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Par argotheme le 21 Janvier 2010 à 09:21
Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME .
Cet article a été publié par POPULISCOOP -Scoop Populaire -
Depuis les attentats du 11 septembre 2001, tous les prétextes dont le plus fallacieux est celui de la détention par l’Irak d’armes de destruction massive, sont bons pour les Etats-Unis, pour mener des actions militaires. Soutenus par les pays occidents et leurs alliés régionaux dans l’agression des Etats et des populations récalcitrantes. Se demander comment le Yémen est déclaré comme nouveau sanctuaire d’Al-Qaïda, relève de l’ignorance. Ce pays plongé dans un indescriptible sous-développement présidé de corruption, il a fournit nombreux terroristes pour l’attentat du 11 septembre. Il est un maillon faible dans la conspiration d’assurer les intérêts américains dans la région.
Les armes achetées par nombreux pays arabes serviront à abattre les terroristes de la nébuleuse Al-Qaïda. Qui sont des citoyens insurgés contre l’autorité, illégitime, qui les dirige. Là où la menace insurrectionnelle ayant pour but l’application rigoriste de la théocratie est effective, l’utilisation de ces arsenaux fait tourner une industrie des pays occidentaux...
Non pas parce le syndrome de déstabilisation de ces Etats est réel, mais à cause du fait que ces sociétés couvent un nationalisme religieux au niveau de leurs populations, et avec sans l’appui des autorités officielle. D’un point de vue historique, l’évolution des nationalismes ne s’appuie pas toujours sur la théorie de la modernité humaine, comme programme "sociétal".
Les conditions d’existence de tenants de l’islamisme, officiels ou bien opposés au pouvoir en place, ont ouvertement eu tendance de nourrir l’espoir de domestiquer le terrorisme.
En se présentant comme ultime recours à la sédition, face à l’actuelle situation géostratégique du capitalisme perdurant, l’islamisme finit comme pour l’Iran d’être accepté comme insurgé contre l’impérialisme. Alors qu’il désirait par le passé, sous la conduite des puissances étrangères qui répliquent vouloir régler les comptes des Etats voyous, de mettre cette violence terroriste sous le giron des pouvoirs qui l’entretiennent... Pour l’utiliser afin d’escamoter les régimes de gauche...
Un paradoxe embarrasse les gauches, quand ils approchent les islamistes : la lutte des classes qui leur est chère se fait pour la féodalité. Ces criminels arrivent à être considérés en lutte contre les maîtres du monde, ceux mêmes qui mettent à l'indexe toutes les expériences existantes et passées du socialisme. Alors que le combat des intégristes islamistes consiste à mettre l’occident, toutes idéologies confondues, à l’origine de toutes les frustrations, à la fois socioéconomiques et de civilisation qui assujettissent les peuples auxquels ils appartiennent.
Le capitalisme des injustices est la clé des violences.
Le fait que dans tous les pays où les USA ont mainmise, de nos jours car ce n’était pas le cas par le passé, directement sur les pouvoirs qui leur sont dévoués, car dans ce cas les richesses échappent à tous contrôle local, les affres du « Fascislamisme » sont au premier plan de l’actualité. La présence d’hordes affidées à la pseudo-organisation Al-Qaïda, devient une réalité.
En contrepartie, la thèse « conspirationniste » veut démontrer cette volonté de démantèlement des entités étatiques récalcitrantes à l’égard des intérêts des pays où les multinationales aiguillonnent la politique, est plausible. Elle jouit même de véracité.
Les sociétés industrielles et de commerce d’alimentations, de l’armement et du médicament surtout, auquel se rajoute la finance internationale, car celui de l’industrie automobile parmi aussi les plus puissants les marchés en Chine, en Inde et dans les pays à forte émergence économique, ont besoin de ressources en matières premières et en énergies qui s’amenuise et devient plus chères. Ces 2 moyens se situent à l’amont de la production, et sont essentiels pour que puisse se fructifier le système en place dont la vulnérabilité est due à l’immoralité des finances.
En Irak comme en Afghanistan, les situations et les conclusions sont les mêmes. Le premier a toujours été envié pour ces gisements pétroliers et le second fut un laboratoire dans la machine à broyer toute forme de socialisme, y compris le plus tribal et primaire dit "Stalinisme". Les guerres pour les intérêts américains ne se comptent plus désormais. Outre ces 2 pays où la montée de la violence, qui leur est première conséquence, se rehaussent et se multiplient avec duplicité, des nouvelles astuces et agressivités.
