• Une jeunesse qui empêche la perversion des mercuriales à la merci des corrompus alliées aux spéculateurs.

    Les émeutes en Algérie ne trouvent pas la facilité de leurs explications, tellement des brouillages incohérents sont érigés par des discours à la fois populistes et aveuglement vandales. Sauf que c’est un mécontentement dû aux hausses des prix, à la fois subites et exagérées, des produits de première nécessité, il ne ressort point de profondeur des appels de la population. Notamment le sucre et l’huile parmi les denrées touchées... ce qui est une interprétation tout à fait écourtée et simpliste.

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Cette dernière est semblable dans son étroitesse à celle d’une contagion de la sédition du pays voisin, la Tunisie, qui est d’un ordre tout à fait différent et dans un contexte bien plus évoluée et distinct de celui de l’Algérie. La Tunisie est plus laïque que certains pays occidentaux, elle dispose d’une classe sociale moyenne bien plus large proportionnellement à sa population et recèle des normes avancées de gestion de la société comme la politique de régulation de la démographie.

    Cette vidéo expose la situation qui prévaut dans plusieurs villes algériennes.

    Depuis des semaines avant que le vent de la révolte ne se tourne sur l’ouest tunisien, les« pénuristes » algériens attendaient cette augmentation des tarifs. Ils se sont mis à stocker tous ce qui leurs tombent entre les mains. Car informés, par des connivences de décideurs. Et le partage de ces « fructus » de bazar est bien établi, entre une pléthore de pseudos opérateurs économiques et les éléments de la bureaucratie héritière du l’ancien système des moudjahidine, de leurs enfants et des membres de familles, devenues après un demi-siècle de règne, semblables aux mafias napolitaines. La jeunesse vit avec l’arrogance des nouveaux riches qui n’ont guère des profils d’entrepreneurs. Le Gloden-Boy Khalifa, fils d’anciens ministre, a été présenté comme le meilleur. Et ces trafiquants, liés au pouvoir et son personnel, narguent et rigolent en croisant les plus pauvres.

    C’est-à-dire clairement, les partenaires des spéculateurs sont dans le personnel politique officiel issu de l’alliance dite présidentielle. Dont la corruption a pris une ampleur inconnue par le passé, mais générée à un niveau mafieux et de banalité depuis l’arrivée de Bouteflika au pouvoir. Il s’agit du clan, présidentiel, qui met la puce à l’oreille des commerçants de l’importation et des faux industriels, pour... Le lendemain des hausses, a eu lieu l’apparition magique des produits qui ont disparu pendant les semaines précédentes.

    Au début, c’était une grande tension sur le lait dont le pays a un énorme déficit. Le patrimoine foncier agricole, envié par nombreux pays africains et voisins, qui depuis des décennies n’a pu se développer est la réponse au besoin de lait. La filière « lait » qui débute chez les éleveurs, se termine aussi chez eux. Aucune idée de la technologie laitière et aucun réseau de ramassage, comme il se fait ailleurs. Toute l’alimentation de la population est exposée aux aléas climatiques et à des crises continuellement sporadiques. Il suffit d’une exploitation maraichère d’une saison, soit portée sur un produit et non un autre comme la pomme de terre, l’oignon ou bien l’ail, pour que l’un d’eux voit son prix dépasser largement les capacités de revenus des ménages incapables de se le mettre dans leurs assiettes quotidiennes.

    L’agriculture algérienne ne décolle pas, parce que c’est là où les réformes, sans jamais soulever les questions de développement, consistent plus à renflouer des exploitants déficitaires. Ces derniers à l’image des nombreux directeurs nationaux de missions et de programmes de développement qui ont été relevés de leurs postes ou emprisonnés. Tous sont du clan présidentiel, prolongé au niveau des ministres, puis des élus... Au niveau des exploitations de vrais truands du FLN -Parti Unique- jouent les moudjahidine, les ingénieurs et même les DOCTORS es agronomie et directeurs violeurs de leurs propres secrétaires.

    A bien vouloir comprendre les révoltes des algériens en ce début de l’année 2011, les plus éclairés et sincères des militants et des analystes rigoureux redoutent que les islamistes s’accolent à ces manifestations pour se légitimer, après leurs crimes du terrorisme qui a fait 200 000 victimes depuis 1990. Et puis en faire de la chaire à canons livrables avec de nouveaux attentats qui, s’ils reprennent avec les dégâts qui marquent et traumatisent à jamais toute une génération, vont causer un effondrement du pays. En remettant le pouvoir à une théocratie barbare largement inspirée d’une conscience religieuse dévoyée par le rayonnement des dizaines, sinon des centaines, de milliers de mosquées qui essaiment à travers la moindre bourgade du pays en prêchant la paix de l’âme dans la misère et la soumission.

