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    Arrêté en 2001 en Bosnie Herzégovine pour un présumé projet d’attentat contre l’ambassade des USA, Lakhdar Boumediene a été accueilli en France suite à une déclaration du Président Sarkozy. Disculpé par un tribunal américain en fin d’année 2008, il a passé 7 ans au pénitencier de Guantanamo. 

     

    Algérien né à Ain Soltgane Saeda à l’extrême ouest du pays, Lakhdar Boumediene est  âgé maintenant de 42 ans et a passé 7 ans au pénitencier de Guantanamo Bay. Soupçonné de préparer un attentat contre l'ambassade des Etats-Unis à Sarajevo, il avait été arrêté en octobre 2001 en Bosnie avec 5 présumés acolytes d’origine Algérienne aussi. Il  fut l'un des premiers terroristes présumés à être détenus dans la prison, ouverte en janvier 2002 par George W. Bush.

    Il a été innocenté par la justice américaine à l'automne 2008. C’est grâce à sa plainte contre Bush pour détention injustifiée, qu’il a été disculpé avec les 5 autres détenus accusés dans la même affaire. Pour se faire entendre, Lakhdar Boumediene a suivi des mois de grève de la faim. En janvier 2009, il a été transféré au camp Iguana, l’aile de Guantanamo où les détenus disposent de certaines libertés et de conditions de détention légèrement assouplies.

    Mais son parcours dégage un douteux profil de quelqu’un qui a suivi l’itinéraire des « djihadistes » impénitents. Ceux qui ont servi, selon les manipulations de la CIA et les services complices que rendaient les filières d’Oussama Benladen, contre le communisme en Afghanistan.  Peshawar (Pakistan) fut leur porte d’entrée en Afghanistan et le camp incontournable comme dernier avant de rejoindre le théâtre des opérations des seigneurs de guerre comme Massoud, Rabbani et Hekmatyar. A la fin de ses différents périples qui l’ont mené partout où ont existé des camps d’entraînement d’islamistes prêts à en découdre avec le régime de Najibullah, il s’installe enfin en Bosnie devenue aussi, à l’époque du démantèlement de l’Etat-Nation yougoslave, un champ de bataille pour certains fanatiques se croyant aux portes de l’occident mécréant.

    Et d’où des islamistes algériens, à l’époque, faisaient des rapatriements vers leur pays d’origine d’anciens « afghanis ». Le plus connu de ses missionnaires est Mohamed Bouslimani, fondateur d’une association islamiste de bienfaisance au service du projet intégriste de création d’Etat basé sur la Chariâ en Algérie. Les islamistes algériens ont vécu les terribles actions terroristes de Tayeb Al-Afghani à Oued-Souf et de Djaâfar El-Afghani à la Casbah d’Alger. Ce dernier s’est illustré, lors de son passage à la télévision algérienne après son arrestation, avec l’usage et l’achat d’une centaine de Kalachnikovs pliantes disait-il pour exterminer les communistes.  Et le premier s’est attaqué avec une horde de fanatiques à une caserne au temps même où Chadli était président, mais avait déjà agréé les partis islamistes malgré l’interdiction de la constitution plébiscitée par les algériens. On estime quelques 5000 terroristes algériens ayant transités par les mêmes expéditions d’endoctrinement en d’entraînement que Lakhdar Boumediene.    

    Lakhdar Boumediene avait quitté l’Algérie, au début des années 1990 pour rejoindre le Pakistan, puis le Yémen, l’Arabie Saoudite et l’Albanie où il a épousé, en 1995, Abassia Bouadjimi. A se demander, quels étaient ses projets dans ces pays ? Sauf bien l’émirat…

    C’est en Bosnie qu’il a été d’abord accusé, pour la première fois en fin de l’année 2001, par la justice du pays où il résidait et où il était employé du croissant-rouge, de préparer un attentat contre l’ambassade des USA. Libéré et refusant de retourner en Algérie après la contestation de sa nationalité par ce pays où il était établi, il fut enlevé en 2002, avec les 5 autres Algéro-Bosniaques, par les agents de la CIA, dès sa sortie du tribunal criminel de Sarajevo, qui venait de le disculper des faits liés au terrorisme. Sa renonciation au retour en Algérie reste inexpliquée. A l’époque, les années 90, les dénonciations des éléments du GIA qui étaient entre les mains des forces de sécurité étaient nombreuses et les soupçons pesaient à partir de ses voyages dans les pays les plus chauds en matière de djihad islamo-terroriste.  