Conspirations d’officines sécuritaires et militaires.
Les nombreuses trouvailles des stratèges qui ont encore l’impérialisme le plus primaire en idéologie à imposer au reste du monde, sèment en réalité la loi de la jungle. Les puissances s’en passent de toute légalité. Prendre en chasse bien nombreux fanatiques auxquels a été inculqués la haine de l’occident et sa pseudo-modernité capitaliste ainsi que du marxiste athéiste, est leur sport favori en politique étrangère.
Au-delà de sa caractéristique de faire une œuvre de salubrité publique dans l’anéantissement du fascisme vert agissant avec un label commun conduit et affiché par de vrais seigneurs de guerre, dite sainte, il y a de grands échecs dans l’éradication de l’hydre hideuse. Sinon elle devient tentaculaire. Comme fut avec les oligarques dévoyant même le communisme. Cette interventionnisme plante plus de misères, et ne récolte en fin de compte de la désuétude, y compris la montée en puissance de l’ennemi déclaré, les islamo-terroristes.
Les musulmans ne se confondent pas à la secte intégriste vraiment minoritaire, mais agissante avec le sentiment d’injustice en étendard. La mise en échec non seulement des complots guerriers des States, forme de conspiration, mais aussi la domination illégale et historiquement contre-productive pour la paix dans le monde, se plaquent à l’actualité et au quotidien des peuples. Les musulmans se trouvent de rejeter une progéniture qui a l’argument implacable, de combattre l’injustice.
Instaurer la démocratie en détrônant des dictateurs qui détiennent des armes de destruction massive, a été le prétexte fallacieux par excellence, UNE VRAIE CONSPIRATION comme l’aveuglement par l’anticommunisme de jadis, et peut-être aussi de demain. Les américains soutenus par des alliés indéfectiblement crédules et corrompus, chantent encore des louanges du capitalisme. Après la manipulation des islamo-mercenaires qui avaient pour point de transit et camp d’entraînement Peshawar, nous y voilà avec le sanctuaire du Yémen…
Les pays occidents complètement dévoyés à sauvegarder les brassages monétaires et boursicotiers dans le sillage des grands trusts qui n’hésitent pas d’avoir la main-d’œuvre sous-payée des populations à paramétrer sur leurs modèles de consommation, accusent les dirigeants des pays qui se revendiquent du socialisme comme l’aile « conspirationniste », de ne pas avoir de régimes démocratiques et même de s’allier avec les partisans de la lecture diabolique des versets du Coran.
Un système où les relents coloniaux, sont comme le mystère Madoff et les sphères financières qui rémunèrent la spoliation des palestiniens de leur terre, passent comme de simples actes à corriger.
Or il est bien question de pays émergents, de transfert de civilisation vers de nouveaux pays au moment de la ruine des dernières bribes du féodalisme et l’ébranlement du fameux capitalisme libéralisé au point d’inspirer les conquêtes coloniales les plus abjectes et les aventures les plus incertaines.
MEME DE-GAULE est rétroactivement CONSPIRATIONNISTE
Prochain article : Le Yémen, maillon faible de la conspiration, dans l’œil du cyclone.
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Par argotheme le 20 Janvier 2010 à 08:55
Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME .
Cet article a été publié par POPULISCOOP -Scoop Populaire -
L’apartheid israélien emporté dans son arrogance sur les violations des droits humains, la censure des arts et les conflits diplomatiques. Les relations de nombreux pays du monde avec l’Etat hébreu ne sont pas aussi plates et reluisantes que comme elles sont faussement présentées en Europe.
Le processus de Boycott brandi comme celui qui a fait plier le régime d’apartheid, reste dans les oubliettes et à la marge, malgré qu’il a été soutenu par quelques 500 artistes et intellectuels israéliens lors du dernier carnage de Gaza.
Quand la Suède refuse de censurer sa presse concernant les trafics d’organes humains et de recevoir Avigdor Lieberman, le ministre des affaires étrangères, le black-out est généralisé. Ou bien la décision du gouvernement norvégien de ne plus investir dans la firme israélienne Elbit, reste lettre morte. Seuls quelques organes de presse d’ailleurs visibles que sur Internet ou bien de rares belges , comme ceux existant sur papier dans les pays pro-palestinien où la liberté est à sens unique, tentent de sortir des sentiers battus. Loin s’en faut d’autres faits ne sont pas aussi médiatisés à leur juste valeur.
