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    Au sens de bricolages et de médiocrités typiques d’une France déconnectée de la maîtrise des nouvelles technologies, pour dire vrai : décadente, il y a une série de critiques que j’ai comptées. Et en vous rappelant l’histoire du site France.fr, il faut noter qu’elle est niée par l’opinion générale française contrairement à l’intéressement des férus du Web et de certains journaux.

     

    Car noyée par la Woethergate (affaire l’Oréal et le conflit d’intérêts) et par aussi l’ampleur des discours xénophobes pourtant bien officielles. En fait elle fait partie d’unensemble, et ce n’est qu’un constat d’une vaste débandade. Une gouvernance insoutenable qui semble tout droit venir, sinon vraisemblablement à son image, d’un chef de l’Etat sorti des ténèbres qui convertissent le miel en charbon.

    Prenons donc la plus significative, car en rapport avec Internet qui fait désormaisl’information. Une, parmi les tares qui marquent l’année 2010 d’une indélébile symbolique. Le site web, une vitrine qui a été attendue reluisante avec les festivités de la fête nationale du 14 juillet 2010, n’a pas marché. La fête a été gâchée, et ce restait : les relents néocolonialistes où les armées de pays africains, anciennement sous occupation avec le discours des bienfaits de…, sont venues défilées sur le macadam du boulevard des champs Elysées. Même si elle angoisse les plus jaloux des performances du pays, qui ont été déçu, cette affaire incarne les dérives des politiques de Sarkozy.

    D’emblée il faut annoncer que le site, France.fr, qui a planté au premier jour de son lancement a coûté bien plus d’une centaine de millions d’euros. Ce chiffre n’est pas anodin pour une conception de cette espèce ? C’est chèrement rémunéré, surtout quand les erreurs 404 sont plus que pléthoriques, d’après les premiers constats. Le gagnant du contrat, la société Cyberscope, assure qu’elle a remplit ses prestations conformément au cahier des charges.

    L’identité écrase la citoyenneté en France.

    Elle a laissé nombreux citoyens dans un état d’avilissement inexplicable. Et elle n’est pas bien et encore décortiquée par les analystes. Parce que son sujet d’une sociologie fraîche, encore tâtonnante et qui n’a pas élaboré ses thèses. Elle n’a de réponse qu’en situant les responsabilités. Qui a fait quoi, qui a initié le projet sans suivre sa propulsion et qui doit répondre ? Le SIG, un service rattaché au premier ministère a passé la commande, lancé l’appel d’offre…

    Cette bévue trahit aussi la belle façade des efforts présidentiels qui se démêlent de lacrise en s’engouffrant davantage dans les méandres de celle-ci, puis en encaissant l’échec et encore un autre ! Il n’y a pas âme à parler, pas le moindre communiqué. A lire cette page du lien, on s’en fait une idée.

    Nul ne peut naître ave son permis ou son bac : c’est-à-dire on ne peut pas tous savoir.

    En matière de médias modernes, les êtres humains et leurs élites sont devant une communication qui s’amplifie chaque jour pour des liens consolidés et la confiance en son prochain, institutions et personnes, virtuel. L’indisponibilité du site Web « France.fr » échappe à toutes les perceptions alors qu’il s’agit, d’emblée, de comprendre à quoi est due la monumentale maladresse ? Déjà il faut y être dans les circuits et cadres de ces nouveaux pouvoirs, le 4ème celui des médias, pour en explorer leurs réalités, s’imprégner de ce qu’il en est exactement.

    Les « geeks » qui ont les clés de ce réseau magique qu’est le Web, prennent les premiers postes et ne se préoccupent des suites qui les talonnent que pour leur baliser les croyances. De vrais prophètes des temps modernes. Mais généralement, certains se sont prononcés sur le fiasco de France.fr, ils ne font que du commerce et avec une avidité d’un capitalisme vachement excité pour dépasser sa crise. Chacun met au devant son expertise, sans vraiment être suggestifs de solutions ou de l’audit préalable qui s’imagine et anticipe les failles.

