• Cyber-attaques contre les industriels américains de l’armement, Lockheed Corp reconnaît être touché. Des Hackers frappent aux USA et angoissent la sécurité des industries sensibles.

    Depuis quelques années le pays de l’oncle Sam est visé par les pirates informatiques. Avec l’année 2011 nombreux hackers se sont pris aux fabricants d’armements. La Maison Blanche, sans citer lesquelles des entreprises, en a parlé aussi. Lockheed Martin Corp a reconnu que ses systèmes ont subi des attaques, sans révéler leur nature : espionnage industriel ou propagation de virus. Les mains derrière ces intrusions dans les systèmes informatiques restent inconnues.

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

     

    Cet article a été publié par POPULISCOOP POPULISCOOP -scoop populaire- Ecrire et publier un article. -Scoop Populaire 

    Lockheed Martin Corp, 1er fournisseur de Pentagone et du gouvernement américain en armements, a reconnu qu’une importante cyber-attaque l’a visé le 21 mai 2011. Ce n’est pas le seul fabricant du secteur militaire qui a été touché aux Etats-Unis depuis le début de l’année. Entre espionnages industriels et hackers de résistance agissant sur Internet, la main à l’origine de ces assauts n’a pas été identifiée.

    D’autres équipementiers, selon l’administration de la Maison Blanche qui s’est refusé de les citer, ont été visés par des piratages. Lockheed Martin Corp est le fabriquant d’avions de chasse F-16, F-22 et F-35. Personne ne sait encore de quelle nature sont ces frappes : propagation de virus ou espionnage industriel ?


    Reportage 1.3 Les Hackers par boola-p

    Dans ses produits on y trouve aussi des navires et d’autres matériels de haute technologie, tous en lien avec les équipements militaires. Il assure, que rapidement il a détecté et riposté à l’intrusion. Et a mis en place les procédures d’urgence, comme les changements des mots de passe à ses services et employés.

    Les autorités américaines ont déclaré, le 12 du même mois, le renforcement de la législation anti-piratage, en la rendant plus sévère. Car tous les Etats-Unis connaissent, ces 2 ou 3 dernières années, une multiplication des intrusionsde hackers dans les systèmes informatiques des institutions très sensibles. Les industriels jouissent d’une protection en la matière, qui reste vulnérable tant les pirates sont doués de leur côté.

    La sécurité intérieure américaine a précisé qu’aucune donnée n’a pu être compromise, d’après les premiers éléments de l’enquête, puisqu’il s’agit d’un opérateur économique fournissant l’armée. La compagnie a fait rapidement de son mieux, pour permettre à ses employés l’accès aux « réseaux d’information » visés par les pirates, qu’elle a commencé par les bloquer afin de parer à l’intrusion qui était en marche.

    Les auteurs de ces attaques n’ont pas été identifiés, et les opinions sont partagées entre espions de l’industrie et les groupes de combattants qui investissent désormais amplementla toile. Lockheed a rassuré son personnel et ses partenaires, qualifiant les conséquences de cette attaque de « minimes ». Mais loin s’en-faut, comme le moindre détail n’ai connu, les analystes pensent que des données ont été perdues, c’est-à-dire prise.

    Le ministère de la défense américain et les services fédéraux ont lancé une alerte depuis le début de l’année. Ils proposent de l’aide après-coup. Fournissant des recommandations pour diminuer les risques.

    De son côté, Lockheed n’a pas cédé pas à la panique et estime que ses réseaux « restent sûrs ». Mais la situation, depuis le début de 2011, inquiète plus qu’avant. Les experts disent que les autorités et les industriels ne savent pas grandes choses de ce qui se passe...


    votre commentaire
  • Plusieurs discussions ont eu lieu par le passé, autour du rapport d’Internet avec les pouvoirs tant judiciaires, législatifs et politiques. Le forum de l’eG8 n’a pas n’apporte pas grandes choses. Quand la montagne accouche, elle sort de ses entrailles une souris. Le Web est plus accéléré que la réunionite. Au même moment de la rencontre du 24 et 25 mai à Paris, en préparation du G8 où les responsables de Google et Facebook, entre autres croiseront et parleront avec les grands du monde dont Obama et Medvedev, des projets naissent et surprendront les participants quand ils les découvrent.

