• Dans le traitement des câbles diplomatiques du ministère des  affaires étrangères des USA, fournis par Wikileaks à la presse traditionnelle et non celle diffusée uniquement sur le Web comme les blogs, beaucoup de manipulations, de cachoteries et même de transformations. Certains cas présentent carrément de l’inversion, disent le contraire de ce qui existe vraiment.

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Si un pays a eu une peur bleue que des révélations soient publiques ses pratiques et offusqueraient l’humanité, c’est bien Israël. Contrairement aux idées reçues concernant l’Iran, la Chine ou bien la Corée du Nord. La matière ayant l’entité israélienne comme sujet, le gros des informations a été tue, car inexploitée. Et c’est grâce au Web et les activités des nouveaux sites d’informations que les sujets les plus pertinents sont repris. Regardez la carte des câbles diplomatiques.

     DU FAIT DE CENSUE qui frappe Wikileaks, le site miroir.

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    En se demandant : qui est Wikileaks. Pour l’Iran, premier pays à réagir VOIR VIDEO, Israël est à l’origine de la manipulation. Certains journalistes ont aussi vu Israël derrière. Car seul Israël a une pénétration du ministère de la Défense américain qui permettrait ce genre d'espionnage. Non seulement les espions du Mossad installés dans hautes sphères peuvent faire de telles prises de documents. Israël a autant d'espions dans le commandement militaire américain. Ces agents pourraient facilement éviter d’être repérés. Qui a les moyens de recueillir et filtrer cette quantité de données ? Et qui le voudrait ? Israël certainement pas.

     Vidéo traduite en Français : POURQUOI LE MONDE A BESOIN DE wikileaks.

     DU FAIT DE CENSURE qui frappe Wikileaks, le site miroir en ch, domaine suisse.

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    Le cas de présenter la Russie, et d’autres Etats de l’Europe de l’Est, en Etat mafieux. Ou bien la mise au-devant de l’Iran ou bien de la Corée du Nord en matière nucléaire. Ainsi que la Chine qui aurait espionné les réseaux informatiques du gouvernement américain et bloquer Google, est édifiante du détournement des câbles diplomatiques des USA. Or il ne s’agit que de moins importants sujets pour la corruption, ces hauts responsables israéliens ont été considérés mafieux selon le câble des diplomatique américain .

    En effet, beaucoup d’observateurs se sont questionnés sur le cas d’Israël qui n’a pas été tellement cité ? Car constituant la source d’une grande insécurité au niveau mondial par sa colonisation illégale et inhumaine de la Palestine, que les autres pays présentés comme ceux ayant plus d’intérêts dans l’actualité. Quand l’accusation antisémite (une forme de racisme assez répandue et sortant à chaque dénonciation du joug que vivent les palestiniens) est brandie face à toutes défense humaniste et de la légalité internationale.

    DU FAIT DE CENSURE qui frappe Wikileaks, le site miroir en ch, domaine suisse.

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    Beaucoup d'informations existaient déjà concernant Israël, et ce dès les 400 000 documents publiés, en octobre, avant les derniers 280 000 (de novembre). Mais personne n’en a fait acte. Elles concernaient la grande corruption qui gangrène les rouages de l’Eta hébreu. Une corruption globale dans les hautes sphères des dirigeants israéliens, contrairement à ce qui a été avancé, plus importante qu’en Russie. Depuis toujours et de temps en temps, la vérité émerge, et l'on découvre que tel ou tel ministre volé des millions de shekels, ou que les fonds destinés aux groupes de population démunis pour équilibrer les élites économiques dans la colonisation. 

    La corruption est globale dans l'establishment Israélien, disaient nombreux blogueurs israéliens. Ces révélations de népotisme, de mépris de la loi, et l'attitude complaisante du système juridique n'étant que la pointe de visible l'iceberg. En l'occasion de la documentation de Wikileaks, et tardivement l’exploration de ces contenus est arrivée à son terme. Dans de rares cas, ces fuites d'informations vers le monde extérieur peuvent être trouvées. Car les gangsters occupent largement les centres de décision d l’Etat hébreu.

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  • Le nouvel assaut pro-sioniste dans les institutions françaises.

