• Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Facebook n’arrête pas de faire parler de lui. Après le film, les regards sont mieux éclairés et les langues. Ou bien maintenant les plumes se délient aux conférences et commentaires. Et elles se sont redéployées à décrypter le réseau social adulé. Elles considèrent que l’entreprise, créée par Mark Zuckerberg, est assurément la plus réussie de notre ère et qui s’ouvre avec le nouveau millénaire. 

    Nombreux articles se sont penchés à commenter Facebook, pour analyser son fond même si actuellement ils ne sont pas allés, aux abîmes, voir plus loin que l’apparence sur la toile. Certains offrent de vraies analyses de cette informatisation des relations entre les humains. Les paranoïaques croient, par contre, que les services secrets recueillent des infos. 

     

     

    Nonobstant d’érudits penseurs restent dubitatifs et ne s’avancent qu’à dresser les résultats préalables de leurs constats, limités à leur exploration presque superficielle. Déjà que nombreux de ces sommités redoutent que l’outil informatique ne leur est fatal, s’ils n’investissement pas ces nouveaux canaux. Parmi lesquels Twitter qui ne cesse de monter en puissance depuis son lancement.

    Les pratiquants inscrits sur Facebook y voient généralement de la reconnaissance, en se mettant en contact avec d’autres personnes, et se délectent de la convivialité virtuelle. D’autres planchent à engranger des clients à leurs business et d’autres encore sondent le monde et les êtres pour quêter à l’inspiration pour leurs travaux, recherches et observations. Et se dégage effectivement une prospection qui est fouillée au regard du volume des échanges et du nombre d’inscrits : plus d’un demi-milliard. Pourvu qu’un temps limite lui est consacré sans s’égarer de croire à changer le monde, car au final on croise simplement la vie commune et qui se fait sans soi.

     


    Facebook Login and Home Page
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    Parmi les derniers et attachants sujets publiés sur ce thème de Facebook, est celui de la jeune romancière Zadie Smith, lauréat des prix Guardian et Whitbread (James Tait Black Memorial Prize), en 2000, du premier roman. Sourires de loup, traduction française Claude Demanuelli, Gallimard, 2001. Article, largement inspiré des travaux du programmeur informaticien Jaron Lanier, qu’on retrouve sur New York Review of Books.

    Zadie Smith

    Captivant son texte, parce qu’il pose l’ubiquité de Facebook qui place sans conteste l’individu dans un monde partagé et sans confins. Elle est arrivée aussi à la conclusion qu’Harvard, l’école d’où est sorti le fondateur de Facebook, supplante nombreuses incidences habituelles qui font l’individu. Une sorte de formatage qui consiste à prouver une identité, non pas administrative ou bien réglementaire, celle que vous donnez sur le réseau.

    La question générale est : Avez-vous une vie ? A titre d’exemple, pour la situation amoureuse, il ne peut y avoir qu’une réponse, il donc faut choisir donc une parmi celles proposées. Il ne peut y avoir qu’une seule réponse.

    Et toutes vos indications tournent au sujet de votre vie. Non pas seulement pour Facebook, mais aussi pour ceux qui consultent votre profil. Vous prouvez que vous existez en postant des photos. Puis ça continur. Aimez-vous ce qu’il faut aimer ? Telle est exactement la mise en conformité aux indications utiles à Harvard. La liste de ce qu’on doit, le pouvoir et le vouloir restent à vérifier, aimer incluent : livres, musique, films, émissions de télé, mais aussi l’architecture, les idées, les plantes et même des fois les couleurs ou bien les animaux entre autres.

    La jeune auteure a réussi à soulever une vraie question philosophique, profondément liée à la remise en cause des modes qui deviennent éphémères, sauf qu’on s’y délecte à la petite semaine et pendant l’existence ponctuelle sur Facebook.  


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  • Alors que la concurrence entre les logiciels gratuits et ceux payants fait rage, pour ne pas dire c’est la guerre ouverte, Microsoft donne un nouveau coup-de-visse pour endiguer le piratage. La mondialisation a hissé Bill Gates comme 1ère fortune du monde, en brisant devant son entreprise toutes les frontières.

