• Réseautage et socialisation du Web, Google rajoute un plus. L’innovation du partage des resautés progresse selon des propriétés de particularisation.

    La toile foisonne d’une appétence effrénée pour les réseaux sociaux. Un mouvement où les humains s’impliquent et fécondent une nouvelle relation humaine, à la hauteur d’une vitesse que le Net prescrit.

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

    Cet article a été publié par POPULISCOOP POPULISCOOP -scoop populaire- Ecrire et publier un article. -Scoop Populaire

    Cette dernière tendance intéresse Google, après que le trésor Facebook, avec nombreux insatisfaits, en a inspiré une bonne part de la philosophie fonctionnelle et croise un potentiel concurrent. Des projets, par ailleurs, plus particularisés se sont déployés...

    Chacun y va de sa proposition d’unir des inscrits en quête d’une socialisation à la fois intellectuelle et économique. Arrive donc le géant américain qui a bâti un empire à partir du moteur de recherche après avoir exploré tous les méandres d’internet grand-public.

    Google s’est largement distingué, avec la seconde moitié de la 1ère décennie du nouveau millénaire, avec des affaires qui se sont avéré toutes reluisantes, les unes que les autres. Dernier en date en date est la bibliothèque en ligne, le téléphone G-phone et le navigateur Google-Chrome.

    G+ fonctionnement.

    Même fixé au plan de l’écran, une abondance d’échanges s’opère entre les êtres au moyen du magnifique signal, magique pour les friands, nommé Internet. Les réseaux se consolident, cette analyse explique leur évolution. Les réseaux sociaux sont partout et l’engouement pour ce genre de site impressionne plus d’un observateur du Web. Dernier en date des arrivés sur le champ du tissage virtuel d’amis, de contacts et de partenaires, Google+ des plus inévitables sites qui ne cesse de diversifier ses investissements et ses réalisations.

    Google+ a été lancé le 29 juin, avec un accès limité. Il a été restreint aux premiers membres qui pouvaient inviter d’autres, et ces invitations étaient restreintes à 150 contacts. Question de mettre cette plateforme en rodage, permettre sa détection sur la toile pour en recueillir des avis et le mouliner à une préliminaire expérimentation de quelques jours. Le cap des 10 millions de membres a été officiellement franchi le 14 juillet 2011, après tout juste 2 semaines comme le montre le graphique ci-après.

    Nous disposons chez POPULI-SCOOP, 150 invitations pour Google Plus CLIQUERpour être invité, ATTENTION seulement les 150 premiers.

    L’heure d’une socialisation des internautes bat son plein, ils réagissent désormais avec des échanges établis par les individus mis en relation. Après avoir été plus passifs parce que la technologie, elle-même ne maîtrisait pas encore une interactivité poussée, les usagers du Web répercutent leurs avis en choisissant les contenus en rapport avec leurs préoccupations.

    Les sites, depuis les années 90 du siècle dernier et ceux de la première décennie du nouveau, n’ont pas cessé de puiser dans l’imagination de leurs créateurs pour offrir des solutions à des avidités inspirées d’une nouvelle culture. Et la stimulation des innovations est restée, telle qu’elle fut depuis la nuit des temps, impulsée par l’économie.

    L’humanité retrouve donc une collectivisation qui s’en passe de la mitoyenneté géographique, car ça se passe sur écran qui a vocation de transférer des opinions d’abord. Et l’internaute, intéressé par sa propre réussite et concevant son espace ou profil, exprime ce qu’il pense être lisible, attirant et utile à autrui. Transférant dans une réciprocité des idées assimilées à son niveau et visant toute la société où cet autre est son contact ou désire avoir parmi ses relations.

    Ce lien aux prochains, quoique que pensent les sociologues de la communication, est bien réel. Maintenant que le virtuel arrive à changer le monde arabe, à mener et suivre des idées et défendre des principes de toutes natures, les enjeux se dessinent !