    C’est le JDD qui annonçait dans son édition du 27 novembre que les juifs de France ont opéré un grand virage à droite. Il s’agit plus des positions émises structures organisationnelles officielles communautaires. Celles qui expriment l’opinion des majorités, sinon réciproquement ces dernières adhèrent à leurs directives. 

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Que les commissariats et les gendarmeries françaises se fournissent de documentations émises par exclusivement la LICRA, en matière de lutte contre le racisme, le passage à une sinistre situation est fait. Celles où les autres associations, SOS-Racisme et le MRAP connues d’être à gauche, ne prennent part. En outre la LICRA affiche ouvertement sa vocation et son appartenance communautaire, dès lors statistiquement les plus discriminés sont ailleurs. A moins que la forme de racisme qui cible les beurs et les habitants des zones dites « sensibles », soit secondaire. Certes il faut reconnaître l’agression des juifs est plus déclarée, et certainement plus nombreuses les victimes qui subissent des actes de violence.


    Pierre Stambul, UJFP
    envoyé par Pierre-Stambul. - Rencontrez plus de personnalités du web.

    Selon un dépêche de l’AFP : « Le ministre de l'Intérieur Brice Hortefeux et le président de la Ligue contre le racisme et l'antisémitisme (Licra) Alain Jacubowicz ont signé mercredi une convention pour la "mise en commun de (leurs) forces" afin de mieux lutter contre le racisme. (…) avec cette convention, policiers et gendarmes bénéficieront "tout au long des carrières, de sessions de sensibilisation sur ce sujet menées par la Licra" », a déclaré le ministre, lui-même condamné par un tribunal pour propos raciste, dans l’affaire de l’auvergnat d’origine maghrébine et militant de l’UMP. Le fil de l’AFP rajoute : « En plus les services de l’Intérieur et la Licra et coopéreront aussi en matière de veille sur internet. » 

    La LICRA est l’une des officines de soutiens indéfectibles envers l’Etat hébreu colonisateur et spoliateurs des palestiniens de leur terre, que l’ensemble de la communauté, qui se démarquent vers la droite. Si elles pénètrent les institutions, de quelle citoyenneté ont droit les français de gauche. Cette politique est ancrée dans l’orientation des affaires étrangères, incontestablement de droite, surtout en matière du conflit du au Proche-Orient. Une manière d’imbriquer judaïsme et sionisme, dans toute la « convalescence »  religieuse que les droites, par une perception faussement libérale, sont enclines de s’accommoder avec l’irrationnel. On retrouve dans une telle position, qui se vérifie sans conteste, les plus virulents et nostalgiques d’empires coloniaux.

    Qui en doutait un moindre iota ? Les lobbys pro-israéliens toujours en quête de prise de pouvoirs, ont d’abord joué la carte anticommuniste puis récompensés par les résultats de la guerre froide, prennent et revendiquent leurs butins… Nombreux israéliens parlaient des persécutions de juifs dans l’ex URSS, sans vraiment avoir étayés des arguments crédibles. Plusieurs chercheurs se sont penchés sur la question de l’extrême-droite juive, telle cette étude, qui traite le sujet d’une manière historique.

    Se détourner de la gauche est comme une allégeance bassement opportunisme dans l’onde qui a fait du libéralisme inégalitaire l’idéologie rayonnante. La rupture la plus remarquée en Hexagone est celle du PCF avec le CRIF. Le vieil parti marxiste-léniniste irréprochable de part son histoire, s’est vu reprocher son écœurement, reflétant celle de ses militants et de bien nombreux citoyens français, pour les crimes contre l’ensemble des palestiniens et la population de Gaza plus particulièrement. Ce qui a valu au PCF d’être écarté du dîner annuel du CRIF, alors qu’il était présent depuis que cette rencontre est organisée.

    Cette dernière perversion que vit la France, de mettre la documentation de la LICRA dans les commissariats et les gendarmeries sans tenir compte de l’existence des autres structures associations travaillant avec fort louable dévouement contre le racisme, à savoir SOS-Racisme et le MRAP, dénote l’entretien d’un climat de suspicion envers d’autres administrés de la république.

    Cette décision traduit d’une atmosphère délétère, la créant et surtout l’entretenant à longueur d’année, l’ambiance de division des citoyens et des associations. Divulguée au début du mois de décembre, elle exprime une dérive vers le favoritisme et les disparités. Une action qui donne des gages aux comportements qui alimentent d’autres mécontents. Ceux qui lorgnent à dresser des barricades pour se faire entendre dans la patrie qu’ils ont élue, dans les conflits de toutes la Terre qu’ils partagent avec d’autres humains… Et pour gagner l’ouïe de la respectueuse oreille des dieux.


