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    6 milliards de crédits à taux réduit pour les équipementiers français, Renault et PSA –Peugeot-Citroën sont annoncés... Difficile relance de l'industrie automobile, sans de nouvelles technologies plus performantes et moins polluantes. Une concurrence implacable des pays émergents où les coûts de revient sont plus bas et les investissements sont plus forts.

    La concurrence est bien là, celle des pays émergents. Et la taxe professionnelle est un faux argument ! Elle représente de 250€ en France alors que de 1400€ (délocalisation en Europe) à 3000€ (d'autres pays) d'économie si le même produit par une délocalisation.

    L'annonce aujourd'hui du financement à taux bonifiés 6 à 7% (11 à 12% chez les banques et il faut d'abord décrocher un compromis de crédit avent de vraiment ce qui est impossible en ces temps de vaches maigres) de l'industrie automobile est l'un des plus incertains engagements que le denier public, par la voix du président de la république puis que c'est lui qui va encore donner le ton de son va-tout contre la récession, avancera sur la table du poker.  Les marques françaises espéraient le taux de 4 à 5%, et encore regardons si c'est toujours utile de renflouer les capacités d'une industrie livrée à une compétitivité de plus-en-plus forte et inégale.

     

    Nissan, constructeur nippon devenu filiale de Renault après son acquisition par le français, annonce 20 000 suppressions de postes dans le monde en un an. En commençant aussi par son désengagement de l'usine Renault du Maroc, après qu'aucun espoir de se maintenir n'a pu lui être prodigué globalement à toute la marque et à ses nouveaux projets.

    <?xml:namespace prefix = o ns = "urn:schemas-microsoft-com:office:office" /><o:p> </o:p>

    En France des négociations avaient été entretenues depuis des semaines entre les dirigeants de ces équipementiers et les décideurs publics. Les premiers n'ont jamais eu la certitude quant au maintien du cap, Christian Streiff, le patron de PSA, refusait de s'engager sur les deux points : l'arrêt des délocalisations et l'éventualité de ne pas licencier.  Alors que la modération des dividendes des actionnaires va elle aussi se faire avec des négociations plus ardues.

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    La contrepartie de ce plan de 6 milliards, respectivement 3 pour chacun des groupes, est le maintien de lignes de production. C'est-à-dire ne pas fermer d'usines pour ne pas licencier de personnel. L'esprit de ce volontarisme s'insère dans la ligne de relance que la pesante et surprenante crise a créée. L'accord, pour l'instant informel, comprend aussi un renoncement aux faramineux bonus accordés aux staffs dirigeants, ce qui sont les commissions des traders chez les banques,  et au plus gonflé de tous celui du premier manager de ces entreprises.

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    Apparemment il ne s'agit que d'annonces dont l'effet est la mise en confiance de ces constructeurs traditionnels. Ces derniers ils ne cessent de mobiliser leurs génies pour répondre aux exigences nouvelles en matière d'émission de CO2 de leurs produits et de donner aux consommateurs, acquéreurs de véhicules, des gages comme la certitude, bien aléatoire, que les tarifs du carburant ne verraient plus jamais de hausse.

     

    France - Industrie automobile

    Citroën commence à dévoiler ses nouvelles DS

    Vendredi 06 février 2009

    Jeudi, le constructeur automobile français PSA Peugeot Citroën a dévoilé le concept-car DS Inside (photo), qui servira de base pour la DS3, premier des trois futurs modèles qui porteront le nom DS, label emblématique de Citroën.

    Dossier   La panne sèche du secteur automobile
    En France les seuls concernés par ce sauvetage sont Renault et PSA Peugeot Citroën. Le dernier d'entre eux compte revenir à son produit mythique la DS qui a connu ses heures de gloire. Un peu tardivement, ce retour à un prestigieux modèle, puisque depuis deux décennies déjà que Volkswagen a remis sur le marché la coccinelle après l'avoir relookée et booster ses performances et Fiat, tout récemment, a mis sur le marché la 500 l'une des plus prisées des voitures populaires.
    <o:p> </o:p>Les entreprises des pays dont les économies ont régné depuis les temps reculés et même dès ce qui la renaissance occidentale, vivent une farouche compétition avec celles des pays émergents. Pour le secteur de l'automobile la marge de manœuvres est plus serrée. En Algérie par exemple c'est un constructeur chinois qui est vu comme celui qui ouvrira une usine dans ce grand pays du Maghreb. Outre l'effondrement du marché européen avec de 17,8 % en décembre.
    <o:p> </o:p>

