• LA MARCHE DES SALOPES AU MAROC, LA JEUNESSE EXIGE TOUT LE RESPECT A TOUTES LES LIBERTES. Les femmes habillées FASHUN font des appels AU VIOL selon les PHALLOCRATES !

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    La jeunesse marocaine vient encore de faire parler d’elle. Depuis bien avant le printemps arabe, elle avait inscrit une considérable page, fait un audacieux pas et exprimé une parole rebelle dans le sens positif, de l’acquisition de plus des libertés. Pour la considération de sa citoyenneté et d’être humaine, méritant respect. Placés sous l’angle des droits individuels, les jeunes marocains arrivent à déplacer, les grands débats universels sont désormais au chevet de la léthargique population marocaine.

    Voir en ligne : PAGE FACEBOOK -La Marche des Salopes- Maroc.

    L’écoute que gagne au sein de la société, loin de l’islamisme sinon à son opposé, les groupes d’activistes marocains ne cesse de gagner des confiances. Ces dernières voient dans le modernisme de leurs aspirations, que du bien ! L’interpellation de la conscience collective pour que la vie privée des personnes soit protégée, comme les convictions religieuses et surtout politiques, de telles demandes sont tirées par l’aspiration aux libertés sans tabous. Est revendiqué, encore cette fois, le statut de la femme afin qu’elle acquiert sa pleine et entière citoyenneté.

    EN France, La marche des SALOPES

    En lançant le MALI (MOUVEMENT ALTERNATIF DES LIBERTES INDIVIDUELLES), bien avant les chutes des dictatures arabes, le code spirituel traditionnel a été ouvertement contesté. Dans des populations largement musulmanes, cette agitation a marqué les esprits ! Quoi que veulent bien l’amoindrir les médias et les rétentions officielles. Son impact a résonné comme un tonnerre dans une planète silencieuse et soumise au vide. Une vraie météorite tomba dans la marre éclaboussant les bidouilleurs religieux…

    Et quand cette même jeunesse a exigé du monarque, en plein ébullition en Afrique au du Nord et dans les pays arabe du Moyen-Orient, son retrait démocratique des affaires citoyennes. La parole de cette jeunesse marocaine a vite alarmé au cœur même du pouvoir. L’empressement législatif et le passage prompt à un scrutin(mis au doute par ses grandiloquents résultats), a réduit certaines minimes prérogatives du roi. Mais a laissé sur leur soif les démocrates conséquents et les mouvements égalitaires de gauche.

    A 20ans Majodoline Lyazidi passe pour la plus jeune égérie du monde en 2011. Elle vient de lancer au Maroc La “Marche des salopes”. Grâce à une page Facebook qui a engrangé quelques 4000 inscrits en l’espace de 3 semaines. La mobilisation semble plus verve, que comme ne s’attendaient pas certains observateurs du monde arabe qui se sont surpris. Car d’une insolence jugée, souvent hypocritement par même des têtes qui se disent sur les épaules de démocrates, du point de vue de l’Islam inacceptable !

    Cette action s’inscrit dans le sillage du mouvement né au Canada cette année, pendant le mois d’Avril et qui a pris de l’ampleur comme une traînée de poudre dans le monde. Le mouvement "marche des Salopes" est né d’une remarque désobligeante d’un policier à une femme. L’accoutrement jugé indécent devait être un appel au viol, selon le flic. Si rares les capitales européennes ont échappé à des manifestations de la gente féminines,l’Inde (le 31 juillet) et même le Brésil n’ont pas évité ce genre de protestation. Ce sont les femmes des USA qui ont été les premières à réagir, et peu sont les féministes de part le monde qui n’ont pas osé…

    La protestation est animée par cet intitulé : Partout dans le monde, on dit que les femmes ne devraient pas regarder comme-ci, ne devraient pas sortir le soir, ne devraient pas aller dans certains endroits, ne devraient pas s’enivrer, ne devraient pas porter des talons hauts ou ne devraient pas être seules avec quelqu’un qu’elles ne connaissent pas ! Ce concept subversif n’était pas en débat dans le monde arabe, l’urgence qu’a imposée LE PRINTEMS aspirait à des changements d’une autre nature.

