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    Par N.E. Tatem avec avec ARGOTHME  

    Cet article a été publié par Logo de POPULISCOOP, journal de presse alternative.POPULISCOOP 

    Et par Rédacteur AGORAVOX.AGORAVOX

    EXCLUSIVITE, A LA FIN DE CET ARTICLE, UNE VIDEO TRES SIGNIFICATIVE DE LA CAMPAGNE ELECTORALE DE Barak Obama  BARAK OBAMA.

     Des livres qui soulèvent les inégalités et la censure aux USA, leurs particularités ils sortent à la veille des élections 2008 et en Europe pour échapper à l'interdit officiel et institutionnel d'un régime qui prétend propagaer la démocratie...     

    Avec les quatre premiers mois de l'année 2008, quelques analystes à la pointe de la connaissance du mythe yankee, certainement davantage inspirés par l'étendu du branle-bas électoral, ont fait paraître des travaux. Dans ces œuvres livresques que nous avons tenté de décrypter, l'explication du destin du libéralisme américain qui s'accouple bien à l'avenir d'une société refusant de baisser les bras dans son influence sur le reste de la Terre, et dont l'influence n'est plus aussi envoutante que par le passé minée par les fortes inégalités.

    Parutions littéraires à la veille des élections aux USA, c'est aussi la bonne saison. Ce mois d'avril à renaissance printanière nous a exhortés, plus que les autres mois écoulés, à suivre les soubresauts de l'investiture des démocrates américains à travers deux candidats qui n'ont rien de commun, sauf la chapelle politique. Beaucoup, sinon tous, des habitants du monde ont suivi les échéances écoulées et sont stupéfaits du processus par lequel les républicains ont, avec presqu'une simplicité déconcertante, placé leur candidat, John Mac-Caine, alors que le camp adverse tient en haleine pour la suite attendue en résultat crucial renfermant de minces espoirs. Une bonne majorité des terriens continuera encore de scruter le déroulement de l'atmosphère toute circonstancielle de la faisabilité de l'activité politicienne au pays du Lincoln, jusqu'au jour J.

    L'attrait est rehaussé par la déférence envers cette puissance surestimée en gendarme universel. Surtout que le questionnement essentiel sur les parcours à rebondissements auxquels se livrent autant l'ex. première-dame, Mme Clinton bien classée aux remparts du conservatisme, que le métis Obama Barak vu comme le phénomène du postmodernisme, n'a pas encore de réponse. Et parce que la dispersion du spectre de la communication vit pleinement son ère et convie les terriens, de même chez eux, à suivre ce qui se passe dans ce pays bien rayonnant.

    Avec les quatre premiers mois de l'année 2008, quelques analystes à la pointe de la connaissance du mythe yankee, certainement davantage inspirés par l'étendu branle-bas électoral, ont fait paraître leurs travaux. Dans ses œuvres livresques que nous avons tenté de décrypté, parce qu'ils expliquent tant-soit-peu le destin du libéralisme américain qui s'accouple merveilleusement à l'avenir d'une société refusant de baisser les bras dans son influence sur le reste de la Terre, et dont l'influence n'est plus aussi envoutante que par le passé minée par les fortes inégalités et les interdits officiels et institutionnels. Très peu de littératures continuent comme « Américan Vertigo » de Bernard-Henri Lévy continuent de faire l'apologie du pays aux défauts incalculables, y compris les anglais qui nous offrent plusieurs titres aussi remarquables les uns que les autres. Le plus percutants est : « De l'inégalité en Amérique. La vague conservatrice de Reagan à Bush »(1), suivi « De la religion en Amérique »(2) et « Obama, le roman de la nouvelle Amérique »(3) revenant à des français. En plus depuis les dernières guerres expéditives en Irak et en Afghanistan qui interpellent fortement les américains avec les mêmes intonations que l'agression impérialiste du Viêtnam car dépourvue de justesse en leurs causes, créant une culpabilité tout autour de leurs menées et conséquences. Elles sont à l'origine d'une crise identitaire transversale qui sillonne profondément et avec un choc tel une brisure foudroyante, ce peuple ressentant qu'il est tout-à-fait offensé en deux temps.
    O. barak