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

    Cet article a été publié par POPULISCOOP POPULISCOOP -scoop populaire- Ecrire et publier un article. -Scoop Populaire 

    LIRE AUSSI précédent sujet sur eG8 sur POPULI-SCOOP

    A se demander pourquoi vouloir apprivoiser le Web ? Du moins, c’est ce qui se dégage comme effluves nauséabondes de la collision espérée par Sarkozy des géants d’Internet et des gouvernements. Un sens coule et suiffe, percevable, dans le sens des dominations manifestes, alors que grondent les révoltes et plus intensément sur le Net.

    Lors du forum tenu, à la veille de la rencontre à Deauville des premiers responsables des puissances, des sphères jalouses de LIBERTE perçoivent que c’est une parade pour mauvais acteurs. Ceux qui ont plus besoin de mieux comprendre les mutations culturelles auxquelles ils participent en mettant en ligne des sites.


    Mark Zuckerberg et Maurice Lévy@l'eG8 parGuillaume_CCG

    eg8 - Tristan Nitot - Fondateur Mozilla Europe fromOWNI on Vimeo.

    Par le passé, de tels conclaves se sont avérés, comme chambres à échos, des séances pour mieux comprendre ou saisir les véloces évolutions de High-tech. Entre improvisations, initiatives créatives et investissements nouveaux auxquels il est question de raccourcir la voie d’accès aux dividendes, la course est effrénée...
    Le eG8 est une esquisse de domestication du Web qui ne dit pas son nom et sa motivation réelle. Elle ne peut songer à autre chose qu’à une mainmise du politiquement dirigiste conviant les maîtres d’un business à continuer de mettre les balises... De manière à gagner davantage. Et peut-être ces grands d’Internet trouveront encore d’autres créneaux et bénéfices en répondant à l’appel du chef de l’Etat français.
    Les questions primordiales du modèle démocratique, si tel est le sujet visiblement identifié que véhicule réellement le « eG8 » du 24-25 mai, ne peuvent pas aussi s’en passer ou ignorer une nouvelle « citoyenneté connectée ». Elle s’établit avec l’entrée dans les mœurs culturelles des humains de l’informatique qui change irréversiblement la communication sociétale.
    L’individu, les familles et tout l’environnement socioéconomique s’ouvrent à des échanges d’idées qui ne se limitent à uniquement pas l’information. Tous les domaines se croisent sur la toile, l’usage d’un outil à leur service fait simplement cogiter Monsieur Sarkozy !

    Certains acteurs d’Internet ressentent que le pouvoir leur appartient aussi. Ils viennent au G8, des chefs d’Etat jeudi à Deauville, pour demander que le libre accès au web soit garanti par les Etats. D’où un clivage avec les responsables politiques. Contrairement aux journalistes, aux écrivains, aux artistes et autres vecteurs des expressions qui peuvent être encore censurés par les éditeurs à la solde d’officines occultes, et qu’Internet peut émanciper… Mais quand l’accord est consommé entre les responsables politiques et ceux des grands de la toile (Facebook, Google…) même la liberté de ceux qui dérangent est sous risque !
    Les tentatives de contrôle de la toile ne manquent pas. Les soulèvements dans le monde arabe ont largement démontré que les capacités dont disposent les autorités politiques des Etats. Pour endiguer signaux et flux, ainsi que pour noyauter les réseaux épris de liberté…