    Dans cette région du monde, les tenants du clash entre les civilisations ont critiqué le fait qu’il était construit sur des références occidentales. Pendant le mois du ramadan où la page est créée sur Facebook, la haine a pris des proportions obscurantistes à ne pas raconter. Mais la réalité de la femme arabe est carrément scandaleuse ! Même si en Tunisie on se targue d’avoir démontré que la présence des femmes a été primordiale, dans la chute de Ben Ali.

    Le rôle que jouent les réseaux sociaux du Web dans la perception des mouvements contestataires dans le monde, fait que les populations répondent et construisent des manifestations acceptables. Du point que ces manifestations ne sombrent pas dans l’ambigüité ou bien le populisme.

    Ainsi le débat qu’a lancé au Maroc, LA MARCHE DES SALOPES, concerne davantage le crime des agressions sexuelles dont sont victimes les femmes. Notamment l’impunité, quand Nafissatou Diallo est passée par là avec l’ex directeur du FMI. Dans le monde musulman...


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  • Algérie : le dévoiement de la contestation hypothéquée par les artifices de la rumeur.

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    La médiocrité de l’opposition livrée à la cacophonie, et aveuglée par l’avidité de s’installer au pouvoir, ne s’ancre pas dans un mouvement populaire.

    Nombreux journalistes algériens travaillent sans cesses pour retrouver les traces du DRS (les services secrets algériens) dans la manipulation du terrorisme, ou leur connivence et liens avec les pouvoirs qui se sont succédé depuis 1988 ainsi que dans le détournement des richesses du pays. En vain, il est impossible de percer les méandres de ce qui est vraiment impénétrable. Des investigations de fonds en combles, durent depuis des années, n’ont rien donné.

    Certains journalistes continuent d’inviter les personnes accusatrices à leur ramener des sujets, des preuves et des bouts de ficelles. Ils attendent toujours et tous, hélas ! C’est un service rendu à l’islamo-terrorisme et au pouvoir qui gouverne avec le despote Bouteflika que d’entendre "DRS-DRS !", l’arbre plus vaste que la forêt. Pourtant d’ininterrompus dires persistent, faussant toute la réalité. Les algériens, les plus écoutés, passent pour des experts de la « rumorologie » (science de la rumeur). Leurs racontars sont proférés et largement diffus au sein de la société.

    Un citoyen vous dira : oui je sais que c’est l’armée qui a tué tel intellectuel. Un autre :je connais l’adresse du château du général "X" en Suisse . Et un autre prétendra, citant un cousin ou un ami, le compte bancaire d’un tel renferme tant de milliards . Il faut rajouter que nombreux médias internationaux s’approprient ce jeu de basse-cour. Le coq qui criera plus fort dirigera le reste des poules et canards.

    Voici un exemple des rumeurs. ICI LE JOURNALISTE qui fait l’interview dit clairement : CE SONT DES SUPPOSITIONS. La personne qui parle a ramené des photos mais son exposé reste sans moindres réalismes ni clarté.

    Aussi bien les islamo-terroristes que le pouvoir de Bouteflika, se servent à profusion de ce tintamarre. Sans d’ailleurs se donner la peine de trop l’alimenter car il opère gratuitement à leur service.

    Pour les premiers, les tueurs des 200 000 victimes du « fascislamisme », il y a une participation de leurs fanatiques dans ces bavardages. Et le second blanchi, le pouvoir réel pour se faire oublier comme détenteur des décisions centrales et locales ainsi que le prédateur principal des richesses, ce dense persiflage masque ses agissements.

    Cette rumeur est gravement nuisible à une prise de conscience politique de la population. Dès lors que les militants, qui sont aux avant-postes de l’opinion contestataire, se retrouvent désarmés pour clarifier les choses. Ils sont dépassés par le tapage interminable : DRS, armée, généraux, juntes… Les ragots sont plus puissants !

    Dans un collectif de la CNCD créé en France pour soutenir les actions menées à Alger, un exilé a eu à entendre d’aller rejoindre un autre collectif. Il a été invité par trois membres parmi ceux qui s’y trouvent.

    Avant que la réunion commence, il lui a été signalé l’existence d’autres groupes. A chaque fois que quelqu’un lui fit la suggestion, il demandait les coordonnées de ce qu’on lui a proposé, mais aucun ne l’a renseigné, car ça n’existait pas… La rumeur devait frapper sur même une CNCD, morte avant de naître, qui ne désigna que vaguement un système, un régime et un pouvoir. L’énigme indéchiffrable d’un supposé responsable, de supposés généraux à la place des meneurs de la politique réelle...

