• Wikileaks nouvelles révélations sur les comptes en banques Suisse.La transparence de Wikileaks fédèrent les dénonciateurs du capitalisme sauvage !

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Un ancien employé, Rudlof Elmer, de la banque suisse Julius Baer fera une conférence le mercredi 19 janvier avec le site Wikileaks, pour donner des détails sur quelques 2000 comptes bancaires en Suisse. Plus de 40 hommes politiques mondiaux et de hauts rangs seront cités, outre des artistes et des entreprises. Tous concernés par des détournements et la fuite fiscale. Le conférencier a été licencié en 2002, pour avoir révélé des comptes secrets auprès des banques helvétiques. 

    Le nouveau scandale que Wikileaks s’apprête à divulguer concerne plus de 2000 
    comptes auprès des banques suisses. Sont concernés par ces nouvelles 
    révélations, quelques 40 hauts responsables politiques mondiaux mais aussi
    des artistes et des chefs d’entreprises.

    Le dossier de ces comptes sera remis le mercredi prochain mercredi 19 janvier, par un ancien banquier du pays helvétique, pour diffusion à Wikileaks incessamment. Il s’agit de Rudolf Elmer, qui a été congédié de la banque Julius Baer en 2002 pour avoir violé le secret bancaire. Il remettra ces données à Wikileaks lors d’une conférence à Londres, selon le journal allemand « Der Sontag » qui a publié l’info le dimanche 16 du même mois.

    Le secret bancaire est une redoutable arme pour que les riches ne subissent pas les impositions, de leurs pays, sur les fortunes surtout et leurs activités de citoyens.

    Elmer a déclaré à un journal suisse, qu’il se présentera avec deux disques compacts contenant les noms et les détails des 2000 comptes. Ces derniers concernent aussi bien des Multimillionnaires connus dans le monde, que des entreprises internationales et les fonds spéculatifs de plusieurs pays dont les États-Unis, l’Allemagne et la Grande-Bretagne. Les révélations sont recueillies de quelques trois institutions financières, y compris la Julius Baer d’où, pendant la période 1990 à 2009, cet employé de banques a causé des fuites de documents.

    La Suisse a accepté en 2009, après la crise et sous la pression des moralisateurs du capitalisme, de remettre quelques 4600 cas de fuite de capitaux. La banque « UBS AG dodge » a accepté les révélations et l’Eta américain a retiré les poursuites contre cette banque, quand un seul milliardaire a été déclaré avec 200 000 $ de dépôts en compte secrets.

    La banque Julius Baer où travaillait Elmer a nié les allégations de ce dénonciateur. Et affirme ne pas avoir aidé ses clients riches à échapper à l’impôt. Elle soutient que l’intéressé a lancé une campagne pour discréditer la banque et certains de ses clients pour avoir été congédié. Lui reprochant d’être e également une menace pour les individus, car il a modifié les documents qu’il va présenter. C’était le cas d’accuser Wikileaks d’être aussi un danger contre des personnes.

    Elmer n’a jamais été arrêté et peut voyager librement. Il a rendu visite aux USA en 2007 et a remis à l’US « Internal Revenue Service » des indications de huit clients concernés par la fuite fiscale. Il a également témoigné dans une affaire en Allemagne liés à un investissement appelé Moonstone Trust.

    Il a aidé Wikileaks dès cette année à se faire découvrir par le monde du journalisme et de la presse, c’était la première fois que le site de Julian Assange utilise de telles informations. Et vient au monde comme une source crédible, et d’un journalisme nouveau.


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  • Le syndicaliste Ahmed Badaoui a été arrêté à son domicile à Alger, par l’appareil répressif des dictateurs algériens, pris de panique devant un mimétisme des évènements de Tunisie. Le même jour un jeune de la wilaya (département en France et Gouvernorat en Tunisie) de Tébessa s’est immolé, sous les regards de la foule qui l’accompagnait devant le siège de la mairie où il réside. Et le lendemain une vaste fuite de capitaux…

     

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    Fuite de capitaux, commençons par l’essentiel, qui la grande panique des détrousseurs du clan de Bouteflika.

    L’équipement informatique, du syndicaliste Badaoui, a été confisqué et des documents ont été saisis à son domicile. On y voit l’acte de la mafia algérienne qui gangrène l’Etat, du fait que ce rebelle des douanes exerçait dans un point de passage, DOUANES ALGERIENNES, de tous les trafics où nombreux affairistes sont associés à des responsables de hauts rangs.

