• Les corrompus de la BOUTEFLICAILLE, en première ligne pour bloquer la marche

     

    ALGERIE : 30 000 POLICIERS POUR LA MARCHE DU 12 FEVRIER, tous les sanctionnés reprennent leur service !

    Renfermé dans un mutisme que lui impose le manque d’argumentaire, Bouteflika et ses staffs sont devant une fronde sociale largement exprimée au niveau national. Cependant la société civile regroupée dans une coordination tient à manifester pour la journée du 12 février, malgré l’interdiction signifiée par ce pouvoir en plein déroute. La mobilisation policière n’a jamais été aussi forte, même aux heures de haute insécurité dans le pays.

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Le climat en Algérie à la veille de la marche du 12 février 2011 est des plus tendu. Les villes et villages connaissent des préparatifs, le plus souvent secrets et avec moins d’hostilité de la population. Alors que l’inquiétude s’est accrue du côté des partisans du pouvoir…

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    ... Au niveau des campus, par exemple et pour citer un centre névralgique de la sédition qui gronde, les préoccupations quotidiennes qui sont d’ordre social se conjuguent au futur : que sera demain ? Le devenir une fois les diplômes en poche.

    Parmi les opposants, à la marche qui excite de réels espoirs, se positionnent en première ligne, les sbires aiguisant leurs armes pour être défavorables sur le terrain et le jour-même de la manifestation. Et qui ne se confondent pas avec ceux qui voient se dessiner les buts de l’ultralibéralisme dont la bourgeoisie algérienne s’est faite la porte-parole officielle, désarmant le peuple de toutes résistances face aux assauts des spéculateurs ayant soudoyé, par la corruption, les bureaucrates du système.

    Oui à ne pas confondre avec la gauche algérienne, du moins les partis, d’ailleurs ce sont ceux qui ont une expérience de la clandestinité, a marqué son absence par des déclarations posant des préalables. Sans vraiment dénoncer cette protestation qui vise essentiellement une réappropriation des espaces démocratiques aliénés sous le socle de la sécurité, mais arrangeant le régime des despotes…

    Quelques islamistes, les militants des partis du FLN en association avec les bureaucrates du RND et la pléiade des organisations des fils de Chouhadas (martyrs), des moudjahidine (anciens maquisards), les organisations végétant sur ce qui restent de miettes des anciennes organisations de masses (UGTA et UNJA) ainsi que les cercles fatalistes mis au silence par des privilèges, sont les milieux qui ne veulent pas, disent-ils préserver la stabilité, que la marche se tienne. Et tentent en vain d’agir, alors que les citoyens semblent leurs réserver du mépris.

    Les autorités, au niveau national, ont signifié aux organisateurs, la CNCD composée d’un ensemble d’associations, de syndicats et de personnalités, une fin de non-recevoir n’autorisant pas la manifestation. Ces dirigeants, les mains rougis du sang de poètes, de jeunes, de travailleurs et d’étudiants torturés pendant les décennies de plomb, s’acharnent plus que jamais de contenir la sourde révolte qui se tisse aux portes de leurs palais. Alors que le profond pays est en ébullition !

    Ce que risquent les manifestants du 12 février 2011 qui tiennent marcher, alors que Bouteflika s’obstine dans la surdité, est de voir se déchaîner contre eux une police qui a été préparée à en découdre. L’armada des 30 000 policiers, les CRS, est chauffée pour le corps-à-corps.

    Selon une source policière, qui nous a recommandé de garder son anonymat, depuis le début de l’année quelques 400 policiers de tous les niveaux des hiérarchies qui étaient sous des mesures disciplinaires ont été rappelés, afin de renflouer les rangs des troupes. Envers ces derniers, le personnel le plus défaillant, car ayant été arrêtés et même emprisonnés pour avoir été dans des affaires de corruption, de trafics de stupéfiants, de racket de commerçants et d’entrepreneurs, d’abus comme des viols et d’autres fautes professionnelles, il a été promis la reconsidération de leur situation.

    Cette opération, une véritable procédure administrative qui consiste à réhabiliter les plus véreux et équivoques policiers, a été déclenchée dès que les premières immolations ont été signalées. Puis en plein émeutes du 4 au 8 janvier, elle fut avalisée au niveau central par la DGSN (Direction Générale de la Sureté Nationale). Ces hommes seront, selon notre source, aux premiers postes à éparpiller les manifestants…

    A suivre...

    LES MANIFESTANTS ALGERIENS SOUS LES FEUX DE LA RAMPE DES MEDIAS INTERNATIONAUX. !

    Titre de la seconde partie : SVP mr le prochain Président qui sera PROCHAINEMENT destitué. Ne nous joue pas une ennuyeuse série turque. RAPIDEMENT DEGAGE ! DEGAGE ! LA LISTE EST ENCORE LONGUE !


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