    Le paradoxe que posent ses revendications, quand elles sont liées au coût des produits cités, est bien réel. Les regards se tournent vers les pères de famille notamment les salariés, en ce qui concerne les prix, mais les yeux s’écarquillent avec les comportements saccageurs et surtout de pillards des manifestants. Qui cassent les biens de la collectivité, prennent en assaut vitrines et magasins pour subtiliser tous ce qui leur tombent sous la main. Il ne s’ait pas de Black Blocs animé d’idéalisme et de romantisme, qui seuls aussi ne sont pas révolution. Cette dernière convient aux autorités puisqu’elle porte en elle que la qualité des émeutes est ruinée.

    D’ailleurs, comme partout le monde, lors de telles protestations les casseurs trouvent leur butin à portée de main. Nonobstant le cas algérien met au devant un déficit flagrant, et voulu par les politicards corrompus et associés au pouvoir en place, de structures syndicales crédibles à défendre le pouvoir d’achat. De même que la fermeture des cadres d’expression, a poussé au suicide physique dont on dénombre une pléthore ces dernières années. Comme elle est à l’origine de la prise de la voie maritime pour les jeunes « haragas » avides d’exil, au prix d’être un exclu et humilié ailleurs que perclus dans son propre pays.

    Les opinions qui mettaient en Bouteflika l’espoir de ramener la paix sociale, l’ouverture du pays sur le monde et la moralisation de la vie publique, sont les plus déçues alors que le raïs est déjà sortant. Toutes visions versées en ce président, dernier rejeton du système qui a la honte d’avoir torturé ses meilleurs poètes, se sont trouvées avec une constitution falsifiée, un pays plus isolé, une population criminalisée dans le monde car surveillée dans toutes les frontières et aéroports. Et c’est LA GRANDE CORRUPTION qui a pris les dessus. Et peut-être à jamais !

     


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  • Rares sont les révélations des exactions de Tsahal dont victimes les palestiniens. Tellement inaudibles et mises sous boisseau, au point que les opinions se construisent sur le mensonge et la cachoterie. L’handicap fait par Tsahal aux journalistes pour leur mission d’informer, s’est vérifié en crimes en vase clos. Sur les quelques 1500 victimes de l’opération dite « Plomb durci » qui vaut dans la sémiotique « Balles assassines », 60% sont des enfants…

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    … et 28% des adultes civils, puis 2% des combattants du Hamas incriminés du vocable de « terroristes » alors qu’il s’agit de combattants indépendantistes au même titre que ceux de l’OLP, même si les méthodes des deux factions diffèrent. Gaza s’inscrit comme le mouroir collectif que les prix « Nobel » des sciences nient et ceux de la paix, paradoxalement, ne songent pas mépriser.


    Quart d'heure de célébrité d'Olivia ZEMOR
    envoyé par enquete-debat. - L'actualité du moment en vidéo.

    Quand on se mobilise pour chasser Laurent Ngagbo qui se cramponne au pouvoir en Côte-d’Ivoire, les avisés regards tablent ce qui mérite plus d’être médiatisé. En occident particulièrement les lignes éditoriales des médias sont tellement décriés, désavoués par les citoyens qu’ils sont censés servir et perdant la confiance des administrés des Etats qui défendent becs et ongles la démocratie sans la construire chez eux… Car quand la paix est complètement d’un bras de fer, de l’Etat hébreu, colonialiste et impitoyable du sionisme dévoyé en fascisme

    Il est question d’une crise de la presse, dans un diagnostique souvent créé par la nouvelle de l’intrusion de Wikileaks et du journalisme citoyen via Interne, et un dévoiement des valeurs journalistiques sensitives à informer honnêtement le peuple. On croit, chez les experts qui observent les médias, l’écourtée raison de la nouvelle transparence du web, comme une perte de professionnalisme. Elle serait à l’origine de la fin du journaliste qui fait l’opinion en songeant s’aseptiser d’émettre la sienne, même s’il a des convictions humanitaires. Dans ce climat, le conflit du Proche-Orient est noyé dans ce qui est « la thèse de la conspiration ». Mais les esprits saints reviennent au galop. La vérité emprunte les chemins ardus…