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    Les publicistes qui les ont relayés sont sceptiques envers la transparence et la nouvelle déontologie du data-journalisme naissant.

    Analyser le comportement de Wikileaks relève de doctes théories de la communication moderne, celle de l’ère de la vraie lumière. Cette dernière référence de part sa vitesse de transmission et d’éclairage, annonce une communication qui aplatit la presse écrite conviée de faire allégeance au journalisme moderne. Même si le site de Julian Assange ne rédige rien, il est une forme d’agence reproduisant des contenus existants…

    « Data-journalisme » pour certains connaisseurs à la pointe des nouvelles pratiques naissantes avec la propagation, toujours expansive, de la toile. L’information est en passe de muer vers la « cyberpresse » et au tempo des éclairs. D’autres spécialistes de la Com y voient donc une liberté totale et sans censure. Et surtout du point de vue démocratique, l’accès à l’information pour les citoyens est plus à portée à tous, 1 milliards d’internautes se connectent quotidiennement au Web. Dans cette ébullition, Wikileaks s’articule comme une source non négligeable du fait de sa capacité de sa capacité d’intrusion dans les méandres les plus secrets. Et s’arroge la place et le rôle d’une hirondelle annonçant de belles saisons.

    Les contenus exposent les pratiques les plus viles du monde occidental, d’où la chasse à l’homme, le harcèlement et la censure.

    Nonobstant comment sont relayés ses trésors de nouvelles croustillantes de fraîcheur donne matière au retour d’anciens canaux, la presse écrite. Y compris les hébergeurs du site, qui était Amazone –via EveryDNS- puis à migré chez OVH (qui héberge aussi POPULI-SCOOP), ainsi et surtout les titres qui ont eu la primauté (4 européens : Guardian, Spiegel, Le Monde et El Pais et l’américain le New-York Times) d’accéder à sa volumineuse cueillette de scoops, restent dubitatifs, comme songeant à une quelconque manipulation. Puis comment ils en ont fait écho ces journaux, ce qui est leur traitement des sujets, laisse planer une buée quant à la manière qu’ils ont défini leurs sélections. Amazone a carrément joué au larbin des pouvoirs qui ont été ébranlés par la véracité des informations glanées comme par magie. En fait Internet est magique, même les prix (quand on ne croise pas un escroc) sont formidablement bas !

     

     

     

    Le ministre français de l'industrie, l'énergie et de l'économie numérique, Eric Besson, a écrit à CGIET (Conseil général de l’Industrie, de l’Energie et des Technologies) d’exiger du nouveau prestataire français, depuis le 2 décembre, lui demandant que l'hébergement de Wikileaks en France doit être résilié.  « La situation est inacceptable. La France ne peut pas héberger des sites Web qui violent les secrets des relations internationales et mettent en danger les personnes protégées par le secret diplomatique. Nous ne pouvons pas héberger des sites qui ont été désignés criminels et ont été refusés par d'autres pays sur la base d'un préjudice aux droits nationaux. » On serait tenté de demander à M. Besson s'il laisse entendre que Le Monde ne peut être hébergé en France non plus, car la façon dont le papier a publié exactement le même matériau que Wikileaks (qu’est-ce que Wikileaks sur Wikipédia).

    OVH a annoncé de son côté qu’il avait saisi la justice, en réaction à la demande du gouvernement de mettre fin à cet hébergement. Octave Klaba, le boss d’OVH, dans un message diffusé à ses clients a rétorqué aussi « Ce n’est pas au monde politique ni à OVH de demander ou de décider la fermeture ou pas d’un site mais à la justice. » « Nous avons découvert comme vous tous que ce site est hébergé chez nous, hier  jeudi (…) dans la presse», a-t-il expliqué. « Sa facture payée par carte bleue s’élève à moins de 150 euros », et a indiqué : « OVH n’est ni pour ni contre ce site. La question est hors-sujet pour nous. OVH est une entreprise qui fournit les infrastructures (…) et notre rôle est d’assurer cette prestation technique…/ … Maintenant qu’il est chez nous, on assure le contrat. C’est notre boulot. Il est fonctionnel », a-t-il précisé.