    Ce sujet du site France.fr est la représentation des bourdes qui relèvent de l’aléatoire mathématiques qui obéit à la théorie des probabilités. Celle avec laquelle les processeurs identifient les lectures, pour les convertir en page visibles à l’internaute, des codes transmis à partir des serveurs basés chez l’hébergeur. Dire que les terroristes (par exemple) hébergent eux-mêmes leurs sites, pour s’en passer d’un intermédiaire qui peut faillir, alors on se demande à quoi est due cette histoire de haut lieu gouvernemental. C’est-à-dire que dans cette chaire, des incertitudes des arithmétiques, ceux qui marchent debout trébuchent. Pourtant elle est emblématique à plus d’un titre, à l’époque où la toile du virtuel connait de nouvelles mutations, en effet à l’heure où la moitié des terriens utilise Internet.

    Certains Webmasters, présentés comme des experts par le nouvel.Obs, tablent d’abord tous à promouvoir leurs boîtes quand ils sont questionnés. Ils indiquent Drupal, le système de publication, qui a été utilisé. Un CMS qui ne peut pas être incriminé du fait de l’amovibilité qu’offrent les CMS de manière à les modifier selon les besoins et avec des compétences avérées en Webmastering. Notons que POPULI-SCOOP sur lequel est publié ce sujet utilise SPIP.

    google - Yahoo

    Ils croient que Drupal n’est pas approprié. D’autres pensent que les serveurs de l’hébergeur qui ont été saturés, ne supportant le flux de visiteurs, comme fut le cas pourEuropeana la bibliothèque européenne (rapporté par notre modeste organe de cyberpresse). Mais cela n’a pas eu lieu avec lancement de la bibliothèque en ligne de l’Unesco et qui a été rapporté sur POPULI-SCOOP. Ce qui est plausible au regard de ce précédent, mais loin s’en faut il n’a pas été pris en compte.

    Et d’autres encore croient qu’à la source, la programmation des concepteurs du site n’est si performante en matière de suivi. Ces derniers ont juste fourni une plateforme sans avoir fait des simulations de fiabilité pour s’assurer que le site sera fonctionnel. Et c’est certainement cette dernière thèse, qui pour nous est justifiée, car ignorer les antécédents et tous autres phénomènes, y compris l’improbable, sont dressés en un relevé. En outre la veille, commune du SIG et des prestataires, lors du jour « J » est prépondérante.

     


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  • Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    … Avec de la Maison Blanche et du secrétariat d’Etat.

    Des régimes de plus en plus émancipés de l’impérialisme américain comme la majorité des Etats sud-américains, sont exposés à des manœuvres de déstabilisation par le biais des réseaux sociaux. Un acharnement inégalé prend forme chaque jour, mais sans créer des implications vraiment actives. Dans certains cas, c’est même l’effet contraire, des distances et des ripostes sont prises des essais américains. 

    Des régimes de plus en plus émancipés de l’impérialisme américain comme la majorité des Etats sud-américains, sont exposés à des manœuvres de déstabilisation par le biais des réseaux sociaux. Un acharnement inégalé prend forme chaque jour, mais sans créer des implications vraiment actives. Dans certains cas, c’est même l’effet contraire, des distances et des ripostes sont prises des essais américains.

    Ces espaces numériques de mise en relation et de diffusion d’informations et de certains contenus culturels, sont aussi un véritable champ politique. Les USA qui gardent l’initiative en matière de la toile avec Microsoft, Google, - Facebook, - Twitter et bien d’autres plateformes, ont choisi de propager leur endoctrinement via ces systèmes électroniques, illimités et s’en passant des frontières.

    Avec l’avènement des forums de discussion de la fin des années 90, qu’a précédée et stimulée la généralisation offensive de l’utilisation d’Internet, la chose a été prise au sérieux par les champs de confrontation idéologiques. Ceux qui s’en servent le plus, sont ceux qui ont facilité à les introduire publiquement et de la manière informelle. Grâce surtout à la teneur des débats qui se tenaient lors et dans ces échanges, c’est même une majeure préoccupation pour les autorités américaines d’être présentes et d’orienter les participants prédisposés à jouer le jeu.

