• Les pays pauvres en défouloirs séxuels, leurs enfants sont les victimes les plus vulnérables... 

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME

    Cet article a été, par POPULISCOOP - Faites un scoop de info.

    En mission entre 1998 et 2000 en république centrafricaine puis de 2000 à 2004 en République démocratique du Congo, Didier Bourguet, un mécanicien aujourd'hui âgé de 48 ans originaire Saône-et-Loire, a répondu pendant les 3 jours, du 8 au 11 septembre, devant la cour d'assises de Paris, présidée par Mr. Jean-Pierre Getti, de viols multiples sur mineurs de 12 à 18 ans.

    L'épilogue du procès du français employé de l'ONU, présumé violeur de jeunes africaines, est tombé en fin d'après-midi du jeudi 11 septembre 2008. L'histoire remonte à décembre 2004, année de son arrestation et de son transfert par les autorités congolaises (RDC) à la justice française.

    En mission entre 1998 et 2000 en république centrafricaine puis de 2000 à 2004 en République démocratique du Congo, Didier Bourguet, un mécanicien aujourd'hui âgé de 48 ans originaire Saône-et-Loire, a répond pendant les 3 jours de son procès, devant la cour d'assises de Paris la capitale, présidée par Mr. Jean-Pierre Getti, de viols multiples sur mineurs de moins de 12 à 18 ans.Originellement il nit les faits qui lui sont reprochés, déroulés dans les pays respectifs à ses séjours où il entretenait les véhicules de la Munoc (Mission de maintien de la paix de l'ONU). Aux débats, il persiste de ne pas avoir agi par la contrainte. Il est aussi inculpé d'avoir détenu quelques 250 images pornographiques, dans un disque dur, dont la majorité immortalise ses ébats sexuels illégaux.

    I

     

     

    Arrêté en finoctobre 2004 à Goma, en RDC, et comme jouissant de l'immunité diplomatique, il avait été remis, en décembre, aux autorités françaises qui ont procédé à son arrestation. A son arrivée à l'aéroport, il a été recueilli par les agents de la brigade de la protection des mineurs qui l'interpellent. D'emblée, il avouera des actes sexuels avec environ 24 adolescentes de 12 à 18 ans, payées entre 10 et 20 dollars, a témoigné à la barre l'enquêtrice, Nathalie Freund. Cette dernière rajoute qu'il a révélé, sans remords, tous les détails de ses rencontres souvent effectuées grâce à des intermédiaires rémunérés eux aussi.

    Scandaleuse situation des enfants africains III
    Exploitation des enfants
    par gerardwIII

    « Pourquoi des relations avec des mineures et pas avec des prostituées ? » : interroge le président de la cours. « Il disait que les prostituées savaient simuler alors que les mineures vivaient l'acte pleinement », répond Mme Freund, aujourd'hui en poste au SRPJ de Toulouse. Elle rajoute que le violeur présumé aurait aussi confié sa satisfaction d'être enfin interpellé, car il voulait se soigner et s'inquiétait d'être attiré par des Africaines de plus en plus jeunes. « Là-bas l'esprit colonial persiste, l'homme blanc à ce qu'il veut », aurait-il justifié.

    Il a été condamné à 9 ans d'emprisonnement, car il a reconnu sa culpabilité d'avoir violé deux mineures lorsqu'il était en poste en République démocratique du Congo (RDC).

    La cour d'assises de Paris a assorti cette condamnation d'une obligation de soins pendant huit ans à la libération, le président Jean-Pierre Getti a précisé qu'en cas de non respect de ce "suivi socio-judiciaire", M. Bourguet effectuerait trois ans de prison supplémentaires. Une peine "de l'ordre de 12 années" de réclusion criminelle, assortie des mêmes contraintes de soins, avait été réclamée dans la matinée par l'avocat général, Pierre Kramer.

    Après l'énoncé du verdict, l'accusé a échangé quelques mots avec son avocat et afficha un sourire. Ce dernier, Mr. Claude Deboosere-Lepidi, s'est satisfait lui aussi "il a été acquitté (de) seize" des 18 viols reprochés. Finalement il a été reconnu coupable des viols des deux jeunes congolaises et d'une agression sexuelle d'une troisième.Sa condamnation couvre aussi les délits connexes, pour lesquels il était jugé, à savoir la corruption de mineures et la détention d'images pornographiques les mettant en scène.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

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  • Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME

    Cet article a été publié par POPULISCOOP - Faites un Scoop Populaire de l'actu. que vous avez croisée

    ... Avec la fin de l'Aïd El-Fitr, une violence perturbe la quiétude.

    samedi 4 octobre 2008,

    Le vendredi, pour les musulmans est le jour d'une prière hebdomadaire et celui du 3 septembre est en fait le dernier des 3 comptant pour L'Aïd qui clôture le mois du ramadhan 2008. Il a été marqué en Corse par un acte raciste... Qui a été reconsidéré en confrontation ou différent entre jeunes personnes dont la cause est une voiture taggée ?