    Dans la fièvre du partage pleinement ouvert, un processus de socialisation. Le service Google+ consiste à se connecter aux gens et de gérer des groupes d’amis dans des cercles. Il a gagné environ 25 millions d’utilisateurs dans le monde entier en moins d’un mois, les estimations du marché chercheur ComScore Inc (SCOR), alors Facebook a plus de 750 millions d’utilisateurs actifs.

    Internet ne cesse d’apporter aux entreprises et aux humains des prouesses qu’aucun ne doute sur leurs bienfaits.

    Mais la question des différences culturelles, au niveau des terriens, laisse la porte ouverte aux innovations. De la relativité à la vision occidentale, sinon exclusivement nord-américaine, les crises ne cessent de secouer l’ancien monde. Car ce qui peut prévaloir à Washington ou Londres, ou bien Paris, prime-t-il partout ailleurs sur la planète ?

    Surtout que l’ancien système mondial, notamment économique, est de plus en plus contesté, comme civilisation dominatrice !


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  • Scandales ou Scoops, la presse observe Internet pour s’en servir, sinon elle ne fera plus rien, en contournant l’outil du Web.

    La dépendance de la presse du Web est plus valable que jamais. Une corrélation qui fait de grands pas, dans le système de modernisation de la communication sociétale. Les humains trouvent sur Internet, désormais de loin avant la presse écrite dont la déontologie connait le scandale anglais du Word News, des pratiques qui ne satisfont désormais plus la citoyenneté : aussi bien des pauvres que des puissants.

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    La presse se développe selon le nouvel outil du Web, rendant plus accessible l’information aux citoyens. La formule papier bat de l’aile devant cette mutation. Les échanges sont fluidifiés sur le circuit de la toile, et les humains s’impliquent pour que chacun informe autrui. Le virtuel gagne son audition en créant de nouveaux récepteurs avant de s’accaparer ceux fidélisés aux titres des organes en place.

    Cette accessibilité plus libérée et étendue est vécue, par la magie du Web, comme une augmentation de la qualité de la citoyenneté. Les gens en usent et en raffolent. Quand certains professionnels y voient une perte de la compétence telle que la dessinent les chaires des formations.

    Dans certains pays émergents, s’amorce la fabuleuse promotion sociale calculée à partir de la naissance et de l’élargissement des couches moyennes libérées de la fracture numérique du passé, Internet s’établit à des vitesses fulgurantes comme en Russie, en Inde et en Chine. L’information et le savoir circulent à vitesse grand V et les moyens technologiques, l’ordinateur, est parmi les premiers meubles des foyers et des équipements individuels. Dans les pays plus pauvres, l’avancée se fait difficielement.

    L’actualité d’opinions et les informations sont considérées, par certains journalistes peut-être protectionnistes de leur gagne-pain, une dégradation de la perfection que l’apprentissage élaboré et prodigué dans les écoles. Or dans ce cas d’école, c’est la défense d’un diplôme ou de la carte de presse qui ressortent. Deux documents qui disent long sur le corporatisme étroit et le balisage des échanges entre catégories, éléments et êtres qui composent le tissu social. Internet transige avec les milieux restreints. Il génère des nouvelles sphères de créations multiples et dans tous les domaines, forçant la percée des changements.

    Alors que certaines agences comme l’AFP, Agence France Presse DANS CE COMMUNIQUE, limitent à leurs rédacteurs de prendre en compte les informations du Web notamment celles des réseaux sociaux. Et même les données glanées selon et avec les contributions de bénévoles que diffuse l’encyclopédie Wikipédia -lien auteur-, pourtant créée par un français, instruction est donnée aux journalistes de s’en passer. Et s’ils sont devant cette source unique, il faut prendre soin de les vérifier. Alors que la France investit pour élargir l’usage d’Internet par les citoyens.

