• RAMADAN ET HALAL : business douteux pour croyants dans le bonheur. Ruée vers l’or des producteurs et distributeurs de l’alimentaire dans une totale anarchie

    Avec environ le 1/5e de la population du monde, les musulmans constituent donc un marché. Outre les produits communs, c’est la consommation alimentaire qui suscite le plus d’opportunité. Elle est marquée, en islam, par l’interdiction du porc, outre que les autres viandes sont soumises à la règle du halal. Pour le poisson aucune récrimination n’existe. Notons que le mot « halal » signifie admis, toléré, accepté…

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Ce précepte HALAL exclusivement pour la consommation de la viande, fait l’objet d’une plus large manipulation, spéculations obligent… Particulièrement en occident et pendant le mois du Ramadan, les opérateurs économiques tablent à satisfaire cette exigence. Mais…

    Dès lors que cette indication « Halal » figure sur les emballages d’un jus de fruit, d’un gâteau et même d’un vêtement, il y a de quoi se demander quelle est son utilité. Pour les produits comestibles, il est admis que dans la composition ne s’y trouve pas des éléments interdits comme le porc et à un degré moindre de l’alcool.

    Donc pendant le mois du ramadan outre l’exponentielle piété qui se fait plus que remarquée, les gourmandises se multiplient et les tables sont mieux garnies, donnant au mois son caractère festif. Les marchés dédiés à la gastronomie sont plus visibles mettant des étales en plein rue et les soirées sont aussi plus animées que d’habitude. Les sucreries et particulièrement les gâteaux orientaux sont placés sous tous les yeux.

    La prescription du jeûne en islam, du levé au crépuscule du jour, est présidée essentiellement par l’absence du petit-déjeuner et du repas de midi, avec les directives... Il est élargi à l’abstinence de rapport sexuel, de prise de boissons et de cigarettes comme autres exemples de restrictions.

    L’intéressement du secteur économique de l’alimentation trouvant des intérêts en adoptant ce paramètre du Halal, devait seulement se conformer à ce que la viande soit égorgée selon le rite. Ce dernier consiste à citer Allah au moment du sacrifice, de l’égorgement. Et cela s’applique aussi à la proie de chasse. En lâchant le rapace ou le lévrier ou bien même en tirant le coup de feu, cette citation de dieu est obligatoire. En nom d’Allah le croyant se justifie devant l’âme ou bien l’être qu’il abat, en tuant l’animal.

    Une étude du cabinet Xerfi publiée en mars évalue à près de 4 milliards d’euros, en progression de plus de 10% par an, le marché du halal. Un autre cabinet, Solis, spécialisé dans le marketing et les "sondages ethniques" estime à 5,5 milliards le chiffre d’affaires 2010 du secteur.

    En France après la diffusion d’un reportage/documentaire sur Canal+ sur les business du halal, Huit élus locaux d’origine musulmane ont demandé ce lundi la création d’une commission d’enquête parlementaire sur ce marché du Halal. Ils dressent le constat du dévoiement et comptent « faire toute la lumière sur le marché du halal, dont certaines pratiques commerciales peuvent s’apparenter à de l’escroquerie publique, faute d’une législation claire et précise ».

    D’emblée et d’une manière quasi incontournable, il faut tenir compte qu’en occident, en cette occasion de parler de l’islam, le rapport à cette religion suscite tant des passions que des polémiques. Cependant l’avoir économique, outre la recherche de la convivialité entre les communautés, attisent donc bien des débats de la société qui se diversifie. D’ailleurs l’actualité n’y manque pas de rappeler les réalités brutes !

    Le dernier fait en date, le double-attentat d’un islamophobe en Norvège a secoué les esprits. Les pensées du (des) peuple (s) xénophobe (s) qui font légion pour leur combat contre cette religion prétendument conquérante et terroriste, sont dans la radicalité qui n’a pas encore atteint son extrême qui est dans une dangereuse latence. Des idéologies nationalistes, ridicules et violentes, peu connues ailleurs comme en Afrique, en Asie et en Amérique-Latine, sont opérante en Europe et en France surtout.