    Premièrement par son dirigeant actuel qui ne remonte aux devants des scènes diplomatique et n'est plus apprécié de part le monde. Et en second lieu par les appels incessants, aux meurtres et aux saccages, de terroristes que les américains avaient cru avoir apprivoisés dans des élans anticommunistes, se rendant-compte que la bête immonde est indomptable et tarde à être éradiquée. C'est là qu'une certaine déprime donne à la conscience collective le malaise d'une culpabilité pour l'agressivité des rapports avec les non-partenaires étrangers, classés par étroitesse en ennemis à attaquer toujours et davantage. Cette remise-en-cause du soi américain est loin d'être généralisée et trouve son panacée dans l'obligation de se défendre par la dissuasion.Ce qui donne désormais plus d'importance à l'intéressement exogène, aux yeux des citoyens américains pour savoir ce qui est pensé d'eux. C'est aussi la recherche de sauver la face du fatras local de violence et faits sociaux comme les fusillades dans les établissements scolaires. 36 fusillades entre vendredi 18 avril 2008 et lundi 21, uniquement dans la ville de Chicago faisant 7 morts et nombreux blessés. Du plan international ceux, des américains, qui savent que le président G.W. Bush termine en queue de poisson son règne, ne pouvant se déplacer dans le monde et surtout en Europe, l'allié traditionnel, sans ameuter des dizaines de milliers de manifestants à le dénoncer pareillement à un criminel de guerre malaimé, n'attendent que la nouvelle tête vienne redorer les blasons. La honte prioritaire !

    A force de nous asséner que la meilleure démocratie du monde est celle du pays de martyr Martin Luther King, plutôt là où on l'a assassiné, le doute s'est installé dans nos méninges avides de vérités antinomiques, celle qui s'aperçoivent dominées, dont on ne tient pas compte et qui pourtant nous chatouillent les esprits. Rappeler que la démocratie est toujours discutable, perfectible, reste à établir, ébauche interminable et ouverte à des réaménagements qui lui apportent de meilleurs facultés ainsi qu'une perspective d'avenir, interpelle. Le mot « chantier » lui convient le mieux et laisse entendre que la chose se réalise. Elle n'est pas toute faite, toute construite même si des faits probants laissent croire qu'elle s'exerce. Et comme on arrête jamais d'entreprendre en matière démocratie, l'incertitude pousse à vérifier l'authentique de l'ivraie. Dans l'ensemble de ce qui ne satisfait pas et met moralement à nue cette démocratie, oblige au scepticisme...

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>
    John MaCain
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    Par respect au peuple américain qu'on ne peut confondre avec son administration, nous nous ne contenterons pas d'amoindrir les riches particularités de ce pays par sa forte criminalité endogène ou bien par la grotesque médisance gratuite que : les Etats-Unis n'ont pas d'histoire. Le premier fléau n'étant pas leur propre sans nul-autres parmi toute l'humanité et la seconde métaphore écourte tous les siècles depuis que le continent a été découvert. Cette dernière formule désormais n'étit plus admise dès la première décennie où Christophe Colomb foula le sol du continent encore nouveau et toujours en métamorphose. Si ailleurs on peut se limiter au pour ou au contre envers la politique américaine... En France deux points de vue entièrement paradoxaux sur le fond, restent à égale opinion admiratif du point de vue culturel, et sont colportés ou assumés entièrement tant à droite qu'à gauche. Ils facilitent une lecture limpide par rapport aux ambiguïtés et tergiversations généralisées ailleurs.

    Du côté de la première tendance on en est globalement à la béatitude admirative du capital faiseur de la croyance en « le marché », concurrentiel et échangeur de la finance entre les acteurs spéculateurs et peu productifs, même si Sarkozy, qui représente une droite qui se veut pragmatique, a tenu des propos concernant la nécessité de régulation. Du côté de la gauche on s'exalte surtout des luttes et conquêtes féministes et raciales. Les deux familles politiques de France croisent leurs armes sur la discrimination positive chère au camp adverse, comme une radicalité qui n'ait point de concessions à offrir et pour qu'on ne puisse pas faire reculer l'époque sur cette question. Et ce sont justement les banlieusards, toutes origines confondues regroupés sous BBB (Blacks, blancs, Beurs) qui n'arrivent pas à se frayer une place au soleil dans la partie hexagonale, qui trouvent rendez-vous avec la réussite, selon l'équivalent de la discrimination positive française à travers ce qui est « affirmative action » après avoir déjà exploré le Canada, l'Australie et le royaume d'Elisabeth.

    Pays de la censure par excellence, la plus abjecte et de cynisme inégalé agissant en criminalité officielle, les mesures qu'elle enclenche font souvent unanimité comme une paranoïa collective du fait que l'Etat fédéral soit le décideur. Le maccarthysme, sagement assumé par beaucoup, est l'incarnation la plus juste des applications de cet interdit qui vise ceux suspectés de nuire ou de ne pas défendre les valeurs communes protégées par la puissance publique, donc légitimes. Et c'est la littérature romancée, journalistique et des essais, que vise chaque fois cette nuisance chargeant ouvertement les libertés de pensée et d'expression. Depuis les années 20 où les écrivains – Dos Passos, Fitzgerald, Hemingway... - ont pris conscience que le puritanisme américain leur est fatal, des vagues d'auteurs ont préféré l'exil auprès de grises banlieues européennes que le confort de leurs bercails. Comme l'ex. URSS, les USA gardent souvent leurs subversifs chez eux et aussi ne leurs autorisent pas la paix douillette en leur infligeant aussi leur goulag comme l'emprisonnement du maître du polar Dashiell Hammett ou bien des persécutions avec les dossiers du « FBI de Hoover » et du « Beria Washington » (4) qui ont touché James Baldwin, Norman Miller, Allen Ginsberg et beaucoup d'autres.

