• Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME 

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    Depuis le retour de Bouteflika est au pouvoir, il y a 10 ans, toutes élections organisées en Algérie essuient des abstentions. Jamais le divorce  entre les institutions et les citoyens n'a été si probable. Ainsi il a évité de soumettre l'amendement de la constitution au suffrage. Le boycott du vote du 9 avril2009, mobilise de larges catégories de la population  et  l'opinion qui refuse que le pays fasse du sur-place. 

    L'inassouvie soif du pouvoir pour le dernier despote du nationalisme prédateur...

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    L'enjeu des élections présidentielles du 9 avril prochain auxquelles tentent de s'opposer la frange éclairée des démocrates algériens, depuis déjà presque 3 ans, est une expérience dangereuse pour le pays. Cette perspective coupée comme un costard sur-mesure pour l'impénitent despote Bouteflika, tient en haleine l'opinion algérienne. Alors qu'une indifférence, et souvent une risée planétaire du fait de sa comparaison avec les modèles arabo-baathistes, se situe bien au niveau de la critique médiatique indépendante locale et des opposants cloîtrés dans une impuissance qu'ils ont d'ailleurs choisie.

    La 3ème mandature au raïs dont l'âge reflète la terne  image d'un Mugabe blanc, et aussi physiquement plus dégradé, mais se cramponnant, de son côté d'Afrique du Nord, au pouvoir. La similitude brandie par les partisans et autres alliés à l'ancien diplomate, loin s'en-faut  elle n'est point comparable, est celle d'Hugo Chavez qui, lui, a soumis la première loi du pays au suffrage universel. Outre que le socialiste vénézuélien a déjà, quand il a douté de la légitimité de son programme politique, assujetti à élection de son peuple tout son régime politique. Alors que le passage en force, du président algérien, n'est plus à démontrer. C'est une illégalité criminelle aux yeux des plus adversaires de ce kidnapping du pouvoir. Une prolongation toute démesurée !

    Sur les 13 qui avaient déposé leur dossier, le Conseil constitutionnel a agréé 5 candidats ont été retenus pour participer, avec Abdelaziz Bouteflika qui brigue un 3ème mandat rajoutant une déroute dans l'atmosphère délétère qui nuit gravement à l'expérience démocratique algérienne. Selon la déclaration, lue à la télévision par le président du conseil Boualem Bessaih, il s'agit de Louisa Hanoune, secrétaire générale du Parti des travailleurs (PT, trotskiste), Moussa Touati, président du Front national algérien (FNA - nationaliste), Ali Fawzi Rebaïne, président de AHD 54 (serment 54, nationaliste), Belaïd Mohand Oussaid dit Mohamed Saïd, qui dirige le Parti liberté et justice (PLJ, non agréé, islamiste modéré), Mohamed Djahid Younsi, secrétaire général du mouvement El-Islah (réforme, islamiste).

    Prolongations de tous les désespoirs qui ont toujours jalonné l'exercice de la citoyenneté du peuple réduit à la clochardisation.
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    En perte de repères, comme ayant égaré ses points cardinaux, la vie politique en Algérie est sous perfusion. Un semblant d'existence du multipartisme laisse toute latitude aux dominateurs de l'ex parti unique de poursuivre un règne qui a fait rater à ce pays doté, pourtant de gigantesques atouts avec une rente pétrolière et une jeunesse très dynamique, de réels moyens pouvant le hisser parmi les puissances du monde.

    Dans un marasme devenu historique, la population a atteint le degré de désespoir jusqu'à douter de sa mémoire fondatrice de son identité, celle qui faisait sa plus grande fierté. A propos d'histoire commune, le désenchantement pousse les jeunes, et pas seulement eux, à vouloir quitter leur terre quelque soi le risque et le prix. La mémoire collective est même placée comme l'investissement privé d'une caste qui a un nationalisme étroit et conspirateur contre l'intérêt national. Sur 12 cardiologues formés en 2008, selon le ministre de l'enseignement supérieur qui s'est exprimé à la mi-février 2009, 10 ont quitté le pays au lendemain de la fin de leurs études.  Pas seulement les jeunes comme ces fraîchement diplômés, un retraité de 69 ans a été trouvé, pendant le mois de novembre 2008,  dans une embarcation en partance de Annaba (à l'est du pays) et que les gardes-côtes on récupéré après qu'elle ait tourné pendant des jours sans mettre le cap vers les territoires européens auxquels elle se destinait.