    Ceci reflète la dégénérescence des pratiques des soi-disant démocrates algériens, qui n’ont pas de voie réellement démocratique à suivre avec de telles pratiques des plus cyniques d’écartement. La cacophonie mêlait entre DRS et Boutef. Le 1er, non loin du second, parce qu’impossible de séparer le bon grain de l’ivraie ! Tels sont les discours qu’a perçu...

    ... Cet algérien qui a dans sa chaire les stigmates de l’exclusion qu’il a subi de l’ancien système du parti unique et les plaies justes cicatrisées du terrorisme, devait ne plus revenir au groupe. Pourquoi ? Avant d’expliquer, il n’y a que ce cas…

    ICI LA RUMEUR qui masque le pouvoir réel est relayé parun média étranger.

    Depuis il a la lecture des opportunismes qui lorgnent à s’accaparer le pouvoir, à la faveur du climat de ce qui est le Printemps arabe qui s’est risqué en vain en Algérie, au début de l’année 2011… Cette anecdote révèle bien de quels militants s’est faite la suite, aux émeutes de janvier 2011 liées à des questions de pouvoir d’achat, la suite.

    La relève politique visible (car médiatisée) à un soulèvement qui a, lui, fait reculer les décideurs concernant les prix de l’huile et du sucre, est celle qui a toléré l’islamisme et sa criminalité. Ainsi qu’elle a porté des ragots arbitraires contre l’armée du pays et surtout contre les gens la gauche algérienne, dont les redoutés communistes qui hantent nombreux esprits nés avec les dernières pluies…

    L’algérien se plait des commentaires que l’armée du pays est totalement corrompue ou bien elle ne fait que de la manipulation politique. Il applaudit plus à ça qu’aux émeutes de la jeunesse et les séditions dans les villes et villages.

    Ainsi s’opère le cache-cache des vrais responsables politiques, en Algérie. Qui sontMehri, Boutef, Belkhadem et, à un degré de revanche, "Ait-Ahmed". Et cette histoire du DRS, pour le malheur des algériens, elle fonctionne merveilleusement bien !

    Le DRS est à toutes les bouches à la place des vrais dirigeants. L’armée est la bête Noire pour nombreux critiques et commentateurs. Et ça fait oublier le pouvoir authentique, celui qui a ses discours OFFICIELS scandés et suivis. Ainsi sont floués les citoyens qui n’arrivent pas à contrôler comment sont comptés leurs bulletins de vote.

    PROCHAIN article :

    Pistes et expériences d’un peuple ayant égaré ses repères mémoriels et identitaires.


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  • Google privilégie la qualité et son panda estime la plus-value... Le tournis des référenceurs de sites, les annuaires risquent d’être contournés par la teneur "vitesse et qualité" des pages.

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    En l’honneur d’un animal des plus rares, des plus beaux et des gros dans le monde, Google a modifié la manière de classer les résultats que génère une recherche exprimée sur Internet en utilisant son moteur... Panda dit-il. Et en assume pleinement les normes de qualité qu’il a choisies.

    Que cela déplaise aux référenceurs, mis sur la sellette, sa préférence va aux designers et aux créateurs. Les premiers pour la présentation visible et les seconds pour les efforts qu’ils mettront afin de créer des matières intéressantes… Du moins la philosophie dite "qualité" est claire. Les critères économiques priment cependant avant toutes considérations.

    Les commentaires sur Google Panda sont devenus affligeants, voire médiocres et même insignifiants. Perdants et gagnants, ceux avancés dans les résultats de recherche ou visibles dès les premières lignes et pages et ceux noyés dans les arrières loges du leader des sites traitant le plus grand nombre de requêtes du Web. Sera-t-il utile pour la majorité des ordinateurs, en conséquence d’une mise à jour de son "mode de sélection", c’est-à-dire par les qualifications résultant de l’algorithme modifié…

    En effet un matraquage de commentaires et des plus diffus dans les cercles spécialisés des langages informatiques, a été libéré comme un copier/coller. Les exposés ont commencé dès février, date de lancement aux USA. Panda par-ci et algorithme par-là, se répétaient. Or la méthode de trie préconisée se devine. Google a publié un message clair et totalement contraire et insatisfait de la langue reproduisant à récurrence des contenus déjà galvaudés à propos de son système tant commercial que technique.