    EveryDNS.net vendant des noms de domaines (com, fr, org…), grâce au commerce en ligne d’Amazone qui a rompu la transaction, a fermé le site de Wikileaks dans la nuit de jeudi, a affirmé qu’il risquait de buguer en raison de la multiplication de cyberattaques qui créent la saturation des serveurs. Prétextant que cela mettait en péril le fonctionnement des 500.000 autres sites qu’il héberge. Depuis, WikiLeaks a rouvert en changeant d’adresse, devenant wikileaks.ch (une extension suisse) au lieu de wikileaks.org. Il est aussi hébergé par la société suédoise Bahnhof.

     Wikileaks a sollicité du soutien, en faisant appel aux donateurs.

     

    Pousser la Chine sur le précipice nord-coréen ou iranien, en manipulant les contenus délivrés par Wikileaks de la censure.

     

     

    LECTURE/ARRÊT VIDÉO

    D’abord l’Iran et le vœu saoudien « de couper la tête du serpent » et les dessous diplomatiques de la guerre des industries militaires en Irak, ont eu le privilège des « Unes » des organes presse concernés. Puis c’est en direction de la Chine que le témoin a été envoyé. Il faut mettre de la modération à ses élans de remise en cause des trusts économiques campant traditionnellement un règne absolu sur le reste du monde. Et c’est par l’angle de la Corée du nord la vulnérabilité de l’empire du milieu est considérée.

    Son voisin, de Pyongyang, avec lequel Wikileaks apporte l’eau au moulin, des anticommunistes tenants d’hystéries agressives propres aux redresseurs de tort, que des présomptions d’une guerre imminente sont exposées. Tel pour l’Iran où les dessous des criminels de guerre de Tsahal sont passés à la trappe des non-concernés. Le bâton de l’antisémitisme est comme l’épée de Damoclès, tranchant sur le vif dans plusieurs médias du monde.

    Soit Wikileaks n’est pas impartial. Soit ses relais ne songent pas à dépasser la notion des intérêts régionaux, corporatistes et d’alliance. Et surtout ceux des partenaires privilégiés sont à défendre avant toutes considérations.

    La Chine devient donc, à la place de l’ex URSS de la guerre froide, le mouton noir à l’origine des malheurs de l’humanité. Coïncidant, la démarche de Wikileaks, avec la provocation de la Corée du Sud allié des USA qui préconisait procéder à des manœuvres militaires, le sujet gagne de l’ampleur. Conjointement avec l’Otan pour signifier la provocation, aux portes de sa voisine, sœur et ennemi, les agissements de la Corée du Sud ont précédées d’une sommation/riposte. Un préalable, qui demandait bien de passer au conflit ouvert. Un assaut contre une île qui pouvait être un poste d’observation pour des spectateurs, sinon là où allait être érigée la tribune des Etats-majors commandant les manœuvres, a aussi fait tourner tous les médias vers cette région du monde.

    Wikileaks en a mis sa couche et sa couleur avec le nombre de centrifugeuses dont dispose la Corée présentée comme une dictature, mais aussi largement discréditée avec la relève du fils Kim au sommet d’un Etat, de ce fait, grandement fragilisée ! Et âgé de 27 ans, le jeunot est considéré comme un danger, dans le cas où il ne renonce pas à faire usage du redoutable arsenal… Même de ce point-de-vue, la nature de la prochaine provocation, à laquelle s’exposera son pays, le fera décider. Sinon l’invasion (le cas de l’Irak est l’exemple d’aventure possible) ou bien une attaque-éclair, telle que souhaite allégrement Israël pour le programme nucléaire iranien, détermine les risques qu’encourra l’humanité.

    Les rapports de force ont changé dans le monde depuis la guerre froide. La Chine qui passe pour un exemple pour nombreux peuples pauvres, et surtout locomotive de tous ceux émergents, est dirigée par un parti communiste. Cela n’est pas admis pour les dites démocraties, encore animées plus d’animosité et de colonialismes que d’éthique. Le PC chinois s’accommode de Wikileaks, le flan de ses voisins et camarades ne le concerne pas. Et aucun embarras n’a fait bouger d’un iota, y compris après les divulgations de Wikileaks, la position des dirigeants chinois quant aux livraisons coréennes de matériel pour les équipements nucléaires iraniens.


