• Le 3ème homme du PS, Arnaud Montebourg résulte de primaire qui esquisse une gauche plus franche. Lire sa lettre -jointe à cette article- : réveille des débats tus pourtant conséquents dans l’échéance 2012.

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Connu pour avoir des distances envers les deux finalistes des primaires du PS, Arnaud Montebourg vient d’acquérir une stature d’homme politique qui accompli sa mue acquise tant par les efforts que l’abnégation. Il n’est plus le juvénile député, à l’ombre de la horde d’éléphants imposants, il recèle une lueur d’innovation par son discours qui ne manque ni de cohérence et encore moins d’accessibilité, la compréhension, de larges catégories de la population.

    Qu’on le dise : les primaires du P.S. de 2011 sont une leçon éloquente et édifiante dans la pratique démocratique de la société française. Elles dégagent l’image ardente et exemplaire d’une expérience que nombreux partis politiques ne peuvent s’en passer. Elles naissent après la récente victoire aux sénatoriales.

    Après avoir montré une vie de couple, d’une France de son époque, avec la journaliste et non-moindre intransigeante Audrey Pulvar. Ce cadre du parti socialiste français a explosé la première primaire d’une organisation qui est l’opposant historique d’un libéralisme qu’elle n’a vraiment pas combattu par le passé ! Et même si le P.S. a gouverné, même au temps du socialisme des années 80, il a privatisé d’une main, tout en instaurant diverses actions sociales, de l’autre.

    Ce nouvel homme, d’une gauche plus objective, s’approprie l’identité en présage depuis des lustres, celle de la rupture avec le capitalisme archaïque. Celui qui se renouvelle éternellement en usant du réformisme. Et pourtant arrive à son terme final : la fin de la spéculation qui malmène toutes les formes de richesses.

    Montebourg a plus l’ascendance généalogique avec les nouvelles générations « des jeunes indignés ». Comme il recèle des liens directs dans ce qui est l’incarnation d’une offensive au désœuvrement anxiogène de la gouvernance de Sarkozy. Celle qui s’est dévoilée contraire de toutes ses promesses, notamment celle du pouvoir d’achat que seule la crise, à elle-seule, ne justifie guère. Il est la manifestation, car le président français n’a pas hésité de répliquer le concernant, qui fédère nombreuses oppositions à la gouvernance en place et qui aura en 2012 à tenter de garder le pouvoir.

    Le vote qui surprend avec cet inattendu 3ème au classement, devançant la précédente candidate ayant disputé face à l’actuel président l’enjeu de cette élection. A ce stade il a ouvert plus large la porte à un débat déjà entamé lors de la course originelle à Six. Dès le premier mardi qui a suivi le week-end où s’est déroulée la présélection des deux postulants à l’investiture du parti, le précurseur d’une "démondialisation" non-encore bien assimilée, s’adresse dans une, déjà annoncée, "lettre ouverte" DOCUMENT JOINT A CET ARTICLE Portofolio ci-bas à la rivalité qu’on ne peut cacher des deux challengers du second tour.

    Plusieurs lectures sont fournies par les analystes et dans la fièvre des discussions que la missive va initier, pour ne pas dire imposer, tant l’homme est devenu présent et incontournable. Montebourg attend que se positionnent sur plusieurs propositions de son programme, ceux qui se disputent la représentation d’une opposition qui dispose de nombreux « bons trains » en sa faveur avec le contexte d’une crise diabolique qui refuse de se faire élucider. Avec ses 17% des voix au premier tour, évalués à 450 000 des 2,5 millions de suffrages exprimés lors de la première partition, le poids de ses voix est plus pesant. Dans le sillage d’une gauche en quête d’identité, l’échappée de Jean-Luc Mélenchon a été exprimée comme une inconséquence des socialistes français.

     L’ingérence et les influences négatives, dans ce qui est la gauche molle en connivences avec les criminels de guerre et les ennemis de la paix !

    Les points essentiels et en exergue de la lettre, interpellent sur les valeurs du socialisme dans son interprétation française qui a fort besoin d’authenticité. A l’heure d’une débâcle historique du capitalisme ne doutant plus de la nécessité de régulation, comme pour réduire à néant son libéralisme arborant une fausse déclaration d’absence d’idéologie et sans mêmes les contraintes légales, des crédits politiques au PS.