    Cette aversion envers la dernière grande révélation monolithique de la terre, traverse toutes les catégories et opinions de l’Europe et aux Etats-Unis particulièrement. Pour cette dernière grande nation, aux devantures des arguments qui mettent les musulmans et leur culte dans le collimateur des extrémistes de droite, est le fait du 11 septembre 2001.

    Via certains médias, ayant adopté cette ligne, de l’islamophobie, comme opinion de leurs éditoriaux et les voix d’intellectuels islamophobes affichant ce racisme de nouveau type. En occident la haine du musulman, même si elle n’est pas généralisée, elle a écho et rapportée, souvent d’une manière discrète et hypocrite, par de larges groupes d’autochtones...


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  • C’était le soir de la diffusion du film The Promise, qui a valu 7 longues années de recherches au cinéaste anglais Peter Kominsky, sur la chaîne française cryptée. Cette dernière connait et maintient son succès, par la qualité de ses programmes et la grande diversité de ses programmes. Même payante avec le mode d’abonnement, Canal+ reste un bastion culturel à qui est due une promotion et une valorisation des arts français.

    En réalité le sujet, de cette série en quatre parties, concerne d’abord le Royaume Uni d’où est originaire aussi bien cette œuvre majeure du 7ème art que son créateur. Le fait que sujet induit le conflit du Proche-Orient, dont la solution de paix traîne causant une angoisse au niveau de toute la Terre et l’humanité. La crainte que la spoliation des palestiniens de leur terre soit une bavure historique, elle réveille les démons colonialistes.

    INTERVIEW du Réalisateur

    Sur appel de plusieurs organisations juives d’une France qui s’emploie à vérifier ses valeurs, à l’heure du débat de l’islam dans la laïcité. Un appel ouvert à la censure, sans respect de l’œuvre de son créateur et encore moins des autres publics intéressé, est lancé. L’union des commerçants… qui, parmi les organisations, commet un outrage à l’art !

    C’était le soir de la diffusion du film The Promise du cinéaste anglais Peter Kosminsky, sur la chaîne française cryptée qui connait et maintient son succès. Réalisateur de grand talent, qui adapte un style faisant du reportage d’actualités, une fiction détonante et d’une facture à couper le souffle. Cet anglais est mouliné à toutes les sauces qui indisposent le dernier des colonialismes, certains médias obéissant à des lignes éditoriales établis dans l’injustice à infliger au peuple palestinien, ne lui pardonne… même son génie.

    Dans le désordre des choses politiques actuellement, certains juifs de France sont devenus à la pointe de la confusion entre antisémitisme et la criminalité de l’Etat hébreu. Heureusement et loin s’en faut, ce n’est pas l’ensemble de la communauté.

    Le plus officiellement aussi, c’est un élu de la république appartenant à l’UMP, député de Paris Claude Goasguen, était présent à ce regroupement qui ne compte une bien minorité de l’ensemble des juifs de France. Il a dénoncé "une série caricaturale, honteuse" qui donne "une image délirante d’Israël", où il perçoit dis-donc de l’antisémitisme.

    Le réalisateur s’est déjà défendu Le réalisateur de "The Promise" rappelle que sa série est avant tout une fiction. Intéressant à plus d’un titre, parce qu’il entrecroise l’actualité du jour à celle de la période du mandat britannique.

    Peter Kosminsky, dont l’objectif ne fixe son avis d’une manière tranchée sur la spoliation des palestiniens de leur patrie, reste un artiste à défendre là où la liberté d’expression ne doit pas céder un iota de son importance dans la recherche de la paix dans ce qui est le conflit du Moyen-Orient.