    Parmi les zones de corruption et de contrebande, les douanes algériennes sont indiscutablement le point où la corruption est même légendaire. C’était le cas de la Tunisie, où la police passe en premier. Elles sont suivies, dans la hiérarchie des réseaux de la corruption algérienne, par l’appareil institutionnel administratif composé des ministères (tous), des préfectures et des mairies. Ce qui est plus grave, mais au niveau des douanes c’est un partage à ciel ouvert ! Entre trafiquants, douaniers et protecteurs dans les ministères et surtout parmi les militaires.

    L’intéressé est connu pour avoir subi des persécutions en 2008, alors à se rendre enTunisie avec sa famille. Mr Badaoui est un syndicaliste intègre, dont on redoute ses capacités à divulguer ce qu’il a vécu dans les douanes. Le point de passage désobligeant des pratiques plus connues sous l’import/export et sur lequel règne de vrais seigneurs. Des corrompus aux postes de commandes, des rabatteurs qui jouent les sauveteurs des entrepreneurs rackettés et

    UN entrepreneur algérien, émigré raconte A PROPOS DES DOUANES : Bouakaz.

    En 2008, à sa sortie du territoire nationale pour un séjour de vacance au pays voisin, un titre de congé lui a été exigé alors qu’aucune loi n’instaure une telle norme. En plus il était depuis déjà plus de trois années (2005) en rupture de contrat, car suspendu abusivement et sanctionné comme syndicaliste. Malmené pendant 2 jours aux frontières du pays, il fait demi-tour avec sa famille en pleurs.

    Il est accusé « tentative de renversement de l’Etat » avec une action ouverte dans des conditions totalement nébuleuses par le Procureur de la République près du tribunal d’Alger. Dans la journée de son arrestation, il a participé à la réunion du Comité de défense des droits et des libertés syndicaux. Dont il est l’un des membres fondateurs. Cette réunion, tenue à la rue Tanger à Alger, devait réfléchir sur les actions du mouvement de contestation social dans le pays.

    Ex-secrétaire général du syndical national des douanes et ex-membre dirigeant de l’UGTA, Ahmed Badaoui subi depuis 2005 aussi maintes persécutions. Le pouvoir algérien se plaît à rendre la vie dure à des personnes isolées. Les poètes Bachir-Ali et Smaïn Aït-Djââfar, tous deux aux journalistes, ont été torturés pendant des années avec les applaudissements de Messaädia, Mehri, Bouteflika et consorts.

    Les activités syndicales de Badaoui sont qualifiées de « troubles graves à l’ordre public ». Depuis 2005, sans salaire et sans aucune indemnité, pour un père de famille est la pire des humiliations. A propos de l’UGTA, il dit sur son blog« L’organisation syndicale à laquelle j’appartenais –véritable appendice du pouvoir– n’a pas trouvé mieux que de m’exclure de ses rangs et cela sur injonction du pouvoir » Il a lancé, depuis une année, une pétition on line pour dénoncer cette situation.


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  • La Tunisie aux portes d’une alternance.

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    Le message du jeune tunisien Bouazizi qui s’est immolé à Sidi-Bouzid a été entendu par l’ensemble du peuple de cette nation. Les citoyens ont répondu et fait écho par une sédition qui a remis les pendules nationales à l’heure. Le geste de ce martyr n’a aucunement porté atteinte à autrui, malgré sa cruauté qui exprime un profond désespoir de personne, à la lecture de ce geste exemplaire, fondamentalement éclairée.

    La Tunisie doit son émergence économique à un projet de société léguée par le chantre Bourguiba. Tout un programme de bienséance, foncièrement moderne et adoptant une laïcité digne des nations les plus civilisées. Jamais dans le monde arabe, dans le continent africain et à travers même le monde, les troubles n’ont été si bien menés. Pour faire plier, à des revendications d’une légitimité incontestable, un des pouvoirs les plus despotiques.

    L’arrestation de Hamma Hammani, l’un des opposants politique interdit d’expression sans justifications et légalité, illustre le népotisme envers les autres démocrates tunisiens.

    Le commencement a été des manifestations citoyennes d’abord. Et ce n’est qu’une fois la riposte de l’appareil policier a fait usage de brusques et violentes pratiques de préservation de l’ordre, que les jeunes ont tenu a faire la démonstration de force. L’armée n’avait pas bougé de ses casernes et même quand elle est venue à la rescousse des services de sécurité, elle s’est refusée de tirer. Nombreux témoignages atteste cette vérité, sans nul doute inédite à travers la Terre entière.