    En réaction aux questions que posaient les spécialistes du référencement, Amit Singhal, le chargé des logiciels de Google, a remis en place les anxieux, aller regarder ailleurs et en toute liberté. « Le conseil que nous donnons aux éditeurs est toujours le même : faites le nécessaire pour satisfaire au mieux les internautes qui visitent votre site Web et ne vous préoccupez pas inutilement des algorithmes ou des paramètres utilisés par Google pour le classement. » . Il n’est pas utile d’être savant pour saisir comment les débats sur Google Panda ont été faussés. Ne parachevant que seul le référencement, comme la multiplication des back links, resterait le seul paramètre de recherche, Google a changé ses règles de sélection…

    L’enjeu du classement que fixe Google est au centre des préoccupations des webmasters, avant les référenceurs. L’optimisation basée sur une orientation technique des moteurs de recherche pour qu’ils pointent sur un site donné, n’est plus fondamentale. Se construire une renommé avec les référencements dits naturels, et autres méthodes déjà éprouvées que la technologie peut dépasser, est presque secondaire à bien lire les commentaires de cet expert de Google.

    Les prestataires en référencement qui bossent plus sur l’inscription de leurs clients dans des annuaires, souvent créés de toutes pièces et dupliqués à dessein de faire croire aux propriétaires des sites, un bon référencement. Et à qui, ils assurent des liens augmentant la page rank, cette formule est comme désuète. Loin s’en faut, ces référenceurs aussi professionnels qu’ils peuvent l’être, ils ne sont point responsables et encore moins créateurs des contenus ainsi que des designs.

    Google opte à considérer davantage, ce qu’il désigne par « article », la qualité de la page émise sur le Web. Et cette notion de qualité, qui prend en compte l’utilité ainsi les facultés de ce que renferme la page, est indiquée comme principe majeur à l’appréciation de Google. La beauté, la perfection et l’intérêt de l’article...

    Un moteur de recherche, qui dirige l’internaute ayant lancé le navigateur Web de sa machine, reste un outil qui se charge de relayer ce qui est diffusé sur Internet. La machinerie du propriétaire du moteur, on ne peut s’imaginer autre interprétation, est conçue et déployée selon les normes que fixe son créateur, son dieu et son maître ! Libre à l’internaute d’aller voire ailleurs, d’ouvrir un autre moteur qui sélectionne autrement et selon d’autres critères.

    Comme pour la préférence prééminente, du choix du navigateur par l’usager, dès là l’objectif est dûment et préalablement fixé par l’internaute lui-même. Le navigateurGoogle Chrome a donné ses preuves et est 3ème, en 2011, de ceux utilisés. Ses ancêtres "Firefox et Mozilla" n’ont qu’à bien se tenir. Et ils s’exécutent en adoptant continuellement des évolutions. Celui venu de la culture Microsoft, IE –Internet Explorer a frappé avec sa dernière version, en gagnant de la vitesse avec son nouveau IE9. Il est donc tout à fait normal que Google privilégie des caractéristiques soumises et conformes à ses intérêts. Ce droit d’entreprendre son offre, d’ailleurs gratuite, est incontestable pour Google ou pas Google.

    « Vous avez été nombreux à nous demander ce que vous pouviez faire pour améliorer votre classement sur Google, en particulier suite au lancement de Panda. Nous vous conseillons de garder dans un coin de votre esprit les questions ci-dessus et de faire de votre mieux pour proposer un contenu de qualité, plutôt que d’essayer d’optimiser ce dernier pour les algorithmes de Google. »

    Ici Google insiste de ne pas mettre en erreur les algorithmes. En optimisant son site et en disposant d’une respectable Page Rank, car élevée en nombre de liens retour, ne suffit pas d’avoir pour être en haut du podium. Des pages visibles et avancées à portée de tous dans leur diffusion exigent de la qualité, voire aussi de l’importance.

    Qualitativement bien présentées en design et en contenu, les articles les mieux appréciés seront repérés par l’algorithme : est-ce une magie ?

    La promesse est faite, mais l’expérience en déterminera si Bing, le moteur de recherche de Microsoft qui lui convoite le podium, fera autrement du point de vue Business d’abord...