    En effervescence, les nombreux mouvements sociaux qui secouant les pays ayant ancré d’une manière irréductible des régimes droitiers, sont aussi l’expression d’un besoin : un autre système. Les idées du candide 3ème homme du PS, peuvent grandement indisposer ce qui est la gauche dite « molle » représentée par, avec pusillanimité ou tolérance, François Hollande. Celui que les sondages place au devant de Martine Aubry.

    La clarté, la résolution et l’intrépidité qui apparaissent dans ce courrier sont :

    1- Projet de VIème République qui comporte : "la fin de l’immunité présidentielle", "l’augmentation des pouvoirs de contrôle du Parlement par des commissions d’enquête libres", ou "l’instauration du mandat parlementaire unique"

    2- Le "contrôle politique du système financier", et pour mettre sous tutelle publique les banques et "d’interdire par la loi la spéculation sur l’activité financière".

    3- La « démondialisation » basée sur le "protectionnisme européen, social et écologique", est une idée en phase de plus amples explications, provoquant son auto-affinage et une élaboration. Elle suscite le sujet de la guerre économique. Et vise la création de lois "arsenal protectionniste", rappelant le "juste échange" qui est déjà un fondement dans le projet socialiste.


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  • Un massacre final à Syrte, pour venir à bout des récalcitrants pro-Kadhafi.
    La bataille finale continue , après 3 semaines elle a fait plusieurs centaines de tués 
    et des milliers de civils blessés.

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    La Libye post-Kadhafi sombre dans ce qui a été le plus redouté dès le début, le chaos. La violence s’installe avec les revanchards qui règlent des comptes anciens. Les conflits entre rivaux et alliés se multiplient et les exterminations des éléments de l’ancien dictateur sont comme un jeu d’enfants. La guerre entre clans du CNT, la présence du Groupe islamique de combat affidé à l’AQMI, a commencé avec l’intervention de l’OTAN. A cela se rajoutent les agissements criminels des agents occidentaux.

    Notre dossier sur POPULI-SCOOP : Libye (INCOMPLET - Faites RECHERCHE sur le site, en haut à droite de la page).

    Profil d’un dictateur arabe : le cas Kadhafi.

    LE MASSACRE espéré par Kadhafi, faut-il le laisser-faire ?

    Chute de Tripoli, comment s’est déroulé l’assaut final.

    Lybie : Pile ou Face ?

    Le Printemps Arabe, gravement atteint d’une ingérence qui ne dit pas son nom !

    Syrte : le chef des catholiques de Libye appelle les Européens au secours

    Le vicaire apostolique du Vatican en Libye, Mgr Giovanni Innocenzo Martinelli, parlant d’"une situation dramatique" à Syrte, ville assiégée, a appelé les Européens à accueillir des milliers de civils libyens blessés.

    "A Syrte, la situation est dramatique. Une trêve est nécessaire. Les pays étrangers, en particulier les pays européens, doivent accueillir dans leurs hôpitaux les blessés", a déclaré Mgr Martinelli, qui a le rang d’évêque, à l’agence de l’Institut pontifical des missions étrangères (PIME). "Les structures sanitaires libyennes font de leur mieux mais elles ne sont pas suffisantes" pour soigner les blessés évacués de Syrte, a-t-il relevé, appelant à prier pour le peuple libyen.

    La Croix-Rouge s’est alarmée d’une situation "désespérée" à Syrte, un des deux derniers gros bastions du leader déchu Mouammar Kadhafi assiégé depuis plus de deux semaines par les combattants du Conseil national de transition (CNT), d’où ont fui des milliers de civils. Dès le début du conflit, au printemps, Mgr Martinelli avait adopté des positions très critiques sur l’intervention de l’Otan contre le régime du colonel Kadhafi, notamment les raids aériens faisant des victimes civiles.

    © Agence France-Presse

    L’ex-dictateur jure de mener la vie dure aux nouvelles autorités. Et les forces étrangères qui soutiennent les rebelles, ayant revendiqué la démocratie et l’alternance, tiennent à continuer leur projet de destituer un régime des plus despotiques du monde arabe. La défaite promise par le psychopathe de Tripoli, allait être sanglante. Il espérait introniser le rejeton Seïf-El-Islam. Les occidentaux, conduits par la houlette française, maintiennent qu’ils assurent la protection du nouveau pouvoir.