  • L’industrie du divertissement, qui est certainement le plus large usage, souhaite interdire le partage de la culture entre internautes pour paramétrer la consommation passive. Garder une mainmise sur l’accès au savoir au plus large public.
  •  Les géants ayant des services exigeant des inscriptions à toutes les activités en ligne d’une manière centralisée collectent et procèdent à un business avec des données personnelles. Dont certains ne peuvent, ou ne veulent, pas réduire les fuites de ces informations qu’ils recueillent.
  •  Les fournisseurs d’équipementiers et de logiciels, prennent part aux censures et contrôles qu’érigent les pouvoirs autoritaires, lors de juteux contrats. Et ce au détriment des citoyens qui eux suivent l’explosion de la communication électronique.
  •  Et enfin la fin de l’époque de la télécom classique (téléphone et courrier écrit) les opérateurs ne pardonnent rien à Internet. Notamment en matière des échanges nouveaux disputant leur règne révolu. Leur exigence unique "une neutralité" qui viderait l’essentiel !

votre commentaire
  • Facebook poursuivi en justice pour une page désactivée, 1 milliard de dollars réclamé par le juriste qui la créée.

    FACEBOOK : une page désactivée peut coûter 1 milliard de dollars. Un éminent juriste pose la question de l’éthique de Facebook quant à la légalité internationale et la liberté des peuples.

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

    Cet article a été publié par POPULISCOOP POPULISCOOP -scoop populaire- Ecrire et publier un article. -Scoop Populaire 

    Pour une page désactivée sur Facebook, le citoyen américain Larry Klayman réclame 1 milliard de dollars. L’information méritait d’être minutieusement vérifiée parce que tombée le 1er jour du 4ème mois de l’année, sans être un poisson d’avril. Elle avait tout l’air d’un canular, personne n’y croyait. La 3ème Intifada des Palestiniens prévue le 15 mai attaquée par l’Etat hébreu et la connivence de Facebook ! La PAGE DE LA 3eme INTIFADAH a fait 340.000 fans en quelques jours.

    Facebook est soupçonné d’être pro-sioniste, et ce fait rajoute une couche parmi celles qui couvrent les criminels de guerre et les mercenaires (ayant plusieurs nationalités jointes à celle israélienne) guerroyant au sein de Tsahal.

    Ce qui rappelle aussi que Facebook désactive les comptes et annule les pages, sans aucun moyen de recours. Comme il attire une flopée de pirates et de semeurs de virus. Tomber sur un juriste chevronné, le géant réseau social qui a le vent en poupe sur le Web, est devant une procédure judiciaire qui intéresse beaucoup de monde tant en Amérique que dans le reste du monde.

    D’abord parce que la somme, du milliard, n’est pas anodine. Et ensuite le personnage, juriste de profession qui, a du culot pour les observateurs de ses multiples actions, en est derrière étant un agitateur aux manches bien retroussées pour que les consciences s’éveillent. Tant son grand attachement pour une justice à faire travailler sans relâche, afin de casser les arbitraires et dénouer les conflits de sociétés et de toutes natures, reste un exemple pour toutes les tribunaux et les lois.

    Larry Elliot Klayman est juif américain. Il est à l’origine de l’ouverture d’une page Facebook appelant à une « 3ème Intifada contre la population israélienne. » Elle a été désactivée le 29 mars, selon une interprétation la plus controversée de la charte de Facebook, pour l’accusation qu’elle lançait des appels directs à la violence. Or nous en sommes ici devant un cas où se pose l’éthique humaine ainsi que la légalité internationale.

    LA PLAINTE DE LARRY KLAYMAN

    110331-Fbook-Complaint

    <script type="text/javascript"></script> <script src="http://i.docstoccdn.com/js/check-flash.js" type="text/javascript"></script>

    Car pour une occupation colonialiste, peu couverte de la justesse des résolutions onusiennes, qui spolie un peuple de sa terre pour lui substituer un autre. L’usage de la violence qui a troublé le monde lors des massacres de Gaza en 2009, ainsi que les dénonciations de nombreuses personnalités et institutions internationales, Facebook touche cette fois à une ribambelle pour reconsidérer son éthique en matière de conflits et de politique internationale. La page qui vit sa contestation d’une manière discrétionnaire a engrangé 340.000 fans en l’espace de quelques semaines après son lancement. Lesquels sont médusés !!!