    C’est le cas des outrances macabre des criminels de guerre de Tsahal et de l’apartheid israélien qui n’a rien d’être plus soft ou léger que son ancêtre d’Afrique du Sud ou bien du Nazisme allemand. Les témoignages rapportés par Paris-Match, tiens ce titre semble survivre à la crise médiatique, de 4 jeunes officiers, méritent d’être salués. D’ailleurs plusieurs sujets, tous conséquents, d’une clarté judicieuse et grandement professionnels ont été diffusés dernièrement par ce titre de la presse française que la crise n’a pas approchés… Quand on se rappelle les changements du quotidien « Le Figaro » qui n’ont pas encore livré l’épilogue de leur cheminement, les crises du journal « Le Monde », les licenciements de « Libération » lors de son rachat et les départs…

    ·          DES OFFICIERS ISRAÉLIENS PARLENT. LA POLÉMIQUE

    ·         Israël. L’armée ne fait jamais son autocritique

    ·         “Nous avons créé un monstre: l'occupation”

    ·         Israël. quand les officiers brisent le silence

    D’ailleurs au temps de la guerre indépendantiste d’Algérie, qui ne peut pas se souvenir de l’œuvre d’Yves Courrière qui fut un pavé dans la marre. Non seulement le prestigieux périodique français connaîtra de nouveaux lecteurs, mais aussi il marque sa confiance dans la vérité la plus enfouie dans les méandres de la conscience occidentale et dans les rédactions en connivence pour que la paix continue de s’éloigner de ce conflit dit du « Proche-Orient ».

    Micha, Dana, Noam, et Mikhael ont combattu pour Tsahal. C'est la première fois que des officiers israéliens manifestent à visage découvert leur contestation à propos des exactions infligées dans la bande de Gaza, entre 2000 et 2009.

    - Paris Match

    Des grenades pour faire peur

    « On déboule dans un village palestinien à 3 heures du matin et on se met à lancer des grenades étourdissantes dans les rues. Pour rien, pour faire peur. On voyait les gens se réveiller affolés... On nous raconte que cela fait fuir les éventuels terroristes. N’importe quoi... Par rotation, on faisait ça toutes les nuits. La routine. On nous disait “Bon­ne opération”. On ne comprenait pas pourquoi. »

    Voler un hôpital

    « Une nuit, nous avons l’ordre d’entrer de force dans une clinique d’Hébron qui appartient au Hamas. On confisque l’équipement : ordinateurs, télépho­nes, imprimantes, d’autres choses, il y en a pour des milliers de shekels. La raison ? Toucher le Hamas au portefeuille, juste avant les élections du Parlement palestinien, pour qu’il perde. Le gouvernement israélien avait officiellement annoncé qu’il n’allait pas tenter d’influencer cette élection... »

    « On a tué un type par pure ignorance »

    « On ne savait pas que, pendant le ramadan, les fidèles sortent dans la rue à 4 heures du matin avec des tambours pour réveiller les gens, qu’ils mangent avant le lever du soleil. On identifie un type dans une allée qui tient quelque chose, on lui crie “stop”. Là, si le “suspect” ne s’arrête pas immédiatement, la procédure exige des sommations. “Arrêtez ou je tire”, puis on tire en l’air, puis dans les jambes, etc. En réalité, cette règle n’est jamais appliquée. On l’a tué, point. Et par pure ignorance des rites locaux. »

    Les paysans en larmes

    « Nos excavateurs dressent une barrière de séparation en plein milieu d’un champ de figuiers palestinien. Le paysan arrive en larmes : “J’ai planté ce verger pendant dix ans, j’ai attendu dix ans qu’il donne des fruits, j’en ai profité pendant un an, et là, ils me le déracinent !” Il n’y a pas de solution de replantage. Il y a des compensations seulement à partir de 41 % de terre confisquée. Si c’est 40 %, tu n’as rien. Le pire c’est que peut-être demain ils vont décider d’arrêter la construction de la barrière. »