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    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    Des experts ou bien des charlatans, la solution de sauvetage du capitalisme mercantile s’éloigne tournant le dos aux bourses et aux banques.  

    La récidive des soubresauts de la crise, surgie à l’été 2008, secoue férocement les pays capitalistes. Elle influence et a des conséquences sur le reste du monde. Mais sa géographie, ses territoires et ses fiefs sont fixés. 

    L’occident malgré les mobilisations, qui finalement de donnent que de modiques résultats, porte encore ses propres vulnérabilités et ses peines. Elles angoissent les experts qui, travaillent à sauver la maison qui brûle n’ont l’air finalement d’être des charlatans. Ils enjoignent de l’espoir aux cœurs, comme des baumes, des politicards, sans atteindre les peuples qui ne cessent de manifester. Alors que les dirigeants n’osent plus promettre quoique ce soit.

    Les pays les plus fragiles comme le Portugal, la Grèce et l’Espagne pour citer ceux auxquels les médias ont déjà réservé nombreuses observations, vivent même la déchéance tentant de limiter la casse. Leurs taux de chômage dépassent les 20%, ce qui reflète la misère sociale qui touche leurs populations qui n’ont plus de pouvoirs d’achat et de réjouissance pour les inégalités. Puisqu’elles subissent des réductions draconiennes des acquis sociaux, qu’ils prenaient par un passé récent pour inébranlables. Dans ce contexte, les retraites, les soins et la plaisance sont dans le collimateur des restrictions. Alors que l’immobilier, comme en France encore plus cher, augure aussi la privation infligée injustement à de larges populations aux revenus réduits. Par le passé, c’était la bourse qui flambait ! 

    L’Irlande qui fut un havre fiscal aux sièges de grands trusts et sociétés transnationales, est touchée au cœur même du système financier qui a permis de croire au bel-âge de ce pays : les banques aussi. A l’image du tremblement de terre qui a secoué l’Europe, simultanément après la pulvérisation de la bulle immobilière des USA, la ruine est bancaire touchant plusieurs institutions qui ont des traditions bien bancales.

    L’accueil, en Irlande, de domiciliations sociales d’entreprises, d’envergure internationale, voire les plus importantes du monde, ainsi que de cabinets usant de l’e-économie n’accouche en rien de richesses matérielles concrètes. Et encore moins elles ne créent pas les emplois escomptés que peuvent occuper les irlandais.

    Le marché de dupes s’internationalise au détriment des spécificités régionales.

    Les spéculateurs des places boursières européennes, américaines et aussi japonaises qui gèrent les fonds de l’ensemble du système capitaliste sont l’expectative, après presque trois années la reconnaissance, sans localisation ou identification, des failles. Les faillites, comme les craches boursiers, sont de plus en plus imprévisibles et quasi instantanés. Et prennent des formes réduites, ciblant des entités économiques en rapport le monde informatique entre autres, qu’on pensait déjà projeter dans l’avenir. Ils se succèdent quotidiennement pour faire chuter, souvent de 40 à 1 $, les titres des entreprises en quelques heures.

    Les banques, en ricochet de ses micro-assauts, découvrent des gouffres dans leurs liquidités. Et sont donc incapables aussi bien de mettre à la disposition des investisseurs, réels ceux qui fabriquent des productions matérielles, de l’argent frais et de sauver la gestion des dépôts, des comptes de  clients, conseillés à les placer en bourses. Même leurs compétences ou rôles sont mises au doute.

    Après le vent de panique qui a mis à genoux les plus vulnérables pays d’Europe, qui ne s’attendent pas encore à une quelconque reprise, la bourrasque dure encore. Les menaces s’étiolent et s’étalent, dispersant et dispensant le syndrome de l’épuisement des anciennes puissances économiques. Le globe terrestre se reconfigure non seulement en replaçant la répartition des richesses, mais aussi en disposant les nouvelles tendances en rapport avec l’innovation. En diversifiant les sources des produits qui fournissant les marchés, les parts des échanges se répartissent autrement que comme jadis.

    La mondialisation économique n’est plus à ses balbutiements. Clairement elle impose désormais une pléiade de pays émergents qui se démènent des dépendances externes pour répondre à la consommation de leurs citoyens. Dans plusieurs domaines et même les plus délicats qui ont marqué leurs peuples de souffrance, comme les famines, la marche vers l’autosuffisance a fait des pas.

