est à peine accordé.

    Comme dans beaucoup de nos sujets, nous vous conseillons des lectures.

    1- Livre de Maxime Vivas<?xml:namespace prefix = v ns = "urn:schemas-microsoft-com:vml" /><v:shapetype id=_x0000_t75 stroked="f" filled="f" path="m@4@5l@4@11@9@11@9@5xe" o:preferrelative="t" o:spt="75" coordsize="21600,21600"><v:stroke joinstyle="miter"></v:stroke><v:formulas><v:f eqn="if lineDrawn pixelLineWidth 0"></v:f><v:f eqn="sum @0 1 0"></v:f><v:f eqn="sum 0 0 @1"></v:f><v:f eqn="prod @2 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="prod @3 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @0 0 1"></v:f><v:f eqn="prod @6 1 2"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelWidth"></v:f><v:f eqn="sum @8 21600 0"></v:f><v:f eqn="prod @7 21600 pixelHeight"></v:f><v:f eqn="sum @10 21600 0"></v:f></v:formulas><v:path o:connecttype="rect" gradientshapeok="t" o:extrusionok="f"></v:path><?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:lock aspectratio="t" v:ext="edit"></o:lock></v:shapetype>Livre de Maxime VivasParution : 16/11/2007 ISBN : 9782930402451 272 pages Editions Aden2 -Livre de Jeau-Guy AllardLivre de Jean-Guy Allard 

    Chez Lanctot EditeurEn effet elles sont nombreuses ces structures tournant le dos et nuisibles aux missions qu'elles déclarent remplir. Le cas de RSF est qu'il concerne les journalistes, un personnel intellectuellement libre de mettre la transparence là où la société en a le plus besoin.Si un jour une modération du monde ONG s'opérerait en France et certaines décrétées d'utilité publique, on obtiendrait une disqualification de nombreuses parmi les plus renommées. Nous nous privons de les citer, cependant il est possible de revenir à leurs précédents. Mais c'est aussi un autre sujet.

    De triste et fraîche mémoire, l'arche de Zoé falsifiant une blessure, kidnappant des enfants et portant atteinte à la souveraineté d'un pays à la pauvreté désespérante, en est l'illustration générale de ses opérateurs qui disposent souvent du denier public pour nuire à l'image du pays et à l'intérêt général. On ne comprendrait mieux leurs affligeants comportements qu'une fois les mise-à-nues reflètent leurs réalités bien contraires à l'image, et l'écornant gravement, d'un pays qui se targue aux yeux du monde d'exemplarité à tous points de vue.

    • Les USA financent Reporters Sans Frontières, par Diana Barahona.La liberté de la presse que défend RSF,• Robert Ménard confirme : RSF est bien financé par Bush.

    • Quand Reporters Sans Frontières couvre la CIA, par Thierry Meyssan.

    • La liberté de la presse et mon hamster à moi, par Viktor Dedaj. 

    • Rapport 2005 d'Amnesty International www.amnestyinternational.be/doc/rubrique882.html,

    La Maison Blanche rejette les critiques d'Amnesty www.tsr.ch/tsr,Réponse d'AI au président Bush www.amnestyinternational.be/doc/article.php3 ?id_article=5582.

    • Brian Cloughley : Détruire les Incroyants, Bush a recours aux méthodes de Nixon www.legrandsoir.info/article.php3 ?id_article=2472,Viktor Dedaj : (étrange affaire —>)

    La liberté de la presse a pris un dur coup aux États-Unis http://fr.groups.yahoo.com/group/CubaSolidarityProject/message/8665.

    • Viktor Dedaj : RSF, La liberté de la presse et mon hamster à moi www.legrandsoir.info/article.php3 ?id_article=1733.<o:p> </o:p>

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  • Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME 

    Cet article a été publié par POPULISCOOP -Scoop Populaire-

    Alors que le dernier sondage national publié par Newsweek, du samedi 13 septembre, donne à égalité les deux candidats des élections présidentielles des USA, avec 46% des intentions de vote pour chacun, la campagne gagne sa vitesse de croisière et son ton de férocité.

    Changement de ton et de vitesse, la campagne électorale est un vrai duel...