    Après l’annonce officiel du président Nicolas Sarkozy, Lakhdar Boumediene bénéficie d’un entier droit d’exil en France où il est arrivé le 15 mai 2009. Il rejoint son épouse Abassia Bouadjimi et ses 2 filles Radjaa 13 ans et Rahma 8 ans, qui ont de leurs côté regagné l’hexagone quelques jours avant lui.

    Il reste encore 240 détenus à Guantanamo.


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    … Maintenant boucs-émissaires du capitalisme qui éternise l’escroquerie généralisée.

    Avant les accusations de la SEC ne lui soient portées, la fortune d'Allen Stanford était évaluée à 2,2 milliards de dollars par le magazine Forbes de 2002, elle triple en 6 ans sans qu’elle ne produise la moindre particule de richesses réelles. Après Bernard Madoff, cet escroc vient mettre encore flouer et cacher ce que le système capitaliste renferme comme pratiques criminelles que certains chefs d'Etat veulent encore préserver !

     

    Avec ces 2 cas de boursicotiers de haut vol, Madoff et Stanford, n’est que la surface bosselée de l’iceberg. La surface visible qui ne pouvait être cachée par les eaux, les dessous sont tout un système. Montrer seulement ces 2 spécimens du capitalisme mercantile et tenace à vouloir régner encore des siècles, c’est l’arbre qui cache la forêt ! Même après coup, on continue de présenter les initiateurs de ces escroqueries comme des milliardaires !

    La fortune du premier n’a jamais été bien évaluée à ce jour parce qu’il a vraiment les bras assez longs et ses complices sont dans des sphères intouchables, sa magouille frise pourtant les 50 milliards, soit le PIB de 3 ou 4 pays parmi les menacés de misère... Celle du second passe de 2,2 milliards en 2002 à 7,5 en 2009… Allen Stanford, 59 ans a comparu, en fin de la 3ème semaine, de juin devant un tribunal fédéral de Virginie, pour accusations d'un grand jury du Texas.

    Il aurait orchestré la fraude par l'entremise de sa propre banque, la Stanford International Bank établie à Antigua, île des Caraïbes, le paradis fiscal par excellence. L'aide de responsables, au nombre de trois, de cette dernière et d’un régulateur financier basé dans le paradis fiscal des Caraïbes, lui été apportée contre bien sûr des cachets, des pots de vins en dessous de la table.

    Allen Stanford était plus connu en simple organisateur de tournois de golf et de cricket, avant de devenir le premier américain à avoir été anobli par Antigua et Barbuda en 2006. Après la fortune mal acquise, il accède à une distinction d’honorabilité et même à l’intangibilité. Il a fait son beurre, au début des années 1980, dans la spéculation immobilière où les nombreux ruinés sont légende aux USA, depuis la crise capitalistique a été au devant de l’actualité. Par la suite il a transformé son groupe familial en société mondiale de gestion de fortune. Une conversion qui a bien des visées, on ne plus claires pour ces buts.

    C’est le cas de Bernard Madoff, le précédent qui est passé de la direction de la bourse à la même profession que Stanford, s’occuper des fortunes pariant sur de nouveaux gains par la bourse. Ancien candidat aux élections présidentielles, Ralph Nader leader et précurseur du mouvement de protection des consommateurs, sorti 3ème après John MaCain explique le cas Bernard Madoff.

    Avec un culot inégalé, il dément encore toute malversation et compte mener, dit-il « le combat de (sa) vie » pour se faire disculper. En avril, il avait déclaré à Reuters que si la SEC, l'autorité boursière américaine, n'avait pas démantelé son empire, les investisseurs auraient gagné d’être riches après avoir récupéré leur argent. Lanny Breuer, le juge qui a instruit l’affaire Stanford, a évalué lors d’une conférence de presse à Washington que 5.000 à 6.000 investisseurs étaient concernés par sa fraude.

