• Suite de "L’islam en Afrique : encore une fois souillé par les islamistes." 2ème partie d’un reportage exclusif.

    L’ancienneté de la présence de l’islam sur le continent africain date de l’époque du prophète Mohamed, quand il s’est caché avec ses premiers adeptes auprès de l’Ethiopie. Actuellement c’est la religion qui gagne encore des croyants, avec des tensions certainement dues aux agissements extrémistes. Les islamistes fanatisés, dont souffrent surtout et en premier lieu les musulmans dans le monde, sont en premières lignes des violences interethniques.

     

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    L’islam est devant l’histoire universelle, et le monde est à l’écoute de ses tourments. Quand aussi certains peuples et nations espèrent réparer ses manquements, quand ils sont en accueil de communautés musulmanes dans le cadre des émigrations. L’islam de France, non pas celui des autorités élyséennes encore colonialistes ou néocoloniales, mais les musulmans français souvent originaires du Maghreb et laïcs ou acquis à la démocratie.


    Malcolm X - musulman islam afrique noir
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    Le terrorisme, généré de frustrations diverses, va à l’acte criminel avec la facilité déconcertante de troublants suicides de kamikazes. Dans le climat des injustices sociales et d’islamophobie droitière (quelque fois de gauche) de part le monde, Israël y trouve son argument de décapiter les résistances à son colonialisme. Sous la bannière du terrorisme, et même de la belle démocratie civilisatrice qui a sévit pendant des siècles et s’adonnent à des frappes ponctuelles comme en Irak…

    Quand les révoltés ont une cause légale et un combat légitime, sont désignés de terroristes, ce sont tous les révolutions de gauche qui jalonnent l’histoire qui réentendent leur patronyme de terroristes. Le rebelle a toujours bon dos…

    Un artiste africain parle de l’islam

    Il est incontestable que sous le cache de l’islamophobie, aussi, se terrent moult projets politiques. En dessous des rochets des politicards de l’extrême-droite occidentaux, l’anguille danse les refrains de l’invasion par des communautés corrompues et obscurantistes. Et en bas des eaux nébuleuses des « islamistes » (concept qui définit les djihadistes à différencier de « musulmans »), cette phobie de barbares venant vandaliser la paix démocratique, est simplement un racisme, un rejet gratuit.

    Mais aucun observateur ne nie l’évidence que le message rapporté par le prophète Mohamed continue de se propager comme dernière et nouvelle religion monolithique d’importance majeure, vivante à pieds d’égalité avec le christianisme et à degrés différent avec le bouddhisme. D’ailleurs des deux, la plus jeune divinité soutire de nouveaux adeptes.

    Le continent de Lucy l’ancêtre de l’humanité et de Nelson Mandela, ouvre ses bras.

    L’islam au Mali, que pensent les anciens ?

    En Afrique, parmi des croyances chamaniques, des pratiques rituelles archaïques et coutumes survivantes grâce au mode sociale ancien « le tribalisme », l’islam, du fait de la mitoyenneté avec son fief et son bercail arabique, conquière la virginité. Il avance. Il supplante des relations humaines obsolètes, en fondant même de nouvelles sociétés. Ce qui est désigné par civilisation musulmane, reléguée sur des contrées lointaines de l’Andalousie occidentale, trouve même son terreau favorable. Certains pays du continent noir, comme la Somalie, Djibouti, l’Ethiopie et l’Erythrée, ont découvert l’islam dès l’orée même de la prophétie

    Ce fut juste avant que les marchands musulmans ne continuent, se tournant vers l’ouest, en direction du Maghreb alors habité par les berbères. Si dans le nord du continent africain l’islam est apparu d’une propagation qui l’a poussé jusqu’au sud de l’Europe méditerranéenne. Avec sa marche inexorable en direction de l’Afrique, c’est le vide qu’incarne merveilleusement la savane. L’appel de la prière déchire un silence.

