• Debout les journalistes, aux 2ème assises du 21 au 23 mai 2008 à Lille, pour une nouvelle identité.

    Pour répondre à cette question au forum des 2èmes Assises Internationales du Journalisme, Cliquez l'image ci-bas.

    Cliquez pour répondre : A quoi sert un journaliste ?

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME

    Ecoutez en MP3, la version vocalisée, pour les non-voyants, texte phonétisée <script language=javascript type=text/javascript> var recordingUrl = "http://www.spokentext.net/members/argotheme/Les_journalistes_debout_dans_des_assises.__.mp3"; var width = "100"; var height = "20" ; </script> <script language=javascript src="http://www.spokentext.net/display_player.php" type=text/javascript></script>

    Cet artcile a été publié par POPULISCOOP ¤scoop populaire¤ pour écrire et publier un article -

    Les orages ne sont pas encore dissipés suite à l'amendement du jeudi 15 mai, de la loi de 1881 dite de la liberté de la presse qui a été commentée à l'époque de sa promulgation par Emile Zola avec « Le journalisme est le dernier des métiers » pendant que l'affaire Dreyfus faisait toutes les Unes, que Les assises internationales du journalisme se sont ouvertes à Lille, à partir de ce 21 mai et pour 3 jours. Comme une réplique collective... 

    Le même jour s'est tenu, à 15 heures, un rassemblement de protestation devant le siège de l'AFP (Agence France Presse) place de la Bourse, organisé par l'intersyndicale de l'agence pour dénoncer les attaques et charges incessantes de hauts responsables politiques du pays. Outre Mr. Nicolas Sarkozy qui s'en est pris à plusieurs organes (L'Express, Marianne, le Journal Du Dimanche, l'AFP et Le Parisien) les accusant de ne pas avoir suffisamment relayé la condamnation de Mme Ségolène Royal dans l'affaire de ses ex-collaboratrices. Suivi de Mr. Frédéric Lefebvre qui a enfoncé le bouchon, parlant ouvertement de censure.

    C'est dire aussi que ce détail ou scoop démontre que certaines attaches, hélas !, sont peu loyales ou équitables envers les acteurs politiques. Ils offrent la belle occasion de mettre le doigt là où le public, l'administré et le consommateur ayant sa représentativité aux panels des audimats, pour attendre plus d'équité. Ségolène Royal a eu des relations de travail impardonnables, que cela agace les connivences. Et cette affaire, plus que d'autres, d'injustice est encore inaudible à ce jour. Ce qui donne matière à critique de l'autorité plus intouchable, car présidentiable, qu'un simple confrère, un organe, un modeste bloggeur et autres intervenants vulnérables et à découvert. Notre passage ici risque de d'être argument devant les tribunaux.      

    Sous le questionnement quelque peu décalé, sinon peu recherché et à la limite comme la qualifia un expert saugrenu , « à quoi sert un journaliste ? » retenu pour les prochaines assises, encore d'autres, prévues avant la fin de l'année. Cette rencontre d'Aras -Lille- a déjà lancé dès l'ouverture, un appel pour une « charte de qualité de l'information ». On ne peut plus claire, pour se croire et se placer d'une manière incontestable le meilleur de tous. Et une  « Instance d'éthique » dont les contours restent encore invisibles. Demandant l'intégration de la première dans la convention collective qui préside aux relations de travail de la corporation. Ce projet de charte a vu le jour lors des assises de 2007 et a certainement eu le temps de mûrir. Il vise, selon ses promoteurs, de regagner le public par l'aptitude qui rehausse recherche des caractéristiques qualitatives pour l'information déjà confectionnée, et non au niveau de son élaboration où entrent en jeu les sources et la promiscuité. Or à ce sujet, relatif à la bonne facture, certains « reporters » de la blogosphère et des nouveaux médias dits « citoyens » apportent malgré leurs moult faiblesses tant de belles réalisations que de nouvelles aussi fraîches que succulentes et insolites.