    Le chef de l'État français avait annoncé, jeudi dernier, la suppression de la taxe professionnelle en 2010, afin d'améliorer la compétitivité des usines françaises. Or les coûts de revient, par unité produite, sont de l'ordre d'environ 1400€ en rabais par rapport aux pays européens vers lesquels s'effectuent les délocalisations. Et bien plus, jusqu'à 3000€, quand c'est des contrées d'autres continents. Alors que la taxe professionnelle ne représente que 250€. Dans ce cas les propos de Marie-Georges Buffet, secrétaire du PCF, concernant la taxe professionnelle sont d'une incontestable véracité. Ce n'est cette taxe qui oblige les entreprises à délocaliser mais les profits !


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  • Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME

    Ce texte est sur POPULISCOOP, faites de votre info un scoop

    Si le repli de l'Internationale Trotskiste n'a rien d'un point du programme envers le champ d'action, la France, du nouveau parti accouché par la LCR. La France observe que les idées proposées à la société, sans distinction de ses composantes, sont d'une rigueur digne de clarté, le moins qu'on puisse constater.  Mais qu'en est-il exactement ? Les points essentiels, de l'orientation du Nouveau Parti Anticapitaliste, passés au crible.

     

    Depuis le 5 février 2009, s'est tenu à la plaine Seine Saint-Denis le congrès constitutif du Nouveau Parti Anticapitaliste dans la continuité de la Ligue Communiste Révolutionnaire.

    Le même jour, en fin de journée, le président Nicolas Sarkozy a parlé pendant 90 minutes pour : certains disent donner des réponses aux inquiétudes exprimées lors de la méga-manif du, jeudi passé jour-pour-jour, 29 janvier. Et pour d'autres, pour maintenir le cap des réformes... Et c'était vraiment, lors de cette intervention où le profil bas des journalistes a choqué les téléspectateurs, d'une part nourrir le loup pour ne pas l'enrager avec la mesure du retrait de la taxe professionnelle qui, maintenant va priver les collectivités locales d'une rubrique de recettes budgétaires, suscitait, croit-on, les délocalisations. Et d'autre part amadouer le discours décadent du mépris envers les syndicats exprimé à travers « quand il y a grève personne ne se rend-compte » en tentant une pédagogie sur la crise inéluctable au capitalisme. Ainsi que proposer 1 milliard et demi d'euros pour relancer la consommation, une concession non encore mesurée à sa juste valeur, et bien sûr tenter et promettre d'ouvrir un dialogue, en prenant rendez-vous pour le 18 février, avec les porteurs d'un mouvement social qui a les troubles sociaux en perspectives dans la spirale de la récession.

    Etoile montante dans le champ politique français, le jeune facteur a déjà hérité d'un leadership clé-en-main d'Alain Krivine sur la Ligue Communiste révolutionnaire. Depuis il a pu donner une image de proue d'un contestataire plus sympathique, de part sa frimousse juvénile. Tout en gardant, jusqu'à ce jour de congrès où le retrait de l'Internationale Trotskiste sera prononcé, l'essentiel idéologique d'une gauche radicale que l'opinion s'empresse de qualifier d'extrémiste. Si le repli de l'Internationale Trotskiste n'a rien d'un point du programme envers le champ d'action du nouveau parti. La France observe que les idées proposées à la société sont d'une rigueur digne de clarté, le moins qu'on puisse constater. Mais qu'en est-il exactement ?