    L'heure au combat ouvert entre les deux challengers, qui sont de nature vraiment différente et opposés à plusieurs points de vue, ouvre une nouvelle étape dans la campagne. Parce que les deux candidats se distinguent sur plusieurs points l'un de l'autre. Depuis bien des décennies pour les élections de ce niveau, une telle confrontation n'avait pas eu de tels profils. Et l'arène ne s'est pas ouverte à un tel duel qui peut être des plus féroces.

    Si la commémoration de l'événement du 11 septembre a admis une trêve, temporaire, en commune mesure. La série d'intempéries : ouragans et tempêtes qui se succèdent sur le sud-est du pays a joué d'abord dans ce sens, de respect des malheurs causés par la nature envers la population, mais elle a vite aiguisé les moyens de frappe sur l'adversaire. Les répliques, d'un côté comme de l'autre, fusent avec une grande violence verbale, à propos et autour de cette colère cyclique du climat.

    Le républicain accuse, en indiquant qu'il apporte lui aussi son aide et ses prières, son opposant de tactique électorale « déplacée » quand ce dernier a sollicité ses 2 millions de soutiens à aider les sinistrés.L'Etat-major du candidat démocrate, comme beaucoup de cercles de ses supporters, mènent une grande riposte axée plus sur l'entourage de McCain. Outre les dessous de la carrière de Sarah Palin, il a accusé son adversaire, via un site Web mis en ligne dernièrement, qu'il est entouré de lobbyistes contrairement, à ses déclarations et à l'ooposé de ce qu'il dit comme étant celui qui a toujours combattu l'influence de l'argent à Washington. Barack Obama lui-même a intervenu en déclarant que son rival mène la campagne « la moins honorable » de l'histoire américaine.

    Clip de soutien à Barack Obama>


    Au-delà de l'égalité des points livrés par les pronostics et recueils des opinions, Barack Obama engrange davantage de moyens et de sympathie au niveau des facteurs essentiels (finances ou médiatiques) lui permettant de mener, sa campagne, dans de meilleurs conditions que son rival. Le sénateur l'Illinois a annoncé, ce dimanche 14 septembre, un record de collecte de fonds de campagne au mois d'août avec 66 millions de dollars. Il dispose désormais de 77 millions de dollars, un avantage financier sur son rival républicain alors qu'il a renoncé aux fonds publics qui sont plafonnés, ceci d'une part.

    D'autre part, le seul journal se permettant ouvertement de soutenir le candidat démocrate Barack Obama, le « New York Times » vient de riposter avec vigueur contre le déchaînement des racistes et à la brutalité de la campagne des républicains. Il s'est livré à mettre au grand jour toutes les révélations de la colistière vedette de M. McCain, Sarah Palin. La présentant comme celle qui abuse de son pouvoir à la tête de l'Alaska en favorisant outrancièrement ses amis et chassant ses adversaires, mêlant selon le quotidien ses fonctions officielles et ses affaires privées. Le quotidien rapporte que dès qu'un poste de haut niveau de l'Etat se libérait elle y nommait un de ses amis.

    Selon une lecture d'un journaliste de l'AFP, présentant les contenus du quotidien New-yorkais, "Mme Palin a ainsi attribué la direction des services de l'agriculture d'Alaska à un ancienne camarade de classe qui a fait valoir comme seule qualification pour ce poste, payé 95.000 dollars/an, sa passion d'enfance pour les vaches. Elle travaillait jusqu'alors dans l'immobilier. Tout au long de sa carrière politique, Mme Palin a cherché à se venger de ses opposants, congédiant des fonctionnaires de l'Etat qui s'étaient pas d'accord avec elle, faisant parfois l'amalgame entre ses problèmes privés et ses fonctions officielles", écrit le New York Times, citant des documents officiels et des interviews avec 60 élus républicains et démocrates du parlement d'Alaska.

    Gardant la ligne de rompre avec la ligne de conduite de G. W. Bush et indiquant McCain comme son continuateur, l'équipe de Barack Obama a rappelé les positions de l'adversaire au sénat qui a toujours soutenu sans moindre la politique, en votant pour les propositions de Bush.


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  •  Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME

     

    Cet article a été publié par POPULISCOOP

     

    La crise financière a débuté avec les Subprimes, la corrélation entre l'immobilier d'habitat et la finance boursière veut que les citoyens vulnérables subissent après, la perte de logement, le plan Paulson de 700 milliards. Mais le contexte mondial veut que cette récession soit irréversible.