     Une parodie de démocratie où même les opposants potentiels à la 3ème mandature de Bouteflika, sont aussi et généralement tous issus du sérail qui a longtemps mené des monopoles claniques aussi bien pendant la glorieuse guerre de libération qu'après, par le biais d'un parti unique ayant la torture à commanditer d'une armée qui a maintenant, elle aussi, point de crédibilité à rectifier les dérives. Elle qui intervenait  souvent pour redresser la barre et corriger les malhonnêtetés dans la gestion politiques des affaires.

    Une classe politique totalement coupé du peuple, après l'accentuation de la domination des nationalistes de toutes les époques.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Et ceux de la classe politique n'ayant aucune attache avec l'ancien système, font usage des mêmes réflexes eux-aussi, des pires comportements de l'idéologie du FLN dirigiste. Ils se distinguent en libéraux plus capitalistes que là où Adam Smith et Taylor ont éclairé la grande révolution industrielle. Alors qu'ils ne proposent rien, sauf le ralliement aveugle à l'américanisme qui ne fait que les mépriser. Saïd Saâdi leader du RCD n'arrête pas de solliciter par tous les moyens, y compris ses innombrables déplacements pour lier manifestement la présence de son parti à une allégeance ouverte et basse aux USA.

    Ce qui laisse dire à un analyste : « ...depuis que ce pays a perdu ses communistes qui ont été de toutes les aventures politiques algérienne du 20ème siècle, et ont été debout quand leur environnement s'effondre, l'Algérie a cassé sa boussole qui permettait à son peuple de percevoir les enjeux de son parcours politique... » Mais ce n'est pas le seul repère égaré dans le tortueux chemin que les crises mettaient l'Algérie dans des houles frisant, à chaque résurgence, le spectre de la guerre civile. Les islamistes qui ont vraiment induit une guerre plutôt d'incivilité généralisée avec une large complaisance des autorités officielles, c'est-à-dire des groupes régnants et ayant les reines du pouvoir, et de larges franges de la population bernées par la fibre religieuse, sont maintenant les prévôts pour que la gabegie qui procure toutes les désespérances soit maintenue en diktat qui engendre toutes les dépressions chez les êtres.

     Dans la campagne du 3ème mandat accaparé, par une corruption pécuniaire et maffieuse des élus du Sénat et de l'assemblée nationale, par le dernier des despotes qui ont fait de l'Algérie un pays de démoralisation de ses meilleurs enfants, cadres et simples citoyens, il est miroité au peuple des relèvements des salaires et des investissement chiffrés à coup de milliards. Même avec un tel populisme, le fléau des « Haragas » clandestins empruntant les embarcations de fortune pour quitter le pays n'arrête pas de prendre de l'ampleur, tellement l'absence de perspectives est omniprésente. Ces partants, à bien comprendre leur désarroi, sont de vrais empêcheurs de tourner-en-rond. Ils ne trouvent pas les canaux d'expression et sont humiliés, malmenés et caporalisés par les éléments, des plus médiocres, incompétents et corrompus que le mode de gouvernance largement encouragé par Bouteflika et ses sbires devenus plus arrogants et dominateurs que jamais, leur impose quotidiennement.

     

    Un boycott largement attendu, au regard de toutes les élections tenues depuis que Bouteflika est venu déprécier les actes citoyens envers les institutions.

    Alors que les récentes expériences électorales, notamment les présidentielles qui ont assurés à Bouteflika un second passage à la tête de l'Etat, ont été frappées de boycott. Bouteflika a donc évité de présenter l'amendement de la constitution au suffrage universel qui est une procédure de toute constitutionnalité digne de l'ère que vit l'humanité. Seuls les traditionnels bourrages hérités des trucages des élections sous le colonialisme, sauveront la face de la mascarade que ce président au pouvoir depuis les premières heures de l'indépendance sans pour autant gagner une véritable aura. N'est-il pas dit qu'il maître absolu de la corruption et même des pires détournements, disons les cachets, acquis sur les contrats avec les sociétés étrangères du temps où il était aux affaires extérieures.

