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Par argotheme le 20 Juillet 2010 à 18:59
Cet article a été publié par POPULISCOOP -Scoop Populaire -
D’abord parce que Molière et Brecht ont été interdits, au sens de censurés, que leur art est resté éternel et leurs œuvres sont des repères dans le théâtre universel. Cet art, le 4ème que l’humanité a découvert bien avant toutes religions, plus que tous les autres réveille les consciences. D’ailleurs le climat d’indifférence du monde des arts, en France pour la question palestinienne, est gravissime.
Le dernier monologue « On-Man-Show » de l’humoriste Dieudonné, intitulé « Mahmoud » faisant référence au président iranien, est politique même si un volet de parodie de l’histoire humaine est dans son contenu. Si, par le passé, l’artiste a été puni par la justice n’équivaut point qu’il est en tort vis-à-vis de la conscience et des causes, car la loi est toujours perfectible. Quand elle est inscrite dans un système politique, elle est loin de respecter les vraies valeurs. C’est pour cela que la jurisprudence et les législateurs se mettent presque quotidiennement à créer des nouvelles et à apporter des correctifs à celles existantes.
Ensuite défendre l’Iran ou Cuba ou bien les communistes chinois dans un théâtre engagé constitue l’essence et la nature même de ce genre, le théâtre engagé, d’art scénique. Une manière sortant de l’interprétation du palais, sinon contentons-nous du théâtre des bouffons du roi. Celui qui caresse dans le sens, du poil, convenant aux doxas et à l’establishment.
Existe-t-il une communauté qui ne peut-être critiquée en France ? Car le fait de ne pas admettre le communautarisme, cela n’entraîne pas son inexistence. Qui ne se souvient pas de Coluche parodiant un arabe ? Et de Smaïn se portant président de la république. Et qui ne connaît pas les positions du dernier défunt Laurent Terzieff pour la question algérienne, sinon l’ignorant et le négationniste qui n’a aucun droit sur le droit français.
Seulement la bannière de l’antisémitisme est brandie à chaque fois que les crimes de guerre sont dénoncés, quand le dévoiement du sionisme est critiqué… Là, il est vraiment question d’une sectaire vision de la dérogation et de l’impunité… Il est question de censure abjecte.
Une amère et troublante vérité, de la colonisation et des affres vécus par le peuple palestinien, n’est plus à démonter. Elle s’est multipliée comme une dérive dangereuse, lors de l’agression des humanitaires de la Flottille de la liberté.
Il n’est point d’antisémitisme quand une affaire humanitaire préoccupe certains juifs sincères et sensibles à l’humanisme. La question palestinienne et le conflit du Proche-Orient sont une tare, et elle taraude les consciences éprises de voir la légalité internationale prendre le dessus sur l’impunité des criminels de guerre de tsahal. Parmi ces derniers nombreux ne peuvent être reçus dans certaines démocraties occidentales, faute de se faire arrêter et emprisonnés pour crime de guerre.
Et c’est pour cela que Dieudonné est défendable, car il dérange. En termes clairs, il ne fait pas un théâtre où sont prodigués des conseils contre le sida ou bien pour que la population mange plus du bio ou évite de consommer les produits périmés.
La libraire Résistance attaqué par une section du même groupuscule LDJ.
La situation où ont mis les européens, et après eux les USA, l’ensemble des juifs du monde est déplorable. Après des pogroms de la Russie tsariste et la shoah de la seconde guerre mondiale 39/45, les occidentaux se sont débarrassés des juifs dans une contrée déjà peuplée. Tout en leur approuvant politiquement de faire de leur idéologie, le sionisme, un programme d’extermination des palestiniens…
Avec la connivence des occidentaux aussi, entre silencieux et pleinement participants, il ne se passe désormais plus un jour où la violence d’Israël ne fait des morts et n’impose pas l’expatriation et l’exil aux palestinien, et ce depuis plus d’un demi-siècle. Il n’existe plus un moment ou bien un lieu où la paix qui tient à cœur plusieurs peuples du monde ne soit menacée. Une haine qui alimente l’insécurité dans plusieurs pays, faite de provocations directes du terrorisme des fanatiques du « fascislamisme » monte à chaque moment que vivent les humains d’un cran. Et le conflit du Proche-Orient est une huile inflammable rajoutée à l’incendiaire mondiale.