    Depuis 2008 l’effet politique du virtuel sur la vie réelle a été constaté très plausible. Du fait de l’éclatement des interconnexions entre personnes, par la magie des réseaux dits « sociaux », le champ d’action se déplace continuellement sur la toile. Puisque ces derniers entretiennent de sérieuses discussions, en mesure d’influencer le quotidien et même d’être à l’origine de mouvement sociaux comme en Iran... Qui ne songerait pas d’en faire, de ses rencontres virtuelles, sa boîte à outils pour influencer le monde ? Les individus s’y sont mis jusqu’à l’addiction pathologique et les Etats ne sont pas en reste.

    A ce stade de l’évolution numérique de la civilisation humaine sur d’envisageables relations humaines décalées et à haute mobilité sur le Web, que les sociologues qualifient de progrès, la CIA n’est pas indifférente. Comme appareil central de surveillance et d’intervention idéologique d’un impérialisme basé essentiellement sur la domination d’autres peuples pour les intérêts américains, l’agence n’est pas restée dans l’expectative. Surtout et en premier lieu cette boîte très active en matière de manipulation et de complots. Elle a vite et spontanément remis au goût du jour ses structures classiques en rapport avec le rayonnement idéologique du pays de l’oncle Sam.

    Le fameux congrès pour la liberté de la culture, qui date des années 50, plus connu sous le nom « congress for cultural freedom », s’est le premier intéressé à cette nouvelle tendance d’investir individuellement et collectivement le Web pour élargir la géographie de l’influence américaine. Cette succursale dont la création a été largement soutenue en Europe, visant les arts, les intellectuels et les milieux universitaires est à la pointe des centres de la psychologie anticommuniste. N’ayant pas ses propres sites internet connus comme tels, la CIA procède désormais par des recrutements sous forme noyautage des activistes, via les réseaux existants, des personnes présentes et exprimant des positions qui conviennent aux states.

    Et surtout elle est tentée de créer des activités subversives, sous son paradoxal label du « démocratisme » qui s’avère contre-productif en matière de terrorisme. En encourageant les regroupements et recoupements des oppositions hostiles aux régimes des pays qui désobéissent à l’orientation globale de la Maison Blanche, les Etats-Unis mettent les bouchées doubles pour rentrer en contact avec leurs larbins.

    Parmi ses plus illustres et récentes activités le AYM « Alliance of Youth Movements » où madame Clinton en personne a livré un message à une communauté, comme le montre la vidéo ici-bas. Dès les premières heures de la journée du 15 octobre 2009, quand la ville de Mexico a accueilli un sommet regroupant certains « Geeks » et bloggeurs ouvertement favorables à l’impérialisme. Comme la jeunesse est friande de la nouvelle technologie, alors que les séniors préfèrent quitter leur monde sans y mettre la main, les populations présentant des perspectives politiquement plus aptes à s’inscrire dans la stratégie américaine sont appelées à suivre les adeptes rassemblés pour la circonstance.

    Traduction de l’introduction de la secrétaire d’Etat américaine, lors des journées du 28 et 29 octobre 2009 : « Vous venez de cultures et de pays différents, et vous parlent des langues différentes. Mais vous partagez tous un engagement commun de dialoguer avec le monde, en utilisant tous les outils à votre disposition pour rassembler les gens à résoudre les problèmes. Et qui vous faites le genre de dirigeants, dont nous avons besoin pour que nous travaillons à relever les défis et saisir les opportunités du 21ème siècle. »

    43 délégués sont venus du monde entier (Etats-Unis, Turquie, Sri Lanka, Canada, Royaume Uni, Irlande, Moldavie, Colombie, Inde, Pérou, Brésil, Liban, Arabie Saoudite, Jamaïque, Malaisie, et Mexique) à Mexico. L’absence de certains pays, comme Cuba ou bien la Chine, potentiellement imprenables est remarquée. Cependant les intervenants, outre la secrétaire d’Etat Mme Clinton, les animateurs de la campagne électorale de Barack Obama ont largement guidé les discussions. 


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  • Voir en ligne : Signer l’appel, SUR WIKIO, pour le droit à l’anonymat sur Internet...

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

    La phobie des nouveaux médias est quasi généralisée, alors qu’on nous assène quotidiennement que seuls les dictatures limitent le droit à l’information et à l’expression. Justement, dans les systèmes qui ne tiennent pas à ce que jaillissent, loin et libérés de leurs girons dominateurs, de nouvelles paroles, grondent. Le regain d’affirmations négatives qui voient échapper la liberté à leurs contrôles injustifiés, est comme une pelure qui espère contenir les bourrasques.