     

    Malgré l’escalade due à l’autisme du pouvoir qui espérait ramener le calme auGouvernorat de Sidi-Bouzid, sans mesurer l’expression de l’acte de Bouazizi. Qui est et a été aussi grandement significatif dans le déroulement des évènements. La présence de la femme tunisienne dans les protestations est aussi bien inconnue et inédite dans le contexte arabo-musulman de ce pays.

    Si finalement Benali s’est rendu à l’évidence de ne pas briguer un autre mandat en 2014, lors de son discours du 13 janvier, le 3ème depuis le début des émeutes qui se sont propagées à travers tout le pays, au fur et mesure que l’immolation du jeune chômeur s’interprétait au sein de l’opinion tunisienne et parmi l’ensemble des citoyens. Le président tunisien a fait allusion à l’intangibilité de la norme constitutionnelle qui limite l’âge du présidentiable à 75 ans, suite à un amendement d’ailleurs initié par lui qui en a 74.

    Contrairement à Bouteflika qui a connu des troubles, à la même période comme une contagion, d’ailleurs qui n’ont cessé tout au long de l’année 2010 dans plusieurs villes et même petites bourgades Elles ont l’air d’être une répétition générale avant l’assaut final contre les sbires de la corruption, de la bureaucratie et d’une mafia de faux anciens « moudjahidine », devenus pléthorique depuis l’arrivée surtout de Chadli.

    Les émeutes algériennes sont de même nature qu’en Tunisie, cependant les circonstances contextuelles sont de loin différentes. L’Algérie est plongée dans un nationalisme réactionnaire largement acquis à l’intégrisme islamiste. La jeunesse algérienne est totalement déshéritée de la démocratie et privée d’une rupture avec un système déterminé à faire perdurer la légitimité historique qui n’est plus de mise pour les nouvelles générations que si elle vise la rente.

    Le régime algérien est habité de la torture des poètes après l’indépendance, et d’un déficit flagrant de démocratie à l’égard des partenaires de la cause libératrice pendant la guerre 54/62. Cette dernière est marquée aussi par une violence qui semble être transmise, au point d’avoir permis aux maquisards de procéder aveuglement à des massacres contre les messalistes, les harkis et même des bataillons se déclarant du front commun. Comme celui nommé de maître Lamrani, l’avocat de Mustapha Benboulaïd, composé de quelques 200 rebelles, tous multiconfessionnels car, revenant au CDL (Combattants De la Liberté) issus du PCA (Parti Communiste Algérien).

    La qualité des manifestations en Tunisie a été une vraie affirmation de l’avancée sociologique de ce pays. En effet le point de non-retour a été bien assimilé par Mr Ben Ali et ses bouffons de l’embourgeoisement compradore et mafieux.

    Le message du jeune tunisien Bouazizi qui s’est immolé à Sidi-Bouzid a été entendu par l’ensemble du peuple de cette nation qui a répondu et fait écho par une sédition qui a remis les pendules nationales à l’heure. Le geste de ce martyr n’a aucunement porté atteinte à autrui, malgré sa cruauté qui exprime un profond désespoir de personne fondamentalement éclairée.

       

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  • Les terroristes du FASCISLAMISME de l’AQMI préfèrent des otages occidentaux et les massacres de musulmans.

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    L’AQMI a ouvert l’année nouvelle avec trois principales actions qui peuvent non seulement être ses échecs que ses prouesses médiatiques lui assurant une quelconque crédibilité ou victoires. La grande agitation des islamistes à travers le monde porte gravement atteinte à l’image des musulmans. Ces derniers se doivent d’obliger Allah de mettre fin, au sein de leurs populations, à la nébuleuse qui a pour emblème Al-Qaïda.

    On peut énumérer ces faits de l’AQMI par ordre d’importance médiatique ainsi : 1- la mort des deux jeunes citoyens français, abattus certainement en dernier recours de la poursuite livrée par des forces armées. 2- la tentative d’attentat contre l’ambassade française au Mali. Et 3- l’important réseau terroriste démantelé au Maroc pour lequel le ministre de l’Intérieur, Taib Cherkaoui, a fait une déclaration le 5 janvier puis le 10 du même mois, un véritable arsenal d’armes individuelles pouvant être le véritable attirail du « djihadiste » a été montré à la presse.