En France les membres de la "LDJ", (Ligue de Défense Juive) d’extrême-droite, bannie dans ses propres bercails, ne sont jamais inquiétés mais soutenus par un réseau assez large qu’entretiennent ouvertement le Bétar et en sous cape le CRIF. Cette organisation, créée par le dantesque et criminel rabbin Meir Kahane, est interdite aux Etats-Unis et même en Israël. Et c’est elle qui mène ces attaques venues des temps de l’inquisition.
L’affaire de la librairie résistance est, de triste mémoire, un précédent dans l’amertume de la vie culturelle française. Tristesse parce que les silences et l’impunité, exception faite du PCF parti communiste français, offusquent plus d’un citoyen de l’hexagone.
Agression d'une librairie (LIBRAIRIE RESISTANCE) à Paris
envoyé par Weasreopen. - L'actualité du moment en vidéo.Des cercles juifs de France reconnaissent implicitement et se félicitent ouvertement que la LDJ s’adonnent à ses actes criminels. Et comme ils n’ont procédé à des dégâts matériels, c’est une prouesse, disent-ils, de savoir manifester. Et L’art prend sa vicissitude comme un traumatisme. Une note de JSSNews dit banalement : « Bien que n’ayant aucun lien direct avec la LDJ, JSSNews ne peut que féliciter ces jeunes français pour leurs actions. » Ce genre de complicité est tolérable, et l’organisation qui signe le méfait est promue.
L’art et la liberté d’expression privés de leurs droits de cité, en pâtissent de la dégénérescence du sionisme. Cette idéologie qui prônait originellement un refuge de paix au peuple juif, connaît sa phase finale de mutation. Comme le stalinisme qui n’est le communisme proprement dit, elle est devenue un danger au judaïsme lui-même !
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Par argotheme le 12 Juillet 2010 à 12:56
Peut-être que c'est la saison estivale, dans quelques mois nous verrons mieux !
Cet article a été publié par POPULISCOOP -Scoop Populaire -
Au centre des idées tendances de l’heure, les réseaux sociaux du Web sont désormais les sites les plus visités. Leur fréquentation est sans cesse en augmentation, de part dans leurs activités propres et tous les usagers d’Internet en sont jusqu’à là appâtés par les prestations d’échange qu’ils mettent gracieusement en ligne.
L’économie seconde, après les individus, à s’y mettre désormais sans relâche, constate que sa clientèle et partenaires potentiels y sont pleinement, avant elle. Les acteurs économiques, tous secteurs confondus, abondent à donner ampleur à leur présence. Et c’est bien sûr le fer de lance de la publicité qui trouve une nouvelle mine d’or. Aussi les moult applications, enjointes à ces réseaux, trouvent aussi leur business comme l’élevage d’une poule pondant des œufs d’or.
Facebook constitue l’objet virtuel de toutes les convoitises, avec le demi-milliard d’utilisateurs dans le monde et 5 millions en France. Après avoir pu être premier des réseaux, assez rapidement avec l’ancrage dans les mœurs culturelles de la pratique d’Internet, de prise de contacts et de partage. Cette plateforme, que Twitter talonne de plus en plus et chaque jour davantage, est devenue la Mecque des solitaires, des ambitieux, des conviviaux, des polémistes et aussi des fondateurs de nouvelles consciences. Même si ces derniers, les philosophes, s’en balancent de leurs existence et impact, puisqu’ils constatent que leurs idées sont véhiculées à la vitesse de la lumière par des adeptes connectés souvent jusqu'à l’addiction, ils ne comptent pas, surtout eux, courir à la traîne de la vague universelle.
Avec les dernières nouvelles concernant Facebook et publiées par son site consacré à l’analyse « Inside Facebook », un constat de revirement de situation se dégage. Il n’y a que 320 800 nouveaux membres actifs ont été recrutés en juin, ce qui équivaut logiquement que seuls les nouveaux inscrits et s'étant bien connectés à Facebook pour la première fois en un mois. Du moins ce qu’on peut comprendre par « nouveaux membres actifs ». Pendant le mois précédent, de mai, 7,8 millions de nouveaux membres actifs ont été enregistrés. Et là il s'agit d'une chute vertigineuse.