    Son contenu incite explicitement les Palestiniens à descendre dans la rue après la prière du vendredi sur le 15 mai 2011. Pour commencer un soulèvement dans la veine et l’ampleur des deux premières Intifadas populaires. Dans le contexte de ce qui est le printemps arabe, cet appel a eu l’écho, non pas seulement au sein des peuples arabes, mais a atteint plus largement des personnes de toutes les nationalités.

    La suppression de la page, selon nombreux observateurs, a été commanditée à contrecœur de tous les « facebookers » par le gouvernement israélien. Après une augmentation, pendant la courte existence de la page, de la pression exercée, sur Klayman qu’il a lui-même déclaré, des organisations juives dont la fameuse l’Anti-Defamation League. Mais rien ne l’a empêché de déposer une plainte contre la société Facebook.


    votre commentaire
  • Deauville, G8 du Net à la veille du G20

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

    Cet article a été publié par POPULISCOOP POPULISCOOP -scoop populaire- Ecrire et publier un article. -Scoop Populaire 

    Annoncée en décembre, l’initiative du président français pour la tenue d’un G8 du Web, se confirme. D’emblée il faut savoir qu’auparavant de telles réunions se sont révélées comme des table-rondes de vulgarisation aux participants. En plus songer que les maîtres du Web seront face aux chefs d’Etats et de gouvernements des premières puissances économiques, est une chose plausible, c’est la devinette ?

    Souvent la haute technologie précède l’imaginaire, ses performances se découvrent toujours davantage, laissant les humains comme des dindes face à leurs bouchers ! Quand les nouvelles technologies ne cessent d’acquérir à chaque instant des innovations multipliées, elles accouchent de procédés et machineries inconnus. Toute impromptue décision, ou inadéquate avec les avancées, serait fatale et endiguerait la création.

    Ce « G8 du net » a mobilisé Eric Besson pour un périple à la Silicon Valey. Prévue pour les journées du 23 et 24 mai à Deauville, une ville française plus connue pour son festival de cinéma, la rencontre précède le sommet du G20 qui doit se tenir les 26 et 27 mai. Son but reste encore à déterminer, du point de vue que le contenu se devine. Nicolas Sarkozy avait déjà reçu les acteurs du Web français et leur fait la primauté du sujet.

    Un précédent G8 a eu lieu en 2000 autour du thème cybercrime, il n’avait débouché sur rien. De même que les désaccords entre les Etats participants au G20, plane toujours. Alors que l’opinion mondiale est versée à observer d’autres urgences, comme le Printemps Arabe. Ce nouveau conclave, des pays riches consacré à la toile du Web, n’a pas encore révélé son principal ordre du jour.

    Car les thèmes ne manquent : la neutralité d’Internet et la protection des données, outre la cybercriminalité, la pédopornographie et la propriété intellectuelle. Aussi la fiscalisation de l’économie numérique, considérée comme non encore pleinement suivie, devrait être discutée. La fracture numérique des pays du Sud, la liberté d’expression et la standardisation des téléchargements.

    Le ministre français (chargé de l’industrie, de l’énergie et de l’Economie Numérique) se contentera de rencontrer tous que les numéros 2 des grandes boîtes ayant l’incontestable pignon sur les autoroutes du Net. Ses entretiens avec le vice-président de l’Icann (autorité d’attribution des noms de domaine), du conseiller du président de Barack Obama aux NTIC Aneesh Chopra, de facebook, de google et de Twitter, sont des préparatifs tentant de définir les travaux qui comptent apprivoiser la chose furtive du signal internet...

    Au moment où se joue sur le Web une profonde transformation de certaines régions du Monde, dont le Printemps Arabe qui tient le haut du pavé, normalement le volet politique se trouve au premier plan du menu. Regrouper le 37ème sommet, où sont attendus les présidents russe et américain, des chefs d’Etats et de gouvernement (des 8 puissances économiques mondiales) avec les principaux exécutants de l’Internet, n’est chose déjà faite. L’est-elle vraiment cette fois ?

    Or les premières têtes de Google, Facebook et Twitter se risqueraient-elles vraiment ? Rien n’assure une telle réunion des sommités politiques avec ceux du Web.


    votre commentaire
  • Comment les dictatures bloquent Internet, l’expérience tunisienne en primauté des études de cas.