    "Subprimes" : la crise immobilière était financière parce que les endettés ne pouvaient rembourser leurs investissements d'habitat. La cellule familiale est, avant toutes autres unités ou particules constitutives d'un Etat, le meneur de la consommation. Signe précurseur de la décadence d'une économie que le monde subit moins, avec l'existence de pays émergents. La Chine s'en inquiète peu de cette crise. A se demander si elle sera plus grandie de ce qui se passe en cette rentrée 2008, avec et après un quart de siècle de croissance à plus de 10 % ?<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    La planche à billets que G. W. Bush a mis en branle, nommé le plan Paulson, pour imprimer 700 milliards de dollars destinés à juguler la grave crise financière, s'avère vaine. Sans que les citoyens n'aient rien eu à dire montre que cette pseudo-meilleure démocratie est acculée... de récession mortelle. Un système politique responsable de ses actes que le président français est allé à son chevet, discourir à l'ONU ce mardi 23 septembre. Une initiative pour sauver le capitalisme mercantile...

    Aux USA, une fois au pouvoir, tous les sujets administrés doivent applaudir pour toutes, et sans moindre exception, les décisions du premier responsable. Y compris quand ils mettent la main à la poche, cassent leur tirelire et dilapident leurs économies pour renflouer les caisses de la gabegie de leurs décideurs, l'élu pour diriger le pays et dispose de toutes les latitudes pour continuer à faire n'importe quoi. On a su comparer ce système politique comme la Mecque des libertés, pourtant c'est bien des autocrates sans envergure et drapés de toutes les vergognes qui s'en vantent joyeusement à la face du monde, d'être des maîtres têtus dans leur égarement.

    Il est indéniable qu'une récession pernicieuse s'est installée dans le système capitaliste étatsunien. Voilà un peu plus d'un an, depuis l'ouragan qui a ravagé dans l'indifférence de la Maison Blanche la Nouvelle Orléans, qu'une crise immobilière « les subprimes » généralisée à tous les 50 Etats fédérés s'est emparée des cases opérationnelles de l'économie des ménages mettant en ruine d'innombrables foyers déjà vulnérables avec leur surendettement. Certes le capitalisme vit et se maintient dans une dialectique de crises qui le mettent toutes et toujours à l'épreuve afin qu'il redouble d'efforts. Cependant ce 3ème millénaire entame un contexte, aussi bien politique qu'économique, mondialement ressenti comme entièrement changé et allant sur un chemin irréversible. 

    Ces dernières années, une nouvelle adversité met de bien nombreux pays en une compétitivité implacable qui entame le règne des puissances économiques traditionnelles. Outre l'Europe qui entretient une démarche continue, dirait-on une anticipation des économistes gestionnaires et non des théoriciens, au niveau continental portant sur des restructurations de fond et de l'ensemble des outils dans le but est la performance, et qui lui donne à moindre dégâts une stabilité. Une quête de prospérité qui résulte aussi de l'élargissement à de nouveaux Etats-membres d'une communauté qui se renouvelle du fait de s'enrichir de nouvelles populations. Ceci d'une part...

    Crise financière: effet domino pour l'Europe ? @ Yahoo! Video

    ... de l'autre, il y a une foultitude de pays émergeants qui ont dépassé, surtout depuis 2006, le stade régénérant de bien meilleures conditions de l'évolution des industrialisations qu'ils ont acquises et l'apurement de leurs finances publiques. Beaucoup en ont fini avec leurs surendettements sclérosants. Mais ce sont surtout les nouveaux géants, tête de lance d'un ensemble déjà considéré en voie de développement qui gravent désormais avec une empreinte d'une marque indélébile signalant leur présence dans les tâches productives qui répondent aux besoins, en équipement et consommation, de toute l'humanité. Et c'est dans un marché mondialisé, répartissant aussi le travail, que les USA ont créé et voulu qu'ils se retrouvent désarmés. Une économie essoufflée et en déroute et qui a la particularité de ne pas être égalitaire et encore moins transparente. Mais le capitalisme se targue de liberté d'entreprise, un laisser-faire...