    En Angleterre, le scandale du tabloïde qui a piraté des émails et procédé à des écoutes téléphoniques a été, sans aucun recours, fermé. Même en étant, comme de rares organes de la presse écrite, en santé de résistance aux assauts d’Internet qui rend disponible l’information à la vitesse de la lumière, le journal « News of the Worl », malgré une traversée de 168ans et a acquis sa renommée avec des scoops, est passé à l’arrêt de publication.

    Dans un éditorial-commentaire signé par le journaliste Patrick B. Pexton, qui a un parcours très poussé dans la profession et l’investigation journalistique, il cite un exemple édifiant sur la transmission de l’information. Ce monsieur a couvert comme « localier » (journaliste spécialisé des questions locales des villes et villages) dans la banlieue New-Yorkaise, exerce comme expert des questions militaires et de sécurité (il a travaillé dans la presse militaire des USA) et comme responsable de rédactions de grands organes.

    Il dit que la socialisation, des journalistes via Internet, est vitale. Insistant, avec l’exemple que l’information lue 90 000 fois, soit l’équivalent d’un tirage d’un quotidien grand public en France, et 15 heures avant sa parution sur la presse écrite. Il cite le cas de Timothy Geithner qui recherche solution au Sénat pour la crise financière, et dit qu’il démissionnera après avoir trouvé. Cette info a fait le tour du monde sur le Web, grâce àTwitter, avant d’être trouvé dans la presse écrite.

    Dans un article du Figaro du 13 juillet 2011, intitulé « La grande machine à laver l’information » signé de François Hauter, une prospection critique est faite de la grande résistance de l’Hebdo « Le canard enchaîné ». Elle révèle les pratiques qui font du scoop auprès du journal satirique, et que le lectorat recherche réellement. Certains Blogs donnent aussi de bien crédibles scoops, notamment les opinions sortant des donnes établies.

    Or en la matière aussi, le Web précède de loin désormais, les scoops naissent d’abord sur Internet. Ce qui laisse dire aux journalistes, que ce sont des scandales ! Avant de connaître, des relais sur les supports imprimés sur papier. Edifiants les succès de Julian Assange et sa divulgation de milliers de dossiers politiques et militaires secrets. Les sujets des grands articles sont les scandales et WikiLeaks a fait éclater des scandales.


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  • Les Etats-Unis tablent désormais à créer un Internet plus incontrôlable par les dictatures et autres censeurs. Les despotes arabes ont réussi à priver leurs populations, en révoltes, de leurs droits à être en contact et à s’informer, quand ils ont aspiré à de meilleures gouvernances. Tant pour leurs Etats, qu’à la gestion des richesses ainsi que leur liberté d’expression, Internet leur est seul moyen de se lier et diffuser au reste du monde leurs travaux et actions !

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    POUR LIRE LA 1ère PARTIE : Internet va sur un contournement des censures.

    Cette donne d’un Internet contournant les censures, peut produire du scepticisme, ne pas gagner la confiance. Surtout quand les USA ainsi que les autres pays occidentaux, connus pour leurs positions et leurs manipulations, y mettent leurs mains. Car l’exemple de la Chine montre que les révoltes incitées par le Web, sont de simples pions de la domination américaine. Les logiciels qui préservent l’anonymat n’ont eu aucun succès au pays de Mao. Les chinois prospèrent, que cela agace, sous communisme !

    Mais ce sont d’abord et surtout les acteurs, de la Web-Subversion, qui créent leurs outils.Par exemple en Iran ou bien en Corée du Nord des réseaux parallèles ont déjà vu le jour. Pour Internet, la théocratie perse a eu affaire à une connexion en Bluetooth entre ordinateurs. Ainsi qu’en matière de téléphonie concernant la cloisonnée autarcie de la Corée du Nord, un citoyen a réussi à utiliser un modèle de téléphone chinois en antenne relais entre plusieurs appareils.

