• Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    D’emblée l’auteur de sujets doit annoncer qu’il défend les juifs, pour ne pas être accusé d’antisémite. Et par honnêteté intellectuelle il lui incombe d’exprimer la même chose envers les arabes, les roms, les prostituées, les pédés, les perclus, les exclus, les porcs, les chiens, les attardés, les recalés et la liste est infinie... Pour bien se déterminer contre toute haine.

    Alors que les USA ont fait pression sur Mahmoud Abbes pour des négociations directes, qui débuteront le 2 septembre, Netanyahou a déclaré, et à plusieurs reprises, qu’il refuse la création d’un Etat Palestinien. Il vient de le répéter ! A bien décortiquer ses derniers propos, ça serait une négation d’Israël. Le Hamas a signifié publiquement au chef de l’autorité palestinienne de ne pas prendre part à cette nouvelle tentative de remettre en rails le processus de paix. Les américains pensent un peu plus à leurs intérêts.

    La véritable mission historique d’Israël est de porter atteinte aux juifs d’abord. Par le truchement des peuples occidentaux, à qui incombe pour une large part la responsabilité de la Shoah, leurs responsables montrent un soutien inconditionnel à l’entité sioniste, créée de toutes pièces et par résolution onusienne aussi.

    Les occidents se sont débarrassés d’un peuple à qui ils refusent toute assimilation, et tels qu’ils l’ont toujours faits, alimentant ainsi un détournement du sionisme. Originellement, ce dernier était pensé pour la protection et l’entretien de ce qui est la culture juive, avec ses capacités de conservations et de transmissions de richesses et savoirs. Il a été mué en courant d’idées ayant pour projet le refuge, havre de paix. Le dévoiement du sionisme, non pas comme fut pour le stalinisme pour le communisme. Mais en accaparement de territoires par la justification religieuse. Comme fut aussi pour l’esclavage et autres, à propos des rôles de certaines religions.

    L’avenir d’Israël est un danger pour les juifs dans le monde, surtout quand ils sont assimilés à cet Etat, désormais perçu comme apartheid. L’avenir le montrera et des futurologues l’ont déjà annoncé. Tous les révolutionnaires du Monde rêvent de libérer la Palestine des griffes, non pas des juifs qui ont été instrumentalisés par leur exil en Palestine, mais de la forme de domination dite impérialiste.

    Les Palestiniens n’ont aucune chance dans de telles négociations, seuls l’Histoire révolutionnaire les sauvera... Les décolonisations, LES LIBERATIONS COMME CELLE acquise par les algériens, résultent et adviennent uniquement de la défaite DES PUISSANTS occupants.

    Israël est une source d’insécurité dans le monde. La spoliation des palestiniens de leur terre, leur exil, et comme le montre CES IMAGES en Diapo. C’est même une lourde trahison de la mémoire des juifs marquée par les persécutions qu’ils ont subi depuis des siècles.

    Israël instrumentalise l’antisémitisme, pour servir un impérialisme qui vole des richesses. La manière de s’en accaparer le pétrole le démontre amplement, le pays est livré aux loups de du « Fascislamisme terroriste », mais à sa tête des fantoches, revanchards et serviles qui se disent incapable de ramener l’orde. Comme l’explique Pierre Stambul ICI, nombreux juifs croient que le refuge de paix qu’ils ont espéré est dévoyé...

    - Crime contre les droits de l’homme à Gaza , Par Jimmy Carter.

    - Quand les juifs américains partisans de la paix au Proche-Orient lèvent leurs têtes…

    - USA et Israël : le destin commun devant un divorce.

    Autres articles

    "Celui qui ne sait pas est un imbécile, celui qui fait semblant est un criminel."BERTHOLD BRECHT, dramaturge Allemand persécuté par Les Nazis dans son pays et Puis par MacCarthy... A PROPOS DES AGRESSIONS que subissaient juifs, gens de gauche AU TEMPS d’Hitler !