    La possibilité de maintenir, de la manière la plus réactionnaire (c’est-à-dire contre tous progrès), sous la coupe des circuits et canaux médiatiques traditionnels et révolus par les TIC, peut-être tentée ! Mais en vain, la rotation de la roue de l’histoire humaine obéit à des règles objectives. Et aucun mur ne pourra pas obstruer ce cheminement, qui ne tourne pas le dos au destin inéluctable.

    JL Masson anonymat des blogueurs

    envoyé par jcdrf3. - L'info video en direct.

     

    Sous d’autres cieux où l’on perçoit l’évolution d’une manière progressiste, qui est l’opposée naturelle de la réactionnaire, on consacre désormais les médias et la presse en ligne de distinctions. Chose qu’on n’imagine pas encore, ici-bas et en France, de telles reconnaissances.

    Avec l’éclatement du Web 2.0, à l’origine de la floraison des médias sociaux qui eux finalement ont créé des liaisons entre leurs « pratiquant-citoyens », nous en sommes à une volonté de réduire l’impact de la nouvelle communication « sociétale ». Surtout au niveau des pays et Etats, qui ont toujours voulu aussi bien le « démocratisme » que la mondialisation, accepter cette nouvelle donne est peut-être plus dangereux que tolérer d’autres séditions pour la justice sociale ou bien simplement l’égalité des droits. Surtout que ce regain de citoyenneté dérange beaucoup plus les privilèges établis depuis des lustres.

     

    La remise en cause de la confiance dans l’économie numérique, promulgué en juin 2004 en France, est à l’origine d’un vent de panique chez nombreux blogueurs. Depuis que le sénateur Jean Louis Masson a proposé un projet de loi pour l’identification des auteurs des expressions sur le Web, la ressemblance va jusqu’à qu’il faut aussi montrer patte blanche pour accéder à l’info, puisque le droit de l’émettre exigerait de montrer son identité pour la diffuser.

    En réalité il n’est pas seulement question de mettre des coordonnées sur les supports et plateformes diffusant de l’info et commentant l’actualité. Mais bien plus loin, il s’agit de mettre le contrôle en branle pour limiter les possibilités du Web, qui s’en passent aussi bien des frontières que des balisages quelque soi leurs formes et leurs décideurs.

    Mais c’est aux bricolages médiocres que l’éthique de la Com. se trouve exposée. Et risque grandement de se faire bafouer. La méconnaissance de la genèse du Web et de la modernisation de cette communication sociétale, nous interpelle. En fait depuis 1996 que les choses ont été dites, et avec des experts avisés qui ont décrété qu’il est impossible de limiter cette citoyenneté aussi virtuelle soit-elle. L’édifiant texte, visible sur le lien qui précède n’a pas d’égal ! Et il date déjà de 15 ans.

     


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  • Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME 
    Site de ARGOTHEME.        

    L’avènement d’Internet a changé le monde des échanges quelque soi leurs genres. Non pas seulement commerciaux (puisque le terme « échange » est péjorativement utilisé en synonyme de transaction), mais l’ensemble des relations entres individus et entités. Particulièrement en matière de communication, les rapports s’ouvrent à tous pour que les plus créatifs accèdent à la bonne place. Le journalisme et tous ses cadres d’exercice, aussi bien les organes que les pratiques du métier, se sont modifiés avec le Web, malgré les réticences légitimes des positions acquises.

    L’idée de « médias citoyens » était en l’air depuis toujours, et est en rapport avec le nouveau rôle de l’élément humain. Elle consiste à dynamiser l’esprit et la volonté de faire des organes qui tiennent compte de l’objectif de faire de la citoyenneté le creuset de l’activité de la communication « sociétale ».