    Avant les accusations de la SEC ne lui soient portées, sa fortune était évaluée à 2,2 milliards de dollars par le magazine Forbes de 2002, elle triple en 6 ans sans qu’elle ne produise la moindre particule de richesses réelles. Et s’est connaître pour sa générosité à l'égard de certains sports. Ses nombreuses propriétés et maisons sont disséminées à Antigua, Sainte Croix, en Floride et au Texas.

    Révélée après celle de Bernard Madoff, l’affaire d’escroquerie d’Allen Stanford est de la même configuration et a procédé de la même manière. Car elles utilisent une combine connue sous le nom de « chaîne de Ponzi ». Cette dernière basée essentiellement sur qui est désigné par le mode « cavalerie » qui consiste à rétribuer les premiers investisseurs par l’apport des récents. Tout en gardant une expansion effrénée pour démarcher toujours et davantage de nouveaux spéculateurs. En appâtant les personnes par de forts gains, mais ceux déjà dus pour ceux tombés dans les piège ne sont en cas compensés dans les délais convenus. Donc la bulle finit toujours par ne plus contenir le flux et la pyramide s’écroule comme un véritable château de cartes.

    Cette escroquerie d’une simplicité déconcertante qui depuis qu’elle a été élaborée par un certain Charles Ponzi, continue de trouver des crédules plus souvent captivés par des gains inimaginables aussi bien faciles que rapides. C’est le climat historique et contextuel à l’origine d’une illusion qui fait croire aux gens qu’ils peuvent s’enrichir rapidement.

    Ceux qui pensent que le capitalisme est une jungle ont finalement bien raison. Pour qu’ils soient entendus, il faut que le monde admettent qu’ils existent et écoute, l’Histoire de l’humanité les a bien inscrits au panthéon des révolutionnaires.


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    Depuis des mois une recrudescence de l’islamisme armé dans cette région !

    Minutieusement préparée cette opération terroriste a permis aux assaillants de faire exploser deux engins placés au bord de la route empruntée par le convoi. Ils ont réussi à prendre la fuite emportant avec eux des vêtements en déshabillant même les morts, toutes les armes des victimes ainsi que les six véhicules tout-terrain de la gendarmerie. Ce qui laisse croire que les moyens, dont dispose cette phalange, se trouvent maintenant bien fournis. L’été sera chaud ! 

     

    Quoiqu’on dise de propos apaisants et démagogiques, parmi les tenants qui ont monopole sur le régime algérien, le terrorisme n’est pas résiduel et reprend même de plus belle. Certes l’ouest algérien semble vivre une accalmie. Mais nier ceux qui attendent pour rien, c’est seulement différer à plus tard...

    Ceux qui sont déçus des promesses de la politique rentière de Bouteflika, voient et le disent : des chinois construisent leur pays et eux sont au chômage. Ils savent que le sort du grand argent du pétrole est une gabegie de faux moudjahidines, d’escrocs qui ont pour mosquées les banques et de corrompus cramponnés, tels avec des crocs de rapaces, sur le système institutionnel. Peuvent-elles exister d’autres raisons au terrorisme ?

    Une escorte motorisée de gendarmerie d’environ 30 éléments est tombée dans un guet-apens tendu par un groupe terroriste, mercredi 17 juin vers 19heures 45 dans la zone d’El-Méhir de la wilaya de Bordj-Bou-Arréridj (34ème dans la numérotation des préfectures algériennes), siruée à 180 km à l’est d’Alger. Elle était chargée de sécuriser le parcours d’une équipe de travailleurs chinois, travaillant sur le chantier de l’autoroute "Est-Ouest", qui officient actuellement dans la construction d’un pont dans la région dite « Les Bibans (ou les portes, communément LES PORTES DE FER). » Cette embuscade a été tellement bien préparée qu’aucune riposte n’a pu être entreprise.