    Rendre ses galons, redevenir soldat

    « On installe des check points surprises. N’importe où, ça n’est jamais clair. Et soudain on arrête tout le monde, on contrôle leur permis. Il y a, là, des fem­mes, des enfants, des vieux, pendant des heures, parfois en plein soleil. On arrête des innocents, des gens qui veulent aller travailler, trouver de la nour­riture, pas des terroristes... J’ai dû le faire pendant cinq mois, huit heures par jour, ça m’a cassé. Alors j’ai décidé de rendre mes galons de commandant. »

    « Notre mission : déranger, harceler »

    « On est à Hébron. Comme les terroristes sont des résidents locaux et que notre mission est d’entraver l’activité terroriste, la voie opérationnelle c’est de quadriller la ville, entrer dans des maisons abandonnées, ou des maisons habitées choisies au hasard – il n’y a pas de service de renseignement qui nous pilote –, les fouiller, les mettre à sac... et ne rien trouver. Ni armes ni terroristes. Les habitants ont fini par prendre l’habitude. Ils sont irrités, dépressifs, mais habitués car ça dure depuis des années. Faire souffrir la population civile, lui pourrir la vie, et savoir que cela ne sert à rien. Cela engendre un tel sentiment d’inutilité. »

    « Les punitions collectives »

    « Mes actes les plus immoraux ? Faire exploser des maisons de suspects terroristes, arrêter des centaines de gens en masse, yeux bandés, pieds et mains liés, les emmener par camions ; pénétrer dans des maisons, en sortir brutalement les familles ; parfois on revenait faire exploser la maison ; on ne savait jamais pourquoi telle maison, ni quels suspects arrêter. Parfois, ordre nous était donné de détruire au bulldozer ou aux explosifs l’entrée du village en guise de punition collective pour avoir hébergé des terroristes. »

    « Protéger des colons agressifs »

    « On débarque dans le district de Naplouse pour assurer la sécurité des colons. On découvre qu’ils ont décidé d’attaquer Huwara, le village voisin, palestinien. Ils sont armés, jettent des pierres, soutenus en cela par un groupe de juifs orthodoxes français qui filment, prennent des photos. Résultat : on se retrouve pris entre des Arabes surpris, terrorisés, et notre obligation de protection des colons. Un officier tente de repousser les colons dans leurs terres, il reçoit des coups, il y a des tirs, il abandonne. On ne sait plus quoi faire : les retenir, protéger les Palestiniens, nous protéger, une scène absurde et folle. On a fini par faire retourner les agresseurs chez eux. Une dizaine d’Arabes ont été blessés. »

    Assassiner un homme sans armes

    « On est en poste dans une maison qu’on a vidée de ses occupants, on soupçonne la présence de terroristes, on surveille, il est 2 heures du matin. Un de nos tireurs d’élite identifie un mec sur un toit en train de marcher. Je le regarde aux jumelles, il a dans les 25-26 ans, n’est pas armé. On en informe par radio le commandant qui nous intime : “C’est un guetteur. Descendez-le.” Le tireur obéit. J’appelle cela un assassinat. On avait les moyens de l’arrêter. Et ça n’est pas un cas unique, il y en a des dizaines. »


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  • La neige tombe au seuil de l’Elysée où est assise l’autorité !

    Quand on entend Mr David Pujadas marquait un évident étonnement qu’il neige, seulement, en décembre, on se demande où est a faille ? Si les autorités ont manqué dans l’évaluation des aléas de la belle saison qui habille la nature de la cape blanche, qui descend les mercures et donne aux voies routières les patinages des êtres et des véhicules, les médias aussi ont été peu prévenant !

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    La Com ou bien la gouvernance qui a failli dans les affaires de la cité, celles d’ici-bas qui font le quotidien des administrés. Il n’y a pas eu mort d’hommes, nonobstant le remue-ménage est édifiant ! Alors que l'alerte n'y était pas.

    La république qui a failli lors de la canicule, a la peau dure. Mort d’hommes pendant la grande chaleur, c’était un record. Comme ce furent les cas aussi pour la tempête Xynthia au printemps ou les pénuries d'essence durant les grèves de novembre, la communication du gouvernement a, pour le moins, laissé à désirer. L’aléa de la chaleur ainsi que les dispositions pour y répondre, reste vraiment un cas de figure peu habituel pour situer les circonstances, comme pardonnable. Cependant l’actuelle déliquescence de la réactivité judicieuse, qu’ont eue les décideurs à entreprendre, ne s’est pas déployée. Le ministre de l'intérieur, Brice Hortefeux, a démenti toute « pagaille », assurant lors de sa conférence de presse du mercredi 8 qu'un épisode comme celui de 2003, ne risquait pas de se reproduire. Fait de colère climatique, où des milliers d'automobilistes coincés dans la neige avaient dormi dans leur véhicule.