    Le boycott qui est la seule riposte citoyenne dont dispose la société civile, n'appartient guère à la classe politique. C'est un réflexe d'administrés ayant le balisage des services étatiques comme refouloir. Une administration qui n'a pas gagné la confiance de ses sujets assignés à subir les fameux bourrages que le parti né des rouages, le RND présidé par Ahmed Ouyahia, s'est le plus évertué à banaliser au moment où le FLN, dirigiste à ne confondre avec le FLN libérateur, soutenait grossièrement les islamistes et leurs tueurs des militaires, des intellectuels, des journalistes et des démocrates surtout de gauche qui combattaient pour un projet démocratique conséquent.

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  • Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME

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    A l'altération de l'image de la France dans le Monde, se rajoute une gestion épicière...

    L'évitement, tel un mépris, de la France par le président chinois, lors d'une tournée européenne qui est même historique, reflète une amère vérité... Elle a affirmé que le pays a perdu sa respectabilité. Depuis qu'il est dirigé par celui qui a annoncé sa présence aux derniers jeux olympiques qu'une fois son maître, Bush, ait divulgué son déplacement... Mais beaucoup d'autres faits et choses rentrent aussi en jeu, pour que cette gestion de Sarkozy soit comprise avec et de sa vraie nature.

    Vouloir sauver le capitalisme, des plus abjectes du moins à ses heures sombres, et que traversent de fond en combles moult escroqueries, c'est carrément persister à éteindre le feu avec de l'huile.

    La chute du piédestal de la victoire aux dernières présidentielles françaises, pour Sarko, s'est opérée le lendemain de son couronnement. Le président du pouvoir d'achat, n'a-t-il pas jeté l'éponge et éloigné son propre voeu en avouant le vide qui habite les caisses dès son installation à l'Elysées ? C'est l'une des choses qui offusque l'opinion générale. Niant sa raison d'avoir été élu pour ça et ne pouvant tenir sa promesse. Même du point de vue « travailler plus pour gagner plus », la démagogie ne pouvait être retenue... Comme elle a été formulée, c'est une affabulation traîtresse. Le chômage est, depuis des décennies, persistant contrairement aux USA et au Royaume Uni où pendant quelques années, il a été réduit comme par trêve. Du perfide !

    Mais beaucoup d'autres éléments entrent en jeu, à la longue et par la pratique du pouvoir, pour que l'opinion découvre les défaillances de Mr. Sarkozy. Il a exactement failli là où il a été vraiment attendu. L'impopularité digérée par la force des nombreuses choses négatives, va certainement accélérer un processus de mise en échec d'une politique devenue inopérante. Du fait, d'abord, de son manque de conformité avec les valeurs françaises pourtant bien scandées à chaque occasion par le chef de l'Etat. Dans ce cas justement, une forme d'indécence et de trahison colle au premier dirigeant sur plusieurs de ses plans d'action.

    Compilations des mensonges de Sarko

    La politique étrangère, pour la place de la France dans le monde, est complètement déloyale aux valeurs...

    C'est par la relation de la France avec le reste du monde, que les administrés comprennent facilement et rapidement, où le pays est mené. L'évitement de Sarkozy, tel un mépris de la France, du président chinois, lors d'une tournée européenne qui est même historique du point de vue que le pays de Mao est une puissance incontournable dans la prospérité de la population mondiale et l'avenir économique de l'Europe, a provoqué un déclic dans la population hexagonale. Cet écartement a aussi affirmé que le pays a perdu sa respectabilité, depuis qu'il est dirigé par celui qui a annoncé sa présence aux dernières jeux olympiques qu'une fois son maître, Bush, ait divulgué son déplacement. Exactement le lendemain !

    D'ailleurs en Chine et ces deux dernières années, les seules fois où des populations ont manifesté avec hostilité envers des pays étrangers, c'est devant les portes des opérateurs économiques hexagonaux et les représentations diplomatiques françaises qu'elles se sont présentées. Mais ce n'est pas uniquement à l'égard de la Chine que l'image de la France a été altérée. Beaucoup de pays d'Europe de l'est et d'Amérique Latine en ont une perception étriquée. Le cas de la Russie, du Venezuela et même du Brésil pourtant visités n'ont plus l'odeur de sainteté et de respectabilité. Celle qui a fait d'une tradition, bien française, de se positionner en modérateur des relations internationales.