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    120 jeunes africains issus de la société civile africaine reçus aux USA, à l’occasion du cinquantenaire des décolonisations. L’empreinte de Barack Obama est un signal fort envers les pays africains mais aussi envers la France. Cette dernière en a déjà fait du 14 juillet, un défilé des armées du continent noir. L’actuel locataire de la maison Blanche s’inscrit en faux par rapport à Nicolas Sarkozy, tentant d’allier acte et parole et dans le sens de son discours d’Accra prononcé un an auparavant.

    Ce sont maintenant les Etats-Unis qui célèbrent à leur manière ces indépendances africaines. Le président américain Barack Obama, s’est donné la peine d’accueillir du 3 au 5 août à Washigton 120 jeunes "considérés" leaders africains, car ayant tous une présence dans les mouvements sociaux et autres actions culturelles et économiques. Ils viennent de 17 pays africains.

    Comment la sélection s’est faite ? Personne n’a pas tellement la moindre idée. Cependant, cette phraséologie a été utilisée : « Ces invités de marque, réunis avec leurs homologues américains et des responsables du gouvernement des États-Unis, auront l’occasion de débattre en petits groupes de thèmes clés comme l’autonomisation de la jeunesse, la bonne gouvernance et les possibilités économiques. »

    Issus de la société civile et du secteur privé, ces invités prendront part, sous l’égide duprésident américain, à un forum dont le contenu est : trouver ensemble des solutions innovatrices aux défis économiques et à la problématique de l’automisation de la jeunesse.. Selon la Maison Blanche qui a désiré l’explication envers les médias de cette rencontre, il est question de : « ...considération du caractère démographique extraordinairement jeune de la région... / ... et dans le cadre des initiatives visant à forger pour les années à venir des partenariats solides tournées vers l’avenir. »

    Les peuples, les dirigeants, les historiens et les analystes du monde regardent chacun à sa manière, et de son point de vue, le cinquantenaire des indépendances africaines. Les USA invitent du 3 au 5 août 120 jeunes, choisis pour leur dynamisme dans les sociétés civiles du continent noir, issus de 17 pays pour leur lancer la perche de la promotion individuel. Alors que le continent évolue vers la stabilité et le développement...

    Dans son discours du 11 juillet 2009 devant le Parlement du Ghana, premier pays d auquel il a rendu visite après sa nomination, le président Barack Obama avait lancé :« L’avenir de l’Afrique appartient aux Africains eux-mêmes ». Et continuant, pour citer ce qui a été retenu et reste gravé dans les mémoires : « Cela ne sera pas facile. Cela réclamera du temps et des efforts. Il y aura des épreuves et des déconvenues. Mais je peux vous promettre ceci : l’Amérique sera à vos côtés, à chaque étape, en tant que partenaire, en tant qu’amie... » Il a martelé : « Nous avons appris que ce ne seront pas de grandes personnalités telles que Nkrumah et Kenyatta qui décideront du destin de l’Afrique. ... Ce seront les jeunes, débordant de talent, d’énergie et d’espoir, qui pourront revendiquer l’avenir que tant de personnes des générations précédentes n’ont jamais réalisé. »

    D’une façon radicalement opposée à celle de la France, le président Obama n’a en effet pas souhaité la présence d’aucun chef d’Etat africain, dont nombreux ont les comptes bancaires bien fournis et des biens immobiliers en Hexagone. Il a préféré se concentrer sur la jeunesse et la bouillonnante société civile, contrairement au président français. Il a invité des Chefs d’entreprises, artistes, écrivains...

    Notons que depuis son arrivée à la Maison-Blanche, Barack Obama n’a ouvert ses portes qu’à quatre chefs d’Etat et à un Premier ministre africains.

    La politique américaine en Afrique, sans regarder l’action des services secrets comme l’infatigable CIA, tient une ligne qui avance l’autodétermination. Elle ignore ouvertement, ce qui louable, certains gouvernements « cyniques » comme les a désignés Obama lui-même. Une conduite très différente et à l’opposé de celle de la France dont le présidentSarkozy avait pourtant promis la fin de la françafrique en début de mandat.