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  • Chute de Tripoli, comment s’est déroulé l’assaut final. Un traiteur, parmi les cuisiniers des ministres de Kadhafi a fait l’espion, aida l’OTAN dans la prise de Tripoli.

    Un témoin et un acteur de la chute de Tripoli sort de l’ombre. Après avoir fait un travail d’espionnage pour le compte de l’OTAN, par l’intermédiaire de ses contacts avec les rebelles, il parle de son rôle qui a facilité de déloger de cette ville, historique dans la méditerranée, le fou qui a tenu, d’une main de fer, son peuple pendant 42 ans.

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    L’homme était au cœur même du centre névralgique de l’appareil de commandement de Kadafi. Répondant au nom d’Abdel Majid Mlegta et travaillait depuis des années dans le service de la restauration alimentaire des ministères. Un traiteur qui n’a pas hésité à rejoindre la rébellion, dès lors qu’il a compris que ses maîtres étaient assiégés et sur le point d’encaisser leur défaite.

    Il a raconté avec de forts et pointilleux détails, comment il a fourni des renseignements qui ont servi à battre les derniers contingents cloîtrés dans la capitale avec le tyran. Dans la tradition de l’espion recruté au sein-mêmes des méandres, où se sont bardés les tribuns décideurs d’un régime honnis par même ses plus proches employés. Assuré que le despote qui a régné sur Tripoli est voué à subir la sortie de l’un des fiefs qu’ils croyaient fortifié contre l’ennemi, le cuisinier a décidé de participer. Ses révélations retracent comment il a informé les forces de l’OTAN via les insurgés.

    Abdel Majid explique comment il a livré des informations capitales sur un périphérique d’ordinateur, le minuscule Memory-Stick servant au stockage de contenus. Son histoire que la presse américaine a eu la primauté de la raconter, notamment le New-York Times, est très crédible. Elle reflète l’intérieur-même des cercles qui ont fait tenir Tripoli aux bombardements. Ses dires sont éloquents et dont la plus grande partie ne sera jamais complètement rendue publique. Les sources américaines et alliées qui ont donné son nom, l’ont désigné avec précision et présenté sa photo. Ils l’ont fait comme pour le féliciter de sa précieuse contribution.

    Les renseignements qu’il a donnés, ont permis de monter l’opération del’assaut final contre la capitale de laquelle le colonel déchu narguait les impérialistes qui redoutaient des massacres contre les révoltés et la population qui les soutenait.

    Toutes les cibles stratégiques de la ville : salles d’opération, maisons très sécurisées, casernes, postes de police, positions des véhicules blindés, radars et centres téléphoniques, ont été indiqués avec une précision qui valait une haute importance dans le déroulement de l’offensive finale. Cette dernière a été menée d’ailleurs avec une impressionniste minutie.

    A l’heure convenue, les unités de l’Otan se sont alors se levés et les rebelles ont chargé de tous les côtés. Les insurgés ont déclenché des sirènes dès l’aube du jour de l’opération. Ils n’étaient pas seuls à attaquer. Ce moment de combat crucial a mobilisé toutes les forces en place.


    LIBYE - Rôle important des Belges dans la prise... parinet

    Des agents britanniques infiltrés dans Tripoli ont planté des équipements de radios transmissions pour aider, l’aviation, à bien cibler ses frappes aériennes, afin d’éviter de tuer des civils. Les forces, françaises, de leur côté, ont apporté un soutien considérabledans le transport et ont fourni de nouvelles armes aux insurgés. Washington a aidé à un moment critique, celui de la fin en ajoutant deux drones Predator supplémentaires dans le ciel de Tripoli. Ces deux engins automatiques ont grandement amélioré la capacité de l’OTAN à la l’immobilisation des factions alliées à Kadhafi.

    Drone Prédator

    La participation également deplusieurs forces arabes a été clandestine, selon des responsables occidentaux et les rebelles. Parmi elles, celles citées sont des Emirats arabes unis et du Qatar. Doha a donné des armes et a participé directement à l’entraînement militaire des jeunes révoltés libyens. Ainsi que ses financements ont été assez importants.