     

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    Depuis que, la mondialisation proposée pendant les années 80 et instaurée pour les capitaux et la marchandise sans la liberté de circulation des populations vérifiée dès la décennie 90, est apparue : la question des piratages est au devant des casse-têtes de Microsoft. Elle est devenue au centre de la protection des droits des auteurs et des créations intellectuelles.

     

    L’apparition des CD et DVD a poussé grandement au piratage. D’ailleurs à la sortie de ces nouveaux supports, le coût d’une chaîne de production industrielle, à graver ces disques, de taille moyenne dépassait de loin les 10 millions d’Euros. Actuellement, pour l’acquisition d’un équipement d’occasion pour une usine de même taille peut valoir une centaine de milliers de dollars (70 000 euros).

    Pour télécharger un maximum de logiciels gratuits, de tous genres.

    Windows, le système d’exploitation informatique, qui par la force des choses, constitue la pièce maîtresse à répondre à toutes exécutions que les utilisateurs des machines, ne peuvent guère s’en passer. L’expansion du monde informatique a aussi connu une ampleur inégalée. Dotant jusqu’à 90% des ordinateurs de la Terre, l’ensemble des programmes de Microsoft sont les premiers logiciels, à être dupliqués sans respect des droits de son créateur et détenteur des droits…

    Pour parer à cette explosion les décideurs de Microsoft ont multiplié les contacts avec les responsables des pays, et même les plus hautes autorités, pour se plaindre des piratages. L’enjeu est de taille, malgré que certains critiques des NTIC (Nouvelles Technologies) aient cru qu’il y avait une certaine indifférence des responsables. Certains Etats, d’Asie, d’Afrique, d’Amérique du Sud et d’Asie, ne se sont jamais donnés la peine de contrôler les reproductions clandestines. Et d'autres ont directement préféré les gratuiciels.

    Avec la découverte au sud de la Chine, au début de l’année 2009, d’une usine dont l’ensemble des capitaux a été évalué à plus de 2 milliards de dollars, capable de mettre sur le marché les meilleures copies des logiciels de Microsoft. Elle disposait aussi d'un service après-vente.

    Microsoft a préféré, depuis environ 2008, de recruter des enquêteurs de haut vol, des anciens agents de services secrets ou carrément de véritables barbouzes. Quand les trafiquants arrivent à créer de véritables codes cryptés et conformes, impossible de les distinguer des originaux, la tâche n’est pas si simple. 


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  • Pétitionnaires français de grande envergure s’adressent à Google.

    Plusieurs entreprises françaises, non de moindre importance, se sont liguées en protestant auprès de Google pour la gestion des mots-clefs. Ces tags orientent les internautes d’une manière infaillible sur le moteur de recherche qui a un monopole quasi inattaquable sur le Web.

     

     

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    Environ un millier d’annonceur, sur Google, ont mis la main-dans-la-main pour contester la nouvelle politique du moteur de recherche. Le Syndicat de la presse quotidienne française, celui de la presse magazine, l'Union des Annonceurs et l'Union des Fabricants, ont manifesté leur doléance à Google. Elle peut ne pas rester lettre-morte, mais Google fera de son côté ses calculs et  peut ne pas limiter l’achat des mots. Dans le cas d’acceptation de cette demande, des rectifications protectionnistes se feront désormais a posteriori.

    Les mots-clés génèrent le résultat de la recherche sur Internet, une fois la requête inscrite sur le browser (le cadre centralisé sur la page) avec une expression quelconque dûment choisie par l’internaute. Dans le cadre de Google Adwards, le service de publicité réservé aux annonceurs, il est possible d’acquérir n’importe lequel des mots, même s’il n’est en rapport avec l’activité de l’annonceur. Et sans tenir compte des frontières géographiques. L’oréal par exemple, a été acheté dans un autre pays, et donc un revendeur se trouvant ailleurs est placé avant la maison qui produit cette marque.

    Appel de Google qui signifie à tous de s’adapter –LE PLUS RECENT-

     Ces opérateurs économiques de tous les secteurs, auxquels se joints les titres de presse quotidienne et magazines ainsi que les annonceurs, ont adressé une missive remettant en cause le mode d’acquisition des mots-clés avancée par l’entreprise dirigée par Eric Schmidt. Une politique inspirée du libre échange du système capitaliste classique.