    Le chef du gouvernement est parti en Russie au plus fort de la paralysie. Son avion a fait trois heures de retard du fait de la tempête. Il était accompagné par le secrétaire d'Etat aux transports, Thierry Mariani. En son absence, les radios matraquaient, selon des porte-paroles de ministères, pour contenir le désarroi des auditeurs bloqués dans des embouteillages : « … les services de l'Etat ont mis en place toutes les mesures habituelles… ». La dégradation des conditions a opéré comme lors de la tempête de 1998, elle fut subite et démesurée. Les vents cycloniques ont tourné et pris le dessus drainant les plus lourds nuages, chargés d’eau, de même que leur orientation a déclinée vers le nord-sud, créant la fraîcheur… 

     

    Ces démonstrations du chaud et du froid s’apparentent à la faculté de la nature de mettre au diapason sa puissance. De quoi créer chez les rescapés de la vague une autre leçon individuelle et une polémique dans toute la société. Un froid que les météorologues ont bien annoncé, dirait-on à d’autistes, parmi la population, qui se sont accidentés ou bien se sont trouvés piégés dans la blancheur des précipitations. Les autorités ne les ont pas incités de rester chez eux.

    Quand les responsables donnent impression que l’Etat est empressé de sauver un capitalisme, la Russie ou bien même de parler de lointaines contrées africaines… mais balbutient dès lors que les caprices du climat bloquent quelques dizaines de milliers de citoyens… Horteffeux et son mentor chef de l’exécutif, n’ont-ils pas considéré qu’ils aient plus intérêt dans la retenue que de s’embourber dans l’écheveau. Le premier n’a pas expliqué que la limitation du salage des chaussées n’est plus dans les actions des collectivités dont son ministère a la tutelle. Et le second a eu vraiment une si sourde oreille pour « Météo-France ». Dont nombreux français ont suivie, et se sont contentés bien de ne pas au moins prendre leur véhicule et s’adresser au transport en commun.

    L’appareil institutionnel s’est-il banalement grippé, pour que la communication inter-rouages ne soit pas fluide, audible et interceptée par qui de droit et de devoir à la perspective d’appréhender les affaires de la cité. L’anticipation qui fait la qualité première de tout gestionnaire et responsable de quelle échelle qu’il soit, prend source chez la prévision. En matière de météo, les possibilités de sonder l’avenir est limité. On ne peut aller au-delà d’une semaine, au regard des formations de cyclones et leurs contrastes, l’anticyclone.     


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  • LE GRAND ECHEC DE BARACK OBAMA, APRES La DECONFITURE AUX ELECTIONS DE MI-MANDAT ET LES CONCESSIONS AUX REPUBLICAINS.

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Sous les yeux du monde entier, l’arrogance et l’impunité de l’Etat hébreu signataire de la 4ème Convention de Genève datant de 1949, continue. La spoliation des palestiniens, en conséquence de la colonisation, se multiplie. Plus graves les nouvelles concessions des USA, en abandonnant le moratoire sur les colonies en expansion sur des terres volées aux palestiniens, constituent l’échec de Barack Obama après ses concessions aux républicains et les résultats des élections dites de mi-mandat. 

    La victoire diplomatique d’Israël, qui a décroché de son mentor les USA l’aval de clore la continuité de la colonisation basée sur la spoliation des palestiniens, s’inscrit dans les frappes humiliantes que subit l’ONU, ainsi que la légalité et la diplomatie internationales. C’est un fait dangereux, comme un appel au terrorisme. Toute l’humanité, dans l’impuissance, s’en scandalise sans lever le doigt. Pourtant la « Quatrième Convention de Genève » (datant de 1949)

    Sachant que ce dernier a depuis presque deux années été soumis à la grande vigilance, ne pouvant plus commettre d’attentat, ses bombes humaines se font toutes arrêter avant de passer à l’acte. Et que désormais son abominable djihad ne sera qu’une « Fitna » (un désordre entre croyants) et qui aura pour champ les pays arabes d’abord et plus largement musulmans. Faire subir aux palestiniens le joug colonialiste, entretient un grand sentiment d’injustice chez les musulmans et à un degré élevé chez les pratiquants du rite religieux. La jeunesse est difficile à contenir !