    Filmographie de Peter Kosminsky

    - La guerre des Malouines : The Untold Story (TV, 1987)

    - Afghantsi (TV, 1988)

    - Shoot To Kill (TV, 1990)

    - Wuthering Heights Emily Brontë (1992)

    - 15 : La vie et la mort de Philip Knight (TV, 1993)

    - La mort de la lumière (TV, 1994)

    - No Child of Mine (TV, 1997)

    - Walking on the Moon (TV, 1999)

    - Warriors (TV, 1999)

    - Innocents (TV, 2000)

    - Le projet (TV, 2002)

    - Laurier blanc (2002)

    - The Government Inspector (TV, 2005)

    - Britz (TV, 2007)

    - The Promise (2011), de la télévision

    QUELQUES UNS DE NOS SUJETS : Faites une recherche pour plus d’articles sur le Conflit du Proche-Orient.

    Des groupes de musique annulent leurs concerts en Israël.

    Jean-Luc Godard récompensé d’un Oscar pour que le 7ème art se civilise.

    Roger Waters, membre des Pink Floyd, accusé d’antisémitisme...

    Helen Thomas, doyenne des correspondants de presse à la Maison Blanche mise à la retraite pour des propos condamnant Israël.

    Israël Turquie : la censure des expressions et le piétinement de la légalité


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  • Soulevant l’ire hystérique habituelle des criminels de guerre et des spoliateurs des palestiniens de leur patrie, l’oscar attribué à Jean-Luc Godard, 13 novembre 2010, pour l’ensemble de son œuvre sort réellement de la tradition hollywoodienne.

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Précurseur de la Nouvelle-Vague, style et mot qui est devenu spécifique au 7ème art, ce prolifique cinéaste franco-suisse dit ce que communément pensent nombreux, aussi bien de ce qui est le grand cinéma américain que du conflit dit « israélo-palestinien ». Au sujet des juifs, car c’est là qu’on l’accable, il propose un argument plus interrogatif qui stimule la réflexion. Qu’une idée simpliste du placage traditionnel de l’opinion colonialiste ancrée dans les perceptions occidentales qui l’ont vu naître et exprimer son œuvre.  

    Mais comme l’accusation à l’emporte-pièce de l’antisémitisme est brandie, à chaque fois que quelqu’un sorte des balisages des doxas occidentales, Jean-Luc Godard devient l’exemple que nombreux intellectuels et artistes rejoignant ces derniers temps, suite au crime commis à l’encontre d’humanistes dernièrement par Tsahal, le militantisme des justes et des humanistes.

     L’organisation américaine ZOA (Zionist Organisation of America) ainsi que des médias américains et israéliens ont lancé un appel à l’Académie des Oscars afin qu’elle ne lui accorde pas cette reconnaissance. Alors que dans le fond lui, qui fêtera ses 80 ans en décembre, s’en moque pleinement aussi bien de la distinction qui passe par-dessus les règles habituelles, du cinéma distillant une arrogance impérialiste qui deviennent désuètes.

     L’Académie des oscars a pris, sans moindre ambiguïté, position par communiqué  officiel «Nous sommes aussi conscients des arguments existants pour rejeter ces accusations… / …  L’antisémitisme est certes déplorable, mais l’Académie a déterminé que les accusations contre Monsieur Godard n’étaient pas convaincantes.» D’ailleurs Godard ne se donne même la peine de se déplacer à Los-Angeles pour recevoir son prix aux côtés de Francis Ford Coppola et de l'acteur Eli Wallach, laissant dans leur soif les cinéphiles férus de son héritage.

     Partant de la perception des choses comme ce vénérable français, de cette séquence vidéo.