    Besancennot et la naissance du NPA

    Besancennot aux 4 vérités

    Les grands points du programme du NPA sont une continuité des éléments qui préfiguraient les plans d'action de déjà l'ex. LCR, comme pour garder la page ouverte ou préserver un patrimoine moral. Cependant l'étonnement est grand avec un anticapitalisme qui doute du socialisme et même du communisme. Ces deux variantes sont attendues pour grossir les rangs du NPA, qui propose :

    1-Les nationalisations, qui génèrent, chacune selon son objectif, depuis des lustres des alliances dans le même camp, ne sont pas certainement la copie conforme des autres formations politiques de gauche. A savoir l'étatisation est globale et sélections des entreprises répondant aux besoins quotidiens : transport, énergie, l'eau, l'école, la santé et bien sûr la poste. En matière d'industrie et des nouveaux investissements susceptibles de formuler une relance plus créative, il y a une indigence flagrante et inadéquate avec le volet scientifique qui a toujours placé la France aux premières loges des civilisations contemporaines. Et d'où surgissent souvent des richesses et des modes de sociétés...

    2- Le SMIG à 1500€ n'est pas aussi un trait qui puisse singulariser le NPA. Cette question cruciale des salaires n'a pas apporté d'innovation, de peur d'aller à la surenchère. Ségolène a songé un moment mais s'y détourna en plein campagne, ce qui laisse beaucoup croire à sont échec. Ce seul légitimant qui a trait à une grande majorité de français, pouvait permettre à la plateforme NPA de se distinguer de ses paires de la gauche. Elle est restée en perte d'exergue. L'interdiction des licenciements relève plus d'une vision populiste du fait de la balancer comme une généralité que d'une procédure sélective envers l'état de santé des entités économiques qui n'ont que cet acte douloureux à commettre ou la banqueroute.

    Alain Krivine, le fondateur de la Ligue Communiste Révolutionnaire

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    3- L'appareil institutionnel est proposé à transformation. Outre la suppression du Sénat, le bannissement du cumul des mandats ainsi que la rotation entre acteurs de la vie politique. Or même sur ce point, il est plus question d'expertise des intervenants au niveau décisionnel que de partage du pouvoir. Ceci augure une transformation aux retombées inimaginables... Une aventure.

    4- En matière de finances, puisque la crise squatte l'ancien système banquier, l'étatisation totale est préconisée sous le contrôle des travailleurs et des usagers. Le dépassement de la situation actuelle en la matière est peut-être perçu par une bureaucratisation. Dans ce cas de figure qui parlerait d'investissements viables ? L'aspect essentiel de l'actuelle crise inspire de faire table-rase de pratiques négatives, mais caser l'entrepreneur fondateur de l'unité productive dans les usagers donc décideurs ou partenaires en financement, ne relève pas de sa mission ou profession originelle ?

    5- Ecologie : L'abandon du nucléaire est une autre salade verte qui lorgne à ne pas se départir, prendre distance, de la même famille politique où les communistes présentent une bien meilleur représentation. Déjà que les verts, ou José Bové, existent grâce à une suspicion basée sur le fameux principe de précaution, qui lui loin s'en-faut n'interdit pas pleinement toutes activités mais suscite un contrôle avant que ne se dévoilent les incidences néfastes. Mais comme il ne trouve point de réponses aux besoins qui accablent l'humanité en matières alimentaire et énergétique, il est à ,la source d'arsenaux juridiques pour les cas avérés néfastes. Même le volet scientifique de ses disciplines n'a pas son dû d'attention dans le but de perfectionner les données qui enrichisse l'existence humaine.

    6- UE (Union Européenne) : Si une ambigüité reste à élucider dans ce programme NPA, c'est bien celle de la participation des populations au destin commun. Même du point des conversations entre les peuples (environ 30 langues) pour une construction plus sociale, qui a été à l'origine du non français contrairement à d'autres pays où les votants ont agi par nationalisme, le parti naissant n'a pas encore une formulation. Le contenu d'un nouveau pacte est encore plus vague, c'est-à-dire qu'il n'est pas clairement avancé pour accélérer la volonté populaire continentale, chose qu'aucun citoyen européen (sic) ne semble tourner le dos à l'union si elle lui réponde à des solutions de développement continuel.