    Les histoires de bourse qui ont fait les Unes des actualités en ce septembre 2008 ont plus l'air de complots de traders capables de mettre en faillite telles banques qui emporte dans sa banqueroute sa clientèle, sont aussi des complots scénarisés. La surprise française d'un certain Kerviel de la Société Générale illustre qu'un seul individu peut faire la démonstration de créer des périls. Quand on s'imagine que plusieurs dizaines de milliers de tels opérateurs individuels en finances, sont d'une manière concertée capables de fomenter ou de moudre des déficits internes et chez beaucoup de créateurs de richesses, grosses boîtes et PME, étroitement liés aux systèmes bancaires pour la gestion de leurs deux principales actions de trésorerie, d'achats et de distribution.

    La vente à perte des actions boursières, pour laquelle le gendarme boursier de Wall-Street a précisé au monde entier, sa courante pratique met en évidence que les américains règlent les affaires des argentiers, comme bouc-émissaires de la crise, avant de se rendre compte que leurs produits manufacturiers, à l'exception de ceux destinés aux armées, ont perdu biens des terrains. Même là où ils ont une grande maîtrise, les technologies et qui ne sont les seules en perte de vitesse, le marché mondial regarde davantage du côté chinois et indien où il peut trouver des produits compétitifs à tous points de vue, aussi bien en performance et de prix. Des pans entiers de la production américaine ont subi, comme des échecs, les transformations de l'économie mondiale.

    La première conséquence de l'actuelle crise financière est justement l'arrêt des achats des produits technologiquement élaborés notamment d'informatique par les utilisateurs potentiels où les banques sont en première ligne, comme partout où existe une quelconque comptabilité, sont les grands et premiers acquéreurs. Ils préfèrent dans la conjoncture de crise retarder leurs acquisitions et temporiser pour le renouvellement des équipements. Pendant la première quinzaine du mois de septembre 2008, plus de 50 000 emplois ont sautés dans la seule ville de New-York dans le secteur des services financiers avec un taux de plus de 60% chez les pupitreurs sur ordinateurs chargés des saisies de données dont les tâches sont en réalité incontournables dans la continuité du fonctionnement des plus primaires activités des bureaux.

    Celui de la mécanique, en l'occurrence la Chevrolet au label GM (Général Motors) pollueuse et assoiffée de brûler l'énergie pétrolifère est en plein mutation pour se consacrer aux véhicules à petits cylindres et dont ils ne se sont jamais intéressés. Ici aussi la nouvelle donne écologique est globalement terrestre. Alors que les voitures construites à moindre coup et sophistiquées avancent dans la satisfaction de la demande des pays où elles sont fabriquées et que beaucoup d'européens ont déjà mis sur les marchés des automobiles pas chères mais certainement moins gadgétisées, l'industrie mécanique américaine tente aussi de se recycler dans ces créneaux désormais porteurs. Elle semble souffrir d'un aléa réel. Les infrastructures de fabrication habituées à produire d'autres modèles aux exigences d'espace différentes, ne peuvent être rentables sans un réaménagement des ateliers en un agencement inspirés des vieux modèles Renault et Fiat. Là une adaptation plus onéreuse que l'on présageait.

    La production agricole connaît une embellie partout où les patrimoines fonciers sont fertiles. Cet autre secteur est malmené par une autre crise alimentaire qui vient de s'annoncer pour toute l'humanité. Elle constituait une plaque tournante pour beaucoup de matières premières et se retourne à être une source d'énergie. Les américains retournent à leur première richesse mais aussi dans un cadre mondial perturbé et qui lorgnent aux pays émergeants depuis toujours en mesure de répondre à certaines matières mais se retournent davantage à regarder leurs besoins alimentaires.


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  • Un virage glissant à gauche, le vote majoritaire se complique pour l'UMP au sénat.

    lundi 22 septembre 2008,

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME

    Cet article a été publié par POPULISCOOP

    La loi organique du 30 juillet 2003 a augmenté le nombre de sénateurs. Ils sont désormais 343 à l'issue de ce scrutin. Soit 12 de plus que lors des dernières élections en 2004. Le nombre définitif de sénateurs -348- sera atteint après le renouvellement de 2011. Elle a aussi instauré le renouvellement par moitié tous les trois ans, le précédent texte touchait au tiers pour la même période. C'est la dernière fois qu'un tiers est élu.