    Dans la puissante machine idéologique hollywoodienne qui a aussi le statut du pole industriel à orientation inaliénable, on se contente de glorifier, par moult fictions, la suprématie du pays pour faire passer un abominable mépris du reste du monde, reconstituer la personnalité américaine une fois effritée dans des aventures ruineuses et mettre au devant des malveillances en meilleure et éclairée sinécure. Ce qui a donné matière Théodore Roszak, considéré précurseur de la contre-culture suite à son ouvrage « Vers une contre-culture » paru en 1969, à décortiquer en 1991 dans « La conspiration des ténèbres » (traduit au français en 2004 faisant une vente de 70 000 exemplaires) l'immensité de cet appareil phénoménal du 7ème art qui fonde un imaginaire universel aussi fort que les conquêtes de l'espace par la NASA. Cet auteur publia en 2006 « La menace américaine » à la veille de la réélection de Bush-fils. Et son dernier livre « L'enfant de cristal »(5), qui sort en France qu'en son propre pays au regard du traitement d'indésirable qui lui est fait, et cette oeuvre est consacrée au thème du cinéma.

    L'histoire dite de la « Black List » (la liste noire) qui est d'abord un livre portant ce tire, a visé des journalistes au professionnalisme incontesté, détenteurs les plus grandes distinctions (Pulitzer, Emmy Awards, Peabody Awards) illustre le système de contrôle et répressif, souvent chanté par ignorance ou complaisance envers la belle démocratie.Commencée en 1996 avec l'affaire de l'avion de la TWA à destination de Paris, qui explosa comme abattu par un missile tiré de l'un des nombreux bâtiments de la US-Navi en manœuvre là où a eu lieu le drame, elle explique désormais le culte principal d'une administration pervertie . Kristina Brojesson reporter et productrice très en vue, travaillant à CBS, qui découvre le pot-aux-roses constate aussi l'indécence, sans en être vraiment prête à une autre croyance, des règles abjectes en en place. Quand elle décide de savoir si vraiment la censure peut tant l'empêcher de faire son travail, alors qu'elle vivait l'idée idéale confectionnée par le précédent du Watergate, en enquêtant auprès de ses collègues, elle fut ahurie par l'éthique de surveillance généralisée et bien établie. Corruption en retraite dorée ou en cachets surévalués, licenciements, pressions, autocensure...

    Toutes les panoplies qui laissent croire à l'inexistence de la liberté d'expression au pays de la belle démocratie, ont été vérifiées par Kristina. Surtout qu'il ne fallait pas toucher au niveau de la presse, pendant les années 90 où éclata ce scandale, à l'industrie du tabac. Mais ça reste encore en vigueur en matière d'autres industries de l'armement, de l'énergie, de la pharmacologie et bien d'autres secteurs où il est complètement impossible de révéler les malversations, secrets inhumains et autres odieuses réalités. Comme pour d'autres arts où la censure est omniprésente, nous y reviendrons un jour.

    (1) « De l'inégalité en Amérique. La vague conservatrice de Reagan à Bush » de Godfrey Hodgson –Edition Gallimard

    (2) « De la religion en Amérique » de Denis Lacorne –Edition Gallimard.

    (3) « Obama, le roman de la nouvelle Amérique » d'Audrey Claire, -Edition  Le Rocher

    (4) « Le FBI et les écrivains » 1991, de Nathalie Robins - Edition Albin Michel.

    (5) « L'Enfant de cristal » de Theodore Roszak, traduit par E. Ochs –Edition Le Cherche Midi, collection « Néo ».
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    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME. 

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    Cet article a été publié par POPULISCOOP POPULISCOOP -scoop populaire- Ecrire et publier un article.-Scoop Populaire-

    Qui travaillera le plus ? L'immigration, les sans-papiers ou bien la discrimination. La France devant le besoin de main-d'œuvre et les flux d'arrivants clandestins. Qui sera le mieux payé ?