Selon le site français Eureka Presse, le fondateur de Facebook, Mark Zuckerberg, a déclaré récemment qu'il a comme objectif d’atteindre le milliard de membres avant deux ans, c’est-à-dire en 2012. A cette échéance le chiffre d'affaire du réseau social devrait dépasser le milliard de dollars, selon des estimations concordantes. Selon Reuters, en 2009, Facebook aurait dégagé plusieurs dizaines de millions de dollars de bénéfices. Pour d’autres sources il s’agit de quelques centaines de millions. Nonobstant, Facebook mise actuellement sur les pays où il est peu présent : la Russie, la Chine, le Japon et la Corée du Sud.
Cet indicateur, signalant un recul, s’appréhende pour certains comme un essoufflement ou une saturation ? C’est-à-dire à force d’usage, on ne tire plus le plaisir et l’utilité. Ou bien à force de ratisser large, le plein est fait des utilisateurs ciblés. Un brin d’alarmisme ressort de cette dernière donnée, à laquelle se rajoute 253 840 membres ne sont pas connectés du tout pendant le même mois. Ils sont parmi les plus ciblés dont l’âge se situe entre 18 et 44 ans. Cette catégorie représente 70% des 125 millions d'usagers actifs recensés aux États-Unis. Le gros de la désertion est le fait des femmes (- 100 060 connexions) et des hommes (- 73 560 connexions) de 26 à 34 ans.
Avant de croire à une quelconque trêve estivale, du fait des vacances, qui peut être l’origine de ce tassement. Nombreux spécialistes de la communication, particulièrement l’observatoire « Inside Facebook », attribuent ces défections aux dernières polémiques sur le respect de la vie privée.
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Par argotheme le 28 Juin 2010 à 21:14
Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME .
Cet article a été publié par POPULISCOOP -Scoop Populaire -
Grave recrudescence du terrorisme en Algérie, en ce mois de juin 2010. Et comme d’habitude les frappes aveugles n’épargnent ni les militaires, ni les simples citoyens. Peine perdue pour les politicards, dont l’actuel président qui a grandement dévoyé le nationalisme algérien.
Cette nouvelle montée de l’insécurité est plus large et dangereuse que se l’imaginent certaines sphères jouant la connivence avec la pseudo-idéologie islamiste. Ou bien qui tentent de faire de l’islam une idéologie rayonnant, impunément, à travers de somptueuses mosquées. Comme elle advient alors que le poste de directeur est resté vacant depuis l’étrange assassinat de Tounsi Ali, semant aussi un grand désarroi avec ce retard de nomination d’un remplaçant. Ce manquement est attribué à l’arrivée d’un nouveau cadre qui révèlerait le pot-aux-roses à propos du crime dont a été victime le prédécesseur.
L’euphorie du football, non encore passée même si l’équipe nationale a fait des déçus atterrés dans leur chaire. Ces derniers incapables, comme toujours faute d’une réelle démocratie avec des pratiques d’écoute et de réactivité aux réactions même les plus justifiées, de se faire entendre. Ils baissent aussi les bras, impuissants devant la puissance des décideurs leur fermant toute sortie des rangs ou insoumission.
L’activité terrorisme de l’islamisme violent, cependant bien entretenue par ce même système qui ne permet pas de refaire le pays sous de nouveaux socles libérés des xénophobies multiples et des obscurantismes, ne tarit pas. Elle ne s’est pas éloignée comme on le laissait croire, que les groupes de criminels se sont déployés au sud du pays, c’est-à-dire qu’ils se trouvent géographiquement isolés. Et elle reste dans un état de reprise de ses pires activités du fait d’un mécontentement généralisé, dû principalement à la dilapidation ouverte des richesses du pays et surtout aux innombrables injustices dont celui de la dégradation des conditions sociales des plus vulnérables des algériens est d’une ampleur jamais atteinte.
Les policiers abattent un terroriste causant un massacre avec un engin chantier.
Le recoupement des diverses de presse laissent apparaître une augmentation des actes terroristes, signés de l’islamisme que le pouvoir en place croit pouvoir domestiquer, est tout à fait l’impression que ressentent les citoyens.