    Aussi bien l'intégration de la France dans le système de défense de l'Otan que le rapprochement pratique avec les faucons qui relaient la confrontation avec le reste monde, non occidental, ont fait que Sarkozy choque de larges couches de la population française. Quand il a prononcé cette déloyauté au gaullisme qui a fait la fierté, pendant longtemps, de nombreux citoyens. L'image la plus indécente qui marque les esprits de beaucoup de français est quand il a rigolé aux éclats avec Ehud Olmert, l'ex premier ministre israélien, alors que des centaines d'enfants se font massacrés. Et puis il s'est distingué en déclarant suite à la fin de l'opération Plomb Durci (qui littéralement vaut Balles Mortelles) que c'est une décision démocratique. C'est à la limite de la morale et de l'humanisme, une connivence avec la criminalité et la disparité...

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    Que cela puisse étonner ou être relégué au second plan, c'est bien à partir à de ce repère que la cote de popularité s'est effondrée d'une manière brutale. Et depuis n'a pas cessée de rejoindre les abîmes. Le conflit du Proche-Orient connaît une évolution mondiale où s'impliquent les populations, des chaussures ont été balancées aux visages des diplomates de l'entité sioniste, en Afrique du Sud et dans plusieurs pays européens. Dans certains pays, ils ne peuvent plus s'exprimer sa ns les injuries qui étaient réservées aux nazis. L'ambassadeur israélien a été expulsé du Venezuela et le premier président à avoir été contacté par Barack Obama après son installation à la Maison Blanche, c'est Mahmoud Abbas le président de l'autorité palestinienne. La France de Sarkozy est loin de la voix emprunté présentement par plusieurs décideurs et même l'ONU.

    Parodie, Satire du pauvre con !

    Un capitalisme de l'idéologie de Sarkozy qui a l'économie de prédation en orientation essentielle.

    Mais beaucoup d'autres faits et choses rentrent aussi en jeu, pour cette gestion de Sarkozy soit interprétée selon sa vraie nature. Vouloir sauver le capitalisme, des plus abjectes du moins à ses heures sombres, que traversent de fond en combles moult escroqueries, c'est carrément persister à éteindre le feu avec de l'huile.

    Comme l'injection de 6 milliards dans l'industrie automobile, sans des cahiers de charge préconisant des projections technologiques nouvelles au lieu et à la place de faire cesser les délocalisations. Elle est bien une vaine manœuvre, cette délivrance par chèques à plusieurs zéros. Quand on sait que de nos jours, les pays émergents ont leurs constructeurs très compétitifs. Les productions des mécaniques traditionnelles sont sous d'autres cieux un jeu d'enfants. Il est question de rechercher de nouvelles voitures et moyens de transports. Sans une identification d'un nouveau type de véhicules, écologiques et techniquement évolués, cette industrie n'a aucune chance d'être gardée dans les pays occidentaux.

    De même en ce qui concerne le retrait de la taxe professionnelle que payaient les entreprises aux collectivités locales. Elle n'est pas à l'origine des délocalisations, c'est là une démagogie ! Mais la recherche de profits sur les coûts de la main-d'œuvre qui provoque de produire là où le travail est sous-payé.

    Le mensonge du pouvoir d'achat

    Une politique intérieure desastreuse.

    La manière dont est traitée la toute dernière angoisse des citoyens français des départements d'outre-mer illustre le mépris avec lequel s'est fait connaître le président Sarkozy, en traitant de racaille les populations restées à la marge de la société au niveau des banlieues. Ce n'est point de la légèreté, mais un manque de considération au peuple de seconde zone !

    Au nouveau de l'exécutif gouvernemental, il y a une déroute totale. Les cafouillages font légende, y compris avec les recrutements des personnalités du principal camp adverse, celui des socialistes. Car il s'agit d'un opportunisme des recrus dont le parti est des plus-que traitre du socialisme dont il se revendique. Parce qu'au niveau de la présidence c'est une sorte de bricolage... Et dont on conseille au premier concerné, le président, de désormais rester en retrait pour ne pas subir les pertes. Alors qu'il se refuse le portrait du « roi fainéant » et ne s'aventurerait pas à une position d'échec qui a largement pris sa place. Ce qui grandement le cas, il faut maintenant qu'il persiste dans l'enlisement !

    Certains observateurs croient que l'actuelle composante du gouvernement n'a pas de grosses pointures, genre Philippe Seguin ou Alain Juppé pour ne citer que ceux de la droite.