    Alors que 300 sans-papiers manifestent, le 16 avril 08 devant le ministère du travail après avoir bloqué les sociétés où ils travaillent, sous la conduite du seul et irremplaçable en la matière, le syndicat CGT. Et qu'éclate, le même jour, le scandale de l'enfant banni d'un jeu de la chaîne de télévision « Gulli », appartenant au groupe Lagardère, pour son prénom jugé à consonance révocable « Islam », le ministre Brice HortefeuxBrice Hortefeux, ministre de l'immigration, de l'identité nationale et du co-développement solidaire. empoche son premier accord avec l'Egypte inspirée du concept « immigration choisie ». Après avoir déjà ratifié de la même sorte avec le Sénégal, pays ayant des relations historiques avec une communauté établi en hexagone, le membre du gouvernement UMP, chargé de cet épineux dossier où la xénophobie repousse la citoyenneté à même les laborieux êtres, perçoit dans la foulée un intéressement pour la même convention avec le Cap-Vert. Ce qui le stimule à croire à l'étalement en tache d'huile, auprès d'autres pays ne pouvant contenir les forces de travail, du résultat de son déplacement de 2 jours au pays des pharaons.

    Un tas d'autres événements, secouent ces jours-ci le front social et les débats publics autour de la présence des étrangers en France. Les médias reprennent avec une certaine banalité ces faits récurrents tant que d'autres actualités sont plus éligibles à tenir les Unes. Il convient de citer les plus marquants comme les mutineries et grèves de la faim dans les centres de rétention, ou bien le rejet par la cour suprême d'y ouvrir des tribunaux. Ce qui a provoqué l'annulation des jugements qui ont été prononcés au niveau de ces lieux d'emprisonnement, sujets à moult controverses dont la mort ou le suicide d'internés. Parmi aussi les faits notables, la marche des clandestins qui a démarré le lundi 19 avril à partir, de la ville de Lille vers la capitale, comme une nouvelle histoire Ch'tie, distante d'environ 200 kms. Une action inspirée de la marche des « Beurs » de 1983 qui, a pris le départ de la Lyon soit quelles 600 kms. Qui elle, se doit à son aînée des chômeurs des Etats-Unis qui dans les années 20 du siècle dernier a regroupé un demi-million de chômeurs réclamant du travail, à l'époque de la grande crise, et s'est dirigée vers la Maison Blanche à partir de Sans-Francisco pour parcourir plus de 1000 kms.    

    Ce qui frappe aussi, pour la première fois des patrons basés surtout Ile-de-France et particulièrement ceux de la restauration soutiennent ouvertement les grèves de leurs travailleurs... pour des régularisations. Il faut préciser qu'ils ne désirent s'en passer de cette main-d'œuvre corvéable à merci, aussi bien pour travailler sans rechigner là où elle placée et autant d'heures qu'on lui inflige ainsi que sous-payées au plus bas de l'échelle des salaires. Outre qu'ils sont juridiquement exposés à des poursuites et doivent parer de la sorte en soutenant leurs employés. D'après certains dirigeants d'établissements qui ont osé s'exprimer, ces recrutements ont eu lieu avec des faux papiers sans qu'ils soient décelés falsifiés.  

    Les pays développés confrontés au déplacement, surtout économique ou en fuite à l'insécurité, des populations de pays moins nantis n'entendent plus avec la bonne oreille « la mondialisation » qui leur est chère pour les échanges des richesses. La France dotée d'une grande tradition d'accueil de main-d'œuvre étrangère, connaît depuis 2004 un besoin de force de travail dans le bâtiment, le tourisme (hôtellerie et restauration) et l'aide aux personnes. Avec l'embellie économique déjà amorcée au niveau de l'agriculture avec fulgurance aux tarifs où sont les prix des productions de ce secteur, outre la confiance qui marque une certaine réduction des chiffres du chômage, à échéance la donne du besoin va vite s'accentuer. L'hexagone est mieux loti que ses voisins pour la faiblesse de la fécondité féminine européenne, alors qu'elle n'était que de 1.5 enfant par femme en moyenne en 2003, il se porte mieux que jadis. Préoccupée par l'avenir démographique comme la plupart des pays de l'Union européenne, la France n'est pas actuellement dans la même situation : avec un taux de fécondité de 1.92 enfant par femme en 2004 (et même 1,94 en 2005), elle se situe au premier rang du vieux continent, à égalité avec l'Irlande et loin devant les autres grandes nations européennes que sont le Royaume Uni (1,74), l'Allemagne (1,37), l'Italie (1,33) ou l'Espagne (1,32).  Même si la France n'assure plus tout à fait le renouvellement de ses générations, sa position relative reste très enviable. Selon le rapport datant de mai 2006 intitulé « Besoin de main-d'œuvre et politique migratoire » -page 8.
    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Profitant des jalons mis en place au niveau européen au sujet des affluences migratoires, tous les gouvernements français retrouveront une ligne de conduite dans cette globalité du traitement de la question de l'immigration dans le cadre continental. Ce dernier donne entière latitude aux décideurs locaux mais annonce le besoin européen de bien une cinquante  de millions de travailleurs pour le siècle 21.   Embarcation de Clandestins
    <o:p> </o:p>