Sinon dans la version ouvertement opposée à l’idée du président Bouteflika qui prédit que l’annulation des élections de 1991 où a gagné le pole des radicaux, catalysé par l’ex FIS, est une erreur. Et qui persiste de sauvegarder l’islamisme comme idéologie reconnue et proche ou assumée par le parti FNL qui détourne le symbole collectifs aux 3 lettre « FLN », une telle aggravation joue dans l’intérêt du détournement du mécontentement social redouté par les dirigeants.
Les comptes rendus diffusé par surtout les journaux qui se placent en dehors du giron du pouvoir, car les journaux gouvernementaux comme El-Moudjahid et ceux créés par nombreux sbires de la corruption au sommet de l’Etat, ne disent pas un seul et même mot. Ceux qui s’y rapprochent, après une naissance loin des rouages acceptant de s’approprier des statuts de dominateurs et de nomenklaturas, redirigent de tels sujets en simples faits divers, sans mettre en exergue la nature de l’insécurité politique et les gestes officiels qui la sous-tend. Il ne reste finalement que les organes qui ont été atteints dans leur chaire et ceux imprégnés d’une conséquence de la vie politique locale qui rapportent ces informations avec le contexte qui les cause.
La terreur
Le 2 juin : 2 attentats simultanés ont été commis à Bordj-el-Kiffan. Le premier visait une caserne de la garde républicaine et le second un café populaire. Ils se sont soldés par la mort d’un kamikaze et l’atteinte par de graves blessures de 6 personnes entre militaires et civils.
Le 3 juin : 6 militaires ont été tués et 4 autres blessés à Cap Djinet près de Dellys. Le véhicule des militaires regagnait la caserne, revenant de la pêcherie locale dont la renommée est grande au niveau de la baie d’Alger. Il a sauté sur une bombe enfouie dans la chaussée.
Le 10 juin : un camion de marque Hyundai chargé d’explosifs avait ciblé, un attentat kamikaze été perpétré à Ammal, près de Boumerdès. Sa cible est un cantonnement de la Gendarmerie nationale. 2 gendarmes et 2 civils ont été tués, ainsi plus de 20 blessés, entre militaires et citoyens, ont été enregistrés.
Le 15 juin : Abou Yahya, de son vrai nom, Abdelghani Bouchebcheb un terroriste-repenti, fils d’un ancien moudjahid a été abattu par un groupe terroriste, vraisemblablement les hommes qu’il commandait au maquis. Il sortait de la mosquée, après l’accomplissement la pdernière prière de la journée, El-Iïcha.
Le 21 juin : une bombe artisanale a explosé au passage d’un convoi de patriotes. Ce groupe de vigiles auxiliaires des services de sécurité empruntait le chemin de wilaya n°17, entre Lakhdaria à celle de Bouderbala. Cet attentat n’a pas fait de victimes.
Le 23 juin : Deux officiers de l’armée, un colonel et un sous-lieutenant, ont croisé le guet-apens qui leur été tendu. Le fait s’est déroulé à Aïn Defla, précisément au lieudit Kharbouch qui relève de la commune de Bordj Emir Khaled, qui est une zone les pires affres pendant les années 90. Une bombe artisanale avait soufflé leur véhicule, et se trouvent grièvement blessés.
Le 24 juin : Un capitaine et un adjudant ont trouvé la mort dans un attentat, encore à l’explosif, qui a eu lieu dans la commune de Naciria, entre les villages d’Imaghninène et Bouassem.
Le même jour, 24 juin : une attaque combinée a eu lieu à Tébessa à 600 km à l’est d’Alger, soit aux frontières avec la Tunisie. Deux bombes ont explosé simultanément. La première a visé une camionnette occupée par une famille de quatre personnes (1 homme, 2 femmes et un bébé). Aucune des cinq personnes n’y a survécu. La deuxième a éclaté au passage des services de sécurité et de la protection civile, venus secourir les victimes. Selon l’APS et L’AFP qui ont rapporté cette information, 2 gendarmes et un pompier ont trouvé la mort, alors qu’un officier fut grièvement blessé.
Et le soir du même jour, 24 juin et à Tébessa aussi : Un groupe terroriste a assassiné cinq personnes dans le village d’EL-Kitna, une sixième personne grièvement blessée a été évacuée vers l’hôpital de Bir El Ater. L’attaque a eu lieu dans la nuit du jeudi à vendredi, les témoins ont rapporté que les assaillants avaient de longues barbes, habillés en tenues Afghanes et armés de Kalachnikov. Les terroristes ont ciblé le mariage d’un garde communale de 42 ans qui a été également assassiné.