    On avait vu de tels supers profils chez Kouchner, Barnier et même Jack Lang. Mais chacune de ses personnalités n'a pas, dans le contexte des cafouillages actuels, la marge de manœuvre qui lui permet d'apporter l'enrichissement dû à ses compétences, tellement que le président est omniprésent. Outre que ces débrouillards sont désormais perçus comme ceux qui servent, par retournement de veste, une politique bien contraire à celle qui les a propulsés.

    Le french Doctor complètement discrédité avec un scandale qui ne peut être démenti. Outre que son poste au ministère des affaires étrangères semble être un service à la solde des guerres, n'a-t-il pas ouvertement soutenu la guerre contre l'Irak ? Et pour les derniers crimes de guerre, de décembre de 2008 à janvier 2009, commis à Gaza, il n'a ménagé aucun de ses efforts pour que l'ONU ne se prononce pas avant l'accomplissement de l'hécatombe.

    Les ministres qui n'ont aucun poids dans les affaires qu'ils gèrent sont maintenant innombrables. Xavier Darcos qui a été présenté comme un pro es. pédagogie, perd tous ses pédales. Valérie Pécresse qui a la fronde la fronge la plus éclairée de la société, est comme une poule sur un toit brûlant. Avec Yves Jégo, aussi bien l'indécis que l'attardé n'est plus à expliquer. Rachida Dati qui jouait la diva de l'intégration est tombée en disgrâce a été orientée à une voie électorale...

     


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  • Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME

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    Le sulfureux avocat est tellement photogénique qu'il fait, dirait-on, des jaloux. La délectation de Karim dans les médias avec rébellion, charisme et sérénité tous plus qu'attachants qu'arrogants, rayonne d'un tact invisible sur biens des tronches françaises affidées au pouvoir ou à l'opposition. Puisque la politique a la première théâtralité du monde, via la télé qui journellement diffuse des scènes de chamayages politicards, la prestance est côté tribunaux. L'encombrant et le déplaisant "Beur" qu'il faut écarter et qu'on passe au lynchage... La solitude du coureur de fond, disent les adages des commentateurs !
    L'ascenseur social bloqué pour un beur qui glisse en empruntant les escaliers !

    Il y a de quoi se demander si l'avocat Karim Achoui a bien trempé dans l'évasion de son client Antonio Ferrara ? En partant de l'argument qui l'accable, et qu'il dément catégoriquement, d'avoir fourni un téléphone au détenu ennemi public. Nous y voilà, dans une saga digne de notre belle ère de la communication où les personnages de la vie publique sont extraits de leur cadre professionnel. Puis liés, bras et pieds de leur vie privée, comme des proies pour alimenter la matière médiatique.

    Epoque du people qui a fait de Rachida Dati l'héroïne, la pervenue, d'une série qui a pour titre la charmante et indésirable ministre. Où l'épisode du père de son bébé a l'épilogue la plus attendue ... Envahissante Beurette, au Bling-Bling intolérable que 260 magistrats ont parié à la faire plier au supplice trop exigeant de solliciter publiquement pardon à deux de leurs collègues que la hiérarchie a sanctionné, rien que ça ! D'ailleurs seul le parfum de scandale donne thématique à cette pratique d'un journalisme, marchandiseur pour âmes sensibles... Elle aussi, s'y plaît énormément dans la vogue-fashion et le people.

    Avec les 2 Eric : Zemmour et Nhaulau 1

    2

    Cet autre acteur d'un drame, à large spectre social et culturel, traîne un boulet dont la trame est l'exclusion, en toile de fond et en avant-scène. Comme lui a proposé Karl Zero de faire du cinéma en l'accueillant sur le plateau de BFM, le sulfureux avocat est tellement photogénique qu'il fait, dirait-on, des jaloux. La délectation de Karim dans les médias avec rébellion, charisme et sérénité tous plus qu'attachants qu'arrogants, rayonne d'un tact invisible sur biens des tronches françaises affidées au pouvoir ou à l'opposition. Puisque c'est la politique qui a la première théâtralité cathodique, et dont la télé expose journellement des scènes à ses auditeurs. En effet c'est l'encombrant et le déplaisant qu'il faut écarter et qu'on passe au lynchage... La solitude du coureur de fond, disent les adages des commentateurs !