    Olivier Besancennot

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    7- Sur le plan culturel : L'engagement prenant en compte les expressions, la création et l'orientation des contenus pour supplanter les retards français, est absent. Donner ou rendre accessible les patrimoines et répertoires existants n'a pas, par le passé, désenclaver ou donner de la considération aux cultures enrichissantes et nouvelles. Le cinéma ou la télévision, y compris la littérature, sont peut-être secondaires devant les préoccupations politico-économiques dans le programme NPA. Pourtant c'est à partir de cette intelligence, la culture, que naissent les mondes idéaux et les richesses auxquelles aspirent les populations et les travailleurs en premiers.

    8- L'enseignement supérieur, s'apparente au parent pauvre de ce programme. Juste une opposition aux décisions de l'actuel pouvoir UMP, d'où un déficit de propositions véritablement ancrées dans la connaissance de ce domaine hautement élitiste et au raffinement dans le savoir le plus poussé. L'autonomie et la concurrence entre les universités ne sont de mise. A se demander où habiterait un stimulant pour aller de l'avant dans la recherche et l'amélioration de la formation.

    9-La cellule familiale : Si la parité entre hommes et femmes est devenue une unanimité de toutes les tendances dans les champs politiques mondiaux quelque-soi le pays, la conformité entre tous couples sans distinctions mérite encore un débat où la population doute encore. Et là, si le principe de précaution en matière d'adoption est loin d'avoir tranché, les psychologues restent eux de leurs côtés encore dubitatifs. Tant pour l'expérience humaine multiséculaire qui a démontré à partir de l'idée de procréation, avant celles relevant du suivi étroit des praticiens de la sociologie humaine. Il est fondamentalement établi, aux delà des libertés et de la commune position de la gauche française en général, que l'accouplement homme/femme soit encore celui de toutes les espèces. Sans une action sociale et sanitaire élaborée pour un suivi de longue haleine dans le suivi de l'équilibre psychologique des enfants adoptés au sein des couples homosexuels, ce point peut générer des décantations au niveau de la gauche en matière de la construction de la plus ancienne entité qui a fait l'harmonie de l'humanité et de son parcours.

     


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  • Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME

     Sur POPULISCOOP, cet article diffusez votre Info.

    Le french Doctor a riposté au livre de Pierre Péan, ci-après un communiqué, bien des semaines avant sa parution. Et a gardé depuis le silence jusqu'à la dernière minute pour enfin parler à partir des Etats-Unis où il effectue un voyage qui a aussi ses dessous. Il porte un démenti en bloc.

    L'affaire est édifiante de l'alchimie utilisée qui ne fait pas monter en puissance, comme d'habitude, l'humanitaire donneur de leçons. Elle, concernant les subsides informels qui lui ont été octroyés par des régimes honnis pour corruption, remontait, comme une nauséabonde vase, à la surface depuis des semaines que certains cercles officiels et des médias, en connivence, se sont empressés de la masquer à l'opinion française. Elle arrive à son terme comme pour mettre ou enlever le voile, sur une diplomatie dévoyée qui a fait des mains et des pieds pour que l'ONU ne dise pas un mot sur les derniers massacres de Tsahal à Gaza. A ce sujet laissant croire que le déplacement de Sarkozy dans la région proche-orientale allait effectivement mettre fin au conflit, ouvrant ainsi grande la porte aux massacres et rassurant les bourreaux de l'impunité internationale. Mais c'est une autre histoire...

    Le french Doctor a riposté au livre de Pierre Péan, ci-après un communiqué, bien des semaines avant sa parution. Et a gardé depuis le silence jusqu'à la dernière minute pour enfin parler à partir des Etats-Unis où il effectue un voyage qui a aussi ses dessous. Pierre Péan en sait quelque chose sur cette autre manigance, la page de gard son bouquin illustre cette insinuation. Kouchnera finalement apporte un démenti en bloc.

    D'ailleurs le voyage aux USA de Bernard Kouchner, le jour de la sortie du livre, est perçue par beaucoup comme un ultime coup de semence pour sauver, et rectifier, la face criminelle de l'Etat sioniste devant la nouvelle diva de la diplomatie étatsunienne, Mme Clinton, pour le carnage de Gaza alors les procédures judiciaires pour crimes guerre éclatent au niveau de plusieurs juridictions internationales et celles des pays européens. Et pour ce cas même si des paiements ne sont pas faits rubis sur ongles par les tueurs d'enfants et de femmes désarmés, comme l'a honoré Omar Bongo déboursant son dû, dont les détournements des richesses de son pays ont une place de choix dans l'entité étatique française, à raison de plus de 2 millions d'euros pour les sociétés BK et KB appartenant au ministre français des affaires extérieurs. Et avec Esther (une société publique) qui organise des jumelages, via la société « Iméda » partenaire avec « Afrique-Steps », le service public sert de marchepieds à KB-BK.