    Le reproche de l’antisémite virulent ne marche désormais plus et même aux USA, du fait que le cinéma américain prend bien ses distances de l’affabulation de la Terre promise. Parmi les derniers, car il y a aussi d’autres après lui, le boycott de Little-Big Man « Dustin Hoffman » d’Israël qui est un juif conséquent, pour rester dans cette culture, n’est rapporté en fait que les bouts des lèvres particulièrement à Hollywood. Même les réactions des décideurs des states de cet art sont restés sans  échos, l’homme a été toujours et depuis des lustres le plus critique d’Hollywood.  


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    …La culture, des pays victimes de l’islamisme, menacée et persécutée en permanence.

    En Afghanistan le joug des talibans est aussi la barbarie contre la culture. On les avait vus dès leur prise du pouvoir s’en prendre à un monument du patrimoine, les statuts de Bâmiyân. Des chefs d’œuvres préislamiques puisque datant du 5ème et 6ème siècle du calendrier universel guidé par ce qui l’ère chrétienne.

    En Afghanistan le joug des talibans est aussi la barbarie contre la culture. On les avait vus dès leur prise du pouvoir s’en prendre à un monument du patrimoine, les statuts de Bâmiyân. Des chefs d’œuvres préislamiques puisque datant du 5ème et 6ème siècle du calendrier universel guidé par ce qui l’ère chrétienne.

    Le Mollah Omar déclara en mars 2001 alors que le saccage des bouddhas de Bâmiyân « Nous cassons simplement des pierres... » . C’était à Kandahar son fief, alors que les dynamites résonnaient partout… C’était l’époque, 2001/2002, où les bibliothèques s’en prenaient des roquettes qui déchiquetaient leurs bouquins. Les souvenirs du dernier retranchement, après que la guerre qui s’est installée dès 1992, fut la ville de Pol-e Khomri, surnommée « la petite Moscou ». Tous les démocrates et les intellectuels y ont trouvés refuge, mais ils furent rattrapés.

    Responsable de la bibliothèque de KABOUl

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    Un grand symbole, avant d’être un atout touristique pour ce pays déchiré par les Houligans de la charia, ces réalisations rupestres sont d’une valeur inestimable. Gengis-Khan s’est cassé le sabre en les approchant, après avoir détruit la ville, qui abrité les peuples, les Pashtouns et les Tadjiks, qui les ont érigées et a laissé son nom, Bâmiyân, à l’actuel site. Creusées et sculptées sur le flan d’un monticule, qui a été préalablement taillé en horizontal, deux statuts de 53 et 35 mètres chacune (inversion des chiffres) représentent des bouddhas.

    Face à la machine intégriste mondiale, les médias continuent de nous apprendre que le sang est le plat quotidien servi par des attentats. Pourtant les autres victimes de « l’internationale islamiste » et sont partout où l’ordre morale et religieux est belliqueux. Une chanteuse surnommée la « Madona musulmane » est à l’origine du fabuleux projet appelé « Freemuze ». Elle est à l’origine de la parution d’un CD consacré aux chanteurs censurés dans le monde (notre prochain sujet : suite). Et parmi les 14 participants du monde entier, figure l’afghan Farhad Darya qui symbolise le retour de la musique après la chute des talibans.

    Attentat à la bombe lors d’un concert de Farhad Darya

    Il a eu lieu le mardi 14 septembre, dans un stade de la ville de Hérat, et a fait 13 blessés selon le constat des employés de l’hôpital. Ces derniers ont précisé que les personnes reçues pour des soins sont : 1 femme, 1 enfant, 1 policier et 10 hommes. Selon le témoignage d’un journaliste de l’AFP, la bombe était certainement posée sur une moto garée dans les parages du stade.

    Statut des Bouddhas de Bâniyâm

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    Ni le chanteur Faryad Darya, ni ses musiciens n’ont été touchés. L’artiste est un personnage connu dans les milieux artistiques afghans, iraniens, pakistanais et même au niveau de toute l’Asir du sud-est. Musicien, compositeur, producteur et ambassadeur de l’ONU pour la paix dans son pays d’origine, il vit aux USA . Il chante en différentes langues : persan (dari), ouzbek, anglais et en ourdou. Et il gère une fondation pour l’aide des orphelins et des enfants des rues d’Afghanistan.