    Le maître parmi le barreau parisien, qu'est ce français de la catégorie des « Zizous », ne sait lui-même pas, en dehors de sa généalogie, pourquoi s'acharne-t-on à le présenter en l'homme de main de la pègre ? Et le roi du football français aussi. Zinedine Zidane a fait l'objet d'un livre le considérant un mafieux, tiens lui-aussi. Sans que quelqu'un rétablisse le profil de retenu qu'on lui connaît, qu'un timide qui évite les pléthores de caméras.... UN AUTRE ARTICLE SUR ZIZOU ET DATI !

    L'affaire du téléphone livré au malfrat et qui aurai servi dans son évasion, l'une des plus spectaculaires qui a eu lieu ces dernières années en France... Et qui est, ici pour nous, un autre sujet. C'est là l'un des plus fumants simulacres pour désigner au châtiment bannissant le parvenu. L'objet dit « portable » est tellement anodin, tant que ce n'est pas une arme, comme l'indice entier et probable ! A-t-on des preuves et mêmes les plus réfutables concernant une complicité quelconque avec le moyen en question qui a permis au truand de faire la belle avec un détonnant fracas ? D'ailleurs y-aurai-t-il une infraction d'avoir un téléphone ou de l'offrir... La prison en prive juridiquement les détenus d'en détenir, qui oserai commettre ce délit ? Et un avocat le ferait-il ?

    A part et de part les patronymes Karim Achoui qui assurent qu'il est « beur », donc n'a pas le droit à l'ascension sociale même en empruntant les escaliers. Il y a un diktat à faire goûter l'endurance, comme ce fut le cas du judoka d'un autre arabe Jamal Bourras qui a accusé la fédération française de judo, d'avoir fomentée son prétendu dopage. Comme l'a scandé Lepen en « Ben Gaudin », il n'y a pas de place de maire, ou bien avocat tel qu'il officie, de la ville phocéenne à un citoyen d'ascendance beure. Ce citoyen-là est bien un reliquat de la mémoire trouble. Celle qui fait penser à moult traitements ignobles et de tenaces exclusions.

    Dans son ouvrage « Un avocat à abattre »(¤), il accuse nommément un autre commissaire, de la BREC, autre que celui qui a des liens familiaux avec son ex. épouse, de vouloir sa peau ! Rien que ça, comme curiosité ? La parution est due à un vice de forme qu'à l'instauration de la liberté d'expression envers celui qui dérange. C'est, pour un praticien de la blouse noire, un jeu d'enfant que de couvrir son droit à la parole pour qu'il ne soit pas restreint. Karim Achoui, dans son livre, révèle l'existence d'une lettre de menace qui aurai été interceptée par l'Administration pénitentiaire. Terranova y demanderait au commissaire de le faire sortir de prison, sous peine de le faire plonger avec lui.

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    Il fait de l'ombre le prénom « Karim » qui littéralement signifie généreux en langue arabe. Surtout quand le présumé tireur, selon la presse, qui a failli l'atteindre de 3 balles le 21 juin 2007 est un « ripou » version milieu, c'est-à-dire « un indic ». Et si son ex-épouse est à la fois belle-fille d'un commissaire et sœur d'un autre repris de justice, l'imbroglio devient, à ce stade, l'épisode du dénouement. La justice a cette fois un bien gros poisson qui a vocation d'éclairer la précédente péripétie de la tentative de meurtre dans les règles du milieu.

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    La plus redoutée des hypothèses est que Ruddy Terranova, le soupçonné qui menace de prendre publique son implication, disparaisse ! Et pour l'outil du téléphone, c'est bien ce dernier qui utilisa 2 jours de suite son appareil pour contacter, entre le 19 mai et le 16 décembre 2007, avec pas moins de 310 appels pour le policier. L'indic du commissaire a appelé à partir des parages, du boulevard Raspail à Paris, où se trouve le bureau de l'avocat Karim Achoui. Selon le policier qui a relevé que Terranova appartient à son réseau d'indics, le truand lui fournissait des renseignements, par ces plus de 300 appels, des précis sur un projet d'attaque de dabistes (convoyeur de fonds).