    Les peuples arabes qui contestent leurs despotes, sont devenus plus partagés avec les ingérences externes. Même faites avec résolutions onusiennes, les interventions sont plus présentes là où l’odeur du pétrole est omniprésente. L’œuvre technologique, le Web, épaule les subversions…

    Le projet, d’Internet libéré du joug des dictateurs, a été lancé à partir du bureau ovale de Barack Obama, afin de créer et paramétrer un Internet parallèle à celui grand-public qu’utilisent les communs. Baptisé « Valise Internet », il consiste à donner possibilité aux populations de contourner la forme banale de censure du Web, qu’est le blocage pur et simple du signal au niveau du pays quand les autorités le décident.

    Une pléiade de personnes, de divers horizons, ont été mobilisées pour la besogne. Militaires des ingénieries des transmissions, des diplomates, des programmeurs reconnus pour leur dextérité (même des hackers – pirates informatiques) et même des opposants d’une douzaine de pays prennent part. Ils apportent, chacun ses lumières, pour lancer un produit de NTIC qui puisse surmonter les censures notamment dans les pays où les populations combattent les dictatures. Bien sûr dans ce cas, la stratégie américaine dessine certainement les contours à ne pas dépasser.

    Le projet est chapeauté par Sascha Meinrath directeur de la fondation « l’Open Technology Initiative ». Cette agence gouvernementale est de son côté une idée propre à Obama, d’ailleurs l’un des premiers chantiers qu’il a lancé dès son installation, le 29 janvier 2009, à la Maison Blanche. Elle tavaille à l’accès gratuit des populations pour les NTIC.

    Prend part aussi à ce projet d’Internet libéré de tous contrôle la « New America Foundation », une fondation sans couleurs politiques chargée d’anticiper quant aux problèmes de société comme la santé. Les deux organismes s’intéressent aux questions internationales en rapport avec les intérêts stratégiques du pays.

    Originellement Internet a été lancé par la Cia et l’armée américaine. Jusqu’à preuve du contraire, ce génie technologique est devenu incontournable dans plusieurs domaines. Les entreprises, les individus et les sciences trouvent leurs intérêts et en conformité avec leurs volontés et par leurs contrôles. L’Iran songe à quitter Internet, pour créer un autre modèle, mais les peuples ont déjà leur toile…

    Ce projet financé par le gouvernement des Etats-Unis, a pour but de défier les censures. Il se présente en une combinaison du téléphone et de l’ordinateur, qui ne peut être désactivé car autonome du réseau commun.

    • - Des modèles technologiques ont été pratiqués en Iran, ce sont les internautes locaux, et avec leur génie, ont créés des modes de connexion, celui de convertir le Bluetooth avec une large propagation échappant à la censure. C’était bien avant que ne s’y intéressent les USA.
    • - Pour la Corée du Nord, un utilisateur de téléphone a découvert, peut-être par le simple fait du hasard, qu’un modèle d’appareils téléphoniques chinois peut servir comme un relaie efficace. Quand la téléphonie du pays est bloquée, de certains simples téléphones portables arrivent à lier les numéros. Certainement après une amélioration technique.
    • - Pour la Chine les logiciels, pour préserver l’anonymat, n’ont pas réussi à manipuler les chinois, qui restent conscients de la politique américaine en la matière. En imposant le contrôle de Google, le moteur de recherche étant une entreprise partenaire, a permis aux chinois de mettre hors-jeu les sites mensongers et manipulateurs.

    POUR LIRE LA 1ère PARTIE : Internet va sur un contournement des censures.


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  • 1ère PARTIE : Sur le point de voire le jour, une avancée primordiale pour les libertés ! 

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Internet un est un enjeu primordial dans le domaine de la communication sociétale moderne qui porte une assistance aux volontés des peuples. La toile est tissée et les connections sont exponentielles, alors ça donne le tournis aux oppresseurs. Son utilité, plus bénéfique que l’on s’imagine et chaque jour des créations qui lui sont dédiées, a changé les mœurs dans l’intérêt même des populations.