    Ces paiements ont été suivis de 800 000 euros encaissés par des actionnaires des mêmes sociétés et exerçant dans les rouages du ministère des affaires étrangères : Mrs Danon et Baudouin ont récupéré ces 800 000 euros pour qui de droit. Danon représente la France à la conférence du désarmement à Genève tandis que Baudouin s'occupe de la presse et de la comm au ministère des affaires étrangères. Mais le pactole est plus volumineux selon le JDD, il s'agit de 4,6 millions d'euros de paiement entre 2002 et 2007 faits par la Gabon et le Congo.

    KOUCHNER perçu comme à l'origine du départ de J.M. Bockel du secrétariat d'Etat à la coopération.

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    Selon le site de notre confrère Bakchich-Info qui a travaillé sur le sujet et d'autres malversations, des contacts lui ont été lancés afin de parer à la poursuite du traitement, de cette histoire des plus choquantes, et qu'il avait en main. « ... notre site a reçu, après avoir publié un premier papier sur les arrangements entre Bongo et Kouchner, un coup de fil d'un grand cabinet de lobbying de la place, Image Sept. Le message de ces communicants était simple : avant de réécrire un deuxième papier, il faut que nous vous rencontrions. Des appels de ce genre, nous en recevons régulièrement et cela n'a rien d'anormal. Sauf qu'il est rare de voir un lobbyiste privé intervenir pour un ministre, et avoir vent des e-mails envoyés au ministère. Et encore plus surprenant que ces communicants soient les clients d'une société, à savoir France 24, où travaille la compagne du ministre. »

    Ce n'est pas le cas par exemple du site de Marianne qui a dans un premier temps lancé le scandale qui dans un premier temps s'est évertué à faire le Buzz médiatique mais semble se rétracter. Alors que Jean-Marie Bockel, ancien ministre de la coopération envoyé, en mars 2008, pour s'occuper des anciens combattants après avoir le premier pressenti le dégueulasse parfum de la politique « françafrica ». Il a été confronté à la découverte du pot-aux-roses quand les responsables africains lui disent qu'ils ont financièrement payés... D'ailleurs les gabonais se sont félicités du remplacement de ce dernier par d'Alain Joyandet, un UMP de facture qui convient aux régimes d'un néocolonialisme antipopulaire.

    Dans ce scandale, d'une part, apparaît aussi la principauté de Monaco où, comme paradis fiscal intouchable parce dans le giron hexagonal et européen, sont mis les finances en lien avec ses révélations. Danon (cité ci-haut) assurait le ramassage aux comptes bancaires de BK et KB. Et d'autre part, les réponses de Rama Yade concernant son passage-mission à l'exécutif comme chargé des droits de l'homme dont Kouchner avoua l'inutilité du poste de cette nana dont les origines peuvent rapporter bien des révélations.

    Avec Jean-Pierre Elkabbach, l'incohérence des réponses et balbutiements.


    Kouchner chez Elkabbach vidéo

    Des explications utiles.

    Commentaire humoristique attachant par sa satire

    Pierre Péan parle de son livre

    Cette affaire qu'un professionnel de l'investigation et spécialiste des questions africaines vient d'avancer va certainement et en réalité aller plus loin dans les relations françaises. L'auteur a déjà travaillé dans l'implication de la France officielle dans le génocide rwandais à travers son ouvrage « Noirs fureurs, blancs menteurs » .

    Référence du livre Image hébergée par servimg.com

    • Editeur : Fayard (4 février 2009)

    • Collection : LITT.GENE.

    • Langue : Français

    • ISBN-10 : 2213643725

    • ISBN-13 : 978-2213643724

    Il est aussi l'auteur de : "Une jeunesse française", "La face cachée du Monde" ou "L'Inconnu de l'Elysée".