    Le vendredi, pour les musulmans est le jour d'une prière hebdomadaire et celui du 3 septembre est en fait le dernier comptant pour L'Aïd qui clôture le mois du ramadhan 2008. Il a été marqué en Corse par un acte raciste qui a visé trois adolescents d'origine maghrébine, selon une dépêche de l'AFP basée sur une source judiciaire.

    « Quatre coups ont été tirés et ont atteint sérieusement un jeune à la tête », selon le procureur qui a précisé que « deux autres garçons ont été blessés à l'épaule et au thorax ».

    Ces trois victimes, âgés de 16 à 19 ans et inconnues des services de police, ont été visées au fusil de chasse vers 22h30, dans un quartier populaire sur les hauteurs d'Ajaccio. Ils sortaient de la mosquée après l'accomplissement de la prière dite de « Iïcha » , la dernière des cinq suivies journellement par les partiquants du culte musulman. « Ils étaient simplement passés saluer leurs camarades », a raconté à l'AFP le père d'une des victimes.

    Un groupe d'adolescents et de jeunes s'étaient réunis sur le terrain de sport du quartier des Jardins de l'Empereur, et prolongeaient dans le calme la fête de cet Aïd el-Fitr.

    Ces dernières années les actes racistes visant les maghrébins ont connu une recrudescence alarmante au niveau de l'île de beauté. Ils sont de plusieurs formes et la très forte majorité sont des incendies volontaires de véhicules, survenant surtout en plastiquage comme ceux visant les magasins ou les maisons, outre les agressions physiques.

    Pour mémoire, en 2003 le rapport de la Commission nationale consultative des droits de l'Homme (CNCDH), a enregistré, hors actes antisémites, 229 « faits racistes et xénophobes » pour toute la France. « Dans la catégorie des actions les plus graves », 56 actes étaient commis en Corse contre 36 dans l'Hexagone. Ces chiffres ne font l'unanimité tant pour les autorités que les sociologues, chacun selon sa vision du fléau. L'année suivante, 2004, on dénombre 25 actes et cette réduction laisse sceptiques les observateurs. Il convient de noter que cette statistique englobe aussi les tags qualifiés aussi d'actes racistes, selon leur contenu.

    Alors qu'une certaine décroissance est constatée, survient ce nouveau fait. Comme il faut noter qu'en Corse les continentaux, les français, sont aussi visés par ces actes. Mais ceux qui ont lieu dans les stades de fooball par exemple ont été à plusieurs constatés et dénoncés.

    Pour ce nouvel fait, trois hommes armés chacun d'un fusil de chasse et à bord d'une voiture ont ouvert le feu sur le groupe de jeunes maghrébins regroupés en la circonstance de cette fête. Vraisemblablement les personnes arrêtées sont à l'origine des quatre coups de feu qui ont touché sérieusement gravement un jeune à la tête. Les deux autres garçons ont été blessés à l'épaule et au thorax, selon la correspondance de l'AFP et le procureur de la République à Ajaccio, José Thorel. Les blessés ont été hospitalisés d'Ajaccio.

    Dans un premier, le tireur présumé était ivre selon les premières indications de l'enquête. Un autre présumé paticipant à cet acte arrêté par la police, dans la journée de Samedi en matinée. D'après le premiers éléments de l'enquête cet acte de violence est dû à un différent pour une voiture taggée

    Après l'agression, près de 80 jeunes se sont attroupés et ont dénoncé des "insultes racistes incessantes ces dernières semaines".

    L'enquête pour "tentative de meurtres" a été confiée à la Direction régionale de la police judiciaire d'Ajaccio.



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  • Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME  http://www.argotheme.com  lOGO DE ARGOTHEME.