    2ème partie (Prochain sujet) : La valise d’un Internet parallèle à celui grand public.

    Eu égard des nouveaux usages que l’on fait du Web, c’est à la fois le lieu qui est circuit ouvert et le carrefour dédié pour la propagande et de la critique. Internet a été d’un grand apport dans la révélation de certaines vérités en matière d’informations, que les supports classiques n’assumaient pas pleinement. Les citoyens sont plus impliqués désormais, ils échangent des données...

    Sans faire esquiver, les impérialistes des USA ainsi que les despotes du Monde Arabe, à son intransigeante observation, Internet a modifié la portée de l’actualité. Les yeux des peuples sont désormais regardant, par bien au nombre de plusieurs milliards et en l’espace de quelques heures, ils constatent la vie et certainement la leur d’abord.

    Les premiers, ceux ayant le pouvoir au pays de l’oncle Sam, ont été malmenés, pour les vérités des câbles de leurs représentations diplomatiques. Quand Wikileaks a apporté sa nouvelle touche, les vérités ont remonté à la surface. D’ailleurs la suprématie de bien des puissants est devant la possibilité, effectivement donnée à ceux qui s’en servent, de surmonter les frontières, en échangeant le savoir et toutes sortes d’idées. Ouf ! Le pari semble, à ce stade, gagné pour une forme réelle de démocratie : l’expression rassurée d’être divulguée.

    Et les seconds qui convertissaient des républiques, qu’on croyait à jamais demeurées en bédouines, en nouvelles monarchies, sont ébranlés par ce qui le Printemps Arabe. Changer de destin est devenu possible. Avec les échanges des réseaux sociaux du Web, la mobilisation a fait trembler la terre sous les bottes des dictateurs.

    Internet a grandement aidé la transmission des appels et l’information concernant les soulèvements, fuitant les vérités entre les murs et barbelés des censures oligarchiques, habituellement à cheval en matière de contrôle. Et ça va continuer...

    En matière de secourisme Internet a joué un rôle primordial lors du séisme d’Haïti. Et dans nombreux pays, il est devenu primordial lors des enneigements des axes routiers, des grands incendies de forêt ou bien des expéditions périlleuses tant en mer que dans des terres hostiles. Partout et dans nombreux domaines, le Web passe pour un outil qui démontre ses bienfaits. Ses intérêts démentissent tous les doutes des sceptiques, que lesgeeks (les férus d’informatique) désignent en réactionnaires.

    Les USA ont, au début les despotes en place étaient des alliés à leur solde, hésité d’aider les révolutionnaires du printemps arabe. Puis ils se sont vite rattrapés en remémorant à l’expérience iranienne quand Ahmadinédjad a été élu.

    Dès lors la contestation qui a visé son second mandat, les opposants qui pourtant ne désavouent pas le régime intégriste des Mollah, Internet leur a permis de se mobiliser. Il a été au centre de leur désaccord avec le régime. Même avec un projet réformiste loin d’être démocratique au sens de rompre avec la théocratie, Internet les a aidé.

    En ce qui concerne les soulèvements dans les pays arabes encore en court, ce sont effectivement les dictatures qui ne s’accommodent pas des échanges via les réseaux sociauxEn Syrie le blocage n’a pas eu lieu, car il aurait été plus néfaste au régime baâthiste de Bashar Al-Assad, second rejeton d’une dynastie qui espérait une monarchie...

    En Tunisie de fausses pages facebook, entre autre autres des réseaux sociaux, ont été mises en ligne à la place du site original que recherchaient en vain les Internautes tunisiens.

    En Egypte, aussi bien la téléphonie cellulaire qu’Internet ont été bloqués. Comme pour les SMS téléphoniques, Internet a instauré une communication qui garantit les liaisonsentre les révolutionnaires, épris de liberté, les aidant à collaborer et à s’informer.