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Par argotheme le 22 Juin 2010 à 10:30
Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME .
Cet article a été publié par POPULISCOOP -Scoop Populaire -
On ne sait par quelle étymologie et nécessité, le vocable d’entraîneur d’équipe glisse souvent à devenir « coach » ? Peut-être c’est la mode d’aller aux anglicismes, simplement guidé par l’idée ou l’esprit que l’universalisme passe par la langue la plus usitée. Mais ce n’est notre sujet.
Sanctionner l’entraîneur de l’équipe de France de football qui a participé au mondial d’Afrique du Sud en 2010, a plusieurs raisons. Celle d’avoir lu un communiqué laconique de la grève des joueurs pour une séance d’entraînement, après l’éviction de Nicolas Anelka, en est une et le dernier en date des méfaits à reprocher à ce responsable. Comment et pourquoi faire écho du boycott de cette session de travail ? Si ce n’est pas pour informer l’opinion et en conséquence accabler le collectif des joueurs pour son comportement, quelle serait la motivation ?
Le lendemain lors d’une autre conférence, il sème un nouveau doute encore dangereux et déstabilisant en mettant un doute sur la participation de tous les joueurs au match qui les attend contre le pays organisateur l’Afrique du Sud. Comme il n’a précisé s’il maintient Patrick Evra comme capitaine d’équipe, alors que celui-ci est membre du staff dirigeant. Tant d’aléas, tant ceux passés que ceux non encore surmontés pour assurer l’avenir à jouer, dont l’incohérence criarde de la position d’un membre des dirigeants en la personne du capitaine, dénotent la débandade qui fait l’ambiance de cette sélection.
Son intervention, devant un parterre complètement obnubilé par les péripéties d’une hostilité comme une autodestruction à aller à la victoire, a été commencé par la clôture de l’incident « Anelka ». «La sanction prise contre Nicolas Anelka est justifiée. Je soutiens la Fédé dans sa décision car personne n'a le droit de se comporter de cette manière. L'exemplarité d'un sportif de haut niveau est primordiale. Il a subi une première sanction sportive en étant sorti à la mi-temps de France-Mexique et une deuxième administrative avec cette exclusion», a déclaré Raymond Domenech.
La désignation de cette formation, pour la bonne mémoire, était avancée avec 30 joueurs puis elle s’est amoindrie à 26. Les raisons qui ont poussé à cette tergiversation reste un mystère, pourtant bien des explications sont utiles pour aplanir les embarras des curiosités restées inassouvies. On avait cru, parmi les chroniqueurs sportifs, que l’affaire de prostitution sur mineur allait constituer un scandale. Mais cette baisse du nombre a aussi laisser planer, à quoi rime la volteface. L’impunité des joueurs qui ont été avancés pour ce cas de pédophilie et que le grand hebdomadaire « Paris-Match » a arrondi en « mœurs people » avec la présentation, en prostituée professionnelle, de Zahia comme une cover-girl professionnelle malgré son âge… Du moins aussi ses tuteurs !
Le cas de la crise « Anelka », joueur qui a démenti le titre du quotidien l’Equipe, est l’apogée de la défaillance de l’encadrement de l’équipe française, quoique pense les « footballophiles ». Les mots du journal, qui est aussi celui du plus grand tirage du pays, porte une surcharge syntaxique. Elle interpelle que les propos du joueur ne sont pas, ne peuvent être dits ainsi, comme ils ont été affichés à la « Une ». Le quotidien d’informations sportives, n’a-t-il pas tenu-compte que du point de vue de l’expression verbale… Il y a un langage que les dialoguistes peuvent, comme ils sont les créateurs, décrypter… Le joueur a persisté de son côté, ne pas avoir proféré exactement ce qui a été rapporté.
A quel degrés de responsabilité peut-on que Domenech n’a pas puisé de toutes les ressources que recèlent la France pour faire son équipe. Et comment l’a-t-il fait ? Quand certains grands talents sont écartés dans pareils circonstances, il faut sérieusement citer des responsabilités quant à ces défaillances pour des bons joueurs. La question a été déjà soulevée quand le même Anelka n’a pas été pris lors de la sélection de 2006, et si le prestige de la France n’a pas été vraiment écorné.