    La vraie réserve d’esclaves, l’Afrique, qui fut pendant, et dès les croisades, des siècles plus à la merci des européens qu’à la civilisation arabo-musulmane qui pratiquait l’esclavage, rencontre l’islam. L’église présidait ouvertement à la servitude, le fascisme ne l’a souvent pas dérangée. Cependant les siècles où il n’avait pas de suprématie, celle des ottomans leur fut protectrice, l’islam la traite lui a échappé. Elle fut plus de partance par le Libéria, la voie océanique, que par la méditerranée. En direction de l’Europe puis des Amériques, ce qui est exactement l’occident, l’esclavage fut volumineux et plus atroces.

    Dans sa foulée africaine, l’accueil des africains pour l’islam n’est pas fait sur du velours. La confrontation interreligieuse est vivace. Et comme ailleurs dans le monde, tels que les attentats contre les chrétiens d’Irak. Les islamistes sont en première ligne du camp qui prône le coran. Du côté des gens de la bible, nous n’en sommes nullement pas à la superstructure. Comme Al-Qaïda liguant, avec des arguments pseudo-idéologiques, des criminels, des cellules dormantes ou bien de solitaire recherchant une stature social…

    LA SUITE, Prochain sujet, Dans les pays africains, les islamistes qui travaillent pour Al-Qaïda.

    POUR LIRE La 1ere Partie


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  • Une jeunesse qui empêche la perversion des mercuriales à la merci des corrompus alliées aux spéculateurs.

    Les émeutes en Algérie ne trouvent pas la facilité de leurs explications, tellement des brouillages incohérents sont érigés par des discours à la fois populistes et aveuglement vandales. Sauf que c’est un mécontentement dû aux hausses des prix, à la fois subites et exagérées, des produits de première nécessité, il ne ressort point de profondeur des appels de la population. Notamment le sucre et l’huile parmi les denrées touchées... ce qui est une interprétation tout à fait écourtée et simpliste.

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Cette dernière est semblable dans son étroitesse à celle d’une contagion de la sédition du pays voisin, la Tunisie, qui est d’un ordre tout à fait différent et dans un contexte bien plus évoluée et distinct de celui de l’Algérie. La Tunisie est plus laïque que certains pays occidentaux, elle dispose d’une classe sociale moyenne bien plus large proportionnellement à sa population et recèle des normes avancées de gestion de la société comme la politique de régulation de la démographie.

    Cette vidéo expose la situation qui prévaut dans plusieurs villes algériennes.

    Depuis des semaines avant que le vent de la révolte ne se tourne sur l’ouest tunisien, les« pénuristes » algériens attendaient cette augmentation des tarifs. Ils se sont mis à stocker tous ce qui leurs tombent entre les mains. Car informés, par des connivences de décideurs. Et le partage de ces « fructus » de bazar est bien établi, entre une pléthore de pseudos opérateurs économiques et les éléments de la bureaucratie héritière du l’ancien système des moudjahidine, de leurs enfants et des membres de familles, devenues après un demi-siècle de règne, semblables aux mafias napolitaines. La jeunesse vit avec l’arrogance des nouveaux riches qui n’ont guère des profils d’entrepreneurs. Le Gloden-Boy Khalifa, fils d’anciens ministre, a été présenté comme le meilleur. Et ces trafiquants, liés au pouvoir et son personnel, narguent et rigolent en croisant les plus pauvres.

    C’est-à-dire clairement, les partenaires des spéculateurs sont dans le personnel politique officiel issu de l’alliance dite présidentielle. Dont la corruption a pris une ampleur inconnue par le passé, mais générée à un niveau mafieux et de banalité depuis l’arrivée de Bouteflika au pouvoir. Il s’agit du clan, présidentiel, qui met la puce à l’oreille des commerçants de l’importation et des faux industriels, pour... Le lendemain des hausses, a eu lieu l’apparition magique des produits qui ont disparu pendant les semaines précédentes.