    2ème partie (Prochain sujet) : La valise d’un Internet parallèle à celui grand public.


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  • Facebook, perte d’inscrits par-ci et conquête de nouveaux par-là ! Le milliard d’inscrits sera atteint en grande vitesse grâce aux pays émergents. Facebook perd du terrain dans son propre bercail, les Etats-Unis. Les nouveaux forums de « l’échangisme intellectuel », les autres réseaux sociaux du Web, lui convoitent son attractivité et lui grignotent des parts. 

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Même s’il prend de l’ampleur à l’international, grâce aux pays émergents, qui est une découverte pour les internautes lointains des USA. Le canal Facebook connaît une chute de fréquentation aussi au Canada. Elle a été amorcée dès l’été 2010 et semble persister.

    Cette VRAIMENT fabuleuse création de Mark Zukerberg, et ses acolytes, est dans une course avec les nouveaux venus, sur Internet pour une communication assez individualisée. D’autres réseaux sociaux arrivent à imposer leurs vocations, spécificités et particularismes… et s’invitent pour un partage du gâteau ! Les chiffres le révèlent, en toute véracité.

    La toile ouverte, où il est possible de planter ses décors, accessible même aux plus jeunes. Et aussi pour en faire davantage un usage utile, genre marketing. Alors le côté « Lol, Mdr… » Et autres diminutifs, est sous un revers qui ne fait que commencer. La récréation peut prendre fin... Un jour ! Aux USA et au Canada, elle est déjà amplement ressentie. Mais Facebook espère toujours atteindre le milliard d’inscrits, d’autres frontières et géographies lui sont ouvertes avec l’amélioration du niveau de vie des pays émergents.

    Les chiffres sont divulgués par l’instance de surveillance des statistiques de Facebook,Inside Facebook, donc aucun doute sur la véracité. Ainsi selon cette direction interne à Facebook, les États-Unis sont passés de 155,2 millions d’utilisateurs actifs fin mai à 149,4 en juin. D’autres pays comme le Royaume-Uni, la Norvège ou la Russie ont perdu plus de 100 000 comptes.

    Une autre estimation, cette fois d’un organisme externe, de Social Bakers qui pronostique la même tendance : 4,8 millions d’utilisateurs en moins aux États-Unis, 1,3 million pour le Canada et 34 000 pour le Royaume-Uni.

    La France reste elle en croissance avec 605 000 nouveaux inscrits, portant le nombre total d’utilisateurs actifs dans le pays à 22,6 millions. Comme c’est le cas de l’ensemble des pays émergents, la lancée continue. Une certaine confiance dans l’utilisation des réseaux sociaux du Web existe, c’est le cas du Printemps Arabe par exemple où se connectent les révoltés.

    On note que c’est le grand boom partout, en un mois, plus de 2 millions de Brésiliens se sont inscrits sur le réseau social de prédilection qu’est Facebook. Poussant la croissance vers le milliard.

    Les espoirs demeurent avec la prise de nouveaux « Facebookers » de part le monde, qui eux souvent découvrent cette convivialité. Car les pronostics donnent que le milliard d’utilisateurs est plausible. La transgression virtuelle des frontières qui séparent les individus, les peuples, les cultures, les civilisations et les personnes vivant sur Terre, elle sera plus accélérée.

    La perte de membres déjà inscrits, exactement des effacements de profils, est de l’ordre de 6 millions. Le chiffre est inattendu, mais c’est depuis l’année 2010 que cette chute a été entamée. C’était le manque de nouvelles inscriptions qui a été signalée. Comme l’inactivité pendant l’année 2011, de ceux encore adhérents de Facebook, est certainement plus ample reste à évaluer.

    La raison ne peut être autre que la montée en puissance de concurrents, classés aussi comme réseaux sociaux du Web ayant leurs non-moindres qualités. Comme Twitter, Linkdine, Plaxo et viadéo.


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