Quelques pays sud-américains, la Bolivie et le Venezuela ont rompu leurs relations diplomatiques avec Israël. Le premier a exprimé la plus vive protestation que l’on ait entendue dans cette région et le second a carrément expulsé l’ambassadeur. Il faut noter que le Brésil et l’Argentine maintiennent le cap, du fait de la forte présence de la diaspora juive dans ces pays, et grâce aussi à un vaste déploiement des premières autorités israéliennes dont Shimon Pérès qui a effectué une visite en novembre 2009 auprès de ces 2 pays.
Le téléfilm turc qui reproduit les crimes de Tsahal.
Que cela soit le précédent turc, les années d’excellentes rapports politiques entre la Turquie et Israël, économiques et stratégiques, marqués même par des exercices militaires, ne sont plus de mise désormais. Depuis une année une crise s’est installée, en fait il s’agit d’une rupture totale qui recherchait le prétexte sérieux. Et il arrive.
Un téléfilm diffusé par une chaîne turque, ayant pour titre « Séparation », agace les israéliens. Les pays arabes s’attèlent à le traduire, déjà depuis que le cinéma égyptien s’est plié à la pression des réactionnaires islamistes, les fictions turques font tabac auprès des téléspectateurs des chaînes arabes. Mais l’ambassadeur turc en Israël, Ahmet Oguz Celikkol était convoqué par le vice-ministre des affaires étrangères israélien, Danny Ayalon, protestant de la diffusion - depuis 2003 - d’une série culte de la télévision turque,« La vallée des loups » où le héros de la série, l’agent secret turc Polat Alemdar tue un agent du Mossad qui a kidnappé un enfant turc.
Depuis l’holocauste du début de l’année 2010 rapporté, avec grandes difficultés par la faute de l’empêchement et la censure des israéliens afin qu’ils agissent dans l’impunité, les relations entre les 2 pays ont été gelées. Un terme a été fait notamment aux efforts de médiation d’Ankara entre la Syrie et Israël.
Cette rencontre, de l’ambassadeur turc et des fonctionnaires du ministère des affaires étrangères israélien, s’est déroulée avec une scénarisation digne d’une haine et d’une impunité qui n’a de place que dans les Etats fantoches. Le diplomate turc la décrite« l’expérience la plus humiliante qu’il ait dû affronter en 35 ans de carrière » . Les photos publiées dans la presse israélienne montrent le représentant turc, assis sur un siège beaucoup plus bas que celui de ses hôtes, et les deux israéliens des deux côtés d’une table basse où juche seul drapeau israélien.
Selon le quotidien Haaretz, Danny Ayalon avait invité, toute manipulation déjà faite avec les médias, les journalistes avant le début de l’entretien : « soyez attentifs au fait qu’il est assis sur un siège plus bas que le mien, qu’il n’y a qu’un fanion israélien sur la table et que nous ne sourions pas » . Il leur parla en hébreu, langue que l’ambassadeur turc ne comprend pas. Le lendemain, l’ambassadeur israélien à Ankara, Gaby Lévy était, à son tour,convoqué pour éclaircissements devant le ministre turc des Affaires étrangères.
Pratiquement l’agacement d’Ankara est universel, on ose pas le mettre devant les yeux du monde.
Le premier ministre turc Recep Tayyip Erdogan, recevant le premier ministre libanais Saïd Hariri, a accusé ouvertement Israël de mettre d’être un péril pour la paix dans le monde. S’inscrivant dans la légalité internationale, il lui a cité les violences contre les Palestiniens et les violations des espaces aériens et en accaparant les eaux territoriales du Liban ainsi que tout en disposant d’un programme nucléaire militaire dont les détails sont inconnus. Ses propos sont « Les Israéliens n’obéissent à aucune résolution des Nations Unies, avait affirmé Erdogan, ils disent qu’ils feront ce qu’ils veulent. Nous ne pouvons en aucun cas approuver une telle attitude » .
