• La CGT grippée au sommet : le rouge est mis ! Un syndicat en quête de modèle de démocratie interne qui convient aux travailleurs français.

    Descriptif des structures de direction de la CGT

    Le bureau confédéral est le gouvernement de la CGT. Il a été largement renouvelé au dernier congrès et comprend 8 membres, dont Bernard Thibault.

    Ses membres sont choisis au sein de la commission exécutive (CE), elle-même élue lors des congrès. La CE est le bureau politique de la CGT, sa direction élargie. Elle compte 54 membres.

    Le comité confédéral national (CCN) est le parlement de la CGT. C’est le cœur de son appareil et l’instance souveraine, au pouvoir décisionnel. Il est constitué des 127 principaux dirigeants de fédération (une trentaine) et d’union départementale (une centaine), qui disposent des mandats de vote. 87 autres membres y siègent sans voter.

    Si la CGT a réussi merveilleusement son détachement, entendre une autonomie dont l’acquisition ne pouvait être que délicate et peu aisée, du PCF, elle tarde aussi de repenser l’harmonie organique ou la démocratie interne. Car dans le débat, qui logiquement ne devait pas avoir lieu tel qu’il est exposé par les commentateurs, de la succession de Bernard Thibault, ressort que les rouages ne sont pas si bien limpides et fonctionnels.
    Avec le découplage, entre parti / syndicat, des années 2000, dès lors toutes les lignes ont inéluctablement bougé. Pour dire exact, la branche CGT de la fourche devait voler de ses propres ailes depuis.

    Si cet écart pris d’un parti qui déclinait sous l’effet de l’ouverture du livre noir du stalinisme pendant les années 80, devait être effectif, il aurait aussi influencé sur la stratégie syndicale d’une manière générale. Une nouvelle identité pour le syndicat surtout, détachée de la structure politico-sociale de jadis. La démarche commune transformée, il reste à jamais inimaginable que cette mutation entraînerait un divorce avec la gauchefrançaise. Ce qui est sauvé pour une même famille.

    Le secrétaire du premier syndicat français qui a largement présidé à cette distanciation entre la centrale et le PCF, a souhaité que son successeur soit une femme en la personne de Nadine Prigent, une ancienne infirmière de 54 ans, qui a longtemps dirigé la Fédération de la santé. Mais ce passage de témoin n’a pas été validé, en recueillant 304 voix contre et 255 pour, lors de la réunion du Conseil Confédéral National (CCN) de mai 2012. Le prochain, en plein rentrée sociale, sortira avec des candidatures pour l’élection par le congrès, de 2013, du nouveau secrétaire.

    Auparavant le PCF procédait par la désignation du premier responsable de la CGT. Dès lors l’affranchissement du syndicat est acquis de ses géniteurs, la forme organisationnelle ancienne a disparu. De même que l’apprentissage de la démocratie n’avait aussi et au préalable établi qu’une alternance homme-femme devait permettre au secrétaire d’avoir tenter (voire oser) une candidature dûment choisie…

    L’enjeu de la crise actuelle incite à imaginer, non pas de simples transferts, entre personnes de même affinités ou sensibilité, d’appareil de management syndical. Mais de véritables projets théoriques à la hauteur des dures réalités qui ont prise sur le présent !

    Aux dernières élections prudhommales la CGT est largement plébiscitée. Les espoirs que mettent les travailleurs français dans la structure syndicale engluée ou presque décapitée en cette rentrée 2012/2013, où en France le PS a déjà les pieds sur le tapis dérapant de la crise…


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  • IRAK, L’ECHEC AMERICAIN NE FAIT PAS DE DOUTES : les irakiens ont fêté le départs de l'US-army. Depuis le mensonge des armes de destruction massive jusqu’à la finale de l’insécurité généralisée...