    L'avocat a comparu le 6 octobre, pour « complicité d'évasion » au côté de son ancien client, le braqueur Antonio Ferrara. On se demande si la pièce à conviction, du portable de téléphonie, existe dans le dossier ? En novembre 2005, l'avocat avait été mis en examen, pour "complicité d'évasion" en faveur de son client. Antonio Ferrara, dit le "roi de la belle", figure du milieu hexagonal, le disculpe. Outre que rien n'avait pu être prouvé.

    Les démêlés de Karim avec la justice sont plus anciens. Me Achoui n'est pas un inconnu pour les services de police. Une perquisition a été menée au cabinet de l'avocat par les enquêteurs. Il avait été entendu dans le cadre de l'enquête sur la mort en 2000 d'un de ses clients, Antonio Lagès. La police avait alors suspecté la famille Hornec - des figures de la grande criminalité -, qui louait également les services de Me Achoui.

    Il reste donc qu'il a un profil que la fameuse intégration (ou assimilation) n'admet pas, lui tourne le dos ! L'opinion française est interpellée, la loi est censée prouver... Sinon innocenter qui de droit !

    ¤  « Un avocat à abattre », Le Cherche Midi. Le Cherche Midi (sept. 2008) ISBN 2749112982 - ISBN-13 9782749112985


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  • Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME

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    Aucun pays voisin de l'Etat hébreu n'a le droit au développement économique, alors pour prétendre à l'arme nucléaire...

    Selon un correspondant de Reuter la guerre est, depuis bien avant 2007, engagée par Israël contre le programme nucléaire iranien.

    Tant que l'Iran ne recule pas dans son entreprise, qu'il l'a déclarée à but non militaire et destinée à l'énergie civile, Israël tenterait inéluctablement toutes les possibilités pour faire cesser de telles ambitions dans la région. Quelque soi le voisin, l'Etat hébreu refuserait non seulement toutes ambitions militaires et même un moindre développement économique... En bombardant le Liban en 2007, les israéliens ont causé 10 milliards de dégâts... Et c'était pour saper le semblant de prospérité que le pays du cèdre a obtenu depuis qu'il est sorti de la guerre civile.

    Image hébergée par servimg.com 

     

    La dépêche signée le 17 février par Luke Baker, un reporter de la prestigieuse agence explique que la bataille est engagée depuis déjà quelques années. Citant un ancien membre de la CIA, le journaliste assure que l'Etat hébreu « ...est impliqué dans une guerre cachée de sabotage en Iran pour tenter de retarder la prétendue tentative de Téhéran de mettre au point une arme nucléaire... »
      Elle portait essentiellement sur des actions et tous les moyens pour retarder le programme iranien, avant que la frappe militaire de grande ampleur conjointement menée avec les USA, tel que le souhaitait aussi G.W. Bush, advienne. Elle devait  mettrait en ruines les installations d'enrichissement dont disposent les mollahs.
      Mais comme un changement de politique est préconisée, plus calme à l'égard de l'Iran, par le nouveau locataire de la maison blanche, tous ce qui a été entrepris à ce jour va continuer dans le même entrain.  Et que s'est-il passé à ce jour ?
      Les coups déjà tentés ou ayant arrivés à termes, ont tous été exécutés de manière à ce que les iraniens ne rendent compte de rien. 

      

    PROGRAMME NUCLEAIRE IRANIEN (2/2)
    par Yeroushalaim

     

     

     

     1-    La mobilisation de toutes les énergies occidentales afin que les matériels et équipements destinés au programme nucléaire iranien soient défectueux à leurs livraisons. Même si les fournisseurs se porteront garants de leurs produits.
      2-    Abattre le maximum de scientifiques et d'ingénieurs travaillant dans le programme iranien. A ce sujet plusieurs experts, outre des cadres de la CIA, ont la certitude que la mort d'Ardeshire Hassanpour, un scientifique nucléaire d'uranium travaillant à l'usine d'Ispahan mort chez des parents d'une intoxication par gaz en 2007, en est une. Des agents des renseignements dans le Moyen-Orient, ont déclaré à Reuters l'an dernier qu'Israël a pour cible les scientifiques du nucléaire iranien par la lettre piégées de bombes et de colis empoisonnés.
      3-    Des tentatives avérées ont été tentées à plusieurs reprises pour perturber l'approvisionnement en électricité de Natanz, une installation d'enrichissement de l'uranium dans le centre de l'Iran.
     4-    Mettre la pression techniquement sur le programme iranien est un objectif qui semble faire consensus parmi les opposants à ce que ce pays se dote d'un moindre acquis scientifique. Y compris en mobilisant l'ONU et l'opinion internationale. De ce point de vue la vente de centrales nucléaires qui est, entre autres des puissances économiques la France, un marché d'avenir et une richesse prisée par des acquéreurs ayant des ressources pour le paiement de tels acquis.
        L'alternative d'un sabotage à grande échelle devient, comme l'a été déjà bien considérée pour son coût bien moindre qu'une guerre ouverte, reste bien en vigueur. Tant que l'Iran ne recule pas dans son entreprise, qu'il l'a déclarée à but non militaire et destinée à l'énergie civile, Israël tenterait inéluctablement toutes les possibilités pour faire cesser de telles ambitions dans la région.