    Derrière les grosses pointures (Chine, Brésil, Inde, Mexique…) des pays à fortes croissances, se dessinent une seconde catégorie, composée de plus nombreuses contrées qui, fait suite à leur stabilité dans l’adhésion à la mondialisation des échanges. Surmontent superbement le sous-développement, plus nombreux d’Asie, d’Amérique et d’Afrique aspirent à être dans les premières loges des peuples qui n’ont plus besoin d’être satisfaits par les écoles, du mode de vie, de l’exotisme et de la sophistication qu’on leur a produit ailleurs. Même l’Afrique et la majorité de ses pays sont dans leur 5ème année de croissance positive à plus de 5%...

    La crise montre que la macro-économie sert l’essor économique global, comme en Chine ou au Brésil, sans être relayer avec efficience envers la social-économie des microcrédits.

    C’est en Inde que la ruine, d’ailleurs partielle, des microcrédits est ressentie. Non pas comme conséquence directe de la crise que redoutent les géants, mais parce que l’expérience est arrivée à maturité et s’avère un dépannage sans grande efficacité quand le bénéficiaire n’est pas très créatif. Son précurseur Muhammad Yunus, à travers l’institution bancaire « la Grameen Bank » au Bangladesh, a donné espoir à nombreux pays pauvres.

    Actuellement les leçons sont tirées, seules les TPE (Petit Entrepreneur) épris de problèmes actuels comme écologiques et inventifs, comme en technologie, s’en sortent. Même l’artisanat s’il ne répond pas à l’exigence de fabriquer des produits sous pénurie et ayant une forte demande locale, ne trouve ses comptes. Les 6 à 10 millions de petits crédits, de 100 à 2000€ contractés, sont dans l’impossibilité d’être remboursés. Les suicides des endettés sont devenus les situations fréquentes pour les populations dont la précarité est au centre de leur subsistance.

    Même cette pratique des micro-financements n’a pas été dans les critères de relance ou de dépassement de la crise en occident, où l’ancrage d’un capitalisme à jamais arrogant ne laisse pas place à de nouveaux entrepreneurs. D’abord elle n’a pas été considérée comme issue à la crise, ce qui est rationnel. Et elle est surtout perçue comme une méthode exclusive des pays pauvres. Et pour laquelle on se mobilise, en occident des fois, en direction de ces pays sous-développés. Ensuite, il s’avère que les bénéficiaires sont plus les classes moyennes car initiées à l’entreprenariat, selon le premier Rapport de l’Observatoire de la Microfinance, publié en 2009, sur la situation en France. Or celle-ci ne peut réussir à se développer dans un pays comme la France qu’en collaborant étroitement avec le secteur bancaire traditionnel.

    Et dès lors que les banques traduisent une autre perception avec l’exclusion des moins solvables de sa clientèle, et sont plongées dans la tourmente d’une crise qui gangrène leurs us commerciaux, comment s’imaginer un avenir aux PME (Petite et Moyenne Entreprise) et TPE (Toute Petite Entreprise) avec la mise en place de financements en mesure de les hisser comme acteurs dans la sortie de la crise. L’engrenage où est pris le capitalisme tourne est une austérité plus drastique envers ceux qui ne résistent pas aux déploiements des économies émergentes sur leurs territoires.


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  • La crise endémique d’un panier de crabes qui se chamaille l’otage et le butin.

    Le parti FLN (algérien) vit l’une de ses crises pathologiques et endémiques, comme un malade subissant une rechute traumatique. Loin s’en faut cet article ne désire pas qu’un musée quelconque du pays accueille une coquille même si elle renferme une quelconque âme, ou bien que peut en faire un musée d’uniquement 3 lettres alphabétiques ? 

    Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME Site de ARGOTHEME.        