C’est le cas du coup de boule de Zizou, quand il faut songer aux réputations. Pour ce cas, voici la précision qui vaut son peson d’or. C’est lors de la pause mi-temps que les dirigeants italiens ont donné ordre à leurs joueurs de provoquer l’éviction de Zidane du terrain de jeu, et par n’importe lequel des moyens. Ils savaient que sa présence et sa prestance empêchait la victoire. Après 2 chutes qui ont valu des coups francs au capitaine de l’équipe qui avait à son palmarès un trophée mondial, Matérazi s’en est pris à 2 reprises à Zidane. La seconde a provoqué la violente riposte de quelqu’un insulté et blessé…
Article le plus lu, racisme et football
Le manque de joueurs reconnus pour leurs capacités dans l’équipe nationale et lors de la coupe mondiale, est-ce acceptable ? Même si existent des nations qui soient privées de leurs meilleurs pendant la coupe du monde, il est difficile de s’imaginer qu’elles soient nombreuses. Domenech a répondu que superficiellement sur l’absence de Benzema, Naceri et… lors de la sa divulgation de la liste réduite de 26 à 30 pour les préparatifs. Quand il a été questionné, il n’a fourni des explications de l’écartement de brillants joueurs. Simplement il faut comprendre que lé précédent d’Anelka n’a pas été vraiment pris en compte…
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Par argotheme le 21 Juin 2010 à 00:45
Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME .
Cet article a été publié par POPULISCOOP -Scoop Populaire -
L’une des vieilles familles de la scène politique française, le parti communiste, est désormais dirigé par une nouvelle tête depuis le 20 juin 2010. Continuant ainsi son parcours avec les mêmes sinuosités et dans l’intransigeante veine de ne pas démunir les adeptes du marxisme de leur cadre de regroupement.
Marie-Georges Buffet a passé le témoin à Pierre Laurent, lors du 35ème congrès, dans une douceur qui est bien à l’opposé du démantèlement souhaité par les sphères scrutatrices de l’évolution du communisme en France. Nombreux observateurs de l’évolution du PCF, le sont pour des raisons de convoitise des énormes et divers potentiels que recèle cette organisation, pour se rappeler à quoi lorgnent certaines de ses alliances. Ces dernières lui doivent des tribunes comme la fête de l’Huma, ou bien le partage de l’action politique qui assure, du point de vue qu’elle est l’expression d’un mouvement social, une présence médiatique. Elles ont leurs limites d’alliances organiques qui ne tournent pas avec de larges volontés populaires.
Le camarade qui dirigeait l’Humanité, l’organe de presse mythique, était attendu à ce poste depuis des années. De quoi ne plus démontrer la stabilité du parti qui arpenta, ces dernières années de post-effondrement du mur de Berlin, ses turbulences internes comme on mélange un paquet de cartes. C’est-à-dire à tout nouvel impératif qui se présente pour être joué (discuter), se redistribuent au sein du parti les tickets des itinéraires réels, alors que la doctrine ne cesse de reproduire le même réflexe. Sans renoncement à l’amovibilité de démocrates conséquents et prenant ouvertement part à la gestion institutionnelle des rouages de l’Etat, les analyses et les ambitions communistes ont l’empreinte idéologique, l’appartenance indiscutable à des populations exclues…
On croyait que le discrédit des années 80, du socialisme dans le monde, et qui perdure, allait causer le fatal effritement souhaité par les pourfendeurs. Et malgré l’ambiance, de défiance et d’hostilité, de remise en cause des grands acquis sociaux, où les militants ont été les plus inusables et audacieux à porter le flambeau et à raviver sa flamme éclairante des sentiers des luttes qui les concrétisées, les communistes qui sont toujours des rangs ont la même conviction de ne pas baisser les bars. Le sentiment d’échec semble même plus reculer que de devenir une croyance. Le capitalisme est à sa pire époque. Ses menées impopulaires et sa crise apparaissent comme des crimes que le personnel politique qui les décide qualifie de réformes !
Le marxisme français, à travers son parcours, s’est longtemps confondu avec le monde du travail. Et c’est le programme des réformes ou bien des buts avérés des alliances géostratégiques, comme l’Union Européenne, qui sont le fond essentiel de l’orientation du parti avec la tentative de consolider la perception de classe ouvrière.