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    Le climat que vivent certains américains qui ont des opinions divergentes avec celles des doxas locales et l’orientation générale de la politique étrangères des USA, pousse aux extrémismes. Après le 11 septembre 2001 et avec le conflit du Proche-Orient, le premier évènement a été provoqué directement et indirectement par la persistance du second, la fameuse « Black-Liste » prend en chasse toute opinion sortant de l’orientation établie.

    Après Helene Thomas qui a été d’office mise à la retraite alors qu’elle a exercé de longues années comme correspondante de presse à la Maison Blanche, une deuxième journaliste vient d’être limogée de CNN suite à un message louant l'ayatollah Mohammad Hussein Fadlallah, décédé le 4 juillet 2010, sur Twitter. La première a ouvertement tenu des propos condamnant Israël, et la seconde a exprimé une sorte de sentiment de tristesse suite au décès du guide spirituel du chiisme libanais.

    Toutes les deux journalistes ont par la suite tenté de faire part de leurs regrets ou de justifier leurs dires, mais les décisions qui leurs sont tombées sur les têtes sont expéditives. « Il s'agit d'une erreur de jugement de ma part d'avoir écrit un commentaire aussi simpliste », a écrit Octavia Nasr sur le site de CNN. Après avoir dit sur son message de moins de 140 signes : « … je suis  triste d’avoir appris la mort de l’ayatollah, que je respectais beaucoup ». Elle a formulé par la suite, sur CNN, la justification de son respect envers le défunt : « sa position singulière et pionnière au sein des religieux chiites sur les droits de la femme… »

    Octavia Nasr a exercé pendant 20 ans, comme reporter chez CNN, et était rédacteur-en-chef du département Proche orient, qu’elle a couvert d’une manière qui n’a jamais été contestée. Son professionnalisme a fait d’elle l’une des meilleures du monde pour les évènements de ce conflit qui secoue depuis des décennies le Monde, grâce surtout à l’effet et l’impact du canal qui l’emploie. Avant de rejoindre CNN, Octavia a été correspondante de guerre pour la Lebanese Broadcasting Corporation dès 1985, c’était ses premiers pas avec la presse après des études suivies au Liban et aux USA. Elle s’est distinguée, dès-lors, pour avoir signalé que les lignes de front de la guerre civile dans son pays d’origine, étaient des plus dangereuses pour les journalistes. 

    Elle a reçu de nombreux prestigieux prix, notamment : en 2003 de l’Edward R. Murrow (Le journaliste qui a provoqué la destitution de Mac-Carthy) pour sa couverture permanente avec CNN du conflit au Moyen-Orient, le cèdre d'Or 2006 pour l'excellence en journalisme de la chambre de commerce libano-américaine ainsi que le « CNN World Report Achievement Award ».

    Elle s’est faite, ces dernières années, une renommée de compétente et même de chef de file, au de CNN, pour l’intégration des réseaux sociaux du Web. Où elle apportait, pour le partage, d’énormes données d’actualité et en prenait l’essentiel des matières qui lui permettaient le traitement de ses sujets.

    La place d’Octavia Nasr auprès de la chaîne CNN est des plus influente au niveau mondial. Hors-antenne elle était présente sur toutes les plateformes de CNN Worldwide. Toute la politique du Moyen-Orient et l'actualité qui concerne le terrorisme mondial et l'Islam militant, était présent dans son blog personnel sur le site de CNN avec lequel elle offre quotidiennement un aperçu rarement abordé par la télévision américaine.

    Lors de l’évènement du 11 septembre 2001, elle a été l’une de journalistes les plus écoutée au niveau mondial. Parmi ses grandes émissions et reportages, elle a retransmis en direct une couverture de la guerre de Bosnie, l'assassinat du Premier ministre israélien Yitzhak Rabin, l'attaque japonaise de gaz Sarin, l'accident du Concorde, et toutes les étapes majeures du processus de paix au Moyen-Orient.

    Le Hizbollah libanais, malgré qu’il n’ait jamais directement porté atteinte aux intérêts américains, tout en dénonçant la politique menée dans le monde et particulièrement dans la région à l’instar de nombreux personnalités et pays du monde entier, est considéré par l’administration de la Maison Blanche comme organisation terroriste.