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    A la fois des spasmes mais aussi une dégénérescence mentale parcourent un corps, pour le secouer comme pour le sortir du coma et le remettre sur pieds. Actuellement sur le  bureau du président Bouteflika, outre que plus de 10 pétitions dénonciatrices et émises depuis le profond pays, des dossiers dénonçant des descendants de harkis et même des harkis sont Mouhafedhs (responsables départementaux) ou membres du comité central. Pour un titre qui a fait la libération…

    Les algériens impuissants de l’accaparement par une faction de citoyens surarmés d’opportunisme, du sigle aux 3 lettres « FLN » qui relève de leur patrimoine mémoriel et collectif, sont écœurés. Ce qui constitue une véritable dégradation de leur Histoire collective, et se réjouissent donc du spectacle qui leur est donné… Par la catégorie la plus criarde de ses connivences actuelles avec les « Fascislamistes » et celle qui a causé, par le passé la torture des poètes et l’exil des intelligences. Dont les pères du FLN historique, Abdelhamid Mehri parlait bien de courants politiques à l’intérieur de la superstructure.

    Mais, comme citoyens, les algériens se questionnent aussi : pourquoi certains de leurs concitoyens ont le toupet de leur chiper le nom d’une organisation qui leur est chère, pour en faire la plateforme de leur « Kleptocratie » ? Car sur le plan sémantique, la libération du pays s’est concrétisée en 1962, avec l’indépendance chèrement payée par tous. Des rentiers se sont vus depuis la couverture de la souveraineté nationale, tuteurs du peuple. Et ont pris en otage l’Etat-Nation pour en inventer une puissance publique aussi imparfaite que démunie d’un projet sociétal qui fonde une Algérie stable, égalitaire et éprise d’évolution.

    Le parti FLN se trouve actuellement en poussée de chaleur, comme une angoisse de conscience. Souffrant d’abord de son détournement du l’emblème valeureux. Et face aux regards de la population hagarde du règne pitoyable de ce qui est aussi le seul symbole de la corruption, les algériens s’offusquent aussi. La dégénérescence, chose qui a été entamée dès l’historique jour du 5 octobre 1988, n’est pas finale. Et la souillure du titre historique FLN n’aura jamais sa fin, puisque les enjeux de la rente semblent être interminables.

    Alors les pseudos militants, de l’actuel parti FLN, assument totalement l’indignité du 3ème mandat de Bouteflika qui tire à sa fin. Leur organisation qui a fomenté cette attaque à l’encontre du moral de la population Ces dernières s’entendent désormais plus comme que d’habitude. Truanderie politique, plaquée sur le paysage démocratique qui n’a pas encore bougé aussi bien depuis l’indépendance que le 5 octobre 1988. L’une des vertus de la démocratie est de pouvoir dire ces choses, impossibles de les exprimer par le passé…   

    Les causes du désespoir qui s’est précisé dans le mental des algériens, sont en rapport avec son identité et sa mémoire partagée. Ce parti, qui colle à la démocratie sans y croire, dévoie la mémoire collective et génère une vraie tare. Car l’imposture, de l’accaparement du sigle FLN, est trop lourde dans la perception de ce qui la libération nationale.

    L’orientation politique de post-Boumediene, l’émergence du parti unique parallèlement au conseil de la révolution, a diligenté sans aucune ambiguïté la marginalisation des citoyens doués, braves et honnêtes. Et elle fait de l’islamisme un rempart idéologique, jusqu’à ameuter un certain El-Ghazali pour appeler ouvertement à l’application de la charia dans un pays musulman.

    Puis le Parti unique, dirigé au niveau central par une brigade de politicards notoirement renommés pour leur corruption, dont un certain Messaâdia a su opérer un brigandage dirigiste et bassement assoiffé d’écarter le génie. Les propres enfants de ce monsieur s’inscrivaient à plusieurs reprises pour des stages, de plusieurs mois et années, à l’étranger avec les sociétés du secteur public, sans jamais assister à une moindre séance de formation. Alors qu’une masse d’autres jeunes le constatait dans l’impuissance.

    Des entreprises du secteur public ont connu carrément une pléthore parmi leurs personnels formés à l’étranger. Plusieurs fils portant des noms comme Goudjil, Zouatène, Sbaâ et Abada (mais la liste est vraiment longue) ont été relevés par le service des ressources humaines, les autres stagiaires et les syndicats. Sans pouvoir faire part à la presse ou autres institutions de contrôle. Cette traçabilité gravée dans les gênes de ce parti… A été reprise par Belkadem qui, a pour idole El-Khomeiny, dirige actuellement l’ex parti unique. Ce qui donne à ses détracteurs la détermination de se frotter les mains pour lui succéder, lui enlever le patrimoine volé à tout un peuple.


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