    Mais toute l’internationale islamo-terrorisme qui a pour label « Al-Qaïda » a frappé partout. Et avec une violence plus destructrice en Egypte contre les chrétiens dès le jour de l’an. En Somalie où plus de 25 victimes ont été dénombrées lors du seul attentat du 9 janvier. En Irak contre des chrétiens à la veille de 2011, en Afghanistan, au Pakistan et bien nombreux autres faits déjoués comme en France contre les coptes, ou en Suède…

    Le phénomène du terrorisme islamiste, dont les musulmans sont les plus touchéset davantage ses nombreux souffre-douleurs, a l’air de vouloir durer en trouvant épaisses sources qui l’alimentent. Il ne s’agit plus de jeunes désœuvrés n’ayant pas de perspectives professionnelles dans leur pays. Mais de la poursuite naturelle, c’est aussi la conséquence dialectique, de la stratégie de vouloir combattre les régimes communisants que la CIA a élaboré, en premier lieu, contre les russes en Afghanistan. Cette dernière politique mondiale des Etats-Unis prend un véritable passage d’envergure grâce à la méthode « Bushienne » de répondre par un tracé plus antimusulman qu’anti-terroriste.

    Pourquoi faut-il distinguer le musulman de l’islamiste ?

    L’invasion de l’Irak par le mensonge, contre la légalité internationale et l’agressivité aveugle, d’une soldatesque criminelle de ses pratiques plus connues chez Tsahal, l’armée israélienne spoliant par la force et l’exil un peuple plus nombreux que les israéliens de sa patrie, a été un tournant qui a provoqué la collision anti-impérialiste avec l’obscurantisme islamiste. Ces actions de l’histoire subies aussi, non par les islamistes seuls mais plus largement par tous, globalement aussi contre les musulmans. Elles s’inscrivent principalement à la suite des attentats du 11 septembre, qui ont accouché de cette appellation barbaresque « Al-Qaïda » survenant dans le champ médiatique.

    L’ACTUEL EMIR DE L’AQMI.

    Loin s’en faut ce ne sont pas les islamistes et encore moins ceux d’Al-Qaïda qui défendent les peuples qui sont livrés à des seigneurs de guerre à l’origine anticommunistes et formés par les politiques financièrement et foncièrement entretenues à partir du bureau ovale.

    Les hommes de l’AQMI sont issus principalement des islamistes algériens, et en sont actuellement ses chefs. Tous aussi étaient proches d’un certain parti algérien, le FIS dissout par la justice algérienne, qui allait s’installer au pouvoir en 1990 tout en jurant de mettre à feu et à sang tout le bassin méditerranéen. François Mitterrand, dont l’antipathie envers les algériens est connue à travers, et sans la moindre grâce y compris pour des militants du FLN libérateur d’origine française (à ne pas confondre avec –le parti FLN- celui des « Kleptocrates » du parti unique), protesta quand les islamistes ont essuyé la démission du président algérien, incapable de leurs remettre la souveraineté du pays fraîchement indépendant.

    Le plus vaste désert du monde sera le tombeau de l’AQMI.

    Après des carnages en Algérie qui ont duré au-delà de la décennie 90, c’est-à-dire jusqu’à 2004, les sbires idéologisés par les frères musulmans se sont déployés au niveau du plus grand désert du monde « le Sahara ». En 2004 la détection, parl’armée algérienne, d’un regroupement de quelques 200 hommes descendus du nord du pays jusqu’au cœur du Sahara, coïncida avec le passage du Rallye Paris-Dakar.

    Depuis ces éléments se sont trouvés avec moins de harcèlements que leur livrait mortellement la glorieuse armée algérienne qui les a combattus, dans une solitude héroïque. Dans le vide géographique truffé de reliefs inhabités, l’AQMI a été déclarée : une succursale affidée à un nom créé paradoxalement sur une déclaration sorti de l’Amérique de W. Bush.

    La compétition/aventure sportive, du Paris-Dakar, avait dans ses annales l’égarement de la piste du circuit par le fils de Margaret Thatcher. Il n’a été retrouvé qu’au bout de 24 heures avec des moyens de l’armée algérienne toujours jalouse des territoires qu’elle a la charge de sécurisé. D’ailleurs la poursuite du traitement impitoyable et conséquent des terroristes par l’armée algérienne, au-delà de la conspiration de la concorde de Bouteflika qui vit un écartement international et une déconfiture entière de sa falsification de la constitution avec les dernières émeutes, se vérifie chaque jour. Les derniers fiefs de l’AQMI du nord qui ont élu la région de la région de la Kabylie, viennent d’essuyer d’énormes pertes pendant le mois de décembre 2010.