    Ce qui fait aujourd'hui débat c'est la reconduction au-delà des frontières de 25 000 clandestins par an, d'ailleurs présentée certainement sans les ambiguïtés qui l'habitent. Ce quota complètement fié au fait que le flux migratoire est interminable et est encaissé, toutes gardes baissées, sans possibilité de le juguler. Comme il est décrété avec une quantification sans approximation alors que des constats récents rapportent une diminution de même que l'accroissement n'est pas conjecturé. La probabilité d'épuisement de personnes démunies de titres de séjour se dessine selon Mr. Horteffeux, pour la première fois environ 5% de retours en terre d'origine se son faites de plein gré des clandestins. La diminution sensible du nombre d'embarcations venant d'Afrique depuis le début de l'année 2008, est due à outre l'effet dissuasif des mesures actuelles, fondées sur la traque sécuritaire livrée aux clandestins forcé au point de départ. Carrément l'inexistence de passagers en provenance des Balkans et de l'Asie orientale est réelle. Les pays de cette région de l'est méditerranéen négocient malgré la faiblesse des ressources, tant le retour à la stabilité que des redressements économiques. Avec l'intégration à l'union européenne de certains d'entre eux facilite énormément l'accès au travail et l'absence de la formalité administrative pour régulariser la présence au sol d'accueil, a aussi donné le droit au vote dans élections locales en France.

    Depuis justement l'année 2007 l'adversité des traversées de la méditerranée, sur des embarcations de fortune, prend désormais une ampleur inégalée jusqu'à là en Algérie particulièrement qui vit un climat de déréliction sur tous les plans de sa jeunesse dont le pays leur ferme toutes perspectives d'avenir. 271 algériens ont été recensés en 2006, environ 5 fois plus en 2007 et une formidable explosion dès l'année 2008 dont le bilan est attendu avec acuité, au regard des échouages, des arrestations et des décès enregistrés. Le samedi 19 avril, le chef du gouvernement algérien a promis la création de 400 000 emplois pour mettre davantage de poudre aux yeux des désespérés.

    C'était les pays voisins, Maroc Tunisie et Lybie, comme zones de transit aux africains accédants en Espagne, par Melilla pour le premier, et à la Sicile, Chypre, Malte et Grèce pour les seconds. Et c'est eux qui ont alerté algérienne de la forte recrudescence de la présence des jeunes algériens dans les échecs de traversée de la méditerranée... Faute de ne pas tenter le djihad, contre un système politique complètement ruineux et gargarisant à ses administrés une fausse fierté nationaliste le bien-être, plutôt complètement accaparé par des catégories rentières campant la seule ressource de l'énergie, la jeunesse se tourne finalement à tenter cette aventure d'atteindre d'autres contrées. Par où, une fois le cap de la mort par noyade surmonté, un autre avenir peut-être tracé.

    La mort en début d'Avril de 7 jeunes de la ville de Tiaret, 300km au sud-ouest de la capitale, a provoqué un émoi parmi la population dans cette localité. Les jeunes de ce chef-lieu de wilaya (département) ont manifesté et ont été reçu par le préfet.  Ces 5 dernières années une prise de conscience est faite, constatant l'augmentation depuis 2007 de départs impromptus. Il suffit d'une absence d'un jeune pendant quelques jours, pour que son entourage songe au phénomène dit « Haraga ». Ce mot a valu à l'écrivain Boualem Sensal d'intituler une de ses œuvres, dès 2006 avant que ne tombe aux yeux des responsables cette calamité de la fuite à tous prix, mais pas âme qui vive... Même pas une lecture de la réalité qu'un livre algérien révèle, sinon la censure de ce livre ainsi que celui, du même auteur, portant le titre « Poste restante », alors que son licenciement de son poste de travail au ministère de l'industrie date de quelques années.


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  • Un martiniquais aux sandales de Caoutchouc !

    Les principales séquences vidéo (de et) sur AIME CESAIRE !

    Immortel, AIME CESAIRE : Aimé à jamais ! Image hébergée par servimg.com

    En hommage au subversif... A l'intellectuel qui a pris le train de l'histoire en classe revendicative... Au sage décolonisateur... Au black à sang rouge... Ton ponthéon est nos coeurs rebelles qui continueront ton rêve, exécuteront ton programme et transmettront ton message pour l'éternité.

     

    Le témoignage de l'enfant nomme ISLAM... et sa candidature au casting de la chaîne Gulli.

    L'annonce faite à "Islam" : l'enfant qui, jamais il ne sera intégré en France !

    E N V I D E O ... une séquence ... L'islamophobie de plus en plus dans les moeurs...

    L'annonce faite à "Islam" : l'enfant qui jamais, il ne sera assimilé et intégré dans la société qui pourtant le scolarise, le voit pousser... La scandaleuse islamophobie de la chaîne Gulli du groupe Lagardère.