    Aucun doute que c’est l’aspect en rapport avec l’individu qui au premier des convictions des « médias citoyens ». L’éthique et l’honnêteté intellectuelle sont tellement désirées par les populations, les consommateurs, les puissances de l’argent avaient exclu cette perspective pour se remplir davantage et d’abord leurs poches. L’entretien de l’irrationnel comme l’horoscope ou bien la mise-au-devant des caractéristiques « people », ne sont point en accord avec la profondeur de l’aspiration, des consommateurs, à des médias vraiment utiles pour un traitement exact de l’information, la diffusion saine de la culture et l’offre de distraction. Présentement, l’époque technologique met à portée des populations cet idéal, la conquête de réaliser leurs médias dits citoyens dont fait partie notre modeste POPULI-SCOOP .

    La grande leçon qui a fait que le citoyen se sert de ses outils familiaux et individuels pour couvrir l’actualité et faire même le scoop, en fournissant mieux que le meilleur des professionnels des illustrations dépassants tous commentaires et analyses, fut le tsunami de 2004 qui a fait quelques 300 000 victimes en ravageant des zones côtières de nombreux pays. Les gens avaient instinctivement manipulés leurs minuscules appareils téléphoniques et leurs caméras pour immortaliser leurs voyages touristiques, et avec une formidable réactivité, pour produire une couverture médiatique inégalée et inconnue dans les annales de la communication établie par les canaux traditionnels dont disposaient les grands trusts. L’évènement a échappé aux médias dits traditionnels !

    Depuis ce réflexe est devenu l’ultime recours, surmontant l’absence du journaliste attitré comme employé d’une chaîne de l’audiovisuel, d’un organe de presse écrite et d’agences qui ont possédé des monopoles et des exclusifs. Geste plus participatif que des citoyens s’arrogent désormais, en déclassant toutes les formes de manipulations et raisons réductrices même celles qui se targuaient d’être des services publics ou s’apparentaient de la vraisemblance d’indépendance. Internet l’a permis et est devenu depuis un moyen de diffusion largement adopté par un monde tout à fait parallèle au classique qui s’amenuise sous les yeux de tous, avec l’évolution de la donne : « éclatement des espaces communicants ».

    Cette évolution a, encore depuis plus d’une décennie déjà, créé moult questionnements aux  acteurs des médias où qu’ils peuvent exister et agir. Chercheurs en quête de nouvelles théories, journalistes praticiens de terrain et passionnés autodidactes s’y mettent à tous les échelles de trouver réponses à la mutation en marche avec une promptitude qui installe le nouveau à la place de l’ancien.

     L’évènement du 4ème Festival International du Journalisme, où l’observation des nouveaux médias épris de présence citoyenne ne fait aucun doute.

    Les filets sont balancés en mer, la pêche de l’information s’ouvre à tous. Et les scoops reviennent de droit à la promiscuité de ceux qui les croisent les premiers. De même que l’analyse de l’actualité, peut-être en restant exigeante en matière de connaissances du sujet traité, échappe aussi à ceux qui ont toujours cru pouvoir seuls l’approfondir, en émettant surtout un point de vue que de strictement vouloir et se soumettre à l’impartialité.

    L’ère du numérique ouvre grandes les fenêtres pour que de nouveaux airs se respirent et oxygènent méninges et entrailles de pures productions faites par ceux qui ont été consommateurs, et selon leurs goûts. Bloggeurs à vous la nouvelle époque, individualités et autres communautés de médias citoyens dans l’arène de faire autrement la communication, ils répondent d’abord à leur propre besoin.

    Du 21 au 25 avril 2010 se tient à Perugia (Pérusia, Pérouse), le 4ème festival du journalisme. On avait longtemps que le terme festival ne s’appliquait judicieusement qu’aux arts. Autour du concept du Web 2.0, cette rencontre regroupera, d’après le communiqué diffusé par les initiateurs, les représentants des médias traditionnels et des journalistes citoyens. Dans le but de créer des relations, au sens  de communication, entre les médias traditionnels et les nouveaux acteurs qu’Internet, ces assises reste un espace de réflexion. Peut-on s’attendre à des relations paisibles entre des rivaux, en réalité bien concurrentiels que pouvant paisiblement collaborer.

    Fondé en 2006 par Arianna Ciccone et Christopher Potter, l’édition 2009 de l’IFJ avait accueilli plus de 80 événements, 220 intervenants, plus de 260 journalistes accrédités et près de 300 bénévoles venant du monde entier. L’édition 2010 promet d’accueillir encore plus de monde.