    C’est peut-être l’un des trophées à faire figurer dans les palmarès duredoutable lobby de L’Aipac, comme l’absolu revers à infliger aux partisans de la paix qui soit basée sur une éthique juste. L’organisation, de l’ONU, ankylosée mais aussi secouée comme un cocotier pris dans la bourrasque. Ban-Kimon a déjà vu les bâtiments de l’ONU réduits en miettes, pendant la dévastation nommée « Plomb durci » (ou bien "balles mortelles") de 2009, pendant laquelle sous les yeux de l’humanité plus de 700 enfants ont été massacrés. Le secrétaire général n’a pas été capable de réagir même sur la plan juridique. Parmi les 1500 victimes de l’opération qui a ciblé les 1,5 millions de palestiniens dirigés par le Hamas, toute une génération de jeunes palestiniens précisément, avant d’autres individus de part le monde, a été marquée et traumatisée !

    Pendant plusieurs mois de négociations avec Israël, Hillary Clinton a tenté d’essayer de pousser Netanyahou à se conformer au droit international et les accords signés. Le gouvernement américain a finalement annoncé qu’il abandonne ses efforts, pour obtenir le gouvernement israélien de se conformer à la loi interdisant les colonies. Le président Mahmoud Abbas, s’est empressé de faire entendre à Barack Obama son refus de retour à la table des négociations, par le biais de son homologue égyptien Moubarak, le mercredi 9 décembre en se présentant au Caire.

    Selon un représentant du Département d’Etat américain, les États-Unis veulent la poursuite des négociations, sans qu’Israël se conforme au droit international, interdisant le transfert de civils à une terre militairement occupée. Toutes les colonies sont illégales en vertu de la « Quatrième Convention de Genève » (datant de 1949), dont Israël est signataire. Mais le gouvernement israélien ignore cette obligation, et a transféré plus de 500.000 civils israéliens dans des colonies construites sur des terres volées aux Palestiniens depuis 1967.

    Auparavant, le gouvernement américain avait offert à Israël 20 avions de combat F-35, qui sont le plus nouveau modèle des Etats-Unis ont des avions de combat. Ce fut en échange d’un gel de la colonisation de six mois. Israël a rejeté cette offre, et a demandé à être autorisé à poursuivre l’expansion des colonies de peuplement sur des terres volées aux Palestiniens. Et les responsables ont même invité à de « négociations » les dirigeants palestiniens.

    Cette impunité d’une arrogance intolérable chez nombreux observateurs et larges milieux de l’opinion internationale, alimente le conflit dit du Proche-Orient. Certains dirigeants de plusieurs nations, consternés mais certainement vigilants et peu enclins de mépriser la légalité internationale, pensent que les pays occidentaux par leur soutien inconditionnelaux menées israéliennes, entraînent les juifs, du moins ceux qui se considèrent israéliens, à leur faire subir une autre Shoah. Une haine qui se construit par la version d’avoir poussé jusqu’au bout des colonisateurs, en les encourageant, puis les incriminer avec la volteface historique qui a plusieurs fois joué des tours… leur imposant des réparations, comme sanctions, légales !

    Les négociateurs palestiniens ont toujours critiqué la politique israélienne consistant à continuer de créer des colonies. Leur chef Mohammed Shtayeh, a déclaré aux journalistes que la décision d’Israël à permettre à 600 nouveaux logements à Jérusalem-Est, la toute dernière en novembre 2010, sur des terres palestiniennes confisquées illégalement, c’était le dernier clou « dans le cercueil de le processus de paix. »

    Les négociateurs israéliens ont exigé que les dirigeants palestiniens acceptent de« reconnaître Israël en tant qu’Etat juif » comme condition préalable à des pourparlers de paix - en dépit du fait qu’une telle reconnaissance serait la négation du droit internationalement reconnu de retour des réfugiés palestiniens. Cette concession que les dirigeants palestiniens disent qu’ils n’ont pas le droit de faire.

     


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  • Les millionnaires plus nombreux, la classe moyenne se rétracte.