Dans la même journée des batteries de DCA (défense contre avions) libanaises avaient tiré sur des avions de combat israéliens qui survolaient la région de Marjayoun au sud-Liban. Les israéliennes ont justifié ces survols pour surveiller des livraisons d’armes au Hezbollah, alors qu’ils violent la résolution 1701 des Nations Unies qui a mis fin à la guerre de 2006. Cette légalité internationale était soulevée lors des entretiens.
Au ministère israélien des affaires étrangères, selon des sources citées par Haaretz, une rivalité politique est actuellement forte au sein du gouvernement Netanyahou, entre le ministre des Affaires étrangères Avigdor Lieberman et le ministre de la défense Ehoud Barak.
Le premier ne veut pas la Turquie revienne au rôle de médiateur entre Israël et la Syrie. Et le second prépare une visite à Ankara pour un éventuel achat de drones de surveillance israéliens. Outre que l’apaisement désiré par Israël avec les dirigeants turcs, s’inscrit avec un allié des USA qui table actuellement et depuis des mois sur un projet de paix au Proche-Orient qui peut jouir d’un total soutien des Turcs sans celui de l’Etat hébreu.
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Par argotheme le 6 Janvier 2010 à 15:22
Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME .
Cet article a été publié par POPULISCOOP -Scoop Populaire -
Le déchaînement de certains organes et plumes de la presse française ainsi que d’éditeurs littéraires, qui se veulent, les deux, spécialistes « es investigation », contre l’emblématique Zinedine Zidane, sont animés d’une volonté de nuisance qui dit ouvertement son nom :l’exclusion ! La discrimination et le rejet du beur, insoumis aux parutions pléthoriques dans le gotha people les prive de matière à refourguer aux lectorats de basse échelle. D’emblée il faut insister qu’il existe aussi des travaux qui ont l’honnêteté intellectuelle et humainepour être qualifiées de justes.
C’est le 11 janvier 2010 que le timbre de collection « Timbre Collector » à l’effigie du footballeur Zinedine Zidane, sera mis en vente. Il lui est dédié non pas comme sportif, mais comme le parrain de l’Association Européenne contre les Leucodystrophies (ELA). Un euro sur chaque planche de 10 timbres, vendue sera reversé à l’Association Européenne contre les Leucodystrophies (ELA) que parraine l’ex-star du football français.
Il les agace de rester loin des feux de la rampe, de ne pas leur permettre de toucher à sa vie priver et de marquer son indifférence à l’avidité quasi généralisée des personnalités hexagonales de paraître plus qu’il en faut dans les médias. On lui reproche donc de mener une vie secrète. Ils les malmènent de ne pas leur permettre les outrages qu’ils désirent réellement. De ne pas lui trouver le non-paiement de ses impôts, comme l’idole rock Johnny Halliday qui a été jusqu’à changer de nationalité et bénéficier du racolage politicien à la même période du présidentiable Sarko, il dérange de sa probité.
Le fait de se différencier ainsi et de ne pas se soumettre au dictat des médias, de ne pas plonger dans le monde politique comme le judoka David Douillet et de prendre distances des manipulateurs de tous bords, le grand déploiement de ces écrits restent des réflexes à classer parmi ceux qui disent que l’exclusion est même une religion française à l’égard des ressortissants de certaines communautés, notamment Maghrébine.
Le reproche le plus mis au devant, est l’inévitable coup de boule, de quelqu’un qui devait encaisser une insulte sans broncher. Et d’un footballeur « Materazzi » qui a accumulé bien plus de sanctions que le dieu des stades Zizou. Ce dernier a reconnu avoir proféré non pas des propos racistes mais des insultes à l’égard de la sœur. Depuis ce geste, il a cessé de jouer !
Faute de ne pas lui enlever les mérites de son talent de footballeur, on le présente comme une énigme et même un mystère. Alors que depuis des années, les français le plébiscitent parmi les 3 premières personnalités. Après avoir succédé à l’abbé Pierre, et le sera en tête à 6 reprises d’août 2000 à juillet 2007. En comparant maintenant la tricherie de Thierry Henry à sa riposte pour insulte, la morale n’a aucune place quand on inverse qu’il est plus grave de faire son geste et moins ignoble de truquer le jeu. A travers divers sondages, une majorité de Français a même décrété qu’il avait eu raison de réagir de la sorte. Ce coup de boule ne lui a rien coûté.