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  • A la veille d’échéance électorale : Stagnation de l’économie française en 2011, l’audace de mesures à l’italienne par l’imposition solidaire des riches ou bien la déchéance…

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Le gouvernement français, malgré la crise récidivante et incontrôlable depuis l’été 2008, a ambitionné une croissance à 2% en 2011. Or l’avancée du PIB a été nulle durant la période d’Avril à Juin, après la légère embellie du premier trimestre qui, à +0,9%, a été considérée la meilleure en près de cinq ans.

    Le plan du gouvernement français s’était basé, dans ses prévisions, sur une croissance du PIB de 2,0% en 2011. Dans la même veine, elle sera suivie de 2,25% en 2012, puis 2,5% en moyenne pour 2013 et 2014. Or un récent rapport du FMI a donné une image un peu moins rose, révélant que seuls 2,1% pour 2011, 1,9% en 2012 et 2,0 pour cent pour 2013.

    Les déboires, des économies capitalistes, dus principalement à la naissance d’un nouveau monde, celui des pays émergents, ont montré leur version ou facette principalement boursière. Les turbulences des marchés spéculatifs sont, croit-on, à l’origine de la crise. Or il est systémique. Dans ces économies décadentes qui parlent de la Chine comme d’un spectre inique, leur disgrâce relève de l’implacable évolution historique de l’humanité.

    En demeurant dans cette vision boursière de l’économie, la France, l’Italie, l’Espagne et la Belgique ont interdit les ventes à découvert d’actions. La mesure a été prise jeudi 13 août. Cette tentative coordonnée pour rétablir la confiance dans un marché boursier basé sur les taux exorbitants des emprunts publics des pays européens, est au cœur de la crise qui se manifeste avec une spéculation anonyme qui dévalise les budgets publics incapables désormais de financer la croissance.

    A la veille du rapport de la zone euro qui sera diffusé le 16 août, celui concernant la France devance celui l’Allemagne. Les résultats français s’avèrent en décrépitude comme pour tous les pays du vieux continent. La machinerie des observateurs affiliés aux banques et opérateurs financiers se sont les premiers penchés à lire qu’est ce qui s’est passé dans le contexte des turbulences boursières qui ont marqué la 1ère quinzaine du mois d’août.

    La Banque centrale européenne s’est mobilisé pendant la même semaine, des rumeurs et contre-rumeur sur la bonne santé des banques européennes et la solidité de la cote française du « AAA », pour défendre d’abord l’Italie et l’Espagne. Or l’incendie, ou bien le yoyo, qu’a vécu le marché des bourses s’est allumé en France. L’hexagone a été désigné comme incapable de financer ses dettes souveraines qui sont pourtant à bon marché. Le reflet s’est manifesté sur cette grande instabilité des bourses, qu’il fallait identifiée. Et la France s’est trouvée vulnérable, car visée comme l’ensemble de son contexte européen.

    Les réactions n’ont pas manqué, il ne s’agit que de commentaires qui regardent les promesses et les résultats qui pointent leur nez dans la définition ou bien la lecture des résultats pour les prochains mois de l’année 2011.

    Le ministre français des Finances, François Baroin, a minimisé la mauvaise performance. Disant que ce n’était pas une surprise, après un solide premier trimestre, il fallait s’attendre. En Italie, pays qui n’est aussi exposé que l’Espagne, des mesures ont été prises dans l’urgence pour taxer les plus riches, avec un train de mesures solidaires pour renflouer les caisses publiques appelées à réduire les déficits du budget de l’Etat.

    En France, la réflexion continue, malgré que le président ait donné un coup d’arrêt aux vacances d’été pour son exécutif… Les échéances électorales, dans moins de 9 mois, ne font pas bouger les lignes d’imposer les grosses fortunes qui sont à la source du pouvoir de Sarkozy. Or la majorité des électeurs sont frappés par l’austérité excessive réduisant les ressources des ménages, faisant reculer et saper la tradition de la France de la protection sociale équitable. Car cette dernière est jugée trop généreuse envers les plus vulnérables économiquement.

    Les analystes, qui ne relèvent pas des trusts financiers et avec indépendance, se sont précipités à vérifier les causes de cette crise devenue endémique. Puisque l’anticipation est complètement noircie de l’opacité qui empêchent la lecture de, bonnes ou sombres, perspectives. Ils s’accordent à croire que la baisse de la consommation intérieure est la source de cette stagnation. L’économie française est tributaire de cette ligne du marché locale, contrairement au voisin allemand.


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