Mais ce sont les clivages français, ayant pour essence l’intérêt national conjugué à celui des couches sociales laborieuses qui priment. Sans « une prise de tête » ouverte quelconque avec le patronat, car l’entretien du dialogue est dans l’identité communiste, le PCF n’est pas attractif pour les entrepreneurs qui appartiennent naturellement aux créateurs de richesse. Puisque telle est l’une des causes, à l’origine la profonde et perpétuelle crise du communisme. L’individualité comme instinct social, psychologique et même génétique de l’être est peu absoute dans la trajectoire collective aussi bien des partisans que dans leur pratique de la politique.
35ème Congrès - Rapport de Pierre Laurent
envoyé par CN-PCF. - L'info video en direct.On ne va pas par mille formulations pour positionner le parti sur les questions mondiales comme le conflit du Proche-Orient. Ce qui est d’une aise idéologique conforme aux idéaux humains d’abord. En effet le PCF est de loin le seul parti de France à émettre une cohérente opinion qui assume la légalité, se départit de l’ambigüité et se ressource de sa propre position d’être à la pointe de la révolution dans le système que la démocratie perpétue… L’aspiration de changer la vie a principalement la présence dans la société pour alimenter l’idéal !
Par Noël Blandin / La République des Lettres, vendredi 11 juin 2010.200 membres du Parti communiste Français (PCF) ont rendu hier leur carte, à une semaine du 35e congrès d'étape qui sera marqué le 18 juin prochain par le départ de Marie-George Buffet. Parmi eux, de nombreux cadres, élus locaux, intellectuels et figures militantes de longue date du parti, dont notamment les députés Patrick Braouezec, François Asensi et Jacqueline Fraysse, le maire de Nanterre (fief historique de la "ceinture rouge" parisienne) Patrick Jarry, ou encore l'ex directeur deL'Humanité Pierre Zarka, le philosophe Lucien Sève et l'historien Roger Martelli.
Copyright © Noël Blandin / La République des Lettres, vendredi 11 juin 2010
Peu convaincus par l'alliance avec le Parti de Gauche de Jean-Luc Mélenchon au sein d'un Front de Gauche (FG) -- qui a acté mercredi l'idée d'un "programme partagé" pour l'élection présidentielle de 2012 --, la plupart de ces communistes "refondateurs" déplorent que cette alliance ne soit qu'un "tête à tête". Plusieurs d'entre eux sont déjà engagés dans les mouvements de la gauche alternative comme l'Association des Communistes Unitaires (ACU), les Alternatifs et plus globalement la Fédération pour une Alternative Sociale et Écologique (Fase) créée en décembre 2008 autour de Clémentine Autain. D'autres lorgnent du côté d'Europe Écologie ou du Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) d'Olivier Besancenot. Tous envisagent de lancer prochainement un grand débat via des "Etats généraux de la transformation sociale et écologique".
Pour Gilles Alfonsi, il s'agit de chercher "des formes nouvelles de pratique politique", de "rompre avec les partis-guides monolithiques" et de "dépasser les limites du Front de Gauche par une nouvelle dynamique populaire ouverte à toutes les forces et à tous les citoyens". C'est "la fin d'une époque, d'un monde communiste", souligne cet ex-membre du Conseil national du PCF, aujourd'hui animateur des Communistes Unitaires. Jacqueline Fraysse, députée des Hauts-de-Seine, estime elle que le PCF est ajourd'hui "contreproductif" et que le Front de Gauche a été "créé petit-bras". Patrick Brouezec, dont le départ est annoncé depuis les élections régionales de mars dernier, souhaite de son côté se rapprocher de la FASE. Pour le député de Seine-Saint-Denis, "c'est un constat d'échec, mais aussi une perspective d'avenir". L'historien Roger Martelli pense lui qu'il n'y a "plus de possibilité de changement à l'intérieur du Parti Communiste".
Les ponts ne sont toutefois pas entièrement coupés avec le parti, la plupart des "démissionnaires" se disant "toujours communistes". Pierre Laurent, successeur désigné de Marie-George Buffet à la tête du PCF, saura-t-il sinon les faire revenir du moins les associer à une rénovation d'un Parrti Communiste qui risque de jouer sa dernière carte en 2012 ?
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