Souvent présenté comme fils de harki, alors qu’il ne l’est pas, Zidane est attaqué de la manière la plus abjecte quand il s’agit de l’Algérie. « Auriez-vous aimé que la France et l’Algérie se retrouvent dans le même groupe (NDLR : lors de la prochaine Coupe du Monde) », lui a été demandé dans France-Football. « Pas du tout ! Le plus tard sera le mieux. J’ai envie que ces deux pays aillent le plus loin possible. » « Quel regard portez-vous sur les Bleus ? » , l’interroge-t-on. « Il y a du bon et du moins bon. Cette équipe est critiquable, mais je préfère en ressortir le positif, même si c’est difficile de la voir jouer ainsi alors qu’il y a des bons joueurs. Je défends cette équipe et je la vois faire de grandes choses en Afrique du Sud. » Une pub vantant les mérites du tourisme en Algérie sous l’égide de l’opérateur de téléphonie, Wataniya Telecom Algérie, dépositaire de la marque Nedjma dont Zizou est (aussi) l’ambassadeur, est considérée comme une lèse-majesté de l’Algérie envers la France, par nombreux journalistes.
Les éditeurs littéraires pensent investir un fructueux filon. Celui qui a publié le livre de la journaliste d’origine marocaine « Besma Lahouri », par hasard qui n’est pas d’un autre pays, dit : « Cette enquête, menée dans toute l’Europe pendant plus d’un an et demi, n’a pas été sans difficultés, comme on sait, puisque deux détenteurs du manuscrit se sont fait cambrioler tour à tour. » Un tel résumé résonne comme une dénonciation. Du moins, il interpelle juges et flics à la fois.
Zizou est un mystère, une proie des plus désirées, pour les arcanes de la plume parfumée de scandales. La fiction semble absente quand on perçoit que la réalité est pourtant impure ? C’est aussi l’intrus, dans le paysage public réservé aux français de bonne souche, qu’il faut mâter. Le mec issu de l’immigration algérienne, exemple à ses semblables, fait le contraire de Dati en se tenant loin des flashs. L’auteur de l’ouvrage est Besma Lahouri, journaliste indépendante dit-on mais de qui ? Habituée aux enquêtes sensibles, avec L’Express où elle a taillé déjà des costumes, dans le segment de l’apparence trop médiatique des individus dans la société : la vie des personnalités.
Désirant de le piéger et de l’accabler à propos du débat sur l’identité, il n’a lésiné d’être claire : « Je ne me suis jamais posé la question de mon identité. J’ai fait partie de l’équipe de France, j’ai été embarqué dans le même bateau que mes copains, point final. » De même que les âmes bien pensantes l’ont poussé de dire des choses sur les problèmes des banlieues avec une mise en exergue de son appartenance aux cités nord de la cité phocéenne, peine perdue, il a suivi une retenue digne de ne pas rajouter de l’huile sur le feu. Le piège évité !
Mais c’est aussi et surtout ses revenus pour et avec les opérateurs économiques qui lui sont enviés, sinon avec la recherche de le priver de ces actions de marketing. Frank Riboud, le patron de Danone, l’a fait entrer au conseil d’administration de Danone Communities. Adidas l’a gardé comme porte-étendard. Avec d’autres, Generali et Orange ont continué à exploiter son image. Là vraiment, il n’y a pas de plus bas, quand d’autres personnalités exercent de telles activités sans qu’aucune réaction ne vienne faire un moindre reproche.
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Par argotheme le 4 Janvier 2010 à 18:08
Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME .
Cet article a été publié par POPULISCOOP -Scoop Populaire -
Le "profiling" préalable aux scanners sophestiqués installés dans les aéroports.
Alors que les terroristes trouvent et pratiquent de nouvelles astuces pour arriver à leur fin, commettre leurs crimes. Les pays menacés, et qui ont les moyens, ont recours aux scanners au niveau des aéroports, et utilisent depuis toujours le « profiling » c’est-à-dire le contrôle au faciès. Surtout depuis les attentats du 11 septembre 2001.
Avec les nouveaux kamikazes africains de la nébuleuse islamiste, labellisés Al-Qaïda, un dilemme se pose aux services de sécurité mondiaux en général des pays plus exposés en particulier. Les 2 faits consécutifs, du nigérian nommé Abdul Farouk Abdulmutallab qui a tenté de faire sauter l’avion et de l’éthiopien qui a été blessé et arrêté alors qu’il avec une hache tuer l’un des caricaturistes danois, Kurt Westergaard, augurent qu’un casse-tête existe dans le contrôle et le trie des suspects.