     

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       Même s'il n'y a pas de vérité absolue à ce stade de l'analyse, elle fait partie de ce qui est une grande guerre psychologique. Le programme nucléaire de l'Iran dérange aussi les occidentaux. Ces derniers, du point de vue que c'est des islamistes faute de ne pas trouver des communistes, qui en sont les détenteurs. Ils discernent que la solution du sabotage est bien plus abordable que de bombarder les installations ou d'attaquer le pays militairement.
      Questionnés, les responsables israéliens se refusent à un moindre commentaire, selon le journaliste de Reuter. Mais ne réfutent qu'ils cogitent  à de telles fins pour arrêter le programme nucléaire iranien. Mais Israël ne veut point qu'un pays de la région s'en sorte et ses voisins les plus mitoyens en ont fait déjà les frais. Le saccage du Liban en 2005 avec quelques 10 milliards de dégâts sur des équipements urbains illustrent ce comportement arrogant et agressif.


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  • Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME

    Cet article sur POPULISCOOP

    Le siège du parlement européen à Bruxelles a été le théâtre, jeudi, d'une attaque à main armée. Il était peu après 16 heures quand un individu aux cheveux longs a fait irruption, en pointant une arme, dans l'agence de la banque ING. Il est reparti avec 60000€...

     

    Le double braquage des agences bancaires situées au siège du parlement européen à Bruxelles sous la surveillance vaine des caméras, détonne par l'audace et l'astuce dont a fait preuve solitairement un individu. Coups inédits et qui resteront dans les annales aussi bien du milieu du banditisme que dans la mémoire de l'instance continentale.


    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Le premier coup, sur lequel peu de détails ont filtré et pour cette raison personne ne sait quant est-ce qu'il a eu lieu, a été avorté suite au manque de billets bancaires auprès de la succursale de Fortis. Le second, le bon a visé la banque ING située au rée de chaussée, a rapporté un butin de 60 000€ au malfrat qui a usé d'un talent digne du fameux Arsène lupin.
    <o:p></o:p> Il était environ 16heures quand un homme déguisé en femme, avec l'accoutrement nécessaire dont une perruque couvre sa tête et un bout de sparadrap aplati le nez, menaça d'une arme, peut-être factice, les employés d'ING. Effrayés ces derniers se sont soumis à son exigence. A une dizaine de mètres delà les vigiles, policiers et agents de contre-espionnage vaquaient dans les couloirs, patios et autres espaces de travail.
    <o:p></o:p> 

    Après avoir extorqué l'argent dans un simple sac en plastic ou en papier, le voleur s'est ensuite retiré en empruntant les dédales du siège du parlement parmi la foule. D'après le lieu où ont été retrouvées les affaires de son affublement, il est passé aux parages de la salle où se tenaient les travaux d'une conférence sur l'eau et la paix dans le monde juste quelques étages plus haut. Cette réunion était présidée par l'ex président soviétique Gorbatchev et le prince Albert de Monaco.

     

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    L'alerte donnée, les fouilles sont restées vaines et toutes les issues soumises à des contrôles rigoureux aux scanners. Les employés apeurés se sont calfeutrés dans leurs bureaux. A un certain moment, les premiers enquêteurs ont cru que le braqueur n'avait encore quitté le bâtiment, ils alors fouillé de fond en comble toutes les zones communes et accessibles.

    <o:p></o:p>

    Les questionnements qui taraudent maintenant les policiers sont : quel badge a été utilisé par le bandit et si l'arme est réelle comment elle a pu être introduite ?


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