    La course mécanique été dans un premier temps éloignée de l’Algérie plongée dans une insécurité, à la limite de l’incurie laxiste, indescriptible. Car bénéficiant des complicités des anciennes nomenklaturas de la légitimité historique qui dirigeait le pays, quasi quotidienne et lourdement inhumaine. Même après le choix du passage par le Maroc, du Paris-Dakar aujourd’hui couru en Argentine, fut aussi abandonné.

    L’AQMI devint une empreinte de la grande manipulation politicienne des gouvernances locales, comme en Algérie, et des stratégies internationales qui se distinguent, par on ne sait quel argument, d’obéir aux intérêts des américains.

    Suite : Le Maroc très rigoureux contre le terrorisme, la Tunisie a carrément gagné la bataille morale d’un islam tolérant.


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  • Algérie : les barricades de la corruption despotique ébranlées.

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    Les manifestations en Algérie de ce début de l’année 2011 se sont soldées par les dégâts humains de 4 morts, un demi-millier de blessés et bien plus d’un millier d’arrestations à travers le territoire national. Ces dernières seront certainement revues à la hausse, puisqu’après la trêve qui sera peut-être finale, les poursuites et les interpellations continueront.

    Cette contestation qui a tenu quelques jours, a l’air d’être une répétition générale avant un assaut contre les despotes et les barricades, artificielles car policières et servant des criminels historiques qui ont torturé des poète au temps de leur parti unique. Ces barricades dressées contre la pratique paisible et de retenue des démocrates, qui sont carrément flingués avant les débauchés du système indécrottable, ont été escaladées et ont l’assignation d’un prochain feu plus brûlant.

    BELLE MUSIQUE ET BEAU MONTAGE VIDEO

    En l’absence d’un encadrement militant, les troubles manquent fatalement de qualité. Ils ont été réduits à une contestation pour quelques deux ou trois produits, alimentaires et de première nécessité. Mais il s’agit bien d’une protestation, d’une autre nature, du climat d’injustices criardes imposées par un pouvoir illégitime car ayant falsifié la constitution. L’atmosphère de l’augmentation des salaires de la police, communément désignée par la « Bouteflicaille », de 50% en est l’une des raisons qui a poussé une bien visible majorité de la jeunesse à contester la situation insoutenable où se trouve le pays.

    Les plus avisés des analystes, observateurs et spécialistes de l’interruption démocratique amorcée dès l’apparition des « Fascislamistes » qui ont causé 200 000 victimes, massacrés quelques 6000 intellectuels de haut rang et plus de 200 journalistes, se demandaient depuis le début de ces dernières émeutes, si la perspective démocratique est bien revendiquée et sera irréversible ?

    Des éditorialistes ont interpellés les partis politiques de l’opposition, les syndicats et les organisations de la société civile ainsi que les personnalités pour agir avec les jeunes. Ils ont tous brillés de leur absence. Le mouvement de contestation est resté presqu’orphelin d’idées constructives. La répression fut une riposte plus réactive que les militants. Pour arrêter, non pas les saccages qui ont écœuré la population au même titre que les hausses des prix des denrées l’huile et le sucre, la colère. Donner ainsi un contenu à l’exacerbation d’une jeunesse ne trouvant que les islamistes, la « Harga » l’embarcation sur des radeaux pour rejoindre l’occident, les suicides qui se sont multipliés ces dernières années et la solitude d’un combat sans orientation.

    DIAR ECHEMS A QUELQUES CENTAINES DE METRES DE LA PRESIDENCE

    Après les jours de désobéissance civile, qui n’a pas été paisible car vraiment le désespoir est installé depuis la falsification de la constitution par Bouteflika. A qui, ce dernier, des confiances se sont illusionnées à le soutenir même en restant pour une 3ème mi-temps au pouvoir, et tous les malheurs incombent désormais. Voilà donc, le retour à la case départ !

    Ce recommencement du régime descorruptions et des injustices, c’est aussi un rendez-vous avec les misères rendues mielleuses par les mosquées qui ont appelé, sur injonctions et directives du ministère des affaires religieuse, à arrêter la protestation qui a été dans son vrai cadre populaire. Mais sans une réelle et claire destinée pour rompre avec le régime où les fils des généraux et des ministres consomment de la cocaïne à 8000 da le gramme et les denrées alimentaires deviennent inabordables pour leurs prix aux salariés.

     

     


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