    Extrait du livre 1 – Premier extrait

    ou 2- Deuxième extrait

    COMMUNIQUE DE BERNARD KOUCHNER MINISTRE DES AFFAIRES ÉTRANGÈRES ET EUROPÉENNES

    « Pour répondre à certaines allégations inexactes diffusées sur un site internet, Bernard Kouchner tient à faire préciser :« Depuis sa prise de fonction en tant que ministre des Affaires étrangères et européennes, Bernard Kouchner a cessé toute activité au sein des sociétés BK Conseil et BK Consultants. La société BK Conseil a été dissoute le 18 mai 2007. Depuis la nomination du Ministre, BK Consultants n'a plus aucune activité commerciale et ne saurait avoir perçu quelque rémunération que ce soit. Le ministre dément formellement « avoir fait passer des prestations de conseil et d'audit sous l'égide de trois sociétés ». Bernard Kouchner n'a jamais appartenu à la société IMEDA dont il était l'un des consultants et n'avait donc aucune raison de se préoccuper du règlement des factures de celle-ci. S'il a pu être amené à évoquer son rapport sur l'Assurance maladie au Gabon avec le président Bongo, c'est uniquement pour s'informer de l'état d'avancement de la mise en œuvre de la loi née de ce rapport.

    Le travail de Bernard Kouchner sur ce projet d'Assurance maladie au Gabon était notoirement connu des medias gabonais et a fait l'objet d'une communication publique au cours des Etats Généraux de la Santé à Libreville.

    La page de Imedia, aujourd'hui retirée

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    L'activité de Bernard Kouchner, comme Président fondateur du GIP ESTHER était une activité purement bénévole exercée dans le cadre des décisions prises par le conseil d'administration. C'est le GIP ESTHER qui a permis notamment les nombreux jumelages hospitaliers entre pays européens et pays en développement en particulier dans le domaine du sida.

    Bernard Kouchner s'enorgueillit d'avoir toujours mené, dans ses diverses fonctions et dans le cadre strict des règles de celles-ci, un combat permanent en faveur de la santé publique en Afrique.

    Bernard Kouchner se réserve le droit d'engager des poursuites judiciaires pour prévenir ou sanctionner toutes allégations mensongères à son égard et en a chargé Me Georges Kiejman. »


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  • Par N.E. tatem avec ARGOTHEME 

    Cet article sur POPULISCOOP - où vous pouvez faire de votre Info un scoop.

    Et sur AGORAVOX

    Des mois qu'une crise a été perçue. Par la force des choses, c'est la récession des puissances économiques traditionnelles.  La manifestation-grève du 29.01 est une protestation incriminée par les décideurs qui jouent aux sauveurs du capitalisme où Bernard Madoff et la famille Bush tirent les ficelles.

    La grève-manifestation du 29 janvier 2009 n'a pas réellement été interprétée, par tous les interlocuteurs du pouvoir et des organisations qui l'ont initiée, comme un signal probant de la ruine entière du monde bien ancien par rapport à celui des pays dits émergents.

    On n'a pas cessé de nous asséner : « Il faut sauver le système ». Cette exigence fait unanimité par delà les confins idéologiques entre les tenants réels de la doctrine libérale et certaines sphères se déclarant socialistes. Mais le passage à une société qui n'est plus capitaliste ne peut survenir tant que le contenu des réformes n'est pas ouvertement un frein à la spéculation... D'après ce qui vient de se passer à Davos, d'une part où point de recul pour la continuité du capitalisme archaïque, et son corollaire le forum social mondial, le monde est de plus en conscient de la domination illégitime de ce capitalisme qui tombe en miettes sans lâcher-prise.

    Depuis la décennie 80 l'emballement de la mondialisation, chère aux dépositaires du capitalisme qui a été jadis fondateur de la révolution industrielle, a conduit à la naissance de nouvelles puissances économiques, considérées par le passé récent complexées devant l'internationalisation des échanges. Nous y sommes à voire les plus autarciques régimes, comme les chinois ou celui des russes, se convertir en acteurs majeurs dans le commerce sans frontières. Et les précurseurs de l'abolition des limites géographiques devant le transfert des produits en ont été, les premiers appâtés par les profits sur les coûts de main-d'œuvre, allés aux délocalisations de leurs fabriques sur des terres qui avaient, depuis des millénaires, été occupées par des populations, comparées à des fourmilles, hautement laborieuses.