    A la première information perçue, 20 gendarmes ont trouvé la mort dans cet attentat, puis le chiffre a été revu à la hausse pour indiquer 24 décès et 5 blessés. Cet acte est le plus marquant depuis celui d’août 2008 à Boumerdès (50 km) où 49 personnes ont trouvé la mort… Qui oserait encore mentir du retour à la « concorde » après 2 mandats et la réélection, pour un 3ème à la légalité douteuse, d’un président aveuglé par le « Koursi » pouvoir ? Et de son ministre des affaires intérieures après plus d’une décennie qu’ils ont eu, en commun, les affaires du pays en main ?

    Région située à cheval entre la Kabylie (par l’ouest et le nord) et les régions du sud et d’est, Bordj-Bou-Arréridj était relativement calme par le passé. Pendant les années 90 où le pays a été presque mis à feu et sang, elle n’a pas tellement été emportée dans la grande tourmente, malgré que quelques despérados « de la gandourerie » ont tenté le maquis. Une riposte des anciens moudjahidine combinée à celle des services de sécurité et suivie par une mobilisation citoyenne, ont pu venir à bout de la première horde qui s’est constituée côté Zemmourah. Une zone montagneuse donnant sur la forêt de l’Akfadou où Bordj-Bou-Arréridj a ses confins avec les territoires de Béjaïa, Sétif et Jijel.

    Maintenant Bordj-Bou-Arréridj passe pour l’une les plus actives en matière d’insécurité en tous genres, avec une recrudesence de la criminalité genre kidnapping. Pour ne citer que les plus récents faits où sont mêlés les islamistes armés :

    • 4 terroristes ont été repérés et abattu en début du mois d’avril à Bougton, région de petite kabylie en allant sur Béjaia.

    • Et 2 autres ont eu le même sort en mi-mai à Beni-Ougag dans la commune de Bendaoud

    Cette dernière violence politique que les dirigeants du pays entretiennent pour imposer la perpétuité de leur règne, en dévoyant l’islam et en menant une politique ruineuse, trouve des connivences dans certaines franges de la société. Celles qui a main basse sur les centres de décision. Avec un « tourner-en-rond » qui inflige donc à la jeunesse soit la mer du « harrag » (le clandestin vers et sur d’autres Terres) ou bien le Kalachnikov pour tenter de faire fortune, prendre le pouvoir ou bien s’occuper tant qu’aucune perspective radieuse ne se substitue ce tourner-en-rond : ne rien espérer !

    Démagogie de la reconciliation du feu et de l’eau

    Minutieusement préparée cette opération terroriste a permis aux assaillants de faire exploser deux engins placés au bord de la route empruntée par le convoi. Ils ont par la suite ouvert un feu nourri, ce qui dénote le fort équipement en munitions de ce groupe. Ils ont ensuite réussi à prendre la fuite en emportant avec eux vêtements après avoir déshabiller même les morts parmi les agents de sécurité, leurs tenues est déguisment infaillible à d’éventuelles autres opérations. Sans omettre surtout d’emporter toutes les armes des victimes ainsi les six véhicules tout-terrain de la gendarmerie. Ce qui laisse croire que désormais les moyens dont dispose cette phalange, se trouvent maintenant bien renfloués par tous ce qui peut servir dans de nouvelles actions plus graves et autorise à ses « djihadistes » une grande mobilité. L’été sera encore plus chaud !

    De triste mémoire, quand à B.B.A. un concert de musique est gâché, la porte est ouverte au crime. Créer le vide en privant les jeunes de la musique qu’ils aiment, c’est les pousser au terrorisme. Pendant le mois de mars 2008, le concert que devait donner, à la salle Bachir Ibrahimi, le célèbre rapeur Faouzi Attentat a été simplement saboté. La salle était pleine à craquer de jeunes spectateurs venus spécialement voir le spectacle, ils essuyé une censure inavouée !

    Un vrai massacre, les trois rapeurs ont subi le blocage des microphones et du matériel. Les techniciens de la salle ont certainement reçu l’ordre de tout "ranger" rapidement. Le sabotage prévu dès le début, par les jeunes artistes, a créé un grand émoi. Il n’a pas, lâchement, suscité beaucoup de réactions chez les responsables et même auprès de certains bordjiens n’ayant pas en odeur de sainteté ce genre de musique. Les trois artistes sont repartis avec la rage dans le cœur et un profond sentiment d’injustice.