    Après l’explosion le chanteur s’est déplacé à l’hôpital pour constater les blessures et l’état de ses fans touchés.


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  • Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME 
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    Le grand comédien de théâtre français Laurent Tazieff est mort pendant la nuit du 2 au 3 Juillet dans son lit d’hôpital à la « Pitié-Salpêtrière », Paris 13ème, où il était souffrait depuis quelques de difficultés respiratoires. Non seulement il était partisan d’un art engagé, mais aussi il avait l’opinion exigeante de s’inscrire dans le mouvement progressiste français. Il figura un certain dans la « liste Noire » car signataire de la déclaration des dites des 121 pour l’indépendance de l’Algérie.  

    Dès la matinée du 3 juillet, nous avons appris que l’immense comédien Laurent Tarzieff a rendu l’âme, suite à des difficultés respiratoires. Il était depuis quelques jours dans un lit de l’hôpital "La Pitié Salpétrière"...

    Laurent Tarzieff, un acteur exigeant...

    Voir en ligne : Regarder la vidéo sur l’INA pour la question algérienne

    La veille, le 1er et 2 juillet, la canicule a battu son plein avec des 35 et 36° dans la capitale française.

    L’acteur avait une plus-que remarquable présence sur scène, c’est-à-dire à ses côtés les autres personnages se rapetissaient, au sens de perte d’exergue, devant celui qu’il incarnait.

    De même son jeu, d’ailleurs fondé sur son physique doué d’un charisme dirait-on né et fait pour la scène théâtrale.

    Ses opinions philosophiques et politiques ne sont pas démunies d’engagement. L’homme était pour l’indépendance de l’Algérie à l’époque de la guerre de libération de cette ancienne colonie, s’inscrivant dans le progrès et le sens de l’Histoire. Il figura un certain temps en France, après avoir signé en 1960 "le Manifeste des 121", sur la LISTE NOIRE quand il a pris part part à la déclaration sur le droit à l’insoumission dans la Guerre d’Algérie.

    POUR L'INDEPENDANCE DE L'ALGERIE, Laurent Terzieff signattaire de la "déclarartion des 121" <script src="http://www.ina.fr/js/global/controle/ogp_player_embed.js" type="text/javascript"></script> <script src="http://www.ina.fr/player/embed/w/320/h/240/id_notice/I00009335/id_utilisateur/924176/hash/3387a805a1d27650497b527501b78ed4" type="text/javascript"></script>

    Et comme il échappa, après quelques mois, à la censure, il explique son infaillible en gagement

    Surtout pour l’art auquel il a consacré toute sa vie, il avait idée fixe de celui qu’il désirait pratiquer. Quand de nos jours, la censure touche plus les médias, le 4ème art semble se faire sans faire réagir la société... Et sans intéresser les rois, c’est-à-dire les gouvernants politiques qui nous dirigent, lui il avait compris que son école, d’autodidacte, est celle à contre-courant des autres noms de sa génération, majoritairement issus du sérail et genres conservatoire.

    Il disait : "Pour moi, le théâtre doit être le miroir de la réalité, et refléter les deux éléments fondateurs de l’existence : le monde intérieur et le monde extérieur" . Il parlait ouvertement de "l’exigence morale et artistique qui fonde le métier de comédien ".

    Laurent terzieff et l'avant-gardisme au Théâtre : <script src="http://www.ha.ina.fr/js/global/controle/ogp_player_embed.js" type="text/javascript"></script> <script src="http://www.ha.ina.fr/player/embed/w/320/h/240/id_notice/I00009385/id_utilisateur/924176/hash/3387a805a1d27650497b527501b78ed4" type="text/javascript"></script>

    retrouver ce média sur www.ina.fr
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