    En France, la grève-manifestation du 29 janvier 2009 n'a pas réellement été interprétée, par tous les interlocuteurs du pouvoir et des organisations qui l'ont initiée, comme un signal probant de la ruine entière du monde bien ancien par rapport à celui des pays dits émergents. Les décideurs officiels de l'hexagone, qui se sont déployés en pompiers et telle une unité d'urgence pour sauver le système banquier d'abord puis se sont remis à un processus de relance, regardent avec dédain la gigantesque parade scarifiée de beaucoup de signes d'impuissance.

    Le président Sarkozy est des plus attendus, jour-pour-jour le jeudi suivant, pour la réplique à la protestation, restée bon-enfant malgré quelques légères escarmouches en fin de parcours aux environs de la place de l'opéra. Face à cette mobilisation que l'opinion générale considère marquante, l'adversité de celui que les manifestants ont largement caricaturé comme un despote, compte camper sur la position des puissances qui songent toujours sauver, les deux sphères malveillantes, les bourses et les banques. Nous ne sommes pas à son discours du 5 février. Les membres de l'exécutif annoncent tous de garder le cap...

     

     

    Le capitalisme dans sa forme originelle, celles des 17èmes et  18èmes siècle, n'est pas celui qui vient de se révéler au début du 21ème. Ce dernier est fortement marquée par l'économie virtuelle où l'on ne crée ou ne vende un produit que si des dérivés et autres options viennent se greffer à celui qui initialement a été généré et fabriqué pour répondre à un besoin. C'est-à-dire et à titre d'exemple, pour expliquer l'économie virtuelle, en contemplant une automobile actuelle, on y trouve moult options accolées à son gabarit... Toutes, gadgétisées, se revendiquent pour la sécurité et l'intérêt de l'usager.  Aussi ce dernier, grâce aux crédits finalement reconnus toxiques, peut en disposer du produit à distance et sans même en avoir tellement besoin...

    Immigration, sécurité, Sécurité, violences et terrorisme. Grève, Christine Lagarde et continuité des réformes. L'impossible autorégulation.

    Ce système, qu'aucune mesure ne peut sauver sauf un passage inéluctable à des sociétés différentes de celles qui ont laissé agir un Bernard Madoff et la dynastie Bush, est désuet et obsolète.

    Les deux basées, parties d'icebergs sorties de l'eau, au pays symbole du libéralisme et qui tente de surpasser, avec l'élection d'un démocrate atypique, le règne d'un capitalisme plus truand qu'entrepreneur, restent des manifestations. L'élu et métis, a osé pour la première fois dans l'histoire des USA, s'en est pris aux notoires de la spéculation les dirigeants de Wall-Street. D'ailleurs l'espoir qu'il a entretenu jusqu'à son élection a permis de contenir les émeutes.  Alors que les castes fondées autour de l'anonyme Bernard Madoff et des Bush, demeurent et ont pour commun un mercantilisme ignominieux. Ventes d'armes et mamelle financière pour gruger les véritables créateurs de richesses ainsi que les pays qui disposent de rentes dont les gestions sont ouvertes à tous vents et chants de sirènes, sont toujours la vitrine de ce genre de détrousseurs.

    Il est illusoire que le passage à d'autres sociétés, éloignées du capitalisme générateur des escrocs en cols blancs dont les liens ombilicaux sont totalement investis dans les dérives naturelles du capital détourné, se fasse d'une manière démocratique. Les vérités sont un impérialisme agressif, les arabes en ont fait les frais avec la situation du peuple palestinien, l'invasion de l'Irak et surtout l'encouragement de la nébuleuse islamiste.

    Il est chimérique de croire que le système qui a les moyens étatiques de plusieurs nations va céder comme un tapis de velours. En Grèce ce capitalisme a eu la colère qui lui revient, il a été contenu sans une perspective identifiée qui détient l'aptitude de changement. Pour la France et à partir de Davos, l'avertissement pour des troubles a été donné par, non pas la ministre de l'intérieur mais, celle chargée de l'économie.