    Sur plusieurs plans, le sénat a nouvelle mine. Plus rajeuni et plus féminisé n'en sont pas les moindres nouveaux aspects, la gauche vient de faire un score imprévu dont elle ne croyait pas de son côté et l'opinion ne s'y attendait pas du sien.

    Une victoire surprise aux sénatoriales pour la gauche en ce week-end du 21 septembre faisant le passage de la saison estivale à l'automnale. Surtout plus que le modeste espoir de gagner 10 à 12 sièges, la gauche a raflé au total 23 sièges, respectivement 21 au PS, 1 au PC et 1 aux radicaux de gauche.

    L'incidence première en est et qui donnait possibilité de voir le nombre de sénateurs s'accroître pour tous, aussi bien la droite que la gauche était en l'air, avec la revue à la hausse des effectifs dernièrement. Elle augurait le grossissement pour tous les partis mais peu de spéculations ont pu percer la nouvelle donne. Passant de 331 à 343 postes de sénateurs, en vertu de la loi du 30 juillet 2003, proportionnellement donc aux 12 rajoutés, c'est un succès inespéré pour la gauche, toutes familles confondues, très malmenées par des clivages internes à chaque parti.

    Il faut relever le détail qu'elle, la gauche française, avait longtemps été considérée comme peu prédisposée à accéder facilement à cette chambre traditionnellement occupée par des personnalités en fin de parcours de leur carrière politique et généralement conservatrices. Le sénat était depuis toujours ancré à droite du fait du grand nombre de petites collectivités territoriales dont les élus, qui désignent les membres du sénat, sont plus généralement de droite. Alors que les certitudes se sont fixées au maximum d'une douzaine de nouveaux sièges à la gauche, suite aux bons résultats censées avoir épuisé ou surchauffé les ressorts, des dernières élections locales, les régionales de 2004 et les cantonales/municipales de mars 2008.

    En conséquence des dernières élections qui ont eu lieu en France, une fausse croyance s'était faite. Que les forces de gauche se sont amenuisées ou frappées d'un léger manque de préparatifs ou bien indisposées d'une mauvaise lecture du paysage actuel. Outre de la nécessité de répartir l'alternance, par delà les localités et sous le socle démocratique, pour dispatcher un résultat équitable entre les acteurs politiques au niveau de l'ensemble des institutions élues, apparaissait beaucoup l'exigence de distribution vers la droite. Voire aussi l'offensive UMP sous la houlette du président porté à réformer tous ce qu'il lui tombe sur son bureau, comme une autre difficulté. Et c'est justement dans ce cas d'espèce la poussée de la gauche au sénat que s'expriment aussi un changement des us dont la féminisation et le rajeunissement sont plus marquants.

    Les français, il faut le dire, se sont peu intéressés à ce vote, pourtant fait majeur de la rentrée sociale. Le corps électoral s'exprimant à ce suffrage est restreint aux délégués de conseils municipaux – à 95% du collège -, des députés, des conseillers régionaux et généraux des départements concernés. Ils étaient 50.720 élus convoqués dans les préfectures à accomplir ce devoir.

    Dans ce renouvellement d'un tiers de la Haute Assemblée, 114 sièges étaient en jeu dans 39 départements, 4 collectivités d'Outre-mer et au sein du collège des Français de l'étranger. Si le nombre de sénatrices est passé de 60 à 75 et constitue une réelle percée de toute la société. La majorité s'éloigne davantage du camp UMP. Déjà elle n'était nullement pas assurée depuis 2004. Le groupe UMP, qui avait 160 sénateurs, en compte désormais 150. Précédemment la majorité des 3/5 dans les consultations était très discutable, elle devient désormais plus compliquée.



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  • Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME

    Cet article a été publié par POPULISCOOP

    Qu'il est difficile d'être Tapie... D'être un balieusard parmi les charognads. Si un jour tu réussis et de rien, on se demanderait : comment tu es parvenu ?

    Démonstration de force de Bernard Tapie devant la commission parlementaire ce 10 septembre 2008. L'homme est poursuivi, après moult harcèlements, par plus les politicards qui sont à la tête de partis politiques décadents...N'est-ce-pas une façon de se redorer des blasons de charognards ? Prêts à sauter sur ceux qu'ils pensent avoir...<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Aux non-voyants cet article est vocalisé, écouter la version phonétique en MP3.