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

    Cet article a été publié par POPULISCOOP POPULISCOOP -scoop populaire- Ecrire et publier un article. -Scoop Populaire

    La guerre américaine en Irak vient de prendre fin. L’opération « Operation Iraqi Freedom » a officiellement été clôturée et les soldats ont plié paquetages. Qu’en est-il des conséquences ? Plus d’écarts avec les USA, les lectures des autres peuples arabes sont encore plus sombres et aiguisent l’hostilité à l’égard même de tout l’occident. Les nouvelles haines sont plus systématiques, même si en Libye le même scénario a été reproduit avec la chute de Kadhafi…
    Les irakiens se sentent soumis à la « domination » américaine bien que libérés de leur indécrottable dictateur. L’humiliation la plus morne qu’ils perçoivent est qu’on leur a subtilisé leur pétrole, la principale richesse. Ou du moins cette ressource a été détournée de partenaires, en évinçant certains pays comme la Chine ou la Russie, pour le mettre à la disposition exclusive des USA. Outre que l’ensemencement du terrorisme islamiste là où il n’existait pas, ou était latent, est largement visible.

    En Algérie, pour citer un pays qui a connu les plus grands crimes de l’islamo-terrorisme, la vogue était au libéralisme et à l’apologie ouverte au capitalisme prédateur. Les algériens ont découvert les criminels économiques, comme Al-Kalifa, qui se faisaient passer pour des modèles de réussite et les hordes de tueurs qui se présentaient en gens pieux. Dans ce pays du Maghreb, loin des opérations de reconfiguration qui s’effectuent continuellement au Proche-Orient, l’idéologie américaine ne manquait pas d’indécence de se présenter comme celle des libertés, alors que nombreux cas dont la Palestine nous instruisent du contraire.

    Lors de la cérémonie du départ des troupes américaines, aussi bien le président Talabani que son premier-ministre Nouri al-Maliki étaient absents, n’ont pas voulu remercier l’US-Army quand la population est déçue. Leurs sièges restés vides, ont été occupés par deux soldats afin de combler le creux dans la tribune. Malgré le discours optimiste d’Obama, c’est l’une des guerres marquée d’une grande animosité et qui traumatisent, pour longtemps, nombreuses générations de jeunes du Monde Arabe.

     Les irakiens fêtent le départ des américains

    Neuf années d’une atroce guerre ont laissé des traces. La disparition de Saddam Hussein qui végétait avec l’espoir de mettre en dynastie la république, avec les attentes que l’un de ses deux fils lui succède, comme en Libye ou en Syrie où déjà la succession est effective, a créé plus de vulnérabilité. Le terrorisme en est le symptôme et le fléau d’une déstabilisation qui engage bien la responsabilité historique des américains. Car cette guerre a été fondée sur le mensonge de détention du despote d’armes de destruction massive.

    Le grand problème est la violence, bénéficiant de complaisance des populations musulmanes qui voient un crédo de résistance aux invasions étrangères, comme contre Israël plaqué, dans une région depuis la seconde, comme un corps étranger. Les musulmans gardent aussi leur inconséquence vis-à-vis de cet islamisme qui prône le châtiment barbare inspiré de la charia qui n’a de divin que l’injustice.

    En Arabie Saoudite où la Charia est exécutée à la lettre et non loin de la tombe du prophète, pas moins de 73 personnes ont été décapitées jusqu’à la fin de novembre 2011 et leur majorité étaient parmi les déshéritées, les précaires, les émigrants et issus des pays pauvres.

    1,5 million de soldats américains ont été dans les opérations en Irak, 4487 ont été tués. La société américaine consommera un autre Viêt-Nam, en l’assumant dans sa mythologie spectaculaire. Les traumatismes qu’Hollywood va mettre en films, sont justifiés y compris par le mensonge. L’autre résultat accablant de l’échec américain est que le gouvernement élu en Irak est plus proche de Téhéran que de Washington.

    Les chiites irakiens sont considérés plus sympathiques, mais loin s’en faut, ils n’ont pris de position concernant les crimes contre l’humanité de Bashar Al-Assad. Outre qu’ils n’ont pas dénoncé l’Iran y compris son programme nucléaire ou bien ont fait allégeance à Israël qui était inscrit dans les objectifs de la guerre.


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  • Les arsenaux de Kadhafi, et ceux de L’OTAN mis à la disposition des insurgés libyens, s’évaporent dans la nature... ... L’AQMI ne pouvait rater l’occasion de se doter d’armes plus sophistiquées.