    Au début, c’était une grande tension sur le lait dont le pays a un énorme déficit. Le patrimoine foncier agricole, envié par nombreux pays africains et voisins, qui depuis des décennies n’a pu se développer est la réponse au besoin de lait. La filière « lait » qui débute chez les éleveurs, se termine aussi chez eux. Aucune idée de la technologie laitière et aucun réseau de ramassage, comme il se fait ailleurs. Toute l’alimentation de la population est exposée aux aléas climatiques et à des crises continuellement sporadiques. Il suffit d’une exploitation maraichère d’une saison, soit portée sur un produit et non un autre comme la pomme de terre, l’oignon ou bien l’ail, pour que l’un d’eux voit son prix dépasser largement les capacités de revenus des ménages incapables de se le mettre dans leurs assiettes quotidiennes.

    L’agriculture algérienne ne décolle pas, parce que c’est là où les réformes, sans jamais soulever les questions de développement, consistent plus à renflouer des exploitants déficitaires. Ces derniers à l’image des nombreux directeurs nationaux de missions et de programmes de développement qui ont été relevés de leurs postes ou emprisonnés. Tous sont du clan présidentiel, prolongé au niveau des ministres, puis des élus... Au niveau des exploitations de vrais truands du FLN -Parti Unique- jouent les moudjahidine, les ingénieurs et même les DOCTORS es agronomie et directeurs violeurs de leurs propres secrétaires.

    A bien vouloir comprendre les révoltes des algériens en ce début de l’année 2011, les plus éclairés et sincères des militants et des analystes rigoureux redoutent que les islamistes s’accolent à ces manifestations pour se légitimer, après leurs crimes du terrorisme qui a fait 200 000 victimes depuis 1990. Et puis en faire de la chaire à canons livrables avec de nouveaux attentats qui, s’ils reprennent avec les dégâts qui marquent et traumatisent à jamais toute une génération, vont causer un effondrement du pays. En remettant le pouvoir à une théocratie barbare largement inspirée d’une conscience religieuse dévoyée par le rayonnement des dizaines, sinon des centaines, de milliers de mosquées qui essaiment à travers la moindre bourgade du pays en prêchant la paix de l’âme dans la misère et la soumission.

    Le paradoxe que posent ses revendications, quand elles sont liées au coût des produits cités, est bien réel. Les regards se tournent vers les pères de famille notamment les salariés, en ce qui concerne les prix, mais les yeux s’écarquillent avec les comportements saccageurs et surtout de pillards des manifestants. Qui cassent les biens de la collectivité, prennent en assaut vitrines et magasins pour subtiliser tous ce qui leur tombent sous la main. Il ne s’ait pas de Black Blocs animé d’idéalisme et de romantisme, qui seuls aussi ne sont pas révolution. Cette dernière convient aux autorités puisqu’elle porte en elle que la qualité des émeutes est ruinée.

    D’ailleurs, comme partout le monde, lors de telles protestations les casseurs trouvent leur butin à portée de main. Nonobstant le cas algérien met au devant un déficit flagrant, et voulu par les politicards corrompus et associés au pouvoir en place, de structures syndicales crédibles à défendre le pouvoir d’achat. De même que la fermeture des cadres d’expression, a poussé au suicide physique dont on dénombre une pléthore ces dernières années. Comme elle est à l’origine de la prise de la voie maritime pour les jeunes « haragas » avides d’exil, au prix d’être un exclu et humilié ailleurs que perclus dans son propre pays.

    Les opinions qui mettaient en Bouteflika l’espoir de ramener la paix sociale, l’ouverture du pays sur le monde et la moralisation de la vie publique, sont les plus déçues alors que le raïs est déjà sortant. Toutes visions versées en ce président, dernier rejeton du système qui a la honte d’avoir torturé ses meilleurs poètes, se sont trouvées avec une constitution falsifiée, un pays plus isolé, une population criminalisée dans le monde car surveillée dans toutes les frontières et aéroports. Et c’est LA GRANDE CORRUPTION qui a pris les dessus. Et peut-être à jamais !

     


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  • Les conversions massives en Afrique, sous les tensions extrémistes !

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    L’islam en Afrique, encore une fois souillé par les islamistes.