    Pour ecrire et publier un article de cyberpresse http://www.argotheme.com/organecyberpresse/  

    Il avait acquis une renommée, enviée de ses pairs, qui lui assurait toute l'opportunité de brasser des revenus indéchiffrables. A coups de spots publicitaires, ciblant une clientèle toute désignée par son affinité à la superstition, diffusés en boucles tout au long de journée sur des chaînes radios de la bande à fréquence modulée. Des canaux bien choisis pour l'écoute de ses visiteurs attitrés dont « Beur-FM ». El Hadj Mamba Diakhaby, d'origine sénégalaise et installé en France depuis les années 70, n'avait  presque pas le temps de souffler et de consacrer des séances  prolongées à ses visiteurs. Pourtant le laps de temps vide a été trouvé...

    Il disposait de quatre appartements, au 181 avenue de Clichy du 17ème arrondissement parisien dont, celui du rez-de-chaussée donnant sur une cour, qui lui servait de cabinet pour l'accueil des personnes le sollicitant. Là où, à une heure de fin d'après-midi du dimanche 7 janvier 2007, il a été abattu d'une balle à la nuque d'une manière fortement reconnaissable de professionnel.

    Du fait que personne n'a remarqué quoique ce soit, que l'argent ou d'autres biens n'ont pas été touchés, le son du poste de télévision était mis à son maximum, le moment d'absence de fréquentation bien trouvé et déjà 3 mois que l'affaire eut lieu sans qu'aucune piste sérieuse n'est encore établie, laisse croire à un meurtre sans erreur de son exécutant. Il était 19 heures, quand l'un de ses fils est tombé sur le malheur après avoir vu la foule dans le couloir.

    Marabout de son état, sa publicité radiophonique vantait ses pouvoirs ou ses connaissances parapsychologiques, et au devant sa qualité de professeur. Il était capable d'amadouer l'épouse à laquelle on n'y tient alors qu'elle s'en éloigne, de garantir l'obéissance de l'enfant rebelle avec sa réussite scolaire, d'assurer le pourvoi de l'affaire commerciale de prospérité et d'éloigner toute influence maléfique. Rien que ça...

    Ils sont, à Paris, quelques centaines (300 à 500) d'africains à prétendre résoudre de tels désagréments de la vie. Mais aussi de fournir des amulettes ou des talismans, préparer des potions ainsi que de procéder à des séances de guérison de tous troubles, y compris physiologiques. Majoritairement installés au niveau des arrondissements nord de la capitale : 17, 18, 19 et 20, leurs cartes de visites avec des indications sommaires sont quotidiennement distribuées à plusieurs stations de métro, Château Rouge et Barbès sont les plus prisées avec plusieurs louangeurs à la fois.

    D'origine arabe, le maraboutisme est une pratique assez répandue en Afrique noire. Pure charlatanisme qui n'a rien voir avec l'astrologie, l'autre besogne végétant dans l'irrationnel et avec laquelle en France il partage le statut corporatiste. Une activité qui n'hésite pas de mettre au devant l'islam ou d'avoir recours à des usages de sorcellerie. Vraisemblablement lucrative avec le prix de 20 à 100€ la rencontre et jusqu'à 1000 un désenvoûtement qui peut durer quelques heures ou plusieurs séances. 

    D'après certains connaisseurs, des marabouts que nous avons questionné, les montants d'El Hadj Mamba pouvaient atteindre 10 000€ et jusqu'à 30 000 pour certains cas désespérés et prêts aux grands sacrifices. Les plus généreux fidèles sont les richissimes des monarchies d'orient qui demandent souvent un déplacement à leurs pays.

    El hadj Mamba a emporté avec lui le secret de sa mort, sans le moindre indice pour élucider son affaire, sous le sol sénégalais où sa dépouille a été enterrée.

    Les deux présomptions concernant les origines du coup qui a mis fin à ses jours, d'après les mêmes marabouts que nous avons approché, sont la jalousie de ses confrères ou bien une affaire de mœurs. Ces marabouts sont fréquentés par des personnes d'origines diverses : arabes, noirs et français. Certaines femmes vouent toutes leurs fois quand elles sont soulagées...    