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Les conséquences de la chute du despote libyen après 42 années de règne qui allaient déboucher sur une fausse république (Djamahirya) car dynastique avec le projet d’intronisation de Seif El-Islam, encore recherché, sont encore à évaluer tant au Maghreb, en Afrique que dans le monde. Quand le premier dirigeant, Mokhtar Belmokhtar, de l’AQMI affirme par le canal d’une agence mauritanienne privée et sur le Web, avoir récupéré des armes, du conflit marqué négativement par une criarde ingérence néo-colonialiste, le rouge est mis. Le Forum global de lutte contre le terrorisme, se réunira à Alger mercredi 16 et jeudi 17 novembre.

    A ce jour, la place de l’Algérie dans la transition libyenne, l’une des plus sanglantes du Printemps Arabe qui a marqué l’année 2011, se définit comme celle qui a défendu en sous-table la dictature. Sinon elle est contraire au cours de l’Histoire.

    Ce grand pays du Maghreb, dirigé depuis un demi-siècle d’indépendance par un népotisme qui joue la carte du nationalisme religieux, reste fondamentalement à la traîne des changements qui secouent l’ensemble géographique et linguistique auquel appartient l’Algérie, où un pouvoir, despotique, corrompu et tortionnaire, impose à son peuple la même identité. Parmi l’ensemble Arabe, les pires monarchies car réactionnaires sur tous les modes de libertés, respirent une peur bleue de la grogne qui monte au sein de leurs populations. Qui, elles dans leur ensemble, se demandent par quelle légitimité des familles maffieuses gouvernent leur pays et s’accaparent tous les privilèges ?

    En début septembre, le ministre délégué chargé des Affaires maghrébines et africaines d’Algérie, Abdelkader Messahel, a annoncé, lors d’une conférence, la création du Forum mondial de lutte contre le terrorisme, composé de quelques 35 pays dont l’Algérie. La première réunion s’est tenue le 21 septembre à New York et a regroupé des pays ayant des capacités et des expériences à même de contribuer à l’éradication du fléau du terrorisme. Mais en Algérie plus particulièrement et dans le monde arabe d’une manière générale, y compris les pays touchés par les révoltes, l’islamisme qui est la matrice idéologique de ce terrorisme, est entretenu comme un vigile contre les athées, les démocrates et pour les contrôles des libertés individuelles. Les populations arabes grandement influencées par le rayonnement des mosquées, squattées par des imams presque analphabètes et les groupuscules islamo-terroriste, ne s’engagent pas à combattre à l’hydre hideuse du fascisme vert.

    Quant aux monarchies arabes s’adonnent aux punitions primitives des lapidations, des amputations des mains de voleurs et autres pratiques attribuées au régime dit de la Chariaa, sous les regards impuissants de leurs sujets démunis de citoyenneté. Une douzaine de ressortissants du Bengladesh ont été ainsi condamnés, à de telles peines, en Arabie Saoudite pendant le mois d’octobre 2011. Régime dont rêvent encore nombreux islamistes et en Algérie… L’adoption par le Conseil de sécurité des Nations Unies de la résolution 1904 criminalisant le payement des rançons aux groupes terroristes pour la libération d’otages, que l’Algérie a recommandé, n’empêche en rien l’existence des groupes terroristes et de leur recrutement, ainsi que leurs actions criminelles dont les prises d’otages.

    Les 7 et 8 septembre a eu lieu une conférence sur le partenariat, où la sécurité a eu la part du lion des discussions entre les pays du Sahel et en présence de partenaires occidentaux. Depuis le commencement de l’insurrection des jeunes libyens, un mois la révolte du Jasmin en Tunisie, la région a été mise sous les feux de la rampe de l’actualité internationale et plongée dans une violence entamant une terminaison, qui est encore imprévisible dans la déstabilisation de la région, après la mort de Kadhafi et l’anéantissement des fiefs qui lui étaient fidèles à Tripoli, Mizrata et Syrte.