    Leur public a vécu la pire des déceptions, la rage ne pouvait que monter… De quoi les pousser à adhérer au crime terroriste.

     


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  • « Mon premier sentiment est aujourd’hui le chagrin, le désespoir et aussi de la colère quand je vois les destructions perpétrés contre des innocents… / … Le fait de priver 1,5 million d’êtres humains de ce qui est nécessaire à la vie — jamais dans l’histoire une communauté grande comme celle-ci a harcelée par les bombes et les missiles, puis s’est vue refuser les moyens de se rétablir par elle-même » Tels sont quelques propos de l’ancien président américain Jimmy Carter, en visite en cette mi-juin dans la région abritant un conflit qui a trop duré et qui cause à l’humanité bien des déboires d’insécurité. 

     

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME - .

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    Une flagrante censure sur média français, ce citoyen est désormais acquis à la nouvelle vision du sionisme

     

    Le dernier discours de Benjamin Netenyahu laisse perplexe le monde qui s’intéresse à une solution définitive. Il préconise en gros et seulement, sans une moindre allusion à la paix dans la région, « pas de négociations à propos de Jérusalem comme capitale. Pas d’accueil de réfugiés. Pas de pauses dans l’expansion des colonies »Et exige que les palestiniens reconnaissent qu’Israël est un Etat juif, pour cela une loi va être promulguée. Mais le monde évolue autrement. L’abolition de cette entreprise colonialiste est devenue une nécessité pour même la sécurité des juifs qui la soutiennent où qu’ils peuvent être, des israéliens ou autres populations qui habitent Israël et pour le reste du monde qui entretient une criarde injustice à l’égard des palestiniens. L’analyse, après coup et le temps qui a permis de bien le comprendre, du discours a donné le tournis aux israéliens qui ont assimilé maintenant sa signification.

    Jamais une personnalité occidentale ne s’est autant impliquée, dans la quête d’une paix définitive au conflit dit israélo-palestinien que l’ex. Président démocrate des USA Jimmy Carter. Bien avant tous les gens des droits de l’humanitaire qui se réveillés lors des crimes contre la population de Gaza de décembre 2008 et Janvier 2009, il a dénoncé « Crime contre les droits de l’homme à Gaza » dans une tribune qui reste historique tant elle concerne cette zone ghetto livrée aux sbires de Tsahal. Il aussi l’auteur d’un livre qui a été censuré aux USA et l’est encore largement en Europe : « Palestine : La paix pas l’apartheid »

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    Jimmy Carter dessine l'occupation

    Prenant parole à Gaza

    Il est revenu à la région avec la fin de la seconde semaine du mois de juin 2009, comme un ange dans le désordre et le chaos. Ses déclarations restent dans leur teneur « Mon premier sentiment est aujourd’hui le chagrin, le désespoir et aussi de la colère quand je vois les destructions perpétrés contre des innocents… / … Le fait de priver 1,5 million d’êtres humains de ce qui est nécessaire à la vie — jamais dans l’histoire une communauté grande comme celle-ci a harcelée par les bombes et les missiles, puis s’est vue refuser les moyens de se rétablir par elle-même »

    JImmy Carter prépare sa visite

    La presse dans le monde reste dans les anciennes positions de black-out quant à la situation de Gaza encore sous blocus aussi bien côté israélien qu’égyptien. Les tentatives de rentrer dans cette zone sont refusés à carrément tous militants de la cause palestinienne quelque soi leurs origines ou statut. Empêcher la transparence des souffrances des palestiniens existait depuis toujours. Elle a été érigée en loi du silence pour les tueries se commettent dans l’impunité. Dernier en date pour, le Mouvement International « Pour Ouvrir la Frontière de Rafah : IMORB » est dans son quatrième jour, le 15 juin, de sont sit-in à la Porte de Rafah et 3 membres entament une grève de la faim.

    L’équipe de l’ONU, même les instances internationales, chargée de l’enquête sur les allégations de crimes de guerre commis par Israël ou par le Hamas au cours de l’opération « Plomb durci » est arrivée à Gaza le 1er juin. Israël a refusé les visas d’entrée à l’équipe responsable de l’enquête dirigée par Richard Goldstone, ce qui a forcé celle-ci à entrer dans Gaza par la frontière égyptienne.