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  • Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME
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    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>Les 2 ou 3 petites choses que je crois avoir compris sue le Web.2.0  et qu'on le sollicite déjà !
    <o:p> </o:p>Une nouvelle technologie mettant fin à la passivité de l'internaute en simple récepteur consommateur, est sur le point de restructurer entièrement Internet. C'est en fait, le passif l'anonyme et le simple surfeur sur la toile qui, s'est davantage impliqué, est à l'origine d'une révolution. Si en réalité elle s'impose d'elle-même pour la convergence et la simplicité, elle reste le fruit de créateurs humains. Arrivée à maturité après des années d'échanges sur la toile qui n'ont de virtuel que de garder les distances entre communicants, pourtant mitoyens par la brièveté accélérée avec l'ADSL, le Web 2.0. entame une métamorphose de ce qui a été son prédécesseur le Web.1.0. Ce dernier se présentait éditions sur papier que l'encyclopédie incarne le mieux, et obéissait, comme elles à travers les menus d'accueil, aux repérages des sommaires et des tables de matières. Seuls les liens hypertextes donnaient l'allure du dynamisme qu'au lieu de tourner les pages, on y va directement et rapidement par la magie l'électronique.
    Désormais une interactivité à l'échelle planétaire attribue au Web.2.0 la forme, contrairement au bouquin ou la revue, d'un vaste réseau occasionnant ainsi des bases de données produites d'une manière dûment collective. L'internaute, qui dans la précédente mise au point prenait de l'information et accéder à des services, s'est converti de lecteur en publicateur de données et certains ont déjà tissés leurs propres réseaux. Aidé par les progrès technologiques de ces dernières années (microprocesseurs des machines et le haut débit du signal Internet), la communauté des internautes est plus impliquée que par le passé. Elle lance ainsi l'exigence, sans nécessairement la décréter, que de nouveaux principes régissent le Web. Bien sûr des plateformes collaboratives sont mises en services pour bousculer les modes usités qui ont certes donné leurs preuves, mais semblent déjà dépassées. Citons quelques principaux sites de partage de données : Digg (actualités), Wikipedia (encyclopédie), Upcoming (agenda public) et del.icio.us (tags et favoris)
    <o:p> </o:p>

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    Par N.E. Tatem avec argotheme


     


    Première partie :   Le ricochet fatal de la médiatisation et de la sociologie urbaine


     

    Climat doux côté mercure, l'été se prolonge. Mais l'automne est annoncé déjà, les feuillages flétrissent et prennent les éblouissantes couleurs du feu. Les échauffourées entre jeunes et policiers polluent ce charme ravageur envié à une saison qui a fait sienne de la lutte des classes et de son immense idéal qui a coupé le monde en deux, au niveau de l'axe européen où l'est et l'ouest divergeaient. Les pans qui restent d'un mur mythique ont fait des émules sur les frontières des USA/Mexique et Israël/Palestine. Faut-il expliquer, ici, la genèse du mur de Berlin. Et des fois sans qu'on les érige physiquement, des remparts insurmontables séparent les hommes. Ceux qui n'ont pas de barricades pour se faire entendre des dieux, s'attaquent donc à la représentation de la justice et aux symboles vulnérables pour disjoncter la société.<?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" />Faut-il dire réduire les émeutes en simple riposte de délinquance ébranlée dans ses fiefs par la répression de son économie secrète. Certains analystes de ces actes de polissons s'offrent de labelliser ces actes de désespoir en livrant les bilans des prises de drogues des quartiers dits « sensibles ». Des fois les presses de tous bords feront bonnes et constructives mines en taisant l'amalgame - le Figaro du 26.10- entre le fléau multiséculaire de la truanderie et du piratage avec celui de crise contemporaine mais combien persistante.Oui la question du traitement médiatique de ces événements, sous le socle et la bannière d'une sacralisation malvoyante de l'ordre républicain, apporte du combustible au feu que l'eau au moulin faiseur de pain. Les gens apprennent à commémorer, un millier de personnes se sont regroupées un an après la mort des 2 jeunes de Clichy-sous-bois et les deux agents qui les ont traqué, se remettent, un an plus tard, à l'authentification de leur malveillance envers de jeunes citoyens qui cachaient à vrai dire leur identité que leur bout de « chite ».La lourde vérité, de la confrontation inégale de l'objet de terre face à celui de fer, emprunte souvent des chemins tortueux et escalades remparts et barricades pour parvenir à laver les souillures qui obstruent les pores pourvoyeurs de la mémoire.

    Déstructurés, sans grades, sans perspectives, sans tribunes et mis en marge du bien-être de la patrie qui les a vu venir au monde, ne sont pas certes les raisons approuvables pour saccager au feu des bus, des magasins, des voitures et édifices qui répondent aux besoins collectifs. Par contre une cause est valable. Elle a la forme cynique d'un autisme des acteurs et corps constitués pour la médiation comme les médias. Et elle incarne tout le contenu abjecte des pratiques de refoulement et de mise à l'écart des jeunes issus de ces cités faite pour le sommeil et où il est, depuis lurette, difficile de fermer l'œil.


    à suivre ----> 2ème Partie : LA GRANDE EGLISE SANS LA CHARITE 


     


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