    Les médias Français vivent un branle-bas et tensions avec la majorité politique dont les ténors jouent d'une main à la manipulation, en ce qui concerne le comportement « people » de leur leader en la personne du chef de l'Etat qui semble leur donner rendez-vous à chaque apparition privée ou dans le cadre de sa mission présidentielle, et d'une autre main une offensive visant à les mettre dans les rangs. Et en s'adonnant à plaisir, pour une presse spécialisée en people, de le suivre dans les, ce qui a laissé dire à un journal le « Bling-Bling » et autre attirail, sorties depuis le bateau privé naviguant dans la baie new-yorkaise jusqu'à Disney Land en banlieue parisienne. Ainsi que des histoires de cœur, parsemées de SMS et révélations en volte-faces, faites comme un roman rose, traînant le niveau des médias au rabais audible comme nuisible que parfait. Le poids de la presse dite people ne rassure pas tant, soit peu du fait de sa prépondérance aux yeux des communs. Les travaux journalistiques de fond jamais excusables, en cas de dérive, sont désarmés devant l'ampleur de la séduction présidentielle mise sur la place publique.

    Mais la grande révolution subie par les médias avec le Web, comme une innondation de facto incontournable et difficile à contenir, draine une digestion non encore abordée. Eh ! Elle a envahi les canaux avec forcing, et n'a encore dit son dernier mot. Ce qui laisse dire à beaucoup de professionnels présents et invités à s'exprimer en la circonstance, dans leurs réponses à la question slogan « A quoi sert un journaliste » et -à propos du net- les propos suivants :

    J'ai choisi de partager cette vidéo qui explique le devenir du journalisme. Afin de faire parvenir les appréhensions qu'on se fait de ce fabuleux métier.

    Mais la grande révolution subie par les médias avec le Web, comme une intrusion de facto incontournable et difficile à contenir dont la digestion n'est pas encore abordée alors qu'elle a envahi les canaux avec forcing, n'a encore dit son dernier. Ce qui laisse dire à beaucoup de professionnels présents et invités à s'exprimer en la circonstance, dans leurs réponses à la question slogan « A quoi sert un journaliste » et -à propos du net- les propos suivants :

     Patrick Roger de Rance-Info  : ... la bourrasque technologique.

     Hervé Brusini de FR3 : La fabrication d'un morceau de truc qui va rentrer dans un ensemble que tu connais à peine. Sans parler du Net ? Tu sais ça, le Net ?

     Bruno Frappat président du groupe Bayard : Nous sommes tous des journalistes ! » On pourrait croire, parfois, que les journalistes professionnels n'ont pas d'avenir.  Qu'ils vont se fondre dans la masse des citoyens devenus journalistes, cernés qu'ils sont par tout un chacun puisque ce chacun a son mot, son site, son blog à dire sur toute chose.

     Karl Sivatte président des clubs de la presse de France et francophone : Avec la multiplication des émetteurs d'informations, le public fait des choix tant au niveau des télécommandes que des souris, objets difficiles à maîtriser.

     Hervé Bourges président de l'Union internationale de la presse francophone et président de l'école supérieure du journalisme : La rapidité dans la constitution de l'information, dans sa recherche, dans sa formulation, et dans transmission est le premier avantage affiché par les nouveaux médias.

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    Enfin comme nous gardons l'initiative, ci-après : Fadel Chanaa, journaliste de Reuters, délibérement assassiné par Tsahal. RSF (Reporters Sans Frontrières) fait semblant de ne rien savoir et son "BOB" assiste aux assises. Alors que tous le monde fait semblant de ne jamais connaître les dessous de l'ONG RSF que beaucoup du personnel d'une presse parallèle ne cesse de suggérer les vérités. Que de complaisance, comme pour Mme Royal. En effet Tsahal ne veut qu'on sache...


    Nous donnons la promesse de vous rapporter l'oeuvre journalistique de Fadel. Rendez-vous est donné.

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