    Nombreux experts disent que la violence politique advient des injustices. Les observateurs et analystes pensent de leur côté l’échec du combat anti-terroriste est perdu, du fait que créer des raisons valables qui justifient ses frappes le génère inéluctablement. S’en prendre aveuglement à ceux-là même qui, comme Octavia Nasr, ne disent qu’un sentiment de compassion envers un individu qui rejoint les morts prend une consonance d’appel au crime. CNN est loin d’être en odeur de sainteté depuis les 2 guerres en Irak…


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  • Le sommet du pétrole et du gaz africain, le mercredi 21 Avril à Paris, dans les locaux de l'AIE (9 rue de la Fédération, Paris) pour assurer le développement tant espéré !

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

    Certains rares pays africains ont entamé un regain de croissance économique depuis avant 2005, et à partir de cette année, 2010 selon le 1er trimestre, se confirme davantage ce retour au développement. Ce qui reste peu connu ou vulgarisé auprès et chez nombreux observateurs, cercles politiques et médias internationaux et aussi locaux, même parmi les plus avisés. 

    Ces signes positifs laissent croire qu’en 2010, cette tendance s’est propagée encore à plusieurs pays, y compris ceux restés longtemps à la traîne. Et encore, comme obstinément on n’y croit pas à cette reprise attendue depuis des décennies. Elle semble ne pas faire l’unanimité et est aussi inexistante. Toujours considérés peu plausibles, les quelques 5% de croissance vraiment généralisée par le niveau de stabilité politique devenant avérée pour les années 2008 et 2009, ils restent un canular sans moindre considération.

    Déjà en 2005/2006, le rapport du Centre de développement de l'Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE), publié par le mardi 16 mai, donna le ton. L'espoir aux habitants de ce continent considéré comme le plus mal loti de la planète, devait se substituer aux grandes misères marquées de famine et de troubles de toutes sortes.

    Et certes les catastrophes humanitaires de l’Ethiopie et du Soudan, et par malheur aussi où s’y greffe l’islamisme abjecte avec sa violence terroriste et rétrograde, sont trop visibles pour les nier. Au-delà des perceptions que les pays occidentaux ne laissent pas passer sans en parler de ces 2 cas, les choses ailleurs sont moins sombres.

    Comme encore l'instabilité en Côte d'Ivoire, ou bien dans l'est de la République démocratique du Congo, est à l’origine d’un frein tangible. Aussi le « naufrage de l'économie du Zimbabwe », pays qui n’a pas les moyens de donner aux gouvernants en place, et indécrottables depuis leur présidence du mouvement d’indépendance, telle l’Algérie par exemple, les arguments et finances pour rester éternellement au pouvoir.

    A quoi attribuer cette lueur d’espoir ?

    • ·         Pour les plus éclairés des combattants africains pour le développement social et économique, c’est la rupture les anciennes formes de néo-colonialismes qui a généré cette progression vers de meilleurs destins pour les populations africaines.
    • ·         Pour les économistes spécialisés « es. Tiers-mondisme » c’est l’arrivée de l’émergence qui a été déjà le champ de nombreux pays sud-américains et asiatiques. Une dérivation éliminant les européens et les USA, qui a créé de la confiance. Les chinois sont prodigieux avec une plus grande et dynamique présence sur le continent noir.
    • ·         Et pour les politiciens qui ont toujours montré une avidité à construire des sociétés africaines évoluées au niveau de ce qui est la civilisation humaine basée sur le bien-être social, que seuls des structures économiques fiables peuvent porter et occasionner. C’est bien le contact de nouveaux partenaires en dehors des pays traditionnels, une dérivation éliminant les  européens et es USA, qui a créé de la confiance. Les chinois sont prodigieux avec une plus grande et dynamique présence sur le continent noir.  

    Dans ce contexte jusqu’à là inimaginable à cause de la gabegie qui a fait des systèmes de gouvernance postindépendance de véritables oligarchies, régnant avec des corruptions et d’autres blocages réels causant l’absence des programmes de développement. Il était peu pris en compte, l’importance du secteur énergétique. Tant les habitants du continent noir n’avaient d’énormes besoins domestiques et les programmes étatiques ne relevaient guère de songer à cet incontournable moyen, l’énergie, qui fait tourner l’essentiel de tout appareil productif de richesse.