Il faut noter que depuis le fameux attentat 11 septembre 2001, les occidents sont sur le qui-vive, et ils rendent, plus souvent et dernièrement, la tâche plus difficile aux criminels. Leurs suspicions visaient depuis cet évènement énormément les personnes aux teints et aux noms à consonance arabe. Il ne s’agit point de racisme, comme souhaite-t-on qualifier cette pratique, mais simplement de « profiling ». Une méthode usitée et qui a donné ses résultats. Le faciès est pris en compte aussi. Pour les nouveaux passeports, la couleur des yeux est déterminante dans l’utilisation des fichiers et listes, 500 000 personnes figurent sur un répertoire des services secrets états-unien.
Faciès et scanners à la fois.
Quand le terroriste anglais, Richard Reid, qui portait des chaussures aux semelles d’explosifs, ainsi que d’autres nouveaux convertis sont apparus, le champ de contrôle s’est élargi. Et en crescendo, avec l’attentat des trains de banlieue londoniennes, d’autres populations asiatiques, typée Pakistanaise et d’Inde au teint et patronyme particuliers, se sont aussi trouvées dans le lot des élus à porter des menaces.
Et l’expérience des mises-en-échec de nombreuses récentes tentatives d’attentats en Europe et aux USA, démontrent que les fruits de la vigilance ne se font pas attendre. Même au Maroc, en Egypte en Chine et plusieurs autres pays où existent des communautés musulmanes, le blocage en amont de leurs exécutions, le nombre d’actes terroristes est même réduit. L’implication des populations autochtones dans le monde arabe et musulman est primordiale pour juguler les tentatives.
Les technologies aussi prennent part au resserrement de l’étau contre les bombes humaines fanatisées par une seule et unique lecture décadente et fasciste de l’islam, celle de l’islam programme politique. Les cabines pour scanner les corps, permettent de voir ce qu’un individu peut dissimuler sous ses vêtements. Notamment les substances non prise en charge par les détecteurs classiques, seront plus visibles. Plusieurs pays ont déjà mis en place ces outils. Une vingtaine aéroports américains, et européens de Grande-Bretagne, des Pays-Bas et d’Italie ont annoncé vouloir les utiliser.
Les responsables aéroportuaires anglais cités par le Guardian, trouvent ces scanners volumineux, lents et chers. Donc leur installation ne peut être généralisée pour ne pas encombrer, d’espace d’accueil et de retards du trafic, les aéroports travailleront énormément avec le « profiling ». Cette contrainte a été aussi maintes fois citée par les médias français au contact des professionnels. Le choix des passagers à scanner est le premier paramètre.
Dans les pays plus touchés par cette violence, la politique est mêlée sans retenue ni distinction au conflit des civilisations via un dévoiement de la religion. L’action sécuritaire est encore plus délicate. Le danger vient et est au sein des populations locales. La « Fitna » que nombreux analystes ont désigné comme ultime débouchement des terroristes du « Fascislamisme », faute qu’ils auront moins de possibilités d’agir dans des pays prenant des mesures sécuritaires draconiennes.
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Par argotheme le 29 Décembre 2009 à 16:30
Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME .
Cet article a été publié par POPULISCOOP -Scoop Populaire -
… Il baisse les bras, il renie son action pour la paix.
Le petit-fils de Jimmy Carter candidat au poste de sénateur se plie, comme tout autre espérant être élu, au lobby sioniste. Sinon c’est l’échec garanti. Le grand-père lui apporte une repentance à la limite d’une trahison publique des opinions qu’il défendait depuis quelques années. Ah ! le "Sheitan" vous dira un étonné !
Jason Carter, petit-fils de l’ancien président démocrate Jimmy Carter, âgé de 34 ans a des ambitions dans de prochaines joutes électorales pour le poste de sénateur dans l’Etat de Georgie. Ses prétentions sont à l’origine d’un revirement spectaculaire de son grand-père paternel dans ses opinions vis-à-vis d’Israël. Son grand-père maternel est, Beverly Langford, a de son côté siégé à la Chambre et du Sénat.