    Islam exclu de la chaine gulli pour son prénom


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    http://www.spokentext.net/members/argotheme/J._Carter__vocaliser.mp3

     

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME -Editeur et Communicateur- Logo de ARGOTHEME

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    Il a été publié par AGORAVOX Logo AGORAVOX

    Et par POPULISCOOP - Scoop Populaire- organe de cyberpresse pour écrire et publier un article Logo de POPULISCOOP, journal de presse alternative.

    L'ex. président Jimmy Carter va à la rencontre de Khaled Méchaâl, le leader du Hamas palestinien. Visite entamée par Israël, ce dimanche 13 avril, dans une ambiance présidée par une totale désapprobation des israéliens et des américains. Alors que les européens se gardent dans un mutisme sur lequel plane des pressions des lobbys guerriers au détriment des populations palestiniennes vivant une double catastrophes : du pouvoir islamiste du Hamas et des incursions de Tsahal.

    Malgré les levées de boucliers de divers horizons officiels d'Europe (union européenne et non distinctement des pays), d'Israël et de la Maison Blanche, avec de fortes pressions de ces deux derniers, l'ancien président Jimmy Carter, 84 ans, n'a pas cédé sur son désir de rencontrer à Damas en Syrie, Khaled Méchaâl, le leader du Hamas palestinien lors de son voyage entamé ce dimanche 13 avril.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p>GO ! GO ! Jimmy Vas-y, fonce... beaucoup d'hommes de paix derrière toi !</o:p><o:p>

    GO ! GO ! Jimmy Vas-y, fonce... beaucoup d'hommes de paix derrière toi !

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    Il se déplace sous la bannière de la « Fondation-Carter » avec Kofi Annan, l'ancien secrétaire général de l'ONU au nom des "Sages", le groupe créé en 2007 par Nelson Mandela qui réunit d'anciens dirigeants. Ces vétérans animés par un sens certain de l'équité, ont dans leur programme beaucoup de projets qu'ils n'ont pu terminer quand ils étaient en postes. Cette présence à ses côtés n'est pas citée par beaucoup de médias, à se demander à quoi rime cette omission ?
    Arrivé la journée du dimanche en Israël, il a rencontré le chef d'Etat Shimon Pères et le père du soldat Gilad Shalit. Ce dernier, tient désormais à un échange de prisonniers, faute que Tsahal n'ait pu délivrer son fils après moult combats et dévastations au Liban, à Gaza et Cisjordanie. Le père a demandé de démarcher la libération du caporal. Le chef du Hamas a indiqué le 31 mars que le soldat, fait prisonnier les armes à la main, était vivant et se porte bien.
    Avant d'entamer ses pourparlers, dans un entretien accordé à la télévision ABC, l'ancien président démocrate a déclaré "Il est très important que quelqu'un rencontre les dirigeants du Hamas pour exprimer ses vues, pour jauger s'ils peuvent faire preuve de souplesse, pour tenter de les convaincre de cesser toute attaque contre des civils innocents en Israël et de coopérer avec le Fatah en tant que groupe qui unit les Palestiniens". Et il précisa "Je n'y vais pas en tant que médiateur ou comme négociateur... (...) ... Mon engagement est de soutenir pleinement l'effort de paix qui est soutenu et endossé par le président (George W.) Bush et la secrétaire (d'Etat) Condoleezza Rice, ainsi que par les Israéliens et les Palestiniens..."
    Depuis longtemps Mr. Carter avait entretenu et suivi une conduite originale pour l'ensemble du conflit du Moyen-Orient et israélo-palestinien, qui lui valu le prix Nobel de la paix en 2002. Il est aussi l'artisan, comme président américain ayant tracé l'architecture des accords de camp David, en 1979, qui ont débouché sur la paix que beaucoup d'observateurs ont soupçonné d'irréaliste et sans avenir, entre l'Egypte et Israël. Outre qu'il a publié un livre à l'intitulé évocateur, peu complaisant et accablant qui a suscité un tollé polémiste aux USA et en Israël alors que l'ouvrage est comme boycotté ou presque inconnu en Europe : « Palestine : La paix pas l'apartheid » Le livre de Mr. Jimmy Carter : PALESTINE : La paix pas l'apartheïd. Il est l'une des rares personnalités occidentales et même parme les arabes aussi, à défendre, comme et depuis le 8ème forum des droits de l'homme en Irlande, la reconnaissance des résultats des élections palestiniennes de janvier 2006 donnant 42% des voix au Hamas. Parmi aussi ses grandes œuvres « sages » son déplacement, en 2002, à Cuba pour s'entretenir avec Fidel Castro.
    Avec ce nouveau périple d'une semaine, du 13 au 21 avril où il mène plus une "mission d'étude" l'ancien président américain visitera, outre Israël, la Cisjordanie, l'Egypte, la Syrie, l'Arabie saoudite et la Jordanie.
    Il apporte un cinglant revers au large boycott dont souffre le mouvement islamiste palestinien qui a repris le flambeau de la lutte armée après que feu Yasser Arafat, et son organisation le Fatah avec d'autres factions palestiniennes, se sont remises à l'évidence du travail diplomatique et confient la création d'un Etat palestinien à la négociation. Comme il met en échec l'immobilisme de la communauté internationale devant la situation de confrontation exacerbée, de part et d'autre, par le lancement de roquettes ou l'envoi de Kamikazes, côté Hamas, et les incursions expéditives de l'armée israélienne. La réunion d'Annapolis, fin 2007 aux Etats-Unis, suivie de la conférence des donateurs de Paris, sont désormais classées comme simples scénarii sans portée aucune.
    Il a insisté mercredi dernier « Le Hamas mérite d'être reconnu par la communauté internationale, et en dépit de l'histoire militante du groupe, il existe une chance qu'il sera bientôt le socle dirigeant des palestiniens et pourrait se détourner de la violence ». Exprimant l'espoir que «le peuple de Palestine - qui souffrent déjà ... sous l'occupation israélienne - ne souffrent parce qu'ils sont privés d'un droit à payer leurs enseignants, policiers, travailleurs sociaux, travailleurs de la santé et fournissent de la nourriture pour les personnes ». M. Carter a rappelé qu'il avait rencontré le Hamas à de nombreuses reprises et pour la dernière fois juste après les élections de janvier 2006.
    Selon lui, les responsables du Hamas lui avaient alors indiqué pouvoir faire preuve « d'une certaine souplesse... (...) ... J'ai l'intention de découvrir si c'est toujours ce qu'ils pensent... ».