    Au bord d’un chaos qui semble être inévitable, le pays du tyran qui a tenu son pays 42 années sans moindre conteste, rengorge des plus grandes de pétrole du Monde. Cette vérité vient d’éclater.

    Selon un article de Simon Romero du « The New-York Times » les gisements libyens sont à la pointe des réserves mondiales, et ce en termes de volume (et non de recettes). Spécialiste des questions des questions internationales et énergétiques, le sujet de ce journaliste traite de l’avenir du pétrole à échéance de 2020 dans le monde.

    Publié en septembre (2011), il détaille pour l’ensemble du Monde, et classe le Venezuela devant l’Arabie Saoudite. Quant à la Lybie, juste en filigrane en la citant à plusieurs reprises, serait à la pointe l’exploitation. Mais au bout de compte, ce sont les Amériques, le Brésil et les USA qui ont les nappes de l’avenir (2020).

    L’acharnement du colonel qui voulait une transition dynastique à sa descendance et celui des forces maintenant dans une guerre coloniale, montre combien est précieux l’enjeu. La tournure qu’ont les évènements, après des mois, est insoutenable. L’Irak n’avait d’armes de destructions massives, mais beaucoup de pétrole.

    La guerre entre clans du CNT, entre le CNT et le Groupe islamique de combat, derrière lequel se profile l’AQMI, a commencé avec l’intervention de l’OTAN.

    Le CNT est dans une très grande difficulté pour créer le gouvernement. Abdelajalil qui semble être rigoureux et montrant du nationalisme est comme impuissant, et serai dans lesvisées criminelles des agents occidentaux. Avec l’intervention externe, il a été à plusieurs reprises incapable d’encadrer ses troupes et de tenir des réunions sans que ses chamaillades éclatent.

    Les tueries à Benghazi sont quotidiennes et monnaie courante. Les habitants, de ce fief des rebelles, vivent le calvaire des assassinats restant impunis, et cela a été dès le début de la révolte.

    Le 28 juillet la mort, dans des conditions obscurs du général libyen Abdel Fatah Younès, alors qu’il était au commandement des rebelles en est l’illustration des dérives qui prennent maintenant un aspect effroyable. Ancien responsable du régime du colonel Mouammar Kadhafi, il s’est rallié aux insurgés.

    Certains libyens croient qu’il a été tué par les forces étrangères parce qu’il marquait ses distances du « trop d’interventionnisme » et pour d’autres, il voulait s’imposer contre le rival déjà exercice. Lequel convient aussi aux alliés occidentaux qui ont trouvé la marionnette idéale.

    Profil d’un dictateur arabe : le cas Kadhafi.

    LE MASSACRE espéré par Kadhafi, faut-il le laisser-faire ?

    Chute de Tripoli, comment s’est déroulé l’assaut final.

    Lybie : Pile ou Face ?

    Le Printemps Arabe, gravement atteint d’une ingérence qui ne dit pas son nom !


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  • Mutisme à l’Elysée, alors que les tribunaux s’activent dans l’entourage du président. Grande dépression dans la majorité qui présumait enlever des tribunaux l’instruction des affaires...

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Avec l’éclatement d’une série de scandales médiatiques, les autorités françaises, saisies de la pertinence de l’échéance électorale, préfèrent garder le silence ! Ecoute téléphoniques de journalistes, exfiltration de magistrats, porteurs de valises sur les cadavres de cadres français tués à Karachi et mise sous la tutelle de Mme Woert de la grosse fortune Bettencourt…
    Pour ne citer que ces trois sujets chauds, régénérant chaque jour (et même chaque heure de journée) d’autres scoops que la presse digère instantanément, il y a un pesant et troublant silence du président Sarkozy. Deux domaines des institutions de la république sont malmenés, à savoir la presse espionnée et des magistrats questionnés pour des tâches où le chef de l’Etat est non-loin.

    Et que de paradoxales ou inintelligibles répliques de son premier-ministre, pour rompre le silence, surviennent de temps à autres avec une certaine difficulté de les admettre à l’opinion. L’opacité reste ! Malgré que ce dernier n’est pas cité dans ces cauchemardesques histoires, il demeure solidement boulonné à ses collègues opèrant selon la solidarité corporatiste.