    Dans une lettre ouverte publiée dans le journal Haaretz le 17 janvier 2009, Gideon Levy, un critique inlassable des activités militaires d’Israël, rappelait que la bande de Gaza ne fut jamais « libérée ». Puisque le blocus militaire et économique du territoire a empêché tout développement de ce territoire. En outre, il est absurde, dit Levy, de condamner le Hamas pour une politique de boucliers humains lorsqu’une guerre est conduite dans un territoire aussi densément peuplé que celui de la bande de Gaza. Levy conclut sa lettre en affirmant qu’il restera toujours à l’écoute du peuple palestinien et qu’il fait ainsi son devoir à l’égard d’Israël. Par son exemple, Levy œuvre contre l’orientalisme et la déformation idéologique du conflit actuel. En cela, il est le digne hériter d’Edward Saïd.

    Manifestation pour la levée du blocus

    Carter provoque la polémique lors de sa visite encore en cours au Proche-Orient. Il a rencontré jeudi à Damas le premier dirigeant du Hamas, Khalid Mash’al, puis il s’est réuni avec des colons israéliens le dimanche. Après sa réunion à Damas avec le président syrien Bashar Al-Assad, Carter estime, comme il l’a déjà fait, que le Hamas, au même titre que le Fatah, doit être impliqué si on voit une paix durable dans la région.

    Le vendredi, Carter s’est entretenu avec Noam Shalit, le père du soldat israélien Gilad Shalit, retenu en captivité depuis 2006 par des combattants de la résistance palestinienne dans la bande de Gaza. Noam Shalit a transmis une lettre pour son fils, dans l’espoir que Carter la remette au Hamas dans la bande de Gaza. Carter a prévu de le faire lors d’une de ses réunions avec les responsables du mouvement Hamas.

    Pour le cas du caporal israélien, Mahmoud Az-Zahhar, un des principaux dirigeants du mouvement Hamas, a déclaré dans une interview à Radio Israël que son organisation allait étudier la possibilité de communiquer cette lettre à Shalit. Il a ajouté que si Israël était intéressé à résoudre la question de Shalit, il fallait alors libérer les prisonniers palestiniens et en particulier ceux réclamés par le Hamas. Expliquant qu’Israël était moins intéressé par un échange de prisonniers que par connaître le lieu où était Shalit afin de le libérer par une incursion militaire.

    Az-Zahhar a également critiqué le récent discours du premier ministre israélien Benjamin Netenyahu, en disant : « Il met en avant des conditions tout à fait inacceptables, comme l’abandon de Jérusalem et l’abandon du droit au retour ».


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    Par quel mystère un distributeur de littérature, un commerçant peut s’ériger en censeur, refuse un produit de ses partenaires ? Là est un étalement d’un même réseau de dominateurs atteints de félonie.  Une panique générale donne aux tenants du sionisme de faire comme Hitler, arrêter et abattre les récalcitrants qui ne soutiennent pas l’entreprise colonialiste qu’est Israël. Le produit culturel surtout le livre est comme une bombe dans l’insécurité où les sionistes ont mis les juifs du monde et les habitants d’Israël (juifs ou pas) dans l'insécurité.

    Un livre censuré en France, le pays donneur de leçons en matière de liberté. Qui pourrait bien croire à une interdiction de ce genre… Après avoir essuyé une proscription de parution chez un éditeur français, sa diffusion est maintenant bloquée. L’éditeur belge s’est vu signifier par son distributeur habituel le refus de sa vente. A se demander en vertu de quelle loi ? Quel tribunal l’a prononcée ? Le titre évocateur suffit « Sarkozy les Juifs et Israël. (*) » pour être fixé sur les raisons.

    Quand Israël est dans une affaire, surtout celles intellectuelles qui résonnent ces derniers temps, la classe politique garde un mutisme criminel. Qui penserait que la gauche, à l’exception du leader du NPA et non de toute son organisation, reste inerte tant en ce qui passe avec les relations franco-israélienne qu’avec les crimes que commet ce pays à l’encontre des palestiniens ? En effet côté opposition, on feigne d’ignorer l’entreprise colonialiste qu’est l’Etat hébreu.