     Les questions énergétiques comme richesses à ne pas nier pour continuer et pérenniser l’élan africain.

    Ainsi arrive le « Sommet Africain du Pétrole et du Gaz – cliquer ici pour consulter le programme- » qui aura lieu le 21 avril 2010 dans la capitale française au siège de l’AIE (Agence Internationale de l’Energie), 9 rue de la fédération Paris. Il se tient alors qu’en ce début d’Avril, le prix du baril du pétrole vient de consolider, certainement d’une manière définitive et irréversible, une hausse assez appréciable sans qu’elle cause les vents de paniques fréquemment reproduits, tellement l’habitude des fluctuations à la hausse ont conquis, avec les ans, la normalité. La rareté des énergies fossiles est bien établie, les experts en ont averti toute l’humanité.

    Prendront part plusieurs ministres, dirigeants de sociétés pétrolières et gazières, de banques, de sociétés de services, pour débatte des grands thèmes  ont confirmé leur présence à ce qui s'annonce comme un passionnant lieu d'échanges et de débat. Le continent africain détenteur de nombreux gisements pétroliers, peut largement profiter de la forte reprise économique en Chine et en Asie, sans se remettre à une quiétude. Faut-il que les pays africains soient dotés de leurs propres opérateurs qui anticipent la forte demande africaine pour les prochaines années.

    Afrique - Pétrole: La malédiction de l'or noir - kewego
    En Afrique subsaharienne, la prospection pétrolière tourne à l’obsession. Toutefois, même la découverte de gisements d'importance, comme ici en Ouganda, ne garantit pas une hausse du niveau de vie des populations.

    Quand on sait que la déplétion des gisements (diminution naturelle de la production des gisements actuellement exploités) reste forte au niveau mondial, malgré que soient de temps à autres des découvertes de gigantesques ressources, comme au Brésil pays qui a d’abord fait sa croissance sans cet atout énergétique. Chaque année, la crise énergétique qui est en vue partout, explique qu’il faut non seulement faire face à l'élévation des besoins par l’arrivée de nouvelles demandes, mais aussi trouver réponses aux millions de barils consommés par jour alors que déclinent fortement la production.

    Peu nombreuses, les nouvelles découvertes de gisements ne sont pas en mesure de satisfaire la demande en place et encore moins celle, comme en Afrique, est naissante. Outre le Brésil que nous avons cité, ci-haut, l'Irak probablement est aussi parmi les régions du monde où les possibilités d'augmentation de la production sont effectives. Pour le continent africain, d’énormes potentialités existeraient et sont peut-être importantes, en attendant que les prospections nous révèlent leurs vérités, nonobstant et d’ors-et-déjà le Golfe de Guinée étant à la pointe.

    L'importance de ce Sommet Africain du Pétrole et du Gaz est due principale à la perspective d’une exploitation optimale des ressources énergétiques africaines, en prenant en considération toutes les expériences des anciens pays producteurs. Des points de non-moindre importance seront débattus comme : l’exploration, les stratégies des acteurs en Afrique, le potentiel du gaz par l'interdiction du « torchage », les problématiques liées aux hydrocarbures et la situation du raffinage africain.


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  • Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.      

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    France : Repris du segment essentiel du discours de l’extrême droite, le débat sur l’identité nationale est assez suivi au niveau des mairies, même les sondages préconisent le contraire. Avec l’onde de la votation suisse sur les minarets et les dérapages, une communauté est mise à l’indexe à cause de sa religion « la musulmane ». 

    Le débat se tient même si la société française affiche une indifférence. Les sondages parlent du peu de sa nécessité, mais les mairies constatent de la participation. Les valeurs républicaines qui déterminent la citoyenneté à chaque individu, sont devenues une casquette sur la tête d’un jeune de banlieue, un français déjà indiqué par « Ni putes ni Soumises » comme un être négatif, sinon le sujet de ce débat…

    Qui doit à la société de se laisser exclure ! Avec l'onde choc de la votation en Suisse et les dérapages, le dogme républicain devient encore inébranlable. Et s'il a soumis la citoyenneté à des critères et paramètres identitaires flous et approximatifs, le débat l'emporte bien avec cette option. Il était impossible de s’imaginer une quelconque crise identitaire dans les pays développés et politiquement stables.