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  • Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME 

    Cet article a été publié par POPULISCOOP Logo de POPULISCOOP, journal de presse alternative.-Scoop Populaire-

    Analyse de la réforme qui met fin à la publicité sur les chaînes de France-Télévision. Outre des restrictions budgétaires, au temps des déficits publics, il faut des nouveaux programmes pour combler les séquences pub disparues. Déjà qu'il est difficile de trouver l'argent perdu par cet élimination.

    Télévision mobile, tnt, politique, numérique, écran noir, extinction, mode diffusion, communication, réformes, publicité, France-Télévision... Des terminologies qui font la science des technologies que l'homme ne cesse d'apprivoiser.

    La fin de la pub chez France-Télévision : UNE REFORME TOMBEE DU CAMION.

    La fin de la publicité dans les chaînes publiques serait certainement à l'origine d'une mutation de l'ensemble du champ audiovisuel français. Elle désagencera les us établis aussi bien du côté des émetteurs que celui récepteurs. Elle semble faire unanimité, depuis le 8 janvier date de sa divulgation, très peu de récalcitrants se sont manifestés. Déjà le paysage est entamé par le tout numérique, et en avant-poste l'extinction de la TV analogique dès 2011, qui dessine une nouvelle configuration des cadres, réseaux et appareils médiatiques... Pour éviter que leurs postes n'aient pas un écran noir, les français doivent s'équiper avant cette échéance de la TNT, d'une réception par satellite, de l'ADSL ou par câble à moins qu'une autre technologie s'y rajoute d'ici-là.

    La modification des dispositions au niveau de la télévision, pour ne pas dire de la programmation, touchera de part et d'autre de l'écran. Du côté des téléspectateurs, francophones en particulier qui comptent aussi ceux d'autres contrées que l'hexagone, on constatera la métamorphose l'appréciant appropriée ou la subissant comme un repli. C'est dire que la transformation va être plus poussée et profonde qu'on le  croit, surtout qu'elle coïncide avec un chamboulement généralisé inévitable dans les 2 ou 3 prochaines années, au maximum 5.

    La contrainte discrétionnaire de l'autorité centralisant les habilités décisionnelles en a tranché, dans un contexte où la migration va de plus belle et est bien présidée de celle de la publicité transfert vers le Web. De suite la partition dans l'appareil institutionnel, assemblée et sénat, est donnée par François Copé qui divulgua, bien plus que 3 mois plus tard, que l'abandon se fera graduellement assignant un ton de modération. Et surtout épinglant, d'un correctif significatif, le mentor principal qui ne rate pas, lors de toutes ses interventions, de vouloir changer toutes les choses y compris l'ambition d'influer le monde entier. La suppression progressive n'avait jamais figuré au projet originel. Au moment où nous écrivons cette intervention, il n'est pas encore fixé si on attaquera les « access et prime time » (entre 18 et 21h30), on bannît d'ores et déjà certains secteurs (ou annonceurs), on diminue les durées ou on ferme sur certaines chaînes avant d'autres... 