    D’abord le qualifiant de la crise qui secoue certains pays plus que d’autres, doit être identifié et rigoureusement ajusté à partir de la détermination de ses caractéristiques. Une crise économique occidentale. Oui la géographie des modèles économiques touchés, nous l’apprend. A travers l’expérience française, et l’angoisse que la crise s’accentuerait, visitons quelques détails. Dont le principal est le contenu ou la portée des réformes…

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

    Cet article a été publié par POPULISCOOP POPULISCOOP -scoop populaire- Ecrire et publier un article. -Scoop Populaire  

    Selon une étude Crédit Suisse, révélée par le quotidien la Tribune, 9% des 24,2 millions de millionnaires en dollars dénombrés dans le monde vivent dans l'Hexagone. Premier pays du continent, et 3ème rang mondial. Dans le monde ils 24 millions, ce qui équivaut à 0,6% de la population. Ils disposent de 35,56% de la richesse de la planète. Leur fortune s’évalue à presque 70 000 milliards de dollars (soit un plus de 50.000 milliards d'euros). Nombreux Français font 9% du total des millionnaires, car ils y résident, ce qui représente 2,2 millions de personnes. L'Hexagone se place ainsi au troisième rang mondial, loin devant ses voisins européens. Les Etats-Unis abritent 9,94 millions d'individus, soit 41% de la population mondiale de millionnaires. 3% en Chine, ce qui est proportionnel à sa population…

    Au regard de cette donnée, les riches sont plus nombreux et ne sont pas constitutifs de la classe moyenne. La catégorie de millionnaires est celle des vrais fortunés, quand les milliardaires se comptent sur les doigts au niveau mondial.


    Faillite grecque / Effet domino
    envoyé par khalem-session. - Regardez les dernières vidéos d'actu.

    Seuls les contenus (programmes et objectifs) des réformes et uniquement eux de part le monde, nous oblige à croire que le capitalisme archaïque, et non le moderne habité de démocratie réelle, rend l’âme. L’humanité découvre finalement que sa philanthropie n’est pas égalitaire et encore moins sociale ou démocratique. Elle doit faire légiférer ses normes et disposer d’outils de régulation basés sur une nouvelle éthique. C’est-à-dire faire ces nécessaires correctives réformes. La finance est son point noir, les pratiques monétaires sa singerie ridicule et ses banques sont le couteau qui triture sa plaie.

    Touchés au cœur de leurs systèmes, la finance, spéculatifs et bassement mercantiles, les pays qui souffrent de la crise qui a débuté avec l’été 2008 et ne s’est pas amenuisée depuis, sont listés et localisés. Peu importe de les citer, cependant les plus frêles d’entre eux agonisent. La géographie le dit clairement. Et le danger d’une propagation semble frapper à toutes les portes qui, derrière lesquelles les disparités entre les catégories et classes sociales sont énormes, des discours soutiennent de surmonter la crise… en scandant des réformes sans en déterminer le contenu exact de ses dernières. Certaines ont déjà renfloué les caisses des institutions financières.

    Les officiels et experts français redoutent qu’arrive la catastrophe. Son spectre rôde, et semble être une chamelle aveugle. Parce que les réformes ont été orientées, sans la volonté du peuple, seulement selon les avis de décideurs qui se sont prescrit la mission de sauver les banques privées. Dans le sens incompréhensible de sauver le dernier bastion usurier et mercantile. A l’exception de l’Islande où la crise est atténuée, grâce à l’audacieuse décision de ne pas sauver les banques privées sur le denier public financé par toute la communauté nationale (les êtres et non les entités), le monde capitaliste s’est engouffré dans le non-retour. A se demander où sont engloutis les milliards déclarés… Pour éteindre l’incendie.

    Les islandais contre, le gouvernement met en prison les dirigeants des banques.


    Les Islandais conspuent politiciens & banques
    envoyé par rikiai. - Rencontrez plus de personnalités du web.

    Certains croient dur encore comme fer, que non seulement les banques mais maintenir l’Euro qui est fondé sur un libéralisme étriqué, sauvera la maison continentale. Les pays européens qui ne connaissent pas les contraintes des partenaires continentaux, comme le royaume uni, et ne se soumettent pas à l’obligation d’une monnaie commune espèrent la fin prompte de leur récession. L’€ ne facilite en rien les exportations, constatent ceux de la zone euro. Et cause aussi un reflux dans les activités de l’appareil industriel.

    Même les attaques contre les acquis sociaux, déremboursement des médicaments et recul de l’âge de la retraite, constituent les compensations du sauvetage des boursicotiers qui continuent de gruger la galette étatique. L’erreur est d’avoir sauvé les banques privées, d’avoir donné aux riches qu’à la relance.


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