Jason Carter
Le jeune Carter convoite par cette candidature le poste, vacant depuis que le président Barack Obama a désigné son occupant originel « David Adelman » dans les fonctions d’ambassadeur à Singapour, et commencé sa campagne en ce début du mois de décembre 2009 par un contact incontournable en la personne de Liane Levetan.
L’ancien occupant de la Maison Blanche n’a eu droit qu’à un seul mandat, pourtant son labeur a été jugé globalement positif, aussi bien sur le plan intérieur qu’extérieur. Sa présidence est marquée par d’importantes réussites sur le plan international. Le traité sur le Canal de Panama et les Accords de Camp David (l’accord de paix entre l’Égypte et Israël). Ce dernier lui a valu l’obtention du prix Nobel de la paix en 2002. Ainsi que le traité « SALT II » avec l’Union soviétique ou bien l’ouverture de relations diplomatiques avec la République populaire de Chine, sont parmi ses plus remarquables et dynamiques actions diplomatiques.
Son gouvernement qui a aussi inscrit de grandes réussites internes est à l’origine de la création du ministère de l’Énergie et du ministère de l’Éducation. Comme il a beaucoup renforcé la législation sur la protection environnementale. A la fin de son mandat, ses approches dans les crises avec l’Iran et l’Afghanistan furent interprétées comme des faiblesses et lui coûtèrent de ne pas être réélu. Madame Liane Levetan a même démissionné.
Tombé dans une traversée du désert depuis, Jimmy Carter est toujours resté correct et juste, sans jamais faire acte de repentance quant à son action pour les droits légitimes des palestiniens. Il avait publié en 2006 son livre « Palestine : La paix pas l’apartheid ».
Et il a mené plusieurs démarches, jouées louables et d’une éthique humanitaire, en vue d’une paix juste et définitive dans le conflit du Proche-Orient. Entre autres, il avait ouvertement déclaré « Le Hamas mérite d’être reconnu par la communauté internationale, et en dépit de l’histoire militante du groupe, il existe une chance qu’il sera bientôt le socle dirigeant des palestiniens et pourrait se détourner de la violence ».
A l’instar de son ouvrage, sa tribune reste dans les annales a propos de la population population désarmée et séquestrée à Gaza comme dans un bagne à ciel ouvert a étonné nombreuses opinions. Comme il avait rencontré les responsables du Hamas Palestinien en avril 2008, malgré la réticence de beaucoup de pays occidentaux. Mais finalement, il est rentré dans les rangs. Du moins d’un point de vue circonstanciel, il a désir ardent que sa relève jouisse d’un maximum de chances pour une ascension dans sa carrière politique. Et lui-même a montré patte blanche jusqu’au-delà de son éviction du bureau ovale.
Virage à 180°
Subitement, arrive son apologie du sionisme. Dans une lettre ouverte adressée à la Jewish Telegraphic Agency (JTA),Jimmy Carter tente de se blanchir auprès de la communauté juive américaine. Les élections de la soi-disant meilleure démocratie du monde, sont téléguidées, à la limite soumises à de trucages fomentés par les lobbys industriels (armement et médicament) et le plus puissant de tous, le communautaire détenu par les citoyens américains de confession juive. « Nous devons reconnaître ce qu’a accompli Israël dans des circonstances difficiles, même si nous nous efforçons de manière positive d’aider Israël à continuer d’améliorer ses relations avec ses populations arabes, mais nous ne devons pas stigmatiser Israël par nos critiques pour qu’il s’améliore… J’offre un Al Het (une prière de Yom Kippour pour demander pardon) pour toutes mes paroles ou actes qui aurait pu causer cela ». a-t-il-écrit.
L’amie commune à ses deux grands-pères, Liane Levetan, l’ancien PDG de DeKalb County, est croit-on la première des influences qui a inspiré ce retournement. Cette dame a joué un grand rôle dans la campagne électorale de 1976 de Jimmy Carter comme dans la carrière du grand-père maternel de Jason Carter.
Elle est considérée comme la personnalité la plus influente en Georgie où la communauté juive ne représente que 2% du corps électoral ; selon Jimmy Carter. Qui a aussi voulu justifier l’inexistence de lien avec sa missive et les élections où participe sa descendance. D’abord Liane Levetan avait reçu du Carter candidat au poste de sénateur, la suppliant de son soutien, nombreux coups de téléphone qu’elle a écouté sur sa boîte vocale. Et ensuite la lettre comme une crème par dessus.
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