    Le Forum mondial de lutte contre le terrorisme est une nouvelle initiative internationale visant à combattre le terrorisme partout dans le monde. Il se préoccupe d’Al-Qaïda et sa représentation en Afrique : l’AQMI dirigée par un certain : Mokhtar Belmokhtar. Parmi la trentaine de pays membres, on compte des puissances émergentes ainsi que majoritairement les pays musulmans où couve, profondément ancrée, cette pseudo-idéologie à essence théocratique l’islam politique. Les efforts visant à mieux coordonner les mesures antiterroristes se concentreront sur la primauté du droit, la gestion des frontières et la lutte contre l’extrémisme violent. Le Forum mondial de lutte contre le terrorisme est coprésidé par les États-Unis et la Turquie.

    Un communiqué du ministère des affaires étrangères algériennes repris par l’AFP –Agence France Presse- affirme qu’une réunion du groupe de travail sur le Sahel, co présidé par l’Algérie et le Canada, relevant du Forum global de lutte contre le terrorisme, se réunira à Alger mercredi 16 et jeudi 17 novembre.

    Le Mali, la Mauritanie, le Niger et l’Algérie avaient, dès 2010, travaillé dans une coopération militaire par le biais du Comité des états majors opérationnels conjoints (Cemoc). Installé depuis à Tamanrasset, ce dernier a entretenu une coopération en matière de renseignements, afin de repérer et de venir à bout des hordes de terroristes activant dans le vide lunaire du grand Sahara.

    Selon des déclarations qui ne peuvent être ni vérifiées, ni démenties, quelques 30 000 missiles sol-sol et sol-air ont été perdus, ou dérobés, lors du démantèlement du régime de Kadhafi qui a duré quelques 5 mois. La prolifération d’armes en provenance de Libye est plus qu’inquiétante et toute la région ressent les pires conséquences. Le gros des arsenaux perdu provient des stocks de l’ancien pouvoir libyen, ainsi que détournés des mains des rebelles, pourraient déjà être entre les mains des rebelles du Darfour (Soudan), des insurgés d’Al Qaïda au Maghreb islamique (Aqmi) et d’autres extrémistes armés, avaient prévenu des responsables de l’ONU au lendemain de la mort du dirigeant libyen.


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  • France : pour toutes élections, le Proche-Orient s’inviterait, le CRIF le veut. La gauche devancée de la répartie spontanée, faite dans l’oreille d’Obama, par le candidat Sarko !

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    S’il y a un thème qui, inévitablement, risque de s’inviter dans la campagne électorale 2012 planchant sans distinction sur la crise du capitalisme, c’est bien celui du conflit du Proche-Orient. L’écartement de ce débat, par les acteurs des prochaines élections, ne videra pas la passion profondément française qui scrute l’avènement de la paix, comme sujet majeur dans le renouvellement des politiques globales qui interpellent tous et chacun… Si une riposte républicaine de la gauche ne vienne pas pour taire cette ingérence d’une association, pour un pays étranger... qui fait pression sur les socialistes français ?

    La vieille que mène, l’officine de surveillance, le Crif pour la protection des criminels de guerre de Tsahal en Hexagone, est une mise-au-pas de toutes les tendances de la classe politique française.

    Sous l’effet des victoires diplomatiques des palestiniens qui sèment une panique au sein des faucons de Tsahal, la donne internationale naissante accélère le processus de paix pour le vieil conflit du Proche-Orient. Cette évolution du premier conflit de politique internationale, d’une fraîcheur très actuelle qu’est l’acceptation des palestiniens au sein de l’Unesco aidée par un vote positif de la France en attendant d’autres percées, déclenche moult tractations. Elle cause des remaniements aux éléments essentiels qui poussent au devant les vecteurs de changement. Et elle bouleverse les donnes acquises, qui se veulent inertes et insouciante envers la paix et la fin du conflit. LES DROITES EUROPEENES ET LE SIONISME


    Extrême droite européenne, pro israélienne

    Master MAD | Myspace Video

    Quand le président français traita, dans l’oreille d’Obama mais avec une lucide franchise, Netanyahou de menteur, il a marqué un but qui lui ouvre la porte de la victoire. Il s’en est suivi qu’il a assumé ses propos, car il n’a pas démenti ou encore moins présenté, comme à l’exigence habituelle, d’excuses. Cette appréciation, somme toute volée de la grande discrétion grâce à une soi-disant erreur technique de sonorisation microphonique, dénote que l’opinion réelle des décideurs du monde. Elle méritait d’être divulguée...

