• SVP mr le prochain Président qui sera PROCHAINEMENT destitué. Ne nous joue pas une ennuyeuse série turque. RAPIDEMENT DEGAGE ! DEGAGE ! LA LISTE EST ENCORE LONGUE !

     

     Pour lire notre précédent sujet sur la marche du 12 février 2011 : ALGERIE : 30 000 POLICIERS POUR LA MARCHE DU 12 FEVRIER, tous les sanctionnés reprennent leur service !

     

    Les risques des manifestants algériens est de subir la répression qu’on connait de ce régime qui depuis l’indépendance a commis moult exactions. La falsification de la constitution par Bouteflika pour perdurer au pouvoir est la pire des pratiques que se permettent les des dictateurs arabes. Et il ne recule pas de s’adonner à la violence répressive. 

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Le nombre de journalistes étrangers venus, à Alger, comme reporters pour couvrir la circonstance de la marche du 12 février s’élève à une soixantaine. Bouteflika tablait sur une démobilisation pour l’appel de CNDN après son éternel et inviolable black-out de l’information, avec le même monopole sur les médias que Ben Ali et Moubarak. Il espérait une modeste marche, mais Moubarek a jeté l’éponge et raccroché ses gants, la veille ! QUELLE SURPRISE AU RAÏS Boutef !

    Paradoxalement, 60 visas d’accès au territoire national ont été délivrés aux journalistes étrangers qui se sont déplacés. Le gros des reporters est arrivé le vendredi, la veille. Certains préfèrent pointer à la capitale, Alger, en matinée de la journée de la marche.Outre les correspondants déjà en place qui collaborent, ou interviennent, avec nombreux du monde entier, la chaîne « El Jazeera » est attendue dans son rôle, comme en Tunisie et en Egypte.

    Surtout que par le passé, ce canal a ouvert ses ondes à même Bouteflika, les commanditaires du terrorisme et puis rarement les démocrates. Pour ces derniers, parole est donnée sur la base d’une représentativité politique, qui elle relève d’élections truquées ! Une spécialité, les votes faits d’un bourrage des urnes, héritée ducolonialisme même qui a écarté l’Emir Khaled à son élection à la mairie d’Alger en 1914.

    La tradition répressive algérienne, est une macabre prouesse manifestement notoire. Que même les organisations internationales n’ont pas bien dénoncée. Des expiations aveugles qui isolent des individus et les torturent. Par le passé les cortèges de contestataires même les sages et surtout ceux ayant une expression démocratique incontestable, paradoxalement, ont toujours été réprimés avec férocité en Algérie. Par rapport à ceux plus virulents et infondés, une violence inégalée a été enjointe. Et cela se fait sous la bannière de la légalité, la loi interdit les manifestations ! Donc tout est permis.

    Les marches qui ont été par le passé tolérées, sont celles de l’islamisme qui pour le cas algérien est un authentique fanatisme. Ayant prouvé sa sauvagerie par des crimes abjects, par des bombes et un terrorisme ayant éclaboussé d’autres pays. Telle que le sont actuellement les phalanges de l’AQMI qui stationnent au sud du Sahara dont la connivence avec des chefs de gouvernement comme Belkhadem et les islamistes qui partagent le pouvoir avec Bouteflika, elles ont simplement connu des dispersions. Alors que les regroupements ayant le plus soufferts, ce sont ceux des démocrates.

    L’excellence pour ce régime dont la représentation de junte lui colle sans conteste, est de savoir comment réduire les mouvements populaires, de résistance sociale, au silence. Depuis la chape du militaire Boumediene qui a imposé sa dictature de la paysannerie, quand les oppositions ont été passées sous les mains du tortionnaire de la SM, surnommé « Errougi » (le rouquin, un officier qui a marqué nombreux torturés algériens), puis les jeunes du 5 octobre 1988 et enfin les berbéristes de 1991… Il est redouté que s’abatte, ce 12 février, le même scénario que jadis.

    Par le passé tout récent, avant 1988, il y avait en Algérie le « pagsiste » (militant du Parti de l’Avant-Garde Socialiste, le PC algérien), comme le perturbateur attitré de la paix sociale alors qu’il apportait son soutien au socialisme spécifique. Certains autres opposants partisans de Boudiaf au PRS (Parti de la Révolution Socialiste) ou au FFS (Front des Forces Socialistes, ancré surtout en Kabylie) d’Aït-Ahmed activaient. Tous étaient exposés aux exactions, comme ils étaient plus nombreux à l’époque, ceux de la gauche en bavaient donc plus.

    LA RESPONSABILITE D’UNE RESISTANCE A LA PREDATION ECONOMIQUE & A LA DICTATURE

    Une trêve, lors des débats de la charte nationale de 1976, qui restent historiques du point de vue que certaines langues se sont déliées. Notamment le discours du rayonnant communisme à ses heures de gloire. Puis et depuis les années 70 la mouvance trotskiste, qui sont le fruit des exclusions du PC algérien ainsi que de l’ambiance stalinienne au niveau de toute l’idéologie. Disséminée en Amérique Latine, en Asie et dans certains pays qui se sont décolonisés sous une forme révolutionnaire, ce qui était le cas de l’Algérie, le communisme de l’Europe de l’Est a dégradé cette appréhension des algériens pour le marxisme.

    Cette dégradation, des idées ouvrières du marxisme qui constitue le seul attachement aux luttes universelles, a fait perdre à l’Algérie un immense repère de résistance. Elle a rompu l’appartenance parallèle, aux cultes locaux, et a souillée la référence idéologique qui s’est largement décomplexée avec l’émergence chinoise. A cette dernière se rajoutent les indicateurs émis par les pays d’Amérique latine dirigés par des gauches.

    L’opposition algérienne au pouvoir en place qui est d’une nature bourgeoise et libérale totalement versée au nationalisme traditionnaliste que suggestif de la modernité, malgré le peu et proue de présence de la mouvance rationaliste incarnée par Rédha Malek, ne peut échapper à une identité idéologique. Et simplement de gauche. A moins d’être une continuité de ce qui est le système.

    De triste mémoire quand Bouteflika ne voulait entendre parler de la question berbère, sa pire répression s’est abattue sur des jeunes algériens privés de la démocratie dont ils rêvaient la nuit et tentait de la happer le jour.

    C’était en 2001, pour citer le cas D’UNE BARBARIE OFFICIELLE en lien avec le même président. Lisez ce sujet d’un journaliste algérien qui fut sur le terrain, une investigation édifiante de la manière dont les indécrottables dirigeants de la corruption, ont traité d’innocents manifestants.

    Pour lire notre précédent sujet sur la marche du 12 février 2011 :

    Titre ALGERIE : 30 000 POLICIERS POUR LA MARCHE DU 12 FEVRIER, tous les sanctionnés reprennent leur service !

    Les corrompus de la BOUTEFLICAILLE, en première ligne pour bloquer la marche.

     


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