    L’attente des résultats de ce festival n’est pas automatiquement que les médias citoyens adoptent le chemin des traditionnels... 



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    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

    L’accès gratuit à l’information, comme sa production par les citoyens, piétine les platebandes de la presse et les médias traditionnels. Toutes les sociétés humaines passent au Web. Les médias produisant de la culture et de la plaisance s’y mettent aussi mais craignent la perte de leurs monopoles.  

     

    L’humanité a connu plusieurs révolutions qui ont métamorphosé son existence. Non contentés de la chasse et des cueillettes, les humains se sont attelés à planter sur les sols et élever des bêtes. Ce fut peut-être la plus marquante qui a accouché de l’industrialisation et tant d’autres...

    Pour s’informer efficacement, au commencement c’était avec le bouche-à-oreille. Puis le papier naquit, après les porteurs de l’information, comme les crieurs et messagers. Ils ont été tous détrônés.

    Le facteur qui négociait avec le chien de garde la manière de nous faire parvenir notre courrier, part en vrilles à notre époque. L’émail (le courriel) le pousse à la sortie. Il ne lui reste que les lettres qui ne veulent (ne peuvent pas juridiquement) pas être immatérielles, à placer dans la boîte accolée aux domiciles des administrés. C’était un formidable service public, la poste, que le beau et prédateur capitalisme compte rapiner encore dans ces filets de chasse.

    La révolution numérique qui nous guide sur de nouveaux destins, ne laisse plus grand-chose au facteur donc. Mais c’est aussi et avant tous la puissante presse écrite qui en bave actuellement, du plus poussé des progrès de la nouvelle époque. Plus-tard c’est la télévision qui s’offre bien de nouvelles esthétiques avec son nouveau de transmission en HD « Haute Définition », qui s’attend aux convoitises de son champ. Elle n’est pas encore tant concurrencée par les micros créations et les individualités.

    La société s’accapare l’outil d’Internet pour retrouver ses gestes anciens des individualités.

    Le retour à la première pratique de la communication, en société, se faisant entre les individus d’abord, est là dans nos moeurs. Avant que les grands titres et trusts ne mettent main-basse sur le nouveau espace du Web, eux qui se sont chargés de rendre en marchandise l’onfo, la nouvelle voie augure et est naissante sur et avec Internet. Et c’est ce qui agace, les médias qui détiennent les divers canaux, c’est la recrudescence de créateurs et distributeurs d’actualités via le Web.

    Le 9 mars dernier, 2010, s’est tenue à Bordeaux, la 2ème chaire des civilisations numériques qui a abordé un thème d’actualité « l’innovation à l’ère du numérique ».

    La mutation de toute la communication et non pas seulement du secteur des médias, est déjà en place, et bien plus suit la marche inexorable. En lien avec l’échange de l’information, sous l’emballage de l’opinion émis, entre les humains, cette rencontre a été tenue sous l’intitulé : Presse et numérique : le devoir d’innover.

    D’où la première question qui tape à l’esprit : Qui peut innover ? La presse traditionnelle ou bien les nouveaux acteurs du Web ? Si la première tient encore à ses ressources, plus clairement ses revenus, les seconds sont simplement tirés, comme appâtés par le cercle et milieux qui semblent être imprenables. Ceux de communiquer à tous champs au sein de la société.

    L’interprétation, du clivage imposé par l’évolution de la société et le développement de ses moyens et outils de partager des informations, se lit donc en direction des récepteurs "LE PUBLIC". Qui les touchera ? Quel monopole instaurer ?

    Les consommateurs de l’actualité sont en phase, et souvent jusqu’à l’addiction, avec la gratuité que les médias désormais dits traditionnels remettent en cause. Le marché qui depuis la nuit des temps revient aux humains, change de caractéristiques d’une manière plus historique qu’éphémère ou ponctuelle.

     

    Les séquences vidéo des discussions lors des assises à Bordeaux, la 2ème chaire des civilisations numériques.

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    Presse & Numerique Mars2010
    envoyé par aec. - Vidéos des dernières découvertes scientifiques.

    2-

    3-

     
    Economie numérique et consommation
    envoyé par aec. - Vidéos des dernières découvertes technologiques.

    4-

     

    5-

     

    6-

     


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