    Sarkozy qui œuvrait pleinement dans le Printemps Arabe, avait comme claironné une position, on ne peut plus claire, est fortement profitable à sa campagne. La maturité qui se généralise au sein des 117 pays qui reconnaissent l’aspiration de liberté des palestiniens, suscite une pression sur les Etats-Unis et leur protégé, Israël. Jamais dans la lutte des palestiniens, de telles résonances n’ont été perçues au sein de la communauté internationale. Est-ce la maladresse ou la manœuvre dûment tracée par le chef de l’Etat ?

    L’alliance sacrée : extrême droite occidentale et sionisme colonisateur, à ne pas confondre avec le sionisme protecteur des juifs, se conjugue largement sur le tableau de : détestation de l’arabe. Commun thème de l’islam (pour les sionistes virulents) ou de l’immigration pour la droite. A l’UMP le pacte républicain étant ancré aussi, comme aussi un certain pragmatisme, quoi que pensent les gauches aussi bien du caviar que celle de l’ancestrale tradition autochtone. DSK qui était partant sur une victoire, sous le socle de la compétence, disait : « chaque matin, je pense comment venir en aide à Israël. »

    L’Europe est judéo-chrétienne SELON LE DROITE ET LES SIONISTES COMPLICES DES CRIMINELS DE TSAHAL

    La droitisation des juifs de France a été identifiée en 2010 quand est arrivé le Crif accueilli, par des élections incontestablement démocratiques, Me Gilles-William Goldnadel, l’avocat dit comme le « Lieberman » français, au sein de sa direction. Ensuite il s’est rajouté l’exclusion du PCF du repas annuel, organisée par cette même instance, comme une opération ritualisée de lobbying tant envers les personnalités que le pouvoir officiel.

    Mais dans la prolongation des errements du sionisme animé de la colonisation à outrance de la Palestine, c’est aussi le PS qui va sur une discussion qu’il a longtemps évitée. Et qui se pose sur la table et dans le menu du candidat déjà en course pour les prochaines présidentielles, François Hollande. Bonne appétit !

    Au sein de la gauche française, les tendances du PS survivaient avec cette contradiction, ce qui n’est pas le cas des autres partis. Il est très clairement connu que Besancenot a été militant du démantèlement du Boycott de Gaza, zone qu’il a visité de visu. Les verts, ont l’opinion tranchée dans la justesse de la cause palestinienne, par ailleurs connue pour toute l’humanité. Cette dernière fait désormais majoritairement soutien, au niveau des instances internationales, aux palestiniens.

    Mais le président du Crif s’en prend aussi au Parti de gauche de Jean-Luc Mélenchon, chose qui n’existait pas par le passé. Le vase déborde, car une telle attaque n’était pas faite auparavant. Y’a-t-il âme à répliquer à cette mise-au-pas des politiciens français dans et pour les intérêts d’un Etat tiers, Israël ?

    En effet, le président du Crif écrit dans un récent éditorial, à propos des législatives prévues pour le 10 et 17 juin 2012, s’en prend au PS. Ce n’est pas uniquement de la paranoïa, c’est un contrôle direct d’institutions politique.

    Le Parti Socialiste avait déjà encaissé la même agression quand certains médias israéliens ont désigné Martine Aubry, la première secrétaire, d’islamiste et de fasciste. Ce parti a beau évité cette confrontation, elle lui est venue dans le plein de ses tâches et positions. L’officine qui sert Israël, mène une incessante et vigilante surveillance dans le cas où le sionisme des criminels de guerre n’est pas sous bonne protection en Hexagone.