    Bernard était venu, manches retroussés, de son département 93 rafler quelques monnaies, comme le font d'autres cols blancs en se taillant les ongles.Quand il a plongé dans le business, son col était celui que son propre père avait porté ! Quel mal à cela ? Les mamans disent souvent aux fils de porter la chemise du père, à moins que la frangine s'en serve. Et aussi tous les habits longtemps lavés par des mains laborieuses et avec le savon neutre marseillais qui rendent, ces deux : geste et moyen, leurs tissus aussi doux que la soie.

    Bernard Tapie, banlieusard et ancien ministre de la politique de la ville, est une gueule qui sert de modèle à beaucoup de jeunes français, pour une réussite assumée comme par l'audace d'un titan. Ce monsieur mérite de bien meilleur hommage.Le crédo de Barnard Tapie : Le crédo de Barnard Tapie :

     Un patron français, un affairiste né sous la charmante étoile de savoir comptabiliser l'argent. Et même compter la probabilité de sa propre durée de vie.Quand il se défendit devant la commission parlementaire ce 10 septembre 2008, une âme parlait aux bons entendeurs. En toute humilité, il expliqua qu'il avait choisi la juridiction qui lui fait gagner plus rapidement 285 millions d'€, avant qu'il ne rejoigne ceux qui dorment à jamais dans l'au-delà. L'affaire, dit-il, a commencé quand j'avais 50 ans. J'ai 65. Les avocats, mesure-t-il avec le raffinement du calculateur dont les neurones font par moult opérations et logique... (Uniquement la logique !), prédisent...Comprendre : bien plus de cent ans de bureaucratie juridique ! Pour qu'une affaire ait son épilogue.

    L'homme continue de dégager une verve de batteur, que ni le gâteux Bill Gates ou le truand Pablo Escobar (le colombien) ne peuvent lui être comparé. Le premier était né sous une belle étoile aussi et en plus : le père de Bill Gates gagnait bien plus de 1 million de dollars par jour. Et le narcotrafiquant colombien soumit aux autorités de son pays d'effacer la dette au temps où sa patrie était accablée par le FMI et la banque mondiale, finalement il a été tué par...

    Le père de Bernard Tapie était un ouvrier d'usine. Malmené à plusieurs reprises... Bernard pour son bateau, sa société de montres (Lip) et la marque du trèfle (Adidas), le-voilà devant les élus du peuple.Si un jour un jaloux s'en réjouisse que Tapie ait été traité, de tous les noms, de la manière d'un mauvais garçon, il a intérêt de rempiler sa « connericratie ». Ce jaloux voit toujours un pugnace, un gagnant qui a droit à l'une des plus belles biographies. Tapie est une utopie, un mythe, un géant, un homme et une épopée vivante.

    Devant la commission, ce mercredi 10 septembre 2008, deux hommes politiques : le centriste Bayrou et le socialiste Hollande se sont tus. Ils avaient fait des vagues il y a quelques jours. Comme ils ont l'habitude de traîner les gens dans la boue et même, outrageusement, ceux qu'ils trahissent très souvent et à chaque tournant... Devant les médias, et les pires


    Zemmour face à Bernard Tapie        par prince_de_conde

    ...

    Parce qu'ils, les bafoués comme Tapie, leur réservaient de l'égard et se font trahir.Mais comme périclitent leurs partis politiques respectifs, ils sont restés dans le mutisme hypocrite des politicards de seconde espèce. Pourtant ils avaient crié au scandale et mis tous les médias qui leur offrent des projecteurs à faire briller de vieilles casseroles...

    Derrière l'affaire du siècle.Bernard risquait de les affronter, de leur montrer qu'un homme issu des quartiers pauvres a la rage dans le cœur. Celle qui a la luminosité d'un feu de sauvageon qui brûlerait toutes les pailles dans les ventres des véreux... Et des politicards.D'autres parlementaires vivaient, le même-jour, un problème de conscience. Honnêtes élus du peuple, ils sont considérés dépassés... Comme devant un cas de conscience !<o:p> </o:p>

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