     

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

    Cet article a été publié par POPULISCOOP POPULISCOOP -scoop populaire- Ecrire et publier un article. -Scoop Populaire  

     

     

    Longtemps certains internautes étaient sceptiques et ne croyaient pas aux manœuvres de censure du Web. Notamment les réseaux sociaux, par des Etats dont les dirigeants sont des dictateurs restreignant les libertés. La révolution des jasmins en Tunisie fut un laboratoire pour vérifier de telles pratiques. Facebook a réagi en installant un genre de « captcha » qui consiste à vérifier l’utilisateur par ses amis, en lui demandant d’annoncer l’un d’eux. De même de lui solliciter de rentrer son mot lors de la déconnexion. 

     

    Mais le contrôle est bien plus élaboré côté CIA et autres tyrannies universelles imposées à des peuples par les occidentaux en particulier et les USA en particuliers. Ce jeu, de mettre en échec les liens entre les personnes contestataires des autocraties illégitimes, s’est désormais vérifié. Et c’aussi la fabuleuse révolution des Jasmins d’un pays maghrébin dont le peuple a largement démontré sa grandeur et ses capacités à se défaire de l’autoritarisme mafieux des Ben Ali/Trabelsi, qui a fourni les preuves de cette nuisance officielle à bloquer Internet.

    D’après le magazine The Atlantic, avant le soulèvement du peuple tunisien, le gouvernement a généré une attaque dite de « l'homme du milieu » (HDM) (ou man in the middle attack « MITM ») contre les utilisateurs de Facebook –Page de de POPULI-SCOOP, actifs dans le pays, afin de détourner les mots de passe. Mais son plan contre les dissidents a échoué. Ce journal a donné des détails, sans vraiment bien éclairer le méfait, comment ont procédé les officiels tunisiens assujettis aux assauts de la jeunesse avide de liberté et surtout de redresser la situation de la Tunisie tombé entre les mains d’une camorra.

    Les FAI (Fournisseurs d’Accès Internet), qui sont des entreprises locales, devaient être mis sous contrôle. Afin de diriger les internautes sur un faux facebook ainsi que pour d’autres sur d’autres réseaux. Les opérations consistaient aussi à introduire des virus dans les ordinateurs des utilisateurs, qui eux sont chargés de récupérer les mots de passe. Ces rares détails sur les manœuvres d'attaque ont été fournies par Facebook  lui-même GROUPE communauté POPULI-SCOOP. Facebook a constaté les attaques, et a mis en place la technique sécurisée, qui se déploie avec l’url (adresse Web) HTTPS.

    Continuant ses pressions sur les FAI, ces « https » ont été à leur tour bloquées. Facebook demandait aux utilisateurs de s'authentifier aussi au moment de quitter leur session, étape où ils pouvaient être vulnérables, en identifiant des amis pour contrecarrer l'opération d'espionnage. Selon nombreux spécialistes cette méthode a été efficace. « Quand vous prenez du recul et vous réfléchissez à la manière dont le trafic Internet est acheminé à travers le monde, vous vous rendez compte qu'une quantité surprenante de données est susceptible d'être mise sous contrôle d'un gouvernement, » peut-on lire dans l'article qui cite les propos de Joe Sullivan, le chef de la sécurité de Facebook. 


    Vinton Cerf au sujet de la censure sur Internet
    envoyé par fifdhgeneve. - L'info internationale vidéo.

    La Tunisie a permis une telle expérience, car de nombreux régimes de pays arabes et d'Afrique, l’Algérie et l’Egypte sont actuellement en tête de telles pratiques. Les autorités de ces pays restreignent autant qu'ils le peuvent la dissidence sur Internet, même si ce n'est pas toujours avec le niveau de sophistication dont a fait preuve le régime tunisien. Aujourd'hui, l'Egypte a purement et simplement bloqué l'accès à Facebook et Twitter.


    votre commentaire


    Suivre le flux RSS des articles de cette rubrique
    Suivre le flux RSS des commentaires de cette rubrique