    Comme une sentence induite de l'élan, des réformes empruntées quelque peu sans pertinence ni programme élaboré, par la présidence française agissant avec une bougeotte effrénée et des initiatives prises à vue et à la hâte. L'entrain, assez animé et sans préalables discernements, fait que ceux qui marchent debout trébuchent même s'ils sont au sommet des hiérarchies. On peut citer les reculs majeurs et les retombées de décisions peu réfléchies : le silence-radio concernant le parrainage d'un scolarisé français d'une jeune victime dans la shoah. Ou bien le maintien, après une campagne de dénigrement sans précédent, des 35 heures de travail hebdomadaire même si l'élargissement de la plage des heures supplémentaires a été finalement adoptée. Le lot des réformes inabouties ou irréalistes est bien en « XXL », plus large, mais c'est une autre histoire de les énumérer ici.

    Patrick de Carolis, directeur de France-Télévisions.

     

    Il est certain que le côté remise en cause de la publicité chez France-Télévision, est une réponse attendue pour réduire les espaces de marchandising des produits et des services que l'interprétation négative de l'économie de marché a imposée partout. Là où puisse exister un support dans l'environnement des humains, la pub s'y colle. Cette réforme était en livraison, c'est pour cela que le paquet la contenant a glissé du débarcadère et que le sherpa pressé de le restituer le voit dévaler les méandres de l'actualité. Elle n'est strictement pas du chef de monsieur Sarkozy puisqu'elle était, plus que recevable, déjà en l'air depuis des années et en outre expérimentée sous d'autres cieux. Il fallait l'avancer aux discussions et la rendre exécutoire. Tant mieux, si le service public songe davantage aux auditeurs. Ces derniers se soulagent du matraquage assourdissant des annonces de plus en plus ciblées qui n'épargnent aucunes catégories de la population et aucun moment de la journée. L'accaparement par la pub des espaces, et surtout d'une partie non négligeable des flux cathodiques, qu'on croyait conçus pour la culture, l'information, l'apprentissage, la vulgarisation, le divertissement et les autres bienfaits de la communication télévisuelle domestiquée par l'homme depuis un demi-siècle, est considéré comme le poison du cadeau parvenant à domicile. Et bien suivi de l'accusé de réception d'y répondre à la pub, en se laissant amadouer par ses incessants et alléchants appels surgissant entre les émissions après avoir même osé les couper, pendant une certaine période, finalement et heureusement qui a été abandonnée.

    Sur la question des réformes, une société dynamique se munit toujours d'une capacité à régénérer ses potentiels, les ressorts qui lui permettent d'anticiper ou de se conformer aux aléas pour mieux les surmonter. Elle se fixe à reconsidérer, de temps à autres, ses institutions pour les mettre à jour avec les exigences modernes qui détruisent les anciennes. Elle nettoie et aiguise ses outils de l'usure pour rendre efficace leur usage. Et elle renouvelle sa créativité en adoptant les méthodes que les acquis scientifiques raffinés par la recherche, et l'expérience pratique, authentifient comme efficients pour la continuité de l'existence et l'évolution. Mais c'est le contenu des réformes qui préoccupe, au sens de : vers quels objectifs elles tendent ? Ce questionnement traduit l'identification des intérêts gagnés, donc il tente de désigner les bénéficiaires avérés des dividendes. Pour le cas de la fin de la publicité dans le service public télévisuel, les acteurs des canaux privés, se frottant chaleureusement les mains en l'occasion, vont désormais avoir un monopole de la diffusion des spots. Une vocation qui collera d'ailleurs mieux à l'image bien palpable qu'ils véhiculent tant par leurs activités que par leurs statuts juridiques. Et va crescendo réparer leur nature qu'ils croyaient avoir égalitairement distribuée avec le service public.

    Beaucoup de commentateurs, partenaires du débat considéré des plus passionnants, se sont plus penchés aux manques à gagner des chaînes étatiques que les annonceurs déboursaient pour diffuser leurs séquences. Estimés à environ 780 millions d'euros par an, au temps des vaches maigres où les déficits publics s'accumulent, le nouveau découvert donne le tournis. La compensation est aussi peu recherchée, comme trouvée au bout du nez, pour le manque-à-trouver de quelques 470 millions encore irremplaçables. Seuls 310 peuvent être relevés respectivement : 200 des télécoms, 50 en créant de nouveaux revenus, 35 en économisant sur les services en activité et 30 en augmentant la taxe télévision. Du moins du point de vue prévisionnel de la commission Copé.

    Cette table de comptage oublie que les creux légués par la disparition de la pub, font appel à de nouvelles productions et pour les combler il faut des réalisations fictionnelles, d'animation ou d'actualité... de la création. Ce qui met en défiance les estimations avancées avec de nouvelles charges...

    Comme les téléspectateurs sont considérés les premiers bénéficiaires de cette réforme, il va falloir qu'ils trouvent dans leurs budgets le pécule pour posséder une lucarne fonctionnelle par où l'image puisse leur communiquer d'agréables ou d'utiles moments qui valorisent les temps libres.


     

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