    Pourtant avec l'onde choc de la votation en Suisse et les dérapages, le dogme républicain devient encore inébranlable s'il a soumet la citoyenneté à des critères et paramètres identitaires flous et approximatifs. Il était impossible de s’imaginer une quelconque crise identitaire dans les pays développés et politiquement stables. Pourtant le débat repris pour le compte du gouvernement UMP en France et voulu par le président, semble plus vouloir traiter une quelconque crise, qui n’existe pas du tout ou bien elle végète, subrepticement, comme feu paille.

    Il suscite un malaise quand l’opposition parle comme du blasphème au fruit sacré. Ou bien quand il est perçu comme virage aux valeurs de l’extrême droite, car très peu de réponses pertinentes en découlent finalement à une question cruciale du « Vivre Ensemble ». Les français voient toujours que ce débat n’est pas "tout à fait nécessaire", malgré le tapageur fracas de la votation helvétique sur les minarets, selon le sondage du lundi 14 novembre « LH2-Nouvelobs.com » pour le site du journal, dernier en date. Soit des semaines sinon des mois après le lancement du débat.

    Même si des éminences, es philologie, ont tonné de baliser la personnalité du français de la première décennie du 3ème millénaire, le débat n’est accepté pas tels que la retombée visée, le second mandat pour l’actuel président. Avec 14% seulement des Français qui jugent ce débat "tout à fait nécessaire", et 9% à penser qu'il a pris une "tournure plutôt positive". Le désarroi est présent, du principalement à la manœuvre électoraliste. Dans la bassecour, le coq s’est pris pour un aigle ! Du moins la vision du haut est éloignée de l’attente du bas.

    L’identité de Zidane à travers le foot et des matchs de France, d’Algérie et de Marseille, par lui-même.

    En reprenant un débat tombé du camion du Front national, Eric Besson se convertit à celui qui n’a de gauche qu’un label, telle une marque apposée sur la veste. Il suffit de changer d’habit pour modifier la trajectoire du voyageur racolé à l’ouverture d’un stand de foire dite d’ouverture. Le champ politique tenu par Sarkozy est « libéraliste », ciblant toute représentation de travailleurs face aux managers et patronat…

    Et une stratégie astucieuse de chambouler le camp socialiste. En adoptent le baiser l’araignée, qui consiste à travers l’ouverture de prendre le butin de la bataille présidentielle qu’il a gagné. Seuls 40% des sondés jugent encore le débat sur l’identité « nécessaire » et 55% pensent le contraire « pas nécessaire », les autres ne se prononçant pas ou n'en ayant pas entendu parler. Cette différence à 2 chiffres n’annihile point que le débat existe et est largement suivi, même s’il est désavoué par les sondages.

    TESTING : Exemple de participation au débat par les journalistes de canal+

    Les dérapages de propos allant sur le terrain de la Burqa, traité actuellement par une commission officielle. Ou bien les amalgames confondant les problèmes des jeunes des banlieues largement stigmatisés par des vocables comme proxénètes et machistes par l’association « Ni putes ni Soumises », avec l’identité officiellement initié par l’institution 1ère de la puissance publique.

    Ces dérives et tant d’autres sont choquantes, parce que l’identité européenne bien fraîche et séculaire ainsi que l’absence de projections d’une interprétation identitaire universelle sont peu présentes par rapport aux visées de mettre au devant les communautés comme des dangers et une présence humaine envahissante, et l’émigration comme plus problématique que par le passé.

    Dans le journal du dimanche paru la veille de ce sondage, Yazid Sabeg, a déploré la tournure prise par le débat. "Ce débat échappe à tout contrôle, peut aggraver les fractures et donne à beaucoup de Français, les Français de confession musulmane, le sentiment d'être une fois de plus marginalisés".


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