    Or, dans cette totale liberté d’achat des mots-clés instaurée par les services de Google, le piétinement sur les droits des marques ne peut être évité. Si de l’inscription du mot Gallimard, sur l’outil de recherche, on est dirigé sur France-Soir, la conséquence s’imagine avec la manière d’orienter les quêteurs du Web.

     Comme Google engrange des fonds de sa libre mise-en-vente des mots-clés, il n’est pas encore possible de discerner la réaction du destinataire de la lettre. Depuis le 14 septembre dernier, Google a ouvert l’appropriation virtuelle dont il détient totalement le circuit des termes utilisés. Depuis un incontrôlable achat des mots tels qu’ils sont exprimés comme marques ou formulations, a été mis en branle.

    La dématérialisation des labels par la grâce d’une déontologie nouvelle, qu’Internet a mis dans la vie économique, sociale, politique et culturelle, il est devenu imprenable aux marques, établies depuis des décennies et même des siècles, de sauvegarder leurs noms.

    On se souvient du complot de l’achat par l’UMP, le parti de la majorité présidentielle en France, de certains mots-clés. A la même période Monsieur Sarkozy a reçu le président de Google. L’affaire se présente ainsi : Les termes «violence », «banlieue», «voitures brûlées», «émeutes» et même «racaille» sur Google, les internautes ont eu, pendant un certain temps, la surprise de lire une publicitaire sur le site officiel du parti. Et directement sur la pétition de soutien «à la politique de fermeté» du président, quand il était ministre de l'Intérieur, concernant sa politique pour les banlieues. Madame Fadéla Amara n’a eu aucun mot à dire, pourtant chargée de ce département ministériel.

    Dès le mois d’août Google a mis en marche un nouveau générateur de mots-clés, qui consiste à jouer une certaine transparence. Dès qu’un mot est introduit, Google affiche le nombre de requêtes faites pour dans le cadre programme Adwords, celui de son principal département commercial source de ses grandes revenus.

    L'ouverture du marché des mots-clés a pour effet de, selon le contenu même de la lettre, « développer des situations illégales - actes de parasitisme, de concurrence déloyale ou de contrefaçon, risque de confusion pour le consommateur en recherche de références fiables - face auxquelles Google ne peut rester sans réponse ».


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  • Au-delà du dernier bébé de Microsoft, en matière d’avancée technologique, il faut sans le moindre doute des années pour que l’intelligence ainsi que l’imagination humaine aient à exprimer un besoin, puis le voir se réaliser. Le géant de l’informatique vient de mettre un nouveau bijou pour les « gamers », en l’imaginant et en le concevant à la fois.

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    Cette Xbox arrive (sortie) le 10 novembre en France. Plus intuitive, et nouvelle génération, qui peut aller loin.

    Comme pour toute entreprise, et particulièrement en matière d’innovation, lancer un produit comporte des risques. Des fois, il serait un échec, butant sur des antipathies. Au regard de l’environnement qui, par peur ou par restriction concurrentielle,  peut montrer et infliger de l’hostilité et donc causer un revers. Mais quand la liberté de manœuvre est acquise au créateur, son ciblage des clients (utilisateurs ou consommateurs) peut être une réussite. 

    Kinect - Gameplay
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    La « Kinect » est le dernier produit, de la boîte fondée par le désormais philanthrope Bill Gates et succédé par le meilleur de ses fidèles collaborateurs, qui adopte le génial principe de libérer les mains tout en jouant. Même si les sceptiques ne voient pas un brillant avenir à cette performance, les « geeks » reconnaissent déjà qu’une nouvelle s’ouvre pour l’ensemble de l’informatique avec l’aptitude de mettre en exergue une nouvelle avancée technologique. Celle de l’identification de commandes par la voix et le geste.