    Même l’écueil de la déconfiture électorale lors des dernières sénatoriales laisse de glace l’Elysée. Pourtant les mouvements de ministres et de directeurs centraux de ministère sont à leurs meilleurs et furtifs ballets, de ce revers électoral qui est perçu comme le prélude à 2012.

    Les deux shows télévisés des candidats à la primaire des principaux opposants du PS, ont aussi grandement démontré que la pratique démocratique des débats est bien plus relevée et crédible dans l’opposition. Mieux qu’au sein de la majorité présidentielle qui faute de ne pouvoir pas encore ratisser au centre, balaie devant la porte de l’extrême droite du FN.

    Dans l’ensemble de cette trilogie il y a une référence commune, l’appareil judiciaire français qui se trouve désormais au cœur des intrigues. La justice française montre, de son côté que les épreuves qui la chahute avec l’arrivée de Sarkozy à l’Elysée, une foi dans l’application des lois et la continuité de son autonomie.

    Et en rajout, La DST (direction de la surveillance du territoire) vient d’écarter l’ancienne thèse. Dès le début de l’enquête, la piste de l’attentat islamiste qui a coûté la vie à 15 personnes dont 11 Français en 2002 à Karachi, n’était pas pris en compte. Les islamistes étaient à toutes les bouches après le 11 septembre, donc ça a fonctionné jusqu’à là, plus maintenant !

    En déclassifiant, sur ordre de la présidence de la République, des documents secret-défense dans l’affaire Karachi, que Le Parisien dit avoir consulté, la DST est sorti de l’ombre. Mais les PV de l’enquête affirment le contraire, c’est-à-dire que l’attentat a été faussement à des Kamikazes du fanatisme islamiste. Quelle éclaboussure pour une justice compromise, qui dressé de tels résultats ! Car la vérité semble être ailleurs.

    Le financement d’une certaine campagne électorale du discret Balladur connaît des retours incessants. Les familles des 11 victimes de Karachi sont tourmentées que pataugent les investigations, comme bloquées par un système qui semble désormais se briser. La résistance du juge Van Ruymbeke dans plusieurs enquêtes, persiste. Ce magistrat est en possession d’un document démontrant le lien entre un contrat d’armement passé en 1995 avec l’Arabie Saoudite et le financement de la campagne de Balladur.

    Ce contrat dit "Sawari II" sur la livraison de frégates, passé en décembre 1994 avec l’Arabie Saoudite, constitue un élément inattendu qui s’additionne à un cortège qui s’allonge… Des sommes dont la traçabilité s’élucide proviennent des retours de commissions !

    Avec ces histoires accablantes, le président de la république voit nombreuses personnes de ses proches et divers entourages passer aux questionnements des tribunaux. Ces instances (LES TRIBUNAUX), de haute importance dans le système judicaire français car à sa base, devaient, dès l’arrivée de Mr Sarkozy à la présidence, se départir des juges d’instruction. Une idée qui a été combattue !

    Ces juridictions essentielles dans le corpus de l’appareil JUSTICE DU PAYS, sont les premiers à pouvoir traiter ces affaires. Ils allaient être privés de mener des enquêtes pour se contenter, comme l’ensemble de ses hiérarchies et instances, des investigations de la police. Qui elle, relèvent d’un ministère où Sarko a excellé !


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  • LA MARCHE DES SALOPES AU MAROC, LA JEUNESSE EXIGE TOUT LE RESPECT A TOUTES LES LIBERTES. Les femmes habillées FASHUN font des appels AU VIOL selon les PHALLOCRATES !

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    La jeunesse marocaine vient encore de faire parler d’elle. Depuis bien avant le printemps arabe, elle avait inscrit une considérable page, fait un audacieux pas et exprimé une parole rebelle dans le sens positif, de l’acquisition de plus des libertés. Pour la considération de sa citoyenneté et d’être humaine, méritant respect. Placés sous l’angle des droits individuels, les jeunes marocains arrivent à déplacer, les grands débats universels sont désormais au chevet de la léthargique population marocaine.

    Voir en ligne : PAGE FACEBOOK -La Marche des Salopes- Maroc.