    Les propos du président du Crif sont : « Les négociations entre le PS et EELV (les Verts) pour le choix des candidats d’union aux prochaines élections législatives ont abouti à l’éviction de… / … Tony Dreyfus (5e circonscription 10e et une partie du 3e où Martine Billard élue écologiste a rejoint Jean Luc Mélenchon) » . Ceci arrive en préparation des élections présidentielles de 2012, mais la case des législatives est préalable dan le calendrier, alors que les sénatoriales sont déjà faite avec une victoire de la gauche. La panique...

    Cet aveuglement de s’attaquer aux gauches toutes emballées dans un antisémitisme béat, est la représentation exacte pour qu’une riposte républicaine soit faite par les concernés.


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  • Le nom insolite de l’ambassadeur pakistanais offusque les monarchies conservatrices du Golfe arabique. L’indésirable nom du diplomate aux compétences établies.

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Une crise diplomatique a éclaté entre plusieurs monarchies du Moyen-Orient et le Pakistan pour la raison du nom, saugrenu, que porte le nouvel ambassadeur devant arriver aussi en Arabie Saoudite...

    ... Après avoir essuyé le rejet de son accréditation auprès de Bahreïn et les Emirats Arabes Unis, il a été aussi rejeté par cette monarchie qui ouvre ses portes aux dictateurs arabes déchus.

    Il devait aussi conduire la représentation pakistanaise auprès du conseil de coopération des pays du Golfe, ce qui lui a été également refusé. Son accréditation n’a pas été approuvée, dans cet ensemble géographique où le conservatisme islamiste préside le destin des populations. L’affaire a été découverte par la presse, après son arrivée enArabie Saoudite.

    Dans de tels climats et régimes délétères où passent avant toutes considérations, les excès islamo-réactionnaires ne sont guère à démontrer. Les préceptes appliqués sont tirés de la sacralisation absolue d’une morale passant même avant tous les autres intérêts, dont les bonnes relations avec autrui.

    Miangul Akbar ZebMiangul Akbar Zeb

    Du fait du patronyme que porte le diplomate, et ce malgré la polémique qui s’en est suivie, le litige s’est rajouté à de bien autres discordes ayant trait aux traitements nombreux et déraisonnables des travailleurs pakistanais dans cette région, particulièrement auroyaume des Ibn-Saoud. En effet les condamnations expéditives, préconçues à partir de ce qui est la Chariaâ islamique, dont sont victimes les accusés étrangers ressortissants des pays pauvres, contrairement à ceux des pays occidentaux, sont courantes.

    Pendant les seuls deux mois de septembre et octobre 2011, pas moins de 12 pakistanais ont été amputés de leurs mains de voleurs en Arabie Saoudite. Laquelle des monarchies était attendue pour des question de l’affaire du refuge trouvé par le terroriste Ben Laden.

    Le représentant pakistanais porte un patronyme quelque peu insolite. Il n’a pas séduit les autorités de ces royaumes fermés tant à l’humour qu’à toutes tolérances quand il s’agit de sexe ou de parties corporelles intimes des êtres. Répondant au nom de « Miangul Akbar Zeb » ayant littéralement comme signification en langue arabe « Plus Grand Zeb », qui est son nom de famille, et en francophonie aussi il garde le même sens singulier. Il n’est pas évident qu’il soit accepté.

    L’affaire a créé des remous dans les relations entre le Pakistan et les pays devant accueillir le diplomate. Une vraie crise qui reste encore en négociations, les parties campent sur leurs positions. Les uns maintiennent la désignation de leur envoyé permanent et officiel et les autres ne l’admettent pas.

    Miangul Akbar Zeb, s’est spécialisé dans le suivi des communautés pakistanaises vivant à l’étranger. Outre d’être un haut fonctionnaire à la compétence largement notoire dans son pays, où il est considéré comme l’un des architectes incontournables dans les relations internationales.

    L’ambassadeur, est reconnu pour ses compétences en matière d’immigration. Il a exercé les mêmes fonctions auprès de grandes nations du monde. Il fut ambassadeur en Inde, aux USA, en Afrique-du-Sud et au Canada qui accueillent de fortes communautés pakistanaises. Auprès du Canada, il détient encore un poste de commissaire.


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