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  • Par N.E. Tatem avec ARGOTHEME 

     POPULISCOOP, pour écrire et publier un article, a publié ce sujet

    Tenant-compte de la première consultation qui bien-sûr soulève pourquoi : le premier passage, devant le praticien, est resté inutile.

    Selon l'association des médecins urgentistes de France (Amuf), le commissaire aurait estimé que le médecin envoyé par le SAMU n'avait pas la compétence pour procéder à la réanimation. Si tel est le cas, il ya de quoi se questionner par quel critère un flic pouvait prononcer une telle évaluation des ressources humaines hautement scientifiques comme en médecine.

    L'hôpital de Château Thierry ne savait pas, sur le champ, s'il porterait plainte. La direction de l'établissement sanitaire est dans un désarroi inqualifiable, du fait de la tournure qu'a pris le fait qui ne peut être anodin.

    Encore une dérive policière d'un système qui s'emballe dans tous les sens pour semer le climat détestable de discorde et qui cacherait de bien plus graves situations sur les atteintes à l'Etat de droit. Un homme de 38 ans, arrêté par la police en état d'ivresse le mercredi 28 janvier 2009, est emmené à l'hôpital de Château Thierry. Après l'examen d'un médecin urgentiste, l'homme est dirigé en cellule de dégrisement sur décision du praticien. Au commissariat, son état de santé se détériore.

    Les urgences sont, encore une fois, appelées à la rescousse. Le même urgentiste reprend une nouvelle consultation. Mais un policier, non pas le subalterne qui avait la première fois ramené le malade à l'établissement sanitaire, en l'occurrence un commissaire l'en aurait empêché. La compétence pouvait être mise au doute par celui initialement avait fait la démarche, puisque la précédente intervention de l'urgentiste n'a pas été concluante. Même si le commissaire a bien pris en considération que cette même précédente auscultation n'avait pas déterminé un problème cardiaque, la dégradation de l'état de santé du patient pouvait survenir d'une manière quasi imprévisible.

    Selon l'association des médecins urgentistes de France (Amuf), le commissaire aurait estimé que le médecin envoyé par le SAMU n'avait pas la compétence pour procéder à la réanimation. Si tel est le cas, il ya de quoi se questionner par quel critère un flic pouvait prononcer une telle évaluation des ressources humaines hautement scientifiqueS comme en médecine. L'Amuf juge cette affaire “extrêmement grave témoigne d'un climat détestable dans le pays”. L'association condamne les agissements de la police, parle d'abus de pouvoir, d'entrave à l'exercice de la médecine et demande au gouvernement de “faire cesser la répression des professionnels de santé”.

    L'hôpital de Château Thierry ne savait pas, sur le champ, s'il porterait plainte. La direction de l'établissement sanitaire est dans un désarroi inqualifiable, du fait de la tournure qu'a pris le fait qui ne peut être anodin. Jeudi, c'est-à-dire le lendemain matin, l'hôpital fait l'objet d'une enquête de la part des représentants du ministère de la Santé. Ce trouble que les hiérarchies, certainement des cercles centralisés qui en sont à leur Nième comportement policier gratuit, met les gestionnaires des structures sanitaires et des services publics dans le désarroi qui limiterait leurs prérogatives. Et si une réaction quelconque se manifesterait les sanctions tomberont en couperets, c'est devenu une pratique. Le commissaire lui-même semble réagir pour se prémunir des cas des officiers de police de Corse ou, la toute dernière, du préfet de la Manche Jean Charbonniaud.

    D'un autre côté, Isabelle Pagenelle, la procureur de la République de Soisson, qui a autorisé le commissaire à organiser un interrogatoire du médecin urgentiste, précise qu'en dehors des “auditions de routine”, aucune enquête officielle n'est en cours actuellement pour déterminer la responsabilité du commissariat. Le patient, souffrant de l'arrêt cardiaque, a vu ses soins retarder selon les ambulanciers. Il est toujours dans un état critique.

    Signalons que le médecin concerné qui a intervenu dans des chaînes de télévision est, selon son accent et son teint, d'origine africaine.


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