    Le mot « Gamers » est l’anglicisme qui désigne les férus, généralement des jeunes, des jeux électroniques sur console dont le principe repose sur la vidéo. Kinect associe la webcam et les capteurs de gestes. Depuis les dernières prouesses technologiques, notamment la Nintendo qui a mené tambours battants une campagne de Pub brisant les frontières générationnelles, les nouveaux objets ludiques appâtent aussi les adultes que les plus jeunes.

    Cette fois aussi, et dans le même esprit, les manettes,  claviers et autres encombrants « guidons » nécessaires pour l’usage de ce matériel sont retirés et certainement d’une manière définitive. Comme cela augure que l’évolution du monde de l’informatique en général promet de partir sur de nouvelles découvertes, déjà préconisées. Concrétisant les rêves, non les plus fous car rien n’est impossible dans cette sphère, ceux que les pratiquants souhaitaient s’en doter et acquérir.

    Auparavant Apple, le concurrent potentiel de Microsoft en matière d’équipements,  avait su exploiter au maximum la donne, qui existait mais un usage à large échelle, de l’écran tactile en inondant le marché de tables nommées « Ipad ».  L’arrivée du procédé, de l’avatar, vachement popularisé par le film ayant pour titre, ce terme-même, le joueur peut à distancer de porter ses manœuvres sur l’instrument qu’il emploie manie.

    Comme nombreux produits l’incidence ira plus loin que le jeu. Les applications attendues de cette « Xbox » promettent de refaire la vie des personnes qui l’acquièrent, et même au niveau de l’industrie. Actuellement même la gamme de jeux auxquels on peut souscrire est limitée (golf et Tennis), mais nombreux observateurs voient dores-et-déjà que la « Kinect »va occupera une grande place dans les foyers (garage et cuisine) et serait rapidement le premier périphérique des ordinateurs. 


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    Appelé "Stuxnet" un virulent virus informatique s’est propagé dans la région d’Orient, et a concerné plus particulièrement l’Indonésie, l’Inde et l’Iran. Les analystes qui se sont empressés de l’analyser, se sont orientés vers la piste iranienne et le programme nucléaire, notamment le réacteur nucléaire de Bushehr.

    Apparu pendant le mois de juillet, sa puissance de frappe est qu’il a une connaissance approfondie des systèmes industriels et ne correspond pas au travail d'un hacker lambda. Il s’agit plus d’une élaboration très avancée, certainement un ou plusieurs Etats se sont ligués pour la création de "Stuxnet". La guerre virtuelle et secrète est engagée par Israël, et une cyber-attaque contre les installations nucléaires de l'Iran n’est pas à écarter.

    Pour plusieurs raisons laissent penser à la probabilité que le nucléaire iranien en est son objectif principal. L'usine iranienne d'enrichissement d'uranium a subi des ralentissements, quelques semaines après la naissance de Stuxnet. La croyance que ce virus a été conçu pour voler des secrets industriels, pour usage de contrefaçon, s’est estompée. Il s’agit de recherche de paramètres très précis des systèmes « Scada », utilisés par Siemens. Dont les ingénieurs se sont attelés au boulot et des photos montrent, que la centrale iranienne est équipée de système Siemens.

    L’expert en virus informatique Ralph Langner pense qu'il est possible que Bushehr pourrait avoir été infecté, l'entrepreneur russe qui est en train de construire l'installation a été touché de son côté. Son site Web déjà piraté, certaines de ses pages web sont toujours bloquées par les logiciels de sécurité activés depuis longtemps. Car elles sont connues d’infections malveillantes. Et pour une société s'occupant d'intérêts nucléaires, ce n'est guère rassurant pour toute l’humanité.

    Lors de la découverte de ce virus, plus de 60% des ordinateurs qu’il infectés étaient situés en Iran, selon Symantec. Un client iranien qui a acheté ces ordinateurs auprès d’une entreprise Biélorusse de sécurité, a été la première révélation. Stuxnet est devenu déjà de l'histoire ancienne, c'est la prochaine génération de logiciels malveillants qui vont en découler qui sera difficile à maîtriser et à endiguer et à enrayer définitivement. Les représentants du gouvernement iranien n'ont pas commenté ces différentes informations, mais des sources au sein du pays disent que l'Iran a été durement touché. 


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