    L’islam en Afrique est certainement la religion qui acquière de nouveaux adeptes. Et comme il est, depuis l’apparition des frères musulmans en Egypte pendant les années 50, emporté par la dérive de l’obscurantisme, il questionne. L’islam politique (l’islamisme) aspire à fonder des Etats théocratiques, par les armes ou par la voie démocratique, offre au terrorisme la centrale des idées à partager avec les modérés.

    Une avancée menaçante et répugnée pour son islamisme.

    L’islamisme, matrice féodale inspirée de préceptes trop anciens, n’est pas une idéologie. C’est la chaire orthodoxe, de la théologie islamique, qui exige aussi de militer pour une cause quelconque, et pas seulement celle du prosélytisme faisant la promotion de la croyance. Les intégristes de toutes religions, communément appelés islamistes pour l’islam, sont endoctrinés pour les inquisitions de toutes formes. L’islam est habité du dogme nécessaire aux militants de la cause première, l’application de la charia.

    Ce n’est pas une science des idées, car de vraies idéologies comme le communisme et le sionisme ont livré d’autres natures, dans le sens que la pensée source n’est  pas une création exclusivement humaine. Des versets édictés ne peuvent être une science, aussi islamiques ou évangélistes qu’ils puissent se targuer, transformant des êtres croyants en le savoir, la logique, la critique et les connaissances humaines, en êtres confiés à ce qui n’est pas de leur responsabilité première, c'est-à-dire pleinement insoumis à celle du créationnisme. Darwin a expliqué, sans le vouloir, ce qui est irrationnel et les vestiges ont largement justifié...

     
    Islam en danger
    envoyé par makro124. - Découvrez les dernières tendances en vidéo.

    Quand il s’agit des fanatiques du judaïsme, Israël est la terre promise, donc il faut expatrier et même massacrer les indus occupants. Des crimes de guerre qui n’ont rien à en vouloir aux qualifiants qui ont été donnés aux dogmes européens des ultranationalistes à l’origine de l’abominable Shoah, sont de nos jours de l’émulsion religion-idéologie, deux composants antinomiques. Chez les gens de l’église, les fanatiques derniers sont presque isolés. Nonobstant quelques survivances et des visions sectaires relèvent aussi du fanatisme subsistent. Comme une extension productive, des extrémismes, de pratiques religieuses aussi irrationnelles que destructrices.

    L’islam des égarés ennemis d’abord des musulmans, avant toutes autres religions et civilisations.

    L’islam est devant l’histoire universelle, et le monde est à l’écoute de ses tourments. Quand aussi certains peuples et nations espèrent réparer ses manquements. Un terrorisme, généré de frustrations diverses, va à l’acte criminel avec la facilité déconcertante de troublants suicides de kamikazes. Dans ce climat, Israël y trouve son argument de décapiter les résistances à son colonialisme. Sous la bannière du terrorisme, et même de la belle démocratie civilisatrice qui a sévi pendant des siècles et s’adonnent à des frappes ponctuelles comme en Irak… quand les révoltés ont une cause légale et un combat légitime, sont désignés de terroristes, ce sont tous les révolutions de gauche qui jalonnent l’histoire qui réentendent leur patronyme de terroristes. Le rebelle a toujours bon dos…

    Il est incontestable que sous le cache de l’islamophobie, aussi, se terrent moult projets politiques. En dessous des rochets des politicards de l’extrême-droite occidentaux, l’anguille danse les refrains de l’invasion par des communautés corrompues et obscurantistes. Et en bas des eaux nébuleuses des « islamistes » (concept qui définit les djihadistes à différencier de « musulmans »), cette phobie de barbares venant vandaliser la paix démocratique, est simplement un racisme, un rejet gratuit.

    Mais aucun observateur ne nie l’évidence que le message rapporté par le prophète Mohamed continue de se propager comme dernière et nouvelle religion monolithique d’importance majeure, vivante à pieds d’égalité avec le christianisme et à degrés différent avec le bouddhisme. D’ailleurs des deux, la plus jeune divinité soutire de nouveaux adeptes. 

    A suivre...

    3ème Partie : L’islam des égarés ennemis d’abord des musulmans, avant toutes autres religions et civilisations.


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