    Et l’opposition française cède en bloc le dossier de cette opinion concernant un régime batti avec des criminels de guerre, au parti de Dieudonné. Alors qu’une prise de conscience au sein de la société française se dessine amplement. La gestion officielle, par l’UMP, de la chose publique dans le volet relations avec le Monde assume pleinement ses missions ultra-droitières de relais à tous les impérialismes les plus reculés de l’Histoire humaine.

     

    Sarkozy, Israël et les juifs : conférence de presse part 1/5

    Sarkozy, Israël et les juifs : conférence de presse part 2/5

    Sarkozy, Israël et les juifs : conférence de presse part 3/5 

      

    Sarkozy Israël et les Juifs Conférence 4/5

    Sarkozy, Israël et les juifs : conférence de presse part 5/5

     

    Mais que contient vraiment ce livre ? Cet ouvrage en gros décrit en gros les réseaux sionistes français et l’obéissance avec laquelle l’actuelle présidence de la France répond à leurs recommandations (comme des ordres), puisque voire les concrétise et devance même leur formulation. Mais d’autres détails sur le profil de l’actuel président français parmi les faucons et autres criminels et tortionnaires qui jouent la carte sioniste…

    L’auteur est le journaliste Paul-Eric Blanrue, tiens encore un autre empêcheur de tourner-en-rond professionnellement affilié à la presse, travaillant avec la revue Historia. Contrairement à ce que laisse croire beaucoup de critiques qui se sont intéressés à ce cas, la prise de conscience en France de la dangerosité d’Israël pour la paix dans le monde est bien réelle. Il ne s’agit pas uniquement de gaullisme mais du respect des convictions de nombreux français que les choses doivent changer.

    A ce sujet l’auteur avance clairement, et pas l’interprète encore certains journalistes, que des réseaux pro-israéliens servent une stratégie pro-israélienne allant à l’encontre de la réalité française. Il explique, selon une profonde et fournie investigation, leur véhémence dans les rouages. Avisant de leur aveuglement, en citant les noms des principales personnalités qui s’agitent continuellement dans ce sens.

    La mise au pas des artistes et intellectuels, la liste est tellement longue... :

    Renaud

    Dieudonné découvrant en 2003, la première accusation

    Le carricaturiste Siné

    Richard Labévierre

    MM. Bernard Ravenel et Richard Wagman

    Marc-Édouard Nabe, de son vrai nom Alain Zannini

    Le rappeur du groupe Snipper : Tunisiano

    Fort d’une clarté peu réductrice ou étroite, ce bouquin apporte une contenu qui conteste l’assimilation faite systématiquement entre judaïsme et sionisme. C’est aussi notre idée que nous avons souvent proposée sur POPULISCOOP, tout en ayant la peur au ventre d’être traité d’antisémites.

    Il interpelle les juifs de France à prendre distance de leurs représentants communautaires et autres porte-voix officiels, qui ne représentent tout au plus qu’un peu plus du cinquième d’entre eux. Il les incite, avec un bien travail d’humanisme et d’intérêts pour les juifs en général et non d’une catégorie, à se rebeller. Car la politique menée à ce jour se révélera, à terme, désastreuse pour eux et l’est déjà pour tous les Français.

    Les USA, non pas seulement depuis que Barack Obama est président, ont été réveillé avec Jimmy Carter. Aujourd’hui les choses ont évolué plus rapidement. En France est déléguée cette vision au ghetto, à se confondre directement avec l’antisémitisme, or avec même le parti antisioniste des rabbins se sont exprimés dans le sens que cette idéologie porte atteinte au judaïsme.

    La diplomatie française a du mal à trouver actuellement sa place malgré le projet UPM (Union pour la méditerranée), qui devait donner à Israël une place parmi ses voisins de la région... Et malgré la grande mobilité de Mr. Sarkozy…

    (*)Editeur : Alphee • Collection : DOCUMENTS • ISBN-10 : 2753804915 • ISBN-13 : 978-2753804913

     


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