    L’écoute que gagne au sein de la société, loin de l’islamisme sinon à son opposé, les groupes d’activistes marocains ne cesse de gagner des confiances. Ces dernières voient dans le modernisme de leurs aspirations, que du bien ! L’interpellation de la conscience collective pour que la vie privée des personnes soit protégée, comme les convictions religieuses et surtout politiques, de telles demandes sont tirées par l’aspiration aux libertés sans tabous. Est revendiqué, encore cette fois, le statut de la femme afin qu’elle acquiert sa pleine et entière citoyenneté.

    EN France, La marche des SALOPES

    En lançant le MALI (MOUVEMENT ALTERNATIF DES LIBERTES INDIVIDUELLES), bien avant les chutes des dictatures arabes, le code spirituel traditionnel a été ouvertement contesté. Dans des populations largement musulmanes, cette agitation a marqué les esprits ! Quoi que veulent bien l’amoindrir les médias et les rétentions officielles. Son impact a résonné comme un tonnerre dans une planète silencieuse et soumise au vide. Une vraie météorite tomba dans la marre éclaboussant les bidouilleurs religieux…

    Et quand cette même jeunesse a exigé du monarque, en plein ébullition en Afrique au du Nord et dans les pays arabe du Moyen-Orient, son retrait démocratique des affaires citoyennes. La parole de cette jeunesse marocaine a vite alarmé au cœur même du pouvoir. L’empressement législatif et le passage prompt à un scrutin(mis au doute par ses grandiloquents résultats), a réduit certaines minimes prérogatives du roi. Mais a laissé sur leur soif les démocrates conséquents et les mouvements égalitaires de gauche.

    A 20ans Majodoline Lyazidi passe pour la plus jeune égérie du monde en 2011. Elle vient de lancer au Maroc La “Marche des salopes”. Grâce à une page Facebook qui a engrangé quelques 4000 inscrits en l’espace de 3 semaines. La mobilisation semble plus verve, que comme ne s’attendaient pas certains observateurs du monde arabe qui se sont surpris. Car d’une insolence jugée, souvent hypocritement par même des têtes qui se disent sur les épaules de démocrates, du point de vue de l’Islam inacceptable !

    Cette action s’inscrit dans le sillage du mouvement né au Canada cette année, pendant le mois d’Avril et qui a pris de l’ampleur comme une traînée de poudre dans le monde. Le mouvement "marche des Salopes" est né d’une remarque désobligeante d’un policier à une femme. L’accoutrement jugé indécent devait être un appel au viol, selon le flic. Si rares les capitales européennes ont échappé à des manifestations de la gente féminines,l’Inde (le 31 juillet) et même le Brésil n’ont pas évité ce genre de protestation. Ce sont les femmes des USA qui ont été les premières à réagir, et peu sont les féministes de part le monde qui n’ont pas osé…

    La protestation est animée par cet intitulé : Partout dans le monde, on dit que les femmes ne devraient pas regarder comme-ci, ne devraient pas sortir le soir, ne devraient pas aller dans certains endroits, ne devraient pas s’enivrer, ne devraient pas porter des talons hauts ou ne devraient pas être seules avec quelqu’un qu’elles ne connaissent pas ! Ce concept subversif n’était pas en débat dans le monde arabe, l’urgence qu’a imposée LE PRINTEMS aspirait à des changements d’une autre nature.

    Dans cette région du monde, les tenants du clash entre les civilisations ont critiqué le fait qu’il était construit sur des références occidentales. Pendant le mois du ramadan où la page est créée sur Facebook, la haine a pris des proportions obscurantistes à ne pas raconter. Mais la réalité de la femme arabe est carrément scandaleuse ! Même si en Tunisie on se targue d’avoir démontré que la présence des femmes a été primordiale, dans la chute de Ben Ali.

    Le rôle que jouent les réseaux sociaux du Web dans la perception des mouvements contestataires dans le monde, fait que les populations répondent et construisent des manifestations acceptables. Du point que ces manifestations ne sombrent pas dans l’ambigüité ou bien le populisme.

    Ainsi le débat qu’a lancé au Maroc, LA MARCHE DES SALOPES, concerne davantage le crime des agressions sexuelles dont sont victimes les femmes. Notamment l’impunité, quand Nafissatou Diallo est passée par là avec l’ex directeur du FMI. Dans le monde musulman...


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  • A la veille d’échéance électorale : Stagnation de l’économie française en 2011, l’audace de mesures à l’italienne par l’imposition solidaire des riches ou bien la déchéance…

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Le gouvernement français, malgré la crise récidivante et incontrôlable depuis l’été 2008, a ambitionné une croissance à 2% en 2011. Or l’avancée du PIB a été nulle durant la période d’Avril à Juin, après la légère embellie du premier trimestre qui, à +0,9%, a été considérée la meilleure en près de cinq ans.

    Le plan du gouvernement français s’était basé, dans ses prévisions, sur une croissance du PIB de 2,0% en 2011. Dans la même veine, elle sera suivie de 2,25% en 2012, puis 2,5% en moyenne pour 2013 et 2014. Or un récent rapport du FMI a donné une image un peu moins rose, révélant que seuls 2,1% pour 2011, 1,9% en 2012 et 2,0 pour cent pour 2013.

    Les déboires, des économies capitalistes, dus principalement à la naissance d’un nouveau monde, celui des pays émergents, ont montré leur version ou facette principalement boursière. Les turbulences des marchés spéculatifs sont, croit-on, à l’origine de la crise. Or il est systémique. Dans ces économies décadentes qui parlent de la Chine comme d’un spectre inique, leur disgrâce relève de l’implacable évolution historique de l’humanité.

    En demeurant dans cette vision boursière de l’économie, la France, l’Italie, l’Espagne et la Belgique ont interdit les ventes à découvert d’actions. La mesure a été prise jeudi 13 août. Cette tentative coordonnée pour rétablir la confiance dans un marché boursier basé sur les taux exorbitants des emprunts publics des pays européens, est au cœur de la crise qui se manifeste avec une spéculation anonyme qui dévalise les budgets publics incapables désormais de financer la croissance.

    A la veille du rapport de la zone euro qui sera diffusé le 16 août, celui concernant la France devance celui l’Allemagne. Les résultats français s’avèrent en décrépitude comme pour tous les pays du vieux continent. La machinerie des observateurs affiliés aux banques et opérateurs financiers se sont les premiers penchés à lire qu’est ce qui s’est passé dans le contexte des turbulences boursières qui ont marqué la 1ère quinzaine du mois d’août.

    La Banque centrale européenne s’est mobilisé pendant la même semaine, des rumeurs et contre-rumeur sur la bonne santé des banques européennes et la solidité de la cote française du « AAA », pour défendre d’abord l’Italie et l’Espagne. Or l’incendie, ou bien le yoyo, qu’a vécu le marché des bourses s’est allumé en France. L’hexagone a été désigné comme incapable de financer ses dettes souveraines qui sont pourtant à bon marché. Le reflet s’est manifesté sur cette grande instabilité des bourses, qu’il fallait identifiée. Et la France s’est trouvée vulnérable, car visée comme l’ensemble de son contexte européen.

    Les réactions n’ont pas manqué, il ne s’agit que de commentaires qui regardent les promesses et les résultats qui pointent leur nez dans la définition ou bien la lecture des résultats pour les prochains mois de l’année 2011.

    Le ministre français des Finances, François Baroin, a minimisé la mauvaise performance. Disant que ce n’était pas une surprise, après un solide premier trimestre, il fallait s’attendre. En Italie, pays qui n’est aussi exposé que l’Espagne, des mesures ont été prises dans l’urgence pour taxer les plus riches, avec un train de mesures solidaires pour renflouer les caisses publiques appelées à réduire les déficits du budget de l’Etat.

    En France, la réflexion continue, malgré que le président ait donné un coup d’arrêt aux vacances d’été pour son exécutif… Les échéances électorales, dans moins de 9 mois, ne font pas bouger les lignes d’imposer les grosses fortunes qui sont à la source du pouvoir de Sarkozy. Or la majorité des électeurs sont frappés par l’austérité excessive réduisant les ressources des ménages, faisant reculer et saper la tradition de la France de la protection sociale équitable. Car cette dernière est jugée trop généreuse envers les plus vulnérables économiquement.

    Les analystes, qui ne relèvent pas des trusts financiers et avec indépendance, se sont précipités à vérifier les causes de cette crise devenue endémique. Puisque l’anticipation est complètement noircie de l’opacité qui empêchent la lecture de, bonnes ou sombres, perspectives. Ils s’accordent à croire que la baisse de la consommation intérieure est la source de cette stagnation. L’économie française est tributaire de cette